Je m’appelle Stéphane, j’ai 19 ans, je suis homosexuel et je vis avec mon père, mes parents étant divorcés. Cela fait plus de 5 ans que je n’ai pas vu ma mère, elle ne me manque pas tellement. Elle était alcoolique et me battait, mon père décida alors de couper les liens familiaux. En revanche, je me suis toujours bien entendu avec mon père et il y a quelques jours, une révélation a bousculé ma vie. Laissez-moi vous raconter. Nous sommes le dimanche 13 novembre, une fin de week-end ennuyeuse. Comme à mon habitude, je regarde des séries, écoute de la musique... Un dimanche comme les autres.Je décidai alors de me masturber. A chaque masturbation, je repensais à cette image de mon père, nu, dans la salle de bain, son énorme sexe pendant et ses muscles développés. J’étais rentré sans faire exprès dans la pièce et je sortis immédiatement après un instant fortement gênant. Ce fut si bref, mais je ne pouvais pas m’empêcher d’y repenser. Depuis ce jour, je ne peux l’oublier. J’eus à peine le temps d’allumer mon ordinateur que mon père m’appela. Je me demandais bien ce qu’il voulait. Steph !!! Viens, je dois te parler. J’arrive papa ! Je repose mon ordinateur sur mon bureau et sors de ma chambre. J’ouvre la porte, il est assis sur le lit. Viens t’asseoir chéri. Je m’assieds, tout en me questionnant. Je t’ai appelé, car j’ai des choses à te dire Steph, je pense que tu as le droit de savoir désormais, cela fait trop longtemps que je le cache, je suis bisexuel. À ces mots, je n’en revenais pas... Je ne m’y attendais pas du tout, je restai sans rien dire. Il continua. Vendredi soir, je t’ai entendu te masturber dans ta chambre, je t’ai entendu jouir. Cela m’a fortement excité. Tu sais, je n’ai jamais osé emmener un homme à la maison... J’ai ensuite compris que je devais te dévoiler ma bisexualité. Je rougis.
Papa... Je suis homosexuel ! Je m’en doutais. Quand notre fils est efféminé, on commence à se poser des questions, je te remercie de me l’avoir dit cependant, c’est officiel, une famille de pédés ! Je ris. Tu sais Papa, depuis que je t’ai vu nu dans la salle de bain, je ne peux m’empêcher de repenser à toi. Nous nous regardâmes longtemps dans les yeux. Embrasse-moi, chéri. Je rougis, de nouveau. J’avançai mes lèvres jusqu’aux siennes jusqu’au contact. C’était doux, réconfortant, j’aimais cette sensation. ... Je suis puceau Papa ! Oui, je m’en doute un peu chéri. Tu n’as jamais ramené de garçons ici, étrange pour ton âge. Il n’avait pas tort... Voudrais-tu aller plus loin, chéri ? Mon cur se mit à battre très fort. J’attendais tellement ce moment. Bien sûr ! Je sautai sur mon père, me mit à califourchon sur ses jambes et lui roula une grosse pelle baveuse. Papa, ça fait trop longtemps que j’attends ça ! Il avait du mal à parler avec ma langue dans sa bouche. Il se mit dos contre le lit, moi au-dessus. J’avais tellement envie de lui. J’enlevais mes habits, les siens, pour être nus et que je puisse profiter de son corps nu. Je léchais partout, c’était très excitant ! Je sentais une énorme bosse au niveau de son caleçon Humm Papa, tu as l’air d’être tout dur, lui dis-je d’un air sournois. Oh oui mon chéri ! Tu me fais énormément d’effet. Je retirai son caleçon, et je découvris la bête, le Saint-Graal elle était vraiment énorme, bandée et veineuse... Humm... 23 centimètres chéri ! Ah oui quand même, allez, c’est parti ! Je la pris à 2 mains, elle était super épaisse. Je crachai dans ma main et commençais à la branler, puis je la glissai dans ma bouche. Je léchais le gland de façon frénétique, bavais dessus. Jétais très excité . Oui chéri, continue, fais du bien à Papa. Sous ses encouragements, j’allais de plus en plus vite, je faisais des va-et-vient baveux pendant que papa gémissait. J’ai essayé de faire une gorge profonde, mais elle était trop grosse, j’ai failli