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Mes frères, ma belle-mère et son fils.

Chapitre 6

Le fils et sa mère.

Inceste
Surprise, Jeanne n’a pas le temps de retirer assez vite sa bouche de cette lance d’incendie. Elle doit déglutir plusieurs fois pour absorber les doses qui se succèdent et noient sa bouche, mais ne peut tout absorber et le trop-plein s’écoule du coin de ses lèvres en faisant des bulles.Quand enfin elle réussit à reprendre sa respiration, elle s’exclame :
— Putain, mais c’est qui ce mec ? J’ai manqué m’étouffer ! Je n’ai jamais vu un homme éjaculer autant ! J’en ai les bronches qui me brûlent. Tu l’as dégoté où Rose, ce phénomène de foire ? Ce n’est pas un âne ce type, c’est un étalon reproducteur !

Suite :
Mais comme je sais que Jules peut remettre pratiquement le couvert tout de suite avec l’anneau qui l’empêche de débander immédiatement, je demande à Paul de repositionner Jules entre les cuisses de sa mère. « L’étalon » comprend aussitôt ce qu’on attend de lui et saillit cette jument sur le retour.
Il lui faut quelques minutes pour que son cerveau reptilien reprenne le dessus et qu’il soit de nouveau prêt à couvrir mentalement une femelle. Il s’active de longues minutes entre les cuisses de sa mère pendant que j’en profite pour préparer la troisième cible du missile.
Jeanne se laisse faire, trop occupée par le plaisir intense qui lui dévore le ventre. Je ne sais même pas si elle se rend compte que je lui mets un doigt dans le cul puis un deuxième. Je lui tartine le fion des débordements de Jules mélangés à la cyprine abondante qui suinte de sa chatte et quand je la sens prête, je saisis avec autorité le chibre de Jules et le dirige deux centimètres plus bas. Je ne sais pas s’il a remarqué qu’il changeait de cible, mais sa matraque disparaît dans le fion de sa mère comme celle d’un pourri de gardien de prison dans le cul d’un prisonnier récalcitrant.
— Ooohhh !!! Espèce de petit vicieux... Aaahhhrrrggg ! Tu me casses le cul, mais j’aime ça, ça me rappelle de vieux souvenirs, mais j’aime qu’on me ramone le fion.
Je viens me coller contre Jules et arrive avec persévérance à introduire entièrement ma main dans le vagin de Jeanne et essaie de saisir le piston de forge qui s’active juste à côté. La sensation est extraordinaire, mais encore plus pour Jeanne.
— Ooohhh ! On ne m’a jamais fait ça, c’est merveilleux, mais je ne pourrai pas tenir longtemps à ce rythme-là tellement je suis excitée.
Je bouge ma main dans cet antre brûlant et prends de l’autre main les couilles de Jules que je pétris. A ce petit jeu, j’obtiens assez rapidement de les faire monter au rideau, les deux couilles comme animées d’une vie propre, remontent dans leur sac et se collent à la base de la hampe massive et libèrent leur flot de spermatozoïdes. Comme au coup de feu d’un Starter, ils se lancent à l’assaut de la colonne de chair, franchissent le portail du méat et inondent cette grotte sombre, mais malgré leur nombre dépassant de loin la dose minimum pour une insémination réussie, ils ne rencontreront jamais l’ovule à féconder.Nous nous arrangeons pour qu’ils regagnent leur chambre sans qu’ils ne se doutent de la supercherie. Il faut maintenant que je manigance pour les faire faire douter, glisser des indices les amenant à s’interroger sur leur partenaire et tout doucement les amener à la révélation. Mais comment le prendront-ils ?
Je commence avec Jeanne.
— J’espère que tu as aimé Jeanne, un drôle de zouave mon copain, regarde le petit film que j’ai fait.
Il est sacrément bien monté et tu peux voir que tu as bien apprécié.
— Tu as raison Rose, se justifie-t-elle, un sacré bon coup, mais j’ai comme une drôle d’impression. Je ne sais pas pourquoi, mais je ressens comme une gêne en regardant ta vidéo.
Quand ensuite je montre la vidéo à Jules, malgré le manque d’éclairage, il a vite un doute.
— Elle est beaucoup plus âgée que moi, elle a l’âge de ma mère... Putain ! Vous n’avez quand même pas osé ? Je me souviens de son anniversaire où vous vous êtes occupé d’elle... C’est elle, j’en suis sûr. Je n’aurais jamais cru qu’elle soit si chaude. Que va-t-il se passer maintenant ?— Ça ne t’a pas empêché de la baiser par tous les trous, et elle avait l’air d’apprécier, je lui rétorque, tu ne la trouves pas à ton goût ?— Euuuhhh... Tu me poses un sacré dilemme, Rose. C’est abominable ce que je vais dire, mais rien qu’à penser à ce que je lui ai fait subir l’autre jour, ça me fait bander.— Et alors ! Je lui réponds en lui souriant. Si tu y as trouvé ton plaisir et elle aussi, où est le problème ?
Il a fallu quelques jours supplémentaires pour qu’enfin Jeanne comprenne la supercherie. Il faut dire que le pantalon de zouave de Jules a été un indice prédominant. Nous nous retrouvons seules au salon et quand elle vient me poser la question :
