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Mes frères, ma belle-mère et son fils.

Chapitre 5

Jules nous encule tous les trois.

Inceste
Enfin Jules se déplace et c’est à moi de tenter de réussir cette mission impossible. Plusieurs fois je suis prête à vomir quand la tête imposante de l’intrus essaye de passer ma luette. Paul me prodigue des conseils :
— Quand tu le sens au fond de ta bouche, essaie de déglutir, tu verras que ça aide beaucoup.

Suite :
Je ferme les yeux et me lance dans le vide. Quand le serpent touche ma glotte, je déglutis comme l’a dit mon frère et le barrage de ma gorge est franchi par le chibre. Je pose ma main sur mon cou et sens le gland massif gonfler ma trachée. Les couilles de Jules viennent s’écraser sur mon nez. Je ne peux supporter plus longtemps ce supplice et le repousse de toutes mes forces. Je tousse comme une poitrinaire prête à cracher ses tripes. Paul reprend la parole.
— Tous sur le ventre au bord du lit que Jules puisse nous graisser le fion !
Nous lui obéissons comme de bons élèves, Jules nous oint d’une couche de gel glacé puis l’un après l’autre, ses doigts explorent la raie entre nos fesses et s’introduisent dans le trou qui est le même chez l’homme et la femme. Galant, il commence par moi. Depuis quelques semaines maintenant j’ai suffisamment d’entraînement pour subir sans trop de difficulté son engin. Mon trou reste soudain béant quand il décule pour aller se mettre entre les cuisses de Paul. Je sais aussi que ce n’est pas la première fois pour lui, mais un rictus déforme sa bouche.
— Putain sœurette ! Ça fait du bien où ça passe, mais c’est quand même un sacré calibre à ne pas mettre dans n’importe quel trou du cul.
Jules le fait taire quand il l’encule sans plus aucune retenue. Il a pris dans ses mains les jambes de Paul et donne de monstrueux coups de bassin qui propulsent son défonce-cul entre les fesses de mon frère. Quand il lui a bien ruiné l’arrière-train, il va enfin se mettre entre les jambes de Stan. Je sais que pour lui ça a toujours été un peu difficile d’accepter la sodomie. La verge toujours dressée et huilée à nouveau d’une giclée de gel, Jules présente son manche de pioche entre les fesses de mon frère. Malgré l’anneau, Jules a de la difficulté à s’introduire dans le sphincter trop serré. La hampe plie un instant sous l’effort avant que l’anneau fripé de mon frère cède sous la pression monstrueuse exercée par Jules. Il crie comme un cochon qu’on égorge quand la moitié du chibre de Jules disparaît dans son fondement.
— Oh putain de merde ! Bordel t’es trop gros ! Rose, comment peux-tu supporter un tel pieu dans ton cul ? Nom de Dieu ce que je dérouille, aaahhh !
Mais Jules est devenu comme fou et l’encule tout aussi violemment que Paul. Après ses deux premières éjaculations, il a les bourses un peu flemmardes. Comme il n’arrive pas à la jouissance, pendant de nombreuses minutes, il passe de l’un à l’autre pour mettre au chaud dans nos entrailles la totalité de son braquemart qui décidément ne veut plus cracher. Après des minutes interminables, il arrive enfin à l’orgasme et nous oblige à nous agenouiller devant lui et se branle avec vigueur.
Quand enfin il arrive à la jouissance, il fait un mouvement tournant de son bassin pour remplir trois bouches affamées de bonnes rasades de son sperme, peut-être moins copieuses que les deux premières fois, mais qui foutent toujours la honte à mes deux frères. Nous lui montrons chacun la bouche ouverte le sperme blanc qui recouvre nos langues puis nous fermons la bouche pour déglutir et lui montrer à nouveau nos bouches.
Cette partouze se termine ainsi, mais pour moi il manque dans cette maison une participante. Comment pourrais-je faire pour que la mère et le fils baisent ensemble ?

