=La nuit est déjà bien avancée et Amélie n’est toujours pas rentrée. Pendant des heures, Sophie a imaginé, voire rêvé, ce que pourrait être une partie avec sa fille. Elle craint que le rapprochement de cet après-midi ne reste éphémère et n’ait pas de suite. De plus, l’idée de Louis de s’immiscer dans leurs éventuels ébats la fait s’interroger.Minuit, toujours rien. Soudain, le téléphone de Sophie se met à vibrer. C’est un message d’Amélie. « Excuse-moi ma petite maman, mais Suzie a insisté pour que je reste dormir chez elle, car nous avons un peu abusé de l’alcool. A demain pour ce que je t’ai promis. Grosse bise. » Déçue, mais rassurée quant à la promesse du lendemain, Sophie finit par s’endormir. Au petit-déjeuner, je m’inquiète de l’absence de ma sœur. « Amélie n’est pas rentrée ? Vous deviez vous retrouver. Pour ma part, j’ai dormi comme une souche et pourtant, j’avais bien envie de vous surprendre comme je te l’avais dit » « Elle m’a envoyé un texto au milieu de la nuit, me prévenant qu’elle restait dormir chez sa copine Suzie, car elles avaient un peu trop bu. » « Tu es déçue ? » « Oui un peu, mais tout s’est tellement précipité ces derniers jours que je ne sais plus très bien où j’en suis. C’est toi qui as réveillé en moi mes souvenirs de lesbianisme et qui m’a mis en tête cette idée folle de découvrir le corps de ma fille » « Tu regrettes ? »« Oh non, elle s’est tellement vite prise au jeu que cette première approche a été particulièrement excitante et j’ai hâte de voir comment elle va réagir à son retour » « Dommage, je ne serai pas là, je vais faire mon jogging, ce sera un peu plus long que d’habitude, car je vais tester un nouveau parcours. Tu me raconteras. »
Louis parti, Sophie s’affaire à ses tâches ménagères dans sa chambre dans une tenue très légère pour être à l’aise. Soudain, Amélie apparaît dans l’embrasure de la porte.
« Bonjour maman »« Oh ! Amélie, tu m’as surprise, je ne t’avais pas entendue rentrer. Alors, ta soirée et ta nuit se sont bien passées ?« Oui très bien, Suzie avait admirablement organisé les choses. » Tout en parlant, Amélie s’était rapprochée de sa mère et lui caressait un sein en lui dégrafant son corsage. « Tu ne perds pas de temps ma fille, ta mère te fait toujours envie ? » Sophie répond à la caresse en promenant une main sur les cuisses d’Amelie jusqu’à atteindre un string déjà bien humide. « Oui maman Sophie, notre très court rapprochement d’hier m’a beaucoup excité et toute la soirée, j’ai pensé à toi en discutant sexe avec mes copines. Le souvenir de tes seins, ta chatte, ta bouche défilait dans ma tête. Maintenant que je suis là, je te veux, mais Louis risque de nous surprendre » « Il est sorti faire son jogging, mais je sais qu’il serait content d’être avec nous pendant que nous nous amusons » « Qu’est-ce que tu dis, comment peux-tu imaginer ? » « Amélie, comme tu as évacué ce tabou d’inceste, je dois te confier un secret. Louis me baise. » « Quoi ! mon frère baise sa mère, ma mère ? » « Eh oui. Ça s’est fait bizarrement. Nous correspondions anonymement sous des pseudo sur un site de chat avec vidéo et malencontreusement, ma webcam a balayé la pièce en montrant une partie facilement reconnaissable. Ton frère en a déduit que son correspondant était sa mère et s’est amusé à me faire comprendre qu’il avait découvert qui se cachait sous mon pseudo. Je n’ai pu nier l’évidence, mais j’avais vraiment honte, car nos échanges étaient très hard, sans retenue avec tous les mots du sexe. Au bout d’un moment de discussion où il m’a menacée de tout te raconter si je