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Mes jeunes et jolies voisines

Chapitre 2

Fête de quartier

Avec plusieurs femmes
Durant la semaine suivante, je croisai de temps en temps mes deux voisines, ensembles ou seule, comme si de rien n’était. "Bonjour Michel, vous allez bien ?" "Comment vont les enfants ?", etc. des petites conversations banales, comme d’habitude.
Arrive le week-end et les parents d’Elisabeth et Sophie organisent une fête de quartier dans leur jardin. Comme dit précédemment, nous habitons un petit quartier calme et la maison de mes deux coquines est vraiment au centre et est la plus grande avec un jardin immense et une piscine. Depuis quelques années, nous avons pris l’habitude de nous voir tout le quartier chez eux, en apportant chacun quelque chose, à boire ou à manger. L’ambiance est chaleureuse, tout le voisinage est heureux de se revoir après le confinement. Les enfants profitent de la piscine, les parents discutent en sirotant l’apéro tout en gardant un œil sur la piscine.
Comme je suis moins à l’aise dans l’eau que ma femme, je lui propose de surveiller les enfants pendant que je vais préparer les salades et la suite. Comme elle n’aime pas faire la cuisine, le deal lui convient très bien. Je rentre dans l’immense maison de mes voisins. Leur cuisine est de style américain, immense avec double frigo, machine à glaçons intégrée, bloc de travail au centre, deux éviers, deux fours... je suis toujours impressionné quand j’y vais. Je sors mes affaires du frigo, lave la salade et les tomates et commence à préparer la salade.
Elisabeth et sa mère arrivent alors, chargées d’assiettes et de verres vides. Ma voisine demande à sa fille de tout mettre dans le lave-vaisselle. Elle repart à l’extérieur. Nous nous retrouvons seuls Elisabeth et moi dans la cuisine. Elle me sourit et commence sa tâche. Elle porte une robe bleue ciel très moulante et très courte. A travers le tissu, je devine un maillot de bain deux pièces. Elle est superbe et excitante. Elle me tourne le dos et se penche pour poser les assiettes au fond du lave-vaisselle en gardant les jambes bien tendues. Évidemment, sa robe remonte et je peux voir sa culotte... mais quelle coquine, je sais qu’elle le fait exprès. Mais je ne peux détacher mon regard de ce cul superbe. Mes gestes sont suspendus, seule ma queue durcit dans mon short de bain... elle commence à dandiner des fesses. Je relève un peu les yeux et croise son regard... je retrouve son regard coquin. Elle me dit : "tu aimes ce que tu vois ?".
— Evidemment, petite coquine, lui répondis-je.— Alors, attends-toi à mieux.
Elle se tourne vers moi, se rapproche et met quelques affaires sur le plan de travail, puis s’agenouille devant moi et sort ma queue de mon short. Elle la gobe avec gourmandise. Je comprends pourquoi elle a déplacé des affaires sur le plan de travail. Ainsi, personne à l’extérieur ne peut voir ce qui se passe en dessous de mon torse. Je me concentre pour ne pas trop avoir un visage extasié, mais ce qu’elle me fait est tout bonnement divin. Tout en me suçant, elle se caresse un sein de la main droite et me branle de la main gauche. Je ne tarde pas à jouir et à ma grande surprise, elle ne retire pas ma bite de sa bouche, mais avale tout mon sperme. Puis elle me lèche consciencieusement la queue en me disant : "il ne faut pas laisser de traces, mais tu me dois un orgasme, on verra cela plus tard dans la journée".
Elle range mon pénis dans mon short, se relève, ferme le lave-vaisselle, remet sa robe en place et retourne à l’extérieur comme si de rien n’était... personne ne peut savoir ce qui vient de se passer, ou presque. Je vois Sophie qui me regarde à travers la fenêtre avec un grand sourire, puis qui se passe la langue sur les lèvres... la journée risque d’être encore plus sympa que prévu...
