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Mes histoires de salope

Chapitre 1

Orgie / Partouze
La suite de ma vie sexuelleJe m’appelle Béatrice et j’ai maintenant près de 50 ans. Je vous ai raconté dans les épisodes précédents mes débuts dans la sexualité. Toutes ces histoires sont vraies.Ca a plutôt démarré sur les chapeaux de roues si je puis m’exprimer ainsi : partouze, double pénétration, trio, expérience lesbienne… Bref, pas mal de situations que j’ai su apprécier à chaque moment.Après mon épisode relatant mon expérience qui s’est terminée chez un mec qui nous (mon frère et moi) avait pris en autostop et laissés chez un paysan, ma vie a essuyé une petite période de calme. Déjà, il fallait que je laisse un peu de répit à ma petite chatte et mon cul qui en avaient bien besoin.Mais parfois le destin s’en mêle, les rencontres inattendues font que le fil de la vie vous ramène dans des chemins tortueux.
A cette époque, j’ai environ une vingtaine d’années. Je suis toujours aussi bien foutue car mes seins et mon cul font toujours autant bander les mecs que je croise. Certains d’ailleurs n’hésitent pas à se caresser la queue à mon passage. Bien qu’ayant déménagé des 4000 à La Courneuve, j’habite maintenant dans un quartier « moins populaire ».J’habite encore dans une barre HLM car je n’ai pas beaucoup de moyens avec un boulot pas très gratifiant et pas très bien payé. Je suis d’ailleurs décidée à en changer, mais le simple fait de vouloir ne suffit pas. Il faut qu’il y ait quelqu’un en face qui veuille bien vous embaucher.Nous sommes en été et il n’y a pas beaucoup de monde en ville, en août probablement, mais je ne me rappelle pas vraiment. Je rentre du boulot. Il est 19 heures 30 - 19 heures 45. Il fait encore chaud. Il a d’ailleurs fait chaud toute la journée, et même les jours précédents. Cette chaleur est étouffante, mais en plus, elle a tendance à m’exciter. J’ai le feu au cul. J’ai beau ne pas mettre de sous-vêtements (à cet âge-là, je pouvais encore me le permettre) sous ma mini-jupe plutôt « ras la moule », rien n’y faisait. Les mecs que je croisais mataient, mais ne touchaient pas. Ce n’est pas faute de les provoquer : dans les transports, je m’asseyais face à un mec et j’écartais outrageusement les cuisses. Il voyait forcément ma chatte. J’en voyais certains bouillir… mais ils n’osaient pas aller plus loin. Pourtant, un soir il y avait plus de monde que d’habitude (il y avait quasiment trois quarts d’heure que le dernier métro était passé). Il y avait un monde fou sur le quai, mais dans la rame, c’est pire encore. Les gens de derrière poussent ceux de devant pour qu’un maximum de personnes puissent prendre place à l’intérieur des wagons. Vive Paris et ses transports !Et c’est ce qui est arrivé : je suis maintenant à l’intérieur mais impossible de bouger. Je suis coincé de tous les côtés. Si quelqu’un cherche à me peloter les fesses (et plus si affinités…) je ne pourrais même pas protester. Pour la forme, bien sûr !
Et c’est ce qui arrive : je sens une main qui s’intéresse de près à mon anatomie, plutôt la face nord. Je sens cette main qui s’enhardie de plus en plus. Une petite caresse en même temps que le métro tourne à vive allure et cela passe inaperçu… ou presque.La main se fait de plus en plus inquisitrice : elle a même tendance à aller chercher sous ma minijupe. Je sens un doigt s’approcher de ma raie. Je commence à mouiller comme une chienne. Je fais semblant de ne rien avoir senti et je ne bouge pas. Le doigt s’approche de ma petite rondelle (je dis petite car il y a un certain temps qu’elle n’a pas été élargie par une bonne grosse queue). Je crois que je mouille du cul aussi. Comme je laisse toujours faire, le doigt va plus loin : il titille l’entrée des artistes avec un doigt tout en finesse. Il tourne autour se rapproche, s’éloigne puis revient à la charge. De plus en plus près de ma rondelle… qui n’en peut plus d’attendre. Son doigt est en face de mon trou, je me décide de pousser en arrière, avec le peu de marge que j’avais, pour qu’il comprenne que j’ai envie de me faire doigter le cul. Et il comprend. Il met son doigt. Il l’enfonce bien, va et vient dans mon canal étroit. Il se décide à mettre deux doigts. Enfin ! Et les deux doigts coulissent aussi bien qu’un seul. Alors, il en met 3. Ça devient plus chaud, je me tortille le cul comme ce n’est pas permis. Je passe ma main derrière moi et je touche sa queue qu’il a sorti sans complexe. De toutes les façons, il y a tellement de monde que personne ne voit rien en dessous des épaules des personnes qui sont devant lui. Donc, pas vraiment de risque d’être découvert.Il est plutôt bien monté ce gars-là. Au toucher, je dirais dans les 20 centimètres de long et bien 5 de circonférence. Il présente sa queue juste à l’entrée de mon cul qui mouille tellement que lorsque le métro freine, sa bite rentre dans mon cul sans aucun problème. Je le soupçonne d’avoir accentué le mouvement pour bien me la mettre à fond. J’encaisse en étouffant un petit cri car même si mon cul ne demandait que cela, il n’y est pas allé de main morte.En même temps, je sens une main venir trifouiller ma chatte. Je me dis que ce salaud sait y faire : il m’encule et il me pelote la chatte en même temps. Mais je me trompe : je sens deux mains me peloter la poitrine… et ce sont les siennes. Quelle est donc cette autre main ? En regardant autour de moi, je vois un mec qui, mine de rien, a l’air plutôt intéressé par ce qui se passe. C’est lui qui me fouille la chatte. Il se retourne pour se mettre face à moi. Il sort sa bite et la frotte sur ma chatte. C’est un Black et il ne dément pas la légende, il est bien monté d’après ce que je sens entre mes cuisses.J’ai du mal à me contenir : deux bites, une de chaque côté ! Quel bonheur. Mais j’aurais préféré qui me prenne en double pénétration. Je leur propose à l’oreille de venir m’accompagner chez moi afin de pouvoir continuer plus tranquillement. Ils ont l’air ravis. Nous descendons donc à la station habituel, à côté d’où j’habite, au terminus de la ligne 13 à l’époque, Asnières Gennevilliers Gabriel Péri.