ne concrétisais pas nos échanges virtuels. J’ai craqué sans trop de réticence et je dois avouer que j’ai pris un énorme plaisir. Il m’a fait avouer que j’avais connu une collègue lesbienne, que cette activité me manquait pour combler mon désir de sexe, et m’a suggéré de te séduire, car tu avais déjà dit que tu aimais surtout les femmes. Voilà, tu sais tout » « Eh bien Madame Sophie, la maison familiale va devenir un vrai lupanar ! » Toutes les deux partent d’un bruyant fou rire. « Viens maman, j’ai envie de toi »« Moi aussi, donne-moi tes seins, ton cul, ta chatte, j’ai remarqué que tu mouillais déjà. Je veux aussi sentir l’odeur de tes partenaires de la nuit »« Je n’ai pas pris de douche, pourtant, nous avons terminé dans une partie d’uro très arrosée »« Ça me donne envie de te lécher, je vais te faire mouiller comme une fontaine et boire ton jus. » Les deux corps se joignent, les seins se frottent, les mains courent partout. « Allongeons-nous par terre en 69, moi aussi je veux ta chatte Sophie » ****Je rentre de mon jogging et prends tout de suite ma douche. Juste vêtu d’une serviette de bain autour de la taille, je vais m’habiller dans ma chambre qui jouxte celle de ma mère, et c’est alors que je perçois des gémissements, des bruits insolites. Je me dirige vers la porte de la chambre maternelle d’où proviennent ces bruits, j’ouvre délicatement et quel spectacle ! la mère et la fille sont enlacées couchées par terre dans un frénétique broutage de minou. « Eh bien les filles, vous expérimentez un gouinage familial ? » C’est Sophie qui relève la tête et prend la parole : « Louis, tu pourrais frapper quand tu entres dans ma chambre. Viens avec nous. » « Je ne suis pas sûr qu’Amélie va apprécier, elle a toujours dit qu’elle préférait les femmes » « Montre-nous ce que tu as sous ta serviette, je crois distinguer que tu es en forme ! » Effectivement, la vue des deux nanas est en plein déduit m’a déclenché une superbe érection. Je m’approche du « terrain de jeux » et bien qu’étant devenue toute rouge, Amélie se manifeste : « Tu es sévèrement monté frangin, j’ai appris que tu baisais maman et avec ça, tu dois facilement l’envoyer au septième ciel, mais s’il est vrai que j’aime les femmes, tu me fais envie, je me laisserais bien faire si maman est d’accord » Cela dit, ma sœurette s’approche, saisit ma queue pour une rapide branlette et me fait une fellation d’enfer. « Dis donc ma sœur, pour une gouine tu suces admirablement. »« Il m’arrive aussi de me faire baiser par des mecs et là, j’ai vraiment envie que tu me prennes. Je m’apprêtais à jouir avec maman, mais tu vas prendre le relai. Tu peux tout lâcher dans ma chatte, je prends la pilule » Je vais donc faire plaisir à ma sœur. Elle délaisse le « champ de bataille » mère/fille et je la prends en levrette jusqu’à sa première jouissance. Le spectacle de ses seins qui se balancent à chaque coup de boutoir m’excite tellement que j’ai du mal à me retenir. « Plus fort Louis, ta bite à fond, je sens que je monte » Merveilleux instant, nous jouissons quasiment ensemble. J’ai tout craché dans son con. Sophie qui n’avait pas perdu une miette de nos ébats s’était emparée d’un de ses godes ventouse présente sur la table de nuit et après s’être empalée sans ménagement s’était également fait jouir. « Amélie, écarte les cuisses et donne à maman ce délicieux nectar qui coule sur ta toison » Le nettoyage effectué. Notre trio entame un bref repos des guerriers. « Bon, les enfants, je n’ai rien préparé à déjeuner et pour vous récompenser, je vous invite au restaurant. »