— C’était Jules, hein ? C’était Jules. Et il était dans le coup ?— Non ! Je la rassure. Comme toi, il ne connaissait pas qui il baisait. Mais ne me dis pas que tu n’as pas apprécié. Tu coulais comme une fontaine et je ne t’ai pas vue recracher son sperme.— Vous êtes horrible vous trois, mais ce qui est fait est fait. Mais comment mon bébé a-t-il pu devenir un amant à qui rien ne résiste. Pour ce qui est de sa queue, je suis moins surprise, car son père était aussi très bien membré, mais peut-être pas autant que lui. La seule différence entre eux, c’est la monstrueuse éjaculation de Jules, putain la dose qu’il m’a mise ! J’en reviens toujours pas.— Et encore, depuis qu’il suit son traitement, je lui explique, il crache beaucoup moins. Tu n’as jamais remarqué ses habits rêches, car maculés par ses éjaculations trop abondantes ? Tu comprends maintenant pourquoi il ne voulait pas que tu rentres dans sa chambre et qu’il préférait faire sa lessive lui-même.— Oui je comprends mieux maintenant, reconnaît-elle. Mais que va-t-on faire maintenant ?— A vous de voir ! je lui suggère. Ou vous faites comme si rien ne s’était passé, ou alors vous renouvelez l’expérience, mais cette fois en connaissance de cause...
Pendant près de deux semaines, ils se tournent autour, essaient d’engager la conversation sur le sujet, se regardent en coin quand l’autre ne le voit pas. Je décide de passer à l’attaque.
— Quand vous aurez fini votre manège, vous me le direz ! Oui, toi Jeanne, tu as adoré te faire troncher par ton propre fils et déguster par tous tes trous son braquemart. Et toi Jules, malgré ton pantalon de zouave, et je sais que tu ne portes rien dessous depuis quelque temps, rien que de la regarder, tu ne peux t’empêcher de bander, et même un borgne le verrait. Alors...
Je m’approche de Jules, défais le lacet et descends son pantalon. Sa bite pend entre ses cuisses et même au repos, elle supporte largement la comparaison avec celle de mes frères en pleine érection. Je la prends en main pour la soupeser et regarde sa mère.
— Alors Jeanne... Ce service trois-pièces ne demande qu’à être utilisé. C’est comme l’argenterie, si tu ne veux pas que ça ternisse, il faut l’astiquer fort.
Nonchalamment, comme si c’était la chose la plus normale dans une famille lambda, ma main s’active sur ce pénis flasque. Je ne sais pas si c’est le trac d’être la bite à l’air dans la main de sa demi-sœur devant sa mère, mais il n’arrive pas à bander. Je demande du renfort à Jeanne.
— Le pauvre petit ! Il a besoin de l’aide de sa maman.
Je vais vers sa mère, la prends par la main, la rapproche de son rejeton et dépose sa menotte sur la verge de Jules. L’organe aux deux fonctions prend aussitôt de la consistance, s’allonge, grossit, durcit et redevient le jonc massif de l’organe reproducteur masculin sous les yeux fiers et admiratifs de sa maman.
— Que c’est beau quand tu bandes Jules. Maintenant que je peux l’admirer en pleine lumière, je dois dire que tu as un sacré chibre. J’aime les grosses queues et j’étais déjà comblée avec ton père. Paul et Stan ont réveillé ma libido, mais étaient loin de me combler sur le plan sexuel. Quand tu m’as prise l’autre jour, j’ai ressenti à nouveau la montée de l’orgasme irrépressible, que rien ne peut arrêter. Il est rare qu’un homme doté d’une aussi belle teub massive arrive à bander aussi dur, et le plus souvent il a les couilles paresseuses, mais toi !...
Je ne peux qu’approuver les dires de Jeanne. J’en ai vu des queues, comme dans la chanson de Pierre Perret, des petites, des grosses, des fermes, des molles, des crachouilleuses et d’autres plus généreuses. Mais comme vient de le constater Jeanne, il n’y a que le chibre de Jules qui coche les trois cases correspondantes à une bite d’exception. Pendant ce temps, Jeanne a pris en bouche le pénis de son fils et s’active comme une fille de joie taillant une pipe à son client. Pour ne pas jouer uniquement à la voyeuse, je viens me coller contre Jules et lui caresse le dos puis les fesses avant d’introduire mon majeur dans son anus. Il me regarde en souriant, heureux que les deux femmes vivant sous son toit soient là à côté de lui rien que pour son plaisir. Je passe mon bras de l’autre côté de son corps pour prendre en main son paquet délaissé par sa mère. Heureux, il penche sa tête vers moi et nous nous embrassons. Nos langues se cherchent, nos lèvres se collent.
Il est au paroxysme du plaisir entre nous deux. Je viens m’agenouiller à côté de sa mère qui généreuse, me prête pour quelques instants ce bâton brûlant de désir. Maintenant c’est lui qui passe de l’une à l’autre, prenant notre tête entre ses mains et se servant de notre bouche comme d’un sexe offert. Il donne des coups de plus en plus amples nous forçant à accepter de bon gré ou non son manche le plus loin que nous pouvons dans notre bouche.
A suivre...
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