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Mes jeunes et jolies voisines

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Tout débute par une belle journée de fin de printemps. À la fin du confinement dû à la Covid, j’ai eu la possibilité de continuer le télétravail. Je ne me suis pas fait prier. J’habite une maison dans un quartier tranquille, loin de l’agitation des villes.
Marié depuis bientôt 10 ans, père de 2 enfants, je n’ai jamais songé à aller voir ailleurs, mais le destin est parfois plein de surprises.
Je travaillais donc en ce mois de juin à mon bureau, fenêtre ouverte. Ma femme est à son travail, les enfants sont retournés à l’école. Concentré sur un document, j’entends à peine les voisines dans leur grande piscine. Elisabeth et Sophie ont respectivement 20 et 18 ans. Étudiantes, les cours n’ont pas repris en présentiel pour elles et elles profitent de se rafraîchir. Je les connais un peu, car elles viennent parfois faire du baby-sitting chez moi.
Au milieu de l’après-midi, je décide de faire une pause et je me pose un moment sur la terrasse. Ma maison domine les autres et j’ai une vue plongeante sur la piscine. Sans trop y faire attention, je regarde les deux jeunes filles dans leur piscine.
Toutes les deux mesurent environ 1m65. Leurs cheveux noirs et longs leur arrivent à la moitié du dos. Nées d’une mère chinoise et d’un père de la région, elles ont des yeux légèrement bridés, marron. Elisabeth, qui est l’aînée, est une sportive. Son corps d’athlète est parfait, avec néanmoins une paire de seins tout à fait correcte. Ses fesses ont l’air fermes. Elle porte un maillot de bain sportif une pièce, très moulant. Sophie, plus du genre artiste, porte un petit bikini deux pièces. De là où je suis, je peux deviner des seins généreux et des fesses plus charnues que sa sœur.
Je ne peux m’empêcher de les fixer. Avec mes 40 ans, mes 1m85 et un embonpoint naissant, je me mets à imaginer des choses. Un grand bruit me sort de mes rêveries, Sophie vient de plonger et en ressortant, son haut est tombé. Je ne m’étais pas trompé, sa poitrine est généreuse pour une fille de 18 ans. Sa sœur la chambre surtout qu’elle m’a repéré sur le balcon. Gêné, je rentre pour continuer à travailler.
De retour à mon bureau, j’entends encore les rires des deux jeunes filles, mais au bout de quelques minutes, je me replonge dans mes rapports.Soudain, on sonne à la porte. Sans trop savoir qui cela peut être, je descends et vais ouvrir. Je suis nez à nez avec mes deux charmantes voisines, Elisabeth portant Sophie qui se tient sur une jambe.
— Excusez-nous de vous déranger, mais Sophie a glissé sur le bord de la piscine et a dû se fouler la cheville, m’explique Elisabeth. Comme nos parents ne sont pas là, auriez-vous une compresse froide ou quelque chose ?— Bien sûr, entrez, leur répondis-je. Installe ta sœur sur le divan, j’arrive.
Je vais chercher une compresse froide et une pommade anti-inflammatoire. De retour au salon, Sophie est assise et Elisabeth est à ses côtés, à genoux. Dans sa précipitation, elle n’a pas remarqué que son maillot sport lui rentre dans les fesses. Quelle magnifique vision ! Mais en bon samaritain, je m’agenouille aussi devant Sophie et lui prends la cheville. Je lui masse le pied.
— Oh, vous avez les mains douces, merci, me dit Sophie.— C’est normal voyons, lui répondis-je.
Le contact avec cette peau jeune, le souvenir de sa poitrine au sortir de l’eau et les fesses d’Elisabeth que je viens d’apercevoir ne me laissent pas indifférent. Mon short commence à se faire plus étroit. Je me lève alors, confus... et c’est à ce moment-là que la situation a dérapé.
En me levant, mon bas-ventre se retrouve à la hauteur d’Elisabeth qui ne peut pas manquer de voir mon érection. Elle sourit.
— Dis-moi Sophie, notre cher voisin a l’air sensible à ton contact, glousse Elisabeth.— Ah oui, répond sa sœur, je vois ça... En fait, tu es un petit cochon me lance-t-elle en me regardant droit dans les yeux.
Je recule, de plus en plus gêné, tant par son vocabulaire soudain familier et par le tutoiement.
— Tu mates les jeunes filles, continue Sophie et ça t’excite de les toucher.— On aurait pas dit ça de toi, rajoute Elisabeth qui s’était levée.
Elle se rapproche de moi. Je balbutie des excuses en reculant, mais me retrouve contre le mur. Elle continue à se rapprocher et me glisse à l’oreille en se mettant sur la pointe des pieds "non, on aurait vraiment pas pensé ça avec ma sœur, si on avait su, on serait venu plus tôt sonner". Tout en prononçant ces paroles, elle m’attrape l’entrejambe et me caresse à travers le tissu du short. Sophie s’est levée et s’approche de nous, un sourire coquin aux lèvres.
