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Mes envies de chienne

Chapitre 1

Les souvenirs me rattrapent

Trash
J’ai enfin installé mes nouvelles enceintes connectées dans mon séjour, ma chambre et mon bureau, encore quelques clics et l’application pourra diffuser mes chansons préférées.
— Alors... "Veuillez accepter les conditions générales"... Évidemment... "Accéder à ma bibliothèque audio depuis votre téléphone"... Oh que oui !
Le nombre de morceaux est affolant, la mémoire de mon smartphone est pleine à cause de cela d’ailleurs. Tellement pleine que la lenteur de mon engin est lente comme mon ex.
— Libérer votre téléphone et stocker dans le cloud...
ALLÉLUIAAAA ! "Chargement en cours"... Bon, on dirait que cela va prendre du temps. " Chargement terminé". Ah non finalement. "Installation terminée, bienvenue !"
Je vais pourvoir, enfin, profiter et me libérer de toute cette frustration que j’ai accumulée ces trois derniers mois. Avoir la tête au boulot comme je l’ai fait pour valider mon CDI, je suis vidée. Mais, mission accomplie, je suis enfin sous contrat dans cette belle agence immobilière.
— Odi, peux-tu mettre ma playlist ?— Votre playlist, tout de suite, sur Odi.
Soudain, mon appartement prend vie instantanément, la voix puissante de Pink avec "Try" me fait pétiller les petits papillons au fond de mon ventre, qui étaient restés là, endormis depuis trop longtemps. Je saisis, du haut de mes 35 ans, ma brosse à cheveux et commence à chanter comme une folle lors du premier refrain. La diablesse se réveille complètement et me fait repartir dans ma vingtaine. N’ayant aucun soutien-gorge sous mon débardeur, mon quatre-vingt-quinze D s’en donne à cœur joie pour sortir. Je constate que mes tétons pointent plus que la normale, je suis tellement excitée, mon corps reprend le contrôle sans que je ne maîtrise quoi que ce soit. Je décide d’enlever ce haut, après tout, je suis chez moi. Même si les volets sont ouverts, le voilage empêche la vue de l’immeuble d’en face. Donc, le constat est simple, une poupée athlétique d’un mètre soixante-dix, en string ficelle, bougeant comme une salope devant une chaise.
Comme si un homme si trouvant devenait ma proie d’un soir, complètement tétanisé par mon impudeur. Je continue à me tortiller comme Shakira en me claquant le cul, à me presser les seins en sautant sur la chaise à califourchon. Une vrai dégénérée jusqu’à la fin du morceau où je prends la pause comme à la fin d’un clip, assis sur la chaise. Les jambes écartées, les bras relevés dans ma coupe au carré derrière ma tête et la bouche grande ouverte et tirant ma langue jusqu’au menton.
Fin du premier morceau et je suis déjà complètement trempée de sueur. Malgré le froid hivernal de ce début deux-mille-vingt-trois. Mon appartement était réglé sur vingt-et-un degrés le matin, car je déteste le froid quand je me lève et le dimanche, je me fais plaisir de pousser un peu plus mon thermostat. Et puis j’ai toujours préféré me balader en toute petite tenue, voir complètement nue chez moi.
Je me lève en refermant ma bouche qui salivait abondamment et j’attends le prochain morceau, mais au lieu de cela, j’entends sortir de mes enceintes un son que je n’avais pas entendu depuis quelques années. C’était moi à vingt-et-un an, un enregistrement de mes chants particuliers.
— Vas-y défonce-moi le cul ! Oh... Oui ! C’est ça bourre mon cul de petite salope !
Une claque sur mon cul retentit dans tout l’appartement grâce à toute l’installation high-tech. Je me rappelle de cette folle soirée, très chaude soirée. Mes mains saisissent mes gros seins, l’envie de me faire sodomiser de la sorte, tout de suite, me parcourt le bas du ventre. Ma bouche devient inondée de salive que je crache instinctivement entre mes seins pour les malaxer de plus belle.
— T’aimes ça te faire enculer, hein ?— Oh putain... Oui... Mais t’as pas intérêt à jouir dans mon cul... Je veux boire ton foutre, oh ouais...— T’es trop bonne sale pute, ton cul est trop bon, putain !— Je suis ta grosse pute, ton sac à foutre ! Je veux ton jus dans ma bouche de chienne maintenant... Aahhhh... Allez vient cracher dans ma gueule de pute...
Au début de ma vingtaine, j’aimais beaucoup enregistrer, en secret, mes parties de jambes en l’air avec l’enregistreur audio de mon téléphone. Celui-là en fait partie, et je me branle le clito frénétiquement comme une folle sur ma chaise. Je n’ai même pas pris le temps d’enlever mon string tellement cela me fait mouiller. Cet audio fait ressortir mon côté bestial, je me surprends à ouvrir la bouche avec ma langue bien tirée comme une assoiffée. Exactement comme le soir où je me faisais prendre le cul par ce black bien membré. Je me rappelle de ce mec, j’adorai bouffer son sperme. Plusieurs fois par jour même, une vrai addict à son jus de couilles. Mon orgasme vient en même temps que ces mots.
— Putain viens ici sale pute, je vais te faire bouffer mon foutre.— Oh ouiiii, donne-le-moi, remplis-moi la bouche, aaaaahh.— Tiens ! Prends tout !
Je sais parfaitement ce qui se passait à ce moment, j’étais à genoux le cul encore ouvert à prendre tout son jus sur ma langue. De grosses giclées qui m’ont rempli au moins la moitié de ma bouche. Au même moment, ma chatte explose répandant sur le sol une quantité impressionnante de cyprine. Des spasmes incontrôlables, me rappelant même le bon goût de son sperme, me fait avaler toute ma salive accumulée depuis tout à l’heure. Un cri de jouissance énorme retentit des enceintes et de moi-même. Si fort, que les voisins doivent déjà être au courant de mon activité du dimanche.
— Odi, stop... Putain, ouah...
Il faut croire, que j’en avais besoin. Je suis là sur la chaise, la bouche encore ouverte et baveuse. De mes jambes jusqu’à mes pieds, la chaise, le sol autour de moi, sont complètement trempés. Mais je suis sur un petit nuage alors je m’en fiche complètement. Je reprends mes esprits et décide d’aller prendre une douche. En allant à la salle de bain, le goût du sperme de ce beau black me revient en bouche. Je suis décidé, il faut que je trouve une solution pour satisfaire mon envie de jus d’homme.
— Bon, je fais ma couleur auburn, une bonne douche et je rejoins les filles au ciné !
Prochain épisode : Un ciné entre copines
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