Jusqu’à maintenant, j’ai réussi à cacher nos différentes galipettes, au fils ou à la mère, mais maintenant il faut que je monte un scénario pour les réunir dans la même pièce. Je commence donc avec Jeanne.
— Si tu le veux, je vais demander à un copain de venir se joindre à nous, car je ne sais pas si tu penses comme moi, mais mes frères sont loin de me contenter avec leur petite quéquette comparée à celle à laquelle je pense.— Tu es médisante, me coupe Jeanne. Ils ne sont pas si mal montés que ça, mais je me rappelle celle de mon premier mari, un vrai étalon.
Bien, de son côté ça devrait aller, elle n’a pas dit oui, mais n’a pas dit non. Maintenant il faut que je m’occupe de Jules.
— Jules, tu m’excuseras, mais j’ai parlé de toi à une de mes copines et elle me tanne depuis des jours pour te rencontrer. Mais comme elle ne veut pas que tu la reconnaisses, elle me demande si tu accepterais que je te mette une cagoule et un casque sur les oreilles avec ta musique préférée.— Pour qui me prends-tu ? Je ne suis pas un gigolo ! m’objecte-t-il.— C’est à prendre ou à laisser Jules, mais si tu n’acceptes pas tu feras ceinture avec moi.
Comme il est accro, il finit par accepter.
Plusieurs jours plus tard, le piège est prêt. Jeanne, Stan et moi nous retrouvons dans ma chambre uniquement éclairée par une minuscule veilleuse qui ne laisse paraître que des ombres. Il est entre les cuisses de Jeanne et s’active vaillamment avec sa teub dans le sexe offert. Moi je les regarde, appuyée sur le mur du couloir. La porte s’ouvre et Paul rentre avec Jules la cagoule et le casque sur la tête, déjà complètement dénudé. Depuis quelques jours déjà, il ne retire plus l’anneau pénien pour être toujours prêt à ma demande. Paul s’est déjà occupé de son cas et je discerne avec difficulté la barre horizontale qui le précède. Paul le guide vers Stan sur lequel il frappe sur l’épaule pour qu’il cède sa place. Paul continue de guider Jules qui a maintenant le gland collé contre les lèvres vaginales de sa mère. Jules a comme instruction de ne pas faire pénétrer pour le moment plus de la moitié de sa verge à l’intérieur de cette vulve inconnue.
Avec une extrême douceur il explore cette « Terra Incognita » sous les réflexions de Jeanne qu’il ne peut pas entendre à cause du casque.
— Ça c’est de la bite ! Tu avais raison Rose, ne vous fâchez pas les garçons, mais ce calibre n’a rien à voir avec le vôtre. Ça me rappelle celui du père de Jules, mais dans mes souvenirs celui de Charles n’était pas aussi gros, mais quand même bien plus long.
Paul tape sur les fesses de Jules qui comprend que maintenant il a quartier libre. Il s’enfonce encore deux ou trois fois sans aller plus loin puis d’un seul coup de reins, fait pénétrer son gourdin le plus loin possible jusqu’à être en butée dans ce vagin accueillant.
— Oh putain ! s’exclame Jeanne. Je me suis trompée sur son cas, ce garçon est monté comme un âne ! Oh oui jeune homme, baise-moi, baise-moi avec ton merveilleux pieu !
Elle ne sait pas que Jules ne peut pas l’entendre, mais comme s’il avait compris la supplique, il se met à remuer du bassin sous le râle de plus en plus bruyant de sa mère. En quelques minutes, Jeanne arrive à l’orgasme ce que mes frères n’arrivaient à obtenir à eux deux qu’en dix fois plus de temps. Depuis le début, je filme la scène avec une caméra adaptée au peu de lumière. Paul maintenant oblige Jules à quitter ce havre trempé et l’amène à côté de la tête de Jeanne. Quand elle sent l’énorme gland posé sur ses lèvres, elle ouvre la bouche et gobe cette quetsche bien mûre. Puis elle tourne la tête à gauche pour plus de facilité et saisit de sa main droite l’épi tendu pour en contrôler la pénétration dans sa bouche. Jules donne de légers coups de reins, mais la main ferme de sa mère l’empêche de pénétrer trop loin entre ces lèvres accueillantes.
Stan prend la relève de Jules entre les cuisses de Jeanne et profite du spectacle de la mère tétant le fils sans que ni l’un ni l’autre ne se doute de cette fellation incestueuse. En vraie gourmande, Jeanne déguste cette glace à deux boules tant est si bien qu’elle amène en quelques minutes son fils au plaisir ultime. Il voudrait se retirer de la bouche de ce boa constrictor, mais la main ferme de sa mère l’en empêche. Les vannes du barrage cèdent et un flot ininterrompu de sperme se déverse en plusieurs vagues dans la bouche maternelle.
Surprise, Jeanne n’a pas le temps de retirer assez vite sa bouche de cette lance d’incendie. Elle doit déglutir plusieurs fois pour absorber les doses qui se succèdent et noient sa bouche, mais ne peut tout absorber et le trop-plein s’écoule du coin de ses lèvres en faisant des bulles.
Quand enfin elle réussit à reprendre sa respiration, elle s’exclame :
— Putain, mais c’est qui ce mec ? J’ai manqué m’étouffer ! Je n’ai jamais vu un homme éjaculer autant ! J’en ai les bronches qui me brûlent. Tu l’as dégoté où Rose, ce phénomène de foire ? Ce n’est pas un âne ce type, c’est un étalon reproducteur !

A suivre...
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