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Mes frères, ma belle-mère et son fils.

Chapitre 4

Moi, mes frères et Jules.

Inceste
Quelques jours plus tard, je tends un piège à Jules. Je lui demande de me retrouver dans ma chambre pour une petite partie coquine comme convenu, je suis rodée maintenant pour lui passer le cokring et il bande comme un dieu. Paul et Stan nous rejoignent sur la pointe des pieds. J’avais prévu le coup et bandé les yeux de Jules. Paul et Stan viennent à mes côtés et contemplent mon ouvrage. Ils semblent impressionnés par ce qu’ils découvrent. Ils ne s’attendaient sûrement pas à être confrontés avec Jules et à un tel calibre. Jules est confortablement assis dans son fauteuil, les jambes écartées au maximum avec sa verge cerclée à sa base de l’anneau de caoutchouc. Son chibre se dresse tel un obélisque au centre de son corps. Mes frères me regardent faire, mes mains courent sur cette hampe majestueuse, serrées l’une contre l’autre dans un mouvement tournant autour de son axe. Je ne prends en bouche que le gland violacé que je titille du bout de la langue sous ses grognements de plaisir.
Ce n’est pas que mes frères soient à voile et à vapeur, mais ils ne rechignent pas à se faire une petite gâterie entre frères.Suite :Ils ont tôt fait de se mettre à poil et commencent à astiquer leur poireau. Je suis comblée, mes deux mains quittent le pieu coincé entre mes lèvres pour saisir chacune les bites fraternelles. Le contraste de mes doigts qui se referment emprisonnant sans aucun problème ces pénis dans mes mains où à peine le prépuce dépasse. Mes pouces ne rencontrent aucune difficulté à chevaucher mes autres doigts alors qu’avec Jules, la chose est virtuellement impossible. Ces petits vicieux se concertent d’un regard et la main droite de Stan vient rencontrer la main gauche de Paul pour branler de concert la colonne de chair. Je ne sais pas si Jules s’est rendu compte que ce ne sont plus mes mains, mais celles de mes frères qui le branlent.
Mais ça ne leur suffit plus et l’un après l’autre, ils prennent ma place entre les jambes de Jules pour pomper sans vergogne l’obélisque dressé. Il faut un moment à Jules pour se rendre compte de la supercherie. Il retire brusquement sa cagoule et a un moment de panique en constatant, horrifié, les deux frères et la sœur se relayant pour lui pomper le dard. Il veut se rebiffer, mais mes frères l’en empêchent. Résigné, il se laisse faire et constate que finalement, Paul et Stan sont aussi dévergondés pour ne pas dire plus vicieux que leur sœur.
Trois techniques différentes expriment toute leur science de la branlette et de la fellation sur son sexe, ne lui laissant même pas une seconde de répit. Le plaisir qu’il prend sur toutes les parties de son corps avec les mains de ces trois affamés de sexe monte crescendo. Pendant que Paul pompe son dard, Stan s’accroupit et passe la tête entre les cuisses de Jules pour lui palper les boules et puis les gober. C’est en spectatrice maintenant que j’attends l’explosion spermatique.
Au grognement et aux râles de plus en plus rapprochés de Jules, mes deux frangins se redressent, chacun une main fermement agrippée, l’une à la base de la colonne et l’autre empaumant les bourses conséquentes de Jules. Le premier jet de foutre jaillit avec la violence que je connais maintenant.
Un filament aussi épais qu’une corde monte dans les airs en formant une arabesque qui explose en rencontrant le menton et le visage de Jules. Mes frères ne se doutant pas de ce qui les attendait s’étaient trop rapprochés. De surprise, Paul désaxe la lance à foutre qui expulse comme à son habitude encore huit à neuf jets de foutre tout aussi copieux. Ces deux imbéciles se retrouvent eux aussi couverts de la semence surabondante de Jules. Et ils ont de la chance de n’avoir pas subi comme moi ses débordements dantesques avant son traitement.
— Putain Rose ! Tu aurais pu nous prévenir ! s’exclame Paul, regarde ! Il m’en a foutu partout !— C’est ta faute aussi ! surenchérit Stan. C’est toi qui dirigeais la lance, non ?!— Silence les frangins ! Je m’emporte. Ici c’est moi qui commande ! Je vous veux tous les trois devant moi et je vais m’occuper à mon tour de vous vider les burnes !