Tout en me fixant intensément, elle pose ses mains sur ma chemise et commence à déboutonner le haut. Je suis figé, mais il faut le reconnaître de plus en plus excité. Arrivée au dernier bouton, elle fait glisser ma chemise dans mon dos. Elisabeth me caresse toujours. Je n’y tiens plus, je prends la tête de Sophie dans mes mains, l’attire vers moi et l’embrasse passionnément. Elle répond tout de suite à mon baiser. Je glisse mes mains sur son jeune corps, dans son dos, pour arriver sur ses fesses que j’empoigne fermement.
Elisabeth s’est reculée et fait tomber son maillot de bain. Quel corps magnifique ! Ses seins sont plus petits que ceux de sa sœur, mais plus fermes. Elle est complètement épilée, pas un poil sur le corps. Je distingue les lèvres de son sexe qui sont un appel à la pénétration. Mais pas trop vite. Je me penche en avant et commence à lui sucer les tétons. Je perds le contrôle de la situation, mais je suis trop excité pour penser réellement à ce qui se passe. Je glisse ma main sur l’entrejambe d’Elisabeth tout en continuant de malaxer les fesses de Sophie de l’autre main. Comme je suis occupé à lécher les seins d’Elisabeth, les deux sœurs en profitent pour s’embrasser. J’ai comme l’impression que ce n’est pas la première fois qu’elles font cela.
Sophie s’agenouille alors, défait ma ceinture, baisse mon short et mon caleçon. Mon pénis se retrouve devant elle, bien au garde-à-vous. Sans demander quoi que ce soit, elle le prend en bouche et commence à me sucer.
— Attendez que tout le monde en profite, leur dis-je. Je sors un peu à regret ma queue de la bouche de Sophie et pousse son aînée sur le fauteuil. Je m’agenouille devant elle, lui écarte les jambes et commence à lui lécher la chatte. J’adore cela et sans me vanter, je m’en sors pas mal. En tout cas, c’est ce que me dit ma femme.

Sophie en profite pour se coucher sur le sol et vient continuer sa fellation. C’est sublime, je lèche une petite chatte tout en me faisant sucer. Elisabeth ne tarde pas à respirer de plus en plus fort, je sens que je vais la faire jouir. Je continue donc mon cunnilingus de manière appliquée. Sophie a arrêté sa fellation et s’est mise à côté de sa sœur pour lui lécher les seins. Elle aime lécher et sucer cette petite. Elisabeth n’y tient plus, elle jouit en se cambrant et en hurlant. Je suis assez fier de moi. C’est alors que Sophie me dit : « c’est à mon tour, mais je veux ta queue ». Il ne faut pas me dire deux fois. Elle se met sur l’autre fauteuil et écarte les jambes à son tour. Je n’avais pas vu qu’elle avait enlevé son bikini. Ses aines sont plus grosses que ceux de sœur et elle a laissé une petite bande de poil sur son pubis, genre ticket de métro. Je me positionne sur elle et la pénètre lentement, doucement. Elle se mord les lèvres : « oh oui, c’est bon, vas-y ».
Je commence alors des va-et-vient lentement. Comme c’est bon. Sa petite chatte est toute serrée. Je ne vais pas tenir longtemps. Elisabeth à son tour vient embrasser sa sœur et lécher ses seins.
J’accélère mes mouvements et pilonne maintenant ma jeune voisine de manière assez dure. Elle halètement. Soudain, je sens que je vais jouir. J’accélère encore la cadence et me déverse en elle au moment où je sens son corps se cambrer aussi. Nous jouissons en même temps.
Après quelques minutes, nous reprenons nos esprits. Nous nous observons, puis Elisabeth dit avec un clin d’œil :
— T’inquiète, on dira rien à ta femme si tu nous permets de revenir.— avec plaisir mesdemoiselles.— mais il faudra prévoir des capotes pour la prochaine fois, me dit Sophie. On ne veut pas d’un accident...— ne vous inquiétez pas pour ça, leur confiai-je en souriant, je suis vasectomisé, donc pas de risque de tomber enceinte...— Alors on viendra encore plus souvent, dit Elisabeth en m’embrassant. On regardera quand tu seras seul.
Elles ramassent leurs affaires, se rhabillent et sortent Dd chez moi. Quelques minutes plus tard, j’entends de nouveau leurs jeux dans la piscine.
Quel après-midi... je vais prendre une douche rapide et me remets au travail tout en pensant à la prochaine visite de mes jeunes et jolies voisines...
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Si vous voulez un deuxième chapitre, faites-le-moi savoir...
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