Après le repas, Elisabeth et Sophie s’excusent, mais elles ont du travail pour un examen à rattraper. Avant de partir, elles empilent les assiettes pour les emmener à la cuisine. En passant derrière moi, Sophie fait tomber un couvert. En le ramassant, elle me glisse à l’oreille : "Rejoins-nous si le cœur t’en dit". Je me concentre pour ne pas rougir ou pour montrer une quelconque réaction. Mais mon voisin d’en face me regarde d’un air surpris...
Il s’appelle Victor, a une trentaine d’années, père de deux enfants qui ont le même âge que les miens. Il est plus grand que moi, mais nettement plus musclé, car il travaille sur les chantiers et fait beaucoup de sport. Nous nous entendons très bien et je le considère comme un de mes meilleurs amis. Même si je sais qu’il a été une fois infidèle à sa femme dans une fête un peu trop arrosée, je n’ai pas osé lui parler de mon aventure avec les deux coquines.
Au bout d’une dizaine de minutes, je me lève et m’excuse à mon tour, je n’ai plus de cigares alors je vais vite à l’épicerie du village en acheter. Comme tout le monde a bien bu, j’irai à pied et personne ne se propose pour m’emmener. Cela me laisse une bonne heure. C’est alors que Victor se lève et propose de m’accompagner. C’est quelque fréquent, je ne peux donc pas lui refuser, mais comment faire. Nous rentrons dans la maison, c’est alors qu’il me demande :
— Dis donc toi, t’as pas quelque chose à me dire.— Euh non, quoi...— Elle t’a dit quoi la petite à l’oreille tout à l’heure.— Hein, quoi, euh rien... (je crois que je me décompose. Si lui a vu ou entendu, peut-être que tout le monde l’a remarqué).
— T’inquiète pas, c’est juste que je la matais quand elle est passée et que j’espérais voir un bout de sous-vêtements quand elle s’est penchée. Alors, elle a dit quoi.— Rien, juste qu’elle s’excusait.— Eh oh, pas à moi. Elle ne l’aurait pas dit avec cette lueur dans les yeux. Y a quoi entre vous ?— Entre nous, mais rien. Tu imagines quoi.— Rien, mais on peut demander à ta femme.— OK OK, calme, je te dis tout.
Et là, je lui raconte ce qui s’est passé...
— Ben mon cochon, les deux en plus. T’as du bol. Moi je n’aurai pas dit non non plus.
Il me vient alors une idée, c’est fou, c’est pervers, mais ça m’excite rien que d’y penser.
— Alors, viens avec moi... on se couvre mutuellement-...— Elles sont deux, chaudes comme de la braise, elles ne vont pas dire non. Deux bites... deux filles, le top...— Tu crois, oh la la, ça c’est une idée.— Alors, suis-moi.
Nous montons discrètement les escaliers. Pour avoir visité plusieurs fois la maison, je sais où se trouvent les chambres d’Elisabeth et de Sophie. Personne dans la première, mais des bruits dans la seconde. Et ce ne sont pas n’importe quel bruit, elles ont commencé sans moi, enfin sans nous...
J’ouvre donc la porte tout doucement et demandant à Victor de rester en retrait. Elles sont bien là, sur le lit. Elisabeth a les jambes écartées, plus de culotte, et Sophie qui est à quatre pattes est en train de lui lécher la chatte. Sa robe est toujours en place, mais son cul est une invitation à la débauche.
— Ah te voilà enfin, on a commencé, car tu tardais, me lance Elisabeth sur un ton essoufflé.— Viens vite et ferme la porte à clé, que l’on ne dérange pas, réplique Sophie qui a tourné la tête vers moi tout en commençant à dandiner du cul.— J’arrive, mais j’ai une surprise...
Je m’écarte alors et Victor entre à son tour. Elisabeth est la première à réagir en faisant un grand sourire : "Mais voilà une belle surprise". Sophie se lève, passe à côté de moi en posant sa main sur mon entrejambe et continue vers Victor, se colle à lui et l’embrasse. Elle ferme la porte, tourne la clé et dit : "Plus on est de fous, plus on prend de plaisir"...
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