J’entreprends de sucer mes frères qui se sont mis de chaque côté de Jules. Je peux dire que pour lui, la tension remonte rapidement en me voyant traire mes frères et l’anneau qui congestionne toujours son chibre fait son effet et y participe. J’ai devant moi trois vits dressés, mais celui du milieu rend ridicules les deux autres. Je les prends en bouche à tour de rôle et j’essaie même d’en prendre deux à la fois, une banane plantain devant cohabiter avec une courgette. Mes frères ont tellement été échauffés qu’avec le traitement que je leur fais subir, ils ne tardent pas eux aussi à expulser leur gourme. Mais comment comparer l’incomparable ? C’est si misérable que je ne remplirais même pas avec les chibres fraternels une cuillère à café chacun comparé à ce que Jules arrive à faire avec sa trique monumentale.
Un peu dépités par leur piètre démonstration, ils me laissent seule pour m’occuper de Jules. Je le force à s’étendre sur le sol et entreprends un 69. Les effluves entre mes cuisses réveillent sa libido un peu fatiguée. Mais je sais qu’il a une sacrée réserve, le petit. C’est en spectateurs maintenant que Paul et Stan nous regardent faire. Paul ne peut s’empêcher de caresser ma chatte juteuse et mon trou du cul, mais je le repousse. Alors les frérots décident de se donner mutuellement du plaisir en prenant la même position que nous pour jouir aussi du spectacle.
Mais Jules ne peut plus tenir et moi non plus d’ailleurs. Il me positionne sur le dos, s’installe le cul sur ses chevilles entre mes jambes et me tire à lui. Je le veux en moi, mais mes deux frères viennent jouer les mouches du coche. La main de Stan vient titiller mon clito pendant que celle de Paul se saisit de l’organe de Jules et vient frotter le gland innervé sur ma vulve imbibée de salive. Il frotte le gland sur mon clitoris et mes grandes lèvres. Ils sont à genoux caressant chacun un de mes seins avec leur main libre.
Maintenant, ils me soulèvent les fesses pour faciliter l’introduction du goupillon hors norme de Jules. Avec une infinie douceur, le tenon se fond dans ma mortaise pendant quelques secondes, savourant l’union tant attendue de nos deux corps. Toujours à genoux, Jules se redresse, entraînant mon corps et commence à imprimer un mouvement d’aller/retour avec son bassin. Le mouvement s’accélère avec la montée de son plaisir et maintenant ce sont de véritables coups de boutoir qui m’arrachent à chaque fois des râles de bonheur. La vision que l’on donne à mes frères les excite tant qu’ils bandent comme des malades. En petite vicieuse que je suis, je saisis leur verge pour les faire participer et les astique. Le paroxysme de l’orgasme arrive à son plus haut niveau. A ce rythme et vu l’excitation dans laquelle nous nous trouvons, je jouis plusieurs fois sans me retenir.
Mes frères viennent l’un après l’autre de se vider les couilles sur mon corps. Quelques gouttes parsèment ma poitrine, l’orgasme de l’un a déclenché la jouissance de l’autre, mais ça n’a aucune importance pour moi, car tout ce qui compte c’est de sentir le liquide séminal de Jules inonder mes entrailles. Après une telle apothéose, il nous faut bien vingt minutes pour récupérer. J’ai trois garçons serrés contre moi qui ont partagé ce moment inoubliable, mais mes frères sont restés sur leur faim. Paul fait une proposition qui a l’air de choquer Jules.
— Tu t’es tapé Rose, mais si tu ne veux pas qu’on raconte tout à ta mère, laisse-moi te faire une gorge profonde, et après tu m’enculeras et peut-être aussi Stan si tu es encore en forme, je suis sûr qu’il n’est pas contre.

Paul va se coucher sur le lit la tête pendant dans le vide, Stan fait de même et je les imite. Nous branlons chacun à notre tour la verge de Jules qui a tôt fait de se redresser. L’anneau est aussi d’une sacrée aide pour rendre sa queue d’une dureté ferrugineuse. Jules passe d’une bouche à l’autre en commençant par Paul. Je vois disparaître petit à petit, centimètre par centimètre le chibre surdimensionné de Jules entre les lèvres de mon frère dont le coup se gonfle sous la poussée du gland conquérant. Après une minute de cet exercice, Jules se déplace et fait subir la même chose à Stan. Sous quelques hoquets, mon frère arrive aussi à réussir sa « gorge profonde ». La déformation de sa trachée est beaucoup plus importante.Enfin, Jules se déplace et c’est à moi de tenter de réussir cette mission impossible. Plusieurs fois, je suis prête à vomir quand la tête imposante de l’intrus essaye de passer ma luette. Paul me prodigue des conseils :
— Quand tu le sens au fond de ta bouche, essaie de déglutir, tu verras que ça aide beaucoup.

A suivre...
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