Je suis tellement pressée que je ne fais pas attention, mais quand nous allons rentrer dans mon immeuble, ce sont 4 mecs et une nana qui me suivent. Je pense que ce sont des gens qui habitent là et qui rentrent chez eux. Mais au moment d’ouvrir ma porte, tout le monde rentre. Houlàlà ! Ça va être encore plus chaud à 6.Nous faisons connaissance. Je me présente : Béatrice. Il y a Mike un beau brun trentenaire, Eric un black dont je ne me souviendrais que de sa queue hors norme qui frottait sur ma chatte tout à l’heure, John, celui qui m’a enculé dans le métro et le couple de bi, Isabelle et Christian. Isabelle est une belle blonde, super bien roulée qui baise aussi bien avec les mecs qu’avec les filles. Christian est bi également. Il a une queue assez moyenne et c’est à priori pour cela qu’il aime bien se faire enculer aussi.Nous prenons des rafraichissements avant de passer aux choses sérieuses. Tout le monde se met à poil et on commence à se mélanger. Eric, ce salaud va directement vers Isabelle. Isabelle était plutôt venue vers moi. Christian espère que Marc va lui défoncer son petit cul. John attend qu’une place se libère.Isabelle et moi nous nous mettons en position 69. Eric prend Isabelle par le cul alors que je lui bouffe la chatte. Cette salope a l’air d’adorer ça. En ce qui me concerne, John, toujours attiré par mon cul, se positionne derrière moi, mais laisse la place au dernier moment à Christian. Sa bite, assez moyenne, ne me convient pas, mais en attendant, mon cul s’en satisfera. Pendant que Christian me lime le cul, John se positionne derrière Christian et l’encule d’un seul coup sec. Il accuse le coup et fini par apprécier cette bite dans le cul pendant que sa femme se fait limer sauvagement par Eric, le Black avec sa grosse queue. Cette salope jouit encore et encore. Je lèche sa mouille qui a un petit gout mais ce n’est pas mauvais. Elle se fait démonter le cul et bouffer la chatte. Et elle adore ça. En ce qui me concerne je me fais aussi brouter le minou et enculer par une petite bite pendant que je lèche une chatte.
Mike est sur le canapé dans un coin. Il se branle en solo. Je pense qu’il attend que tous les mecs aient bien déchargé pour pouvoir profiter pleinement d’Isabelle et moi.Au bout d’un petit quart d’heure, Eric se contracte et pousse un râle. Il vient de décharger dans le cul d’Isabelle. Cette salope se met à jouir de plus belle. Sa mouille dégouline sur mon visage. J’essaie d’en avaler le plus possible. Vient le tour de Christian : il se colle bien au fond de mon cul et se met à décharger ses couilles dans mon cul. Même s’il a une petite bite, la quantité qu’il décharge est tellement importante que le sperme ressort de mon cul alors qu’il n’a pas encore sorti sa queue. Pris dans l’élan, John se met à son tour à remplir le cul de Christian. Tout le monde était tellement excité que nous avons fini dans une marre de sperme.Puis, nous décidons de changer de partenaire. Je saute littéralement sur Eric (ou plutôt sur son énorme queue) qui commençait à débander un peu. Je commence par le pomper comme une affamé. Je sens le gout du cul d’Isabelle, gout que j’apprécie. Au bout de quelques minutes, Eric se lâche en criant. Il me décharge tout dans la bouche. Le salaud avait encore des réserves, vu ce qu’il m’a déchargé dans la bouche. J’ai eu peur que cela ne se termine comme ça, mais c’était sans compter sur les performances d’Eric. Sa queue s’est remise au garde à vous.Isabelle et moi, nous nous sommes mis à 4 pattes, le cul en l’air, l’une à côté de l’autre et nous nous sommes fait prendre à la chaine, comme des putes : la chatte puis le cul, puis encore le cul et la chatte de nouveau. Au bout d’une quinzaine de minutes, les mecs n’en pouvaient plus… sauf Mike qui avait encore sa queue bien raide et bien dure. Ce qui lui a permis de nous baiser l’une après l’autre pendant encore un bon moment.Quand tout le monde avait bien baisé tout le monde, nous décidons d’arrêter là pour ce soir. Nous échangeons nos coordonnées pour remettre ça une autre fois.Une fois tout le monde parti, je vais prendre une douche froide, espérant ainsi calmer mon excitation. Rien n’y fera. Je vais prendre mon jouet et me goder encore une bonne partie de la nuit.
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