m’étouffer. Retourne-toi chéri, laisse papa travailler ta fleur. Je m’exécutai, me mis en 69, j’avais accès à son gourdin tandis que lui pouvait préparer mon anus. Je continuai de le sucer en bavant pendant qu’il écartait mes grosses fesses pour me dilater. Tu as un très beau cul chéri, je l’adore, complimenta mon père. Merci papa, il en est de même pour ton sexe, répondis-je. Après être restés en 69 pendant un long moment, mon anus était prêt et son engin plus huilé que jamais. Je lui ai mis une capote, pour la première fois. J’ai ensuite tartiné son sexe de lubrifiant, c’était extrêmement plaisant. Mon père gémissait, tout était parfait . Je me suis mis contre la tête de lit, jambes écartées. Mon père était à genoux sur le lit, nu, avec ses muscles saillants, il tenait son long sexe à 2 mains. Oh papa, quel mâle Alpha tu fais, lui dis-je, amoureusement. C’est parce que tu me fais énormément d’effet chéri. Je me titillais l’anus d’excitation pendant qu’il avançait vers moi. J’espérais ne pas avoir trop mal. Papa, va doucement s’il te plaît... Ne t’inquiète pas, je ferai très attention. Il rapprochait son sexe de mon trou, j’étais tout autant excité. Laisse-toi faire chéri. Il rentra son gland dans ma cavité, je le sentais, c’était bizarre comme sensation, mais pas déplaisant. Il continua à rentrer tout son sexe, la douleur se faisait sentir. Papa j’ai mal ! Je lâchai un cri de douleur alors que des larmes coulaient de mes yeux. Ca va aller chéri, respire ! Tu es trop serré pour que je puisse me sentir à l’aise, pense au plaisir. Je suivais ses conseils, mais j’avais terriblement mal ! Je pleurais tellement la douleur était forte. Sois fort mon chéri ! Après quelques secondes de respiration intense et de roulage de pelles, la douleur commençait à baisser, je me sentais de plus en plus à l’aise avec son tronc dans mes fesses. Papa, ça va mieux désormais. Bien, je vais commencer doucement ! Papa commença avec de légers coups de reins, une douleur légère se faisait ressentir, mais je m’étais déjà habitué. Chéri tu es plus relâché, je me sens mieux à l’intérieur. Hihi, moi aussi, je n’ai presque plus mal... allez viens là, Papounet ! Je pris ses fesses puis les rapprocha de moi, je voulais le sentir dans moi et contre moi. Il se mit sur moi, son bas-ventre touchait mon sexe, cela m’excitait encore plus. Il était sur moi, je pris son visage pour l’embrasser à pleine bouche, nous nous roulâmes une pelle d’enfer, il continuait de me mettre des coups de reins, cela me faisait plus de bien que de mal, tout en me pelotant les fesses. En nous embrassant, nous faisions énormément de bruit, c’était extrêmement excitant. Je vais accélérer la cadence, qu’en penses-tu chéri ? D’accord Papa, vas-y progressivement. Il continua les coups de reins, cette fois-ci de plus en plus frénétiquement. Cela me faisait du bien, je me sentais protégé avec Papa dans moi. Il allait vraiment vite, l’excitation était très forte, je jouissais. Tu m’excites chéri, dit-il en continuant, il avait du mal à parler, c’était tout de même énergétique. Nous continuâmes pendant 15 bonnes minutes. J’avais les fesses rouges, je pense que nous avions tous les 2 envie de jouir. Papa, je vais venir !!! Moi aussi j’ai envie chéri !! Je pris mon sexe et me branlai pendant que Papa continuait à mettre des coups de reins. Oh oui Papa !!! Mmmh chéri !! Je vais jouiii... Haaaaa ! Je t’aime Papa ! Je jouis puis Papa fit de même en moi. Nous nous sommes embrassés tels deux amoureux. J’ai senti son liquide chaud à travers la capote. Il s’est en suite retiré. C’était super Papa, j’ai adoré ! Faisons une pause et reprenons plus tard, j’en ai encore envie ! J’ai aussi adoré chéri, d’accord, faisons comme ça. Nous nous sommes galochés et câlinés pendant un moment, puis je suis allé prendre une douche, j’en avais bien besoin...
