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Mes jeunes et jolies voisines

Chapitre 3

La fête du quartier

Avec plusieurs femmes
Nous voici donc deux hommes avec ces deux jeunes filles, chaudes comme la braise.
— Alors les garçons, qu’est-ce qui vous ferait plaisir ? demande Sophie en faisant face à Victor tout en le caressant.— Qu’est-ce que tu proposes ? réplique mon ami tout de suite.— Tout ce que tu veux... lui susurre-t-elle à l’oreille. — Eh bien, foutez-vous à poil en dansant, lui répond-il.— Oh oui, un striptease, acquiesçai-je.
L’idée a l’air de leur plaire. Elisabeth vient se coller à sa sœur, son ventre contre le dos de celle-ci. Elle commence par lui caresser les épaules, tout en se déhanchant langoureusement. Elisabeth commence à descendre les bretelles de la robe de sa sœur. Délicatement, elle dévoile le maillot de bain de sa sœur. Heureusement qu’elle ne nous a pas montré cela avant, tous les mâles présents lui auraient sauté dessus. On ne peut pas vraiment appeler cela un maillot de bain, mais plutôt un bout de tissu qui ne cache presque rien. A travers le tissu, je devine les tétons déjà bien tendus. Elisabeth continue à faire tomber la robe. Le bas est tout aussi minuscule que le haut. Il cache à peine la vulve de la jeune fille et autant dire que la ficelle entre les fesses est presque invisible.
— Très jolies, s’exclame Victor qui commence à être bien excité.
Son short ne laisse en effet pas de doute sur le plaisir que le spectacle lui procure. De mon côté, après la pipe d’Elisabet dans la cuisine, je commence à bander, mais je suis encore mou. Elisabeth profite d’être collée à sa sœur pour lui caresser le ventre et monte sur ses seins. Elle les caresse et les prend à pleine main, titille les tétons. Sophie apprécie ce traitement, elle commence à se mordre les lèvres, penchant la tête en arrière. Elisabeth en profite pour l’embrasser dans le cou. Sophie se retourne alors et embrasse sa sœur fougueusement.
— J’ai dit à poil les filles, finis ce que t’as commencé Eli. Victor a décidé de mener la danse, semblerait-il. Cela ne me dérange pas, pour l’instant.— Comme tu voudras, répond Elisabeth.
D’un geste rapide, elle défait le haut de sa sœur et dans l’élan, le string a disparu. Sophie est entièrement nue. Cette dernière commence alors à enlever la robe de sa sœur. La culotte de cette dernière avait déjà disparu, mais le soutien-gorge n’est pas resté longtemps.
— Très bien, les filles, alors maintenant, mettez-vous à quatre pattes et venez nous sucer, lance Victor d’un ton sans réplique en s’asseyant sur le lit. Je l’imite.
Les deux sœurs ne se font pas prier, se mettent à quatre pattes et avancent vers nous, Elisabeth en face de Victor, et Sophie en face de moi. Elles arrivent en même temps à notre hauteur et nous baissent nos shorts et nos sous-vêtements dans une synchronisation parfaite. La queue de Victor se dresse immédiatement, la mienne est plus flasque, mais je commence à prendre de la vigueur. Les deux coquines commencent alors une fellation encore une fois synchrone, comme si elles avaient répété cela pendant de longues heures. Elles commencent par lever nos queues, en gobant nos bourses. Puis elles lèchent nos manches pour arriver sur nos glands. Alors, elles plongent sur nos hampes en même temps... quel régal !
— Waouh, quel pied, t’es un sacré cochon de m’avoir caché cela, me lance Victor en me donnant une tape à l’épaule. Elles sucent comme des déesses.
C’est vrai que Sophie s’applique bien et à voir le sourire de mon ami, Elisabeth se donne de la peine aussi. Ma queue est maintenant devenue aussi dure que celle de Victor. Je décide de reprendre un peu le contrôle, au final, c’est moi qui ai découvert leur secret :
— Bon les filles, vos bouches sont pas mal, vous sucez comme des petites chiennes, mais moi, je veux autre chose. Reste comme ça.
Je me lève et vais me mettre derrière Sophie. Ayant bien compris ce que je souhaite, elle reste docilement à quatre pattes. Je place alors ma bite à l’entrée de ses lèvres, je le frotte contre son sexe. Elle mouille tellement que je rentre en elle comme dans du beurre. Je commence alors des va-et-vient lentement, mais profondément.
— Oh oui, c’est bien, j’aime ce que tu me fais, me lance Sophie entre deux gémissements.
De son côté, Victor se fait toujours sucer et il n’a pas l’air de vouloir autre chose pour l’instant. Elisabeth arrête alors et lui demande, d’une petite voix :
— Et moi alors, personne ne s’occupe de moi ?— Continue à le sucer, lui dis-je. Et toi, déplace-toi un peu pour lécher le cul de ta sœur, lançai-je à Sophie.
Elle s’exécute sans sourciller, à la plus grande joie d’Elisabeth qui recommence à sucer mon pote. En me levant ce matin, je ne m’attendais pas à vivre un moment pareil. Dans un alignement parfait, Victor sur le lit se faisait sucer par une Elisabeth à quatre pattes qui elle-même se faisait lécher le cul par se sœur pendant que je pistonnais cette dernière. Cette situation dura quelques minutes, puis Victor décida de profiter aussi de la chatte de sa suceuse. Il se leva, se plaça derrière Elisabeth et commença à la pénétrer. Sophie ayant un peu reculé, les deux sœurs se trouvaient maintenant face à face.
— Embrassez-vous les frangines, dit Victor. Comme avant, elles ne se firent pas prier. Leurs langues se touchèrent et s’emmêlèrent. — Dis-moi Victor, le premier qui fait jouir sa partenaire a gagné, qu’en dis-tu, questionnai-je mon ami.— OK, et le perdant paie l’apéro la semaine prochaine.— Ça marche.
Le rythme changea alors rapidement. Nous nous mîmes alors sérieusement à les défoncer. Je me penchai en avant et saisis les seins de Sophie, la soulevant presque sur les genoux. J’accélérai mes pénétrations en allant le plus profondément possible. Mais cela ne lui déplaisait pas le moins du monde. De son côté, Victor avait retourné Elisabeth et lui léchait la poitrine tout en donnant des bons coups de reins. Hasard ou pas, nous jouîmes les quatre presque en même temps. Tant pis pour l’apéro, on paierait chacun notre tour.
Epuisés, nous nous écroulâmes tous les quatre. Mais au bout de quelques minutes, Elisabeth demanda :
— Bon, maintenant on change. Elle se lova contre moi et prit immédiatement ma bite entre ses doigts. — Oh là, après deux éjaculations, je ne suis pas sûr de pouvoir une troisième fois.— Mais si, tu peux le faire me dit Elisabeth en souriant.— Et Victor, encore une fois ?
En tournant ma tête vers lui, je constatai que Sophie était déjà en train de lui sucer la bite et qu’il reprenait déjà de la vigueur. Elisabeth m’embrassa, puis se tourna et posa son sexe sur mon visage. Nous étions partis pour un 69 qui ne me dérangeait absolument pas. Après quelques instants, mon énergie était revenue. J’admets que j’en fus le premier surpris. Les gémissements à mes côtés me laissèrent penser que Victor était passé à l’étape suivante. Je donnai donc une petite tape sur les fesses d’Elisabeth et lui dis-je :
— Reste à quatre pattes mon chaton, on va aussi passer à autre chose.— Oh oui, avec plaisir, me répondit-elle. Je me dégageai de sous elle et mis derrière elle.— Mais j’ai joui dans ta bouche tout à l’heure dans la cuisine, j’ai joui dans ta chatte chez moi l’autre jour, il y a encore un trou que je n’ai pas inauguré.— Oh non, pas là, je ne l’ai jamais fait. Je ne suis sûre d’aimer. — Mais si, tu verras, je vais y aller doucement.
Je me mis derrière elle et commençai à passer ma langue sur sa rondelle. En salivant un maximum, j’insérai ma langue dans ses fondements. A ses soupirs, je fus sûr de mon coup. Tout allait bien se passer. Je me mis alors à genoux, frottai ma queue sur son sexe pour l’humidifier puis le présentai à l’entrée de son anus. Je commençai à pousser doucement.
— Aahh, ça ne passera pas, arrête, me supplia-t-elle.— Mais si, prends tes mains et écarte tes fesses, tu verras ça rentrera.
Et petit à petit, la douleur chez ma partenaire fut remplacée par du plaisir. Lorsque mes couilles touchèrent son sexe, elle me dit :
— Oh oui, c’est bien, vas-y doucement, mais c’est bien.— A ton service ma chérie.
Je continuai alors. Pour moi aussi, c’était une première. Ma femme n’ayant jamais voulu que je la sodomise. Mon pied n’en était que plus grand. Après quelques minutes, je sentis ma partenaire se raidir. Son anus serra soudain ma queue, m’empêchant presque de bouger : elle venait de jouir par le cul. Plus rien ne me retint alors : je lui saisis les haches et y allais gaillardement. Après quelques secondes, à mon tour je jouis, remplissant son cul de ma semence.
10 minutes plus tard, Victor et moi étions retournés à la fête. Personne ne s’était inquiété. Nous fumions nos cigares que j’avais en fait laissés dans ma veste.
Une heure plus tard, les deux sœurs arrivèrent et dirent à leurs parents qu’elles avaient tellement travaillé qu’elles étaient fatiguées pour tout le week-end. Victor et moi nous sourîmes : on allait en profiter encore un peu de ces deux petites.
A suivre.
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