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mes oncles, mon père...

Chapitre 2

Inceste
— Papa, tu te souviens de ce que faisait maman ?— Comment ça, ma chérie ? — Quand elle faisait sa pute ? Tu m’as dit un jour qu’elle était une sacrée salope…— Mon bébé, c’est délicat, là. On parle de ta mère…— Mais alors ? Je l’adore, maman, ce n’est pas la question.— Mais tu veux savoir quoi ?— Elle aussi, tu la jetais en pâture à des tas de vieux cochons ? Elle se faisait enculer à la chaîne comme moi ?
Mon père soupire. Sa queue sort doucement de ma chatte. Son jus s’écoule lentement de moi tandis que le dernier mec de la série gicle sur mes seins. On est couchés sur la pelouse d’une aire de repos. Il fait noir depuis deux heures. l’air est doux. Papa m’a fait sortir de la voiture vers vingt-deux heures toute nue, juste juchée sur des escarpins noirs. On a marché un peu sur le parking, histoire de faire claquer mes talons et avertir le monde entier qu’une sublime toute jeune salope est offerte par son père à tous ceux qui veulent la saillir. Une heure après, je ruisselais de foutre. Des chauffeurs routiers et quelques types venus en voiture… quand je regarde mon père dans les yeux à la fin de sa profonde jouissance en moi, il est un peu perdu dans ses pensées… ma mère… je dois lui rappeler des bons souvenirs parce qu’il bande à nouveau un peu, il me titille mon anus béant et gluant et il m’embrasse sur la bouche sans se soucier du jus de queues de plusieurs mâles qui m’ont gavée à la crème épaisse. l’homme qui vient de se vider sur ma poitrine nous remercie. Je le salue par un sourire radieux. Il me doigte la chatte gentiment puis il nous laisse. Mes baiseurs nous regardent maintenant de loin dans le noir. Tout le monde part se coucher. Dans la voiture, papa ne dit rien. Je m’en veux un peu…
— Papa, j’ai dit un truc qu’il ne fallait pas ?— Non ma puce, ce n’est pas ça…— Parce que si c’est le cas, je te demande pardon. Évoquer maman était stupide de ma part.
Il ne parle plus mais ses pensées semblent bloquées sur elle, c’est évident. Une fois de retour à la maison, Il me fait couler mon bain d’après- abattage. Chaud et moussant, comme j’aime. Je me glisse dans l’eau et il s’assoit sur le carrelage, comme à chaque fois. Habituellement, on se remémore les assauts des bites en moi, on fait une sorte de débriefing de la soirée. Mais là, il a encore le regard vague. Il ne faut pas grand-chose pour le décider à parler alors je l’encourage en lui murmurant que s’il me dit il pourra un jour réaliser son plus gros fantasme : M’emmener en vacances en Afrique pendant quinze jours. Il semble se réveiller d’un coup, il jubile et il s’installe, tellement heureux puis il me raconte à propos de ma mère ce qu’elle faisait et surtout… ce qu’elle continue à faire…
Maman est une femme merveilleuse. Une femme belle comme une déesse dont j’ai hérité des yeux… papa dit aussi de ses seins. Mes oncles évoquent son sourire. Un peu tout d’elle, en fait...Elle adorait, quand elle avait mon âge, sucer mon père devant des types. Sur la plage, sur des parkings… jamais elle n’allait plus loin, dés que les hommes approchaient, elle minaudait et elle se recroquevillait, souriante mais non-consentante, pour en faire plus et surtout pas avec un autre homme que le sien. Papa respectait sa décision à chaque fois. jusqu’au soir où elle lui avoua… une infidélité. Sans expérience de ça, sans hésiter, comme une pulsion, avait-elle expliqué, elle avait sucé un collègue dans les toilettes de l’entreprise pour laquelle elle travaillait à l’époque. La culpabilité grandissante, elle n’avait pas su tenir sa langue plus de deux jours et mon père avait très mal réagi. Il l’ avait foutue à poil et emmené de force sur un parking. Il l’avait trimballée entre les camions en fulminant jusqu’à ce que des chauffeurs se réveillent qu’ils assistent à la scène puis qu’ils viennent de plus près observer cette bombe sexuelle en pleurs, tétanisée de se voir offrir aux regards lubriques de tous.
Maman, en larmes, fut jetée à genoux et mon père demanda aux hommes de présenter leurs bite parce que madame allait tous les sucer et avaler, en plus. Ni une ni deux les hommes se pressèrent autour de ma mère. Il lui jura que si elle ne le faisait pas, il partait tout de suite en la laissant à poil en cet endroit. Horrifiée, maman obtempéra et elle suça pour la première fois des bites qu’elle n’avait pas choisies. Il paraît qu’elle suffoqua plus d’une fois sous les coups profonds dans sa gorge, les tailles extra-larges de certaines bites et les odeurs immondes d’urine et de crasse qui s’élevaient de quelques queues. Elle pompa. Elle pompa sans arrêt et quand les mecs giclaient, mon père la forçait à tout avaler. Elle dégueula plusieurs fois et cela dura ainsi un bon moment. Mais après avoir dégorgé une quinzaine de queues, elle commença elle même à tendre le cou pour happer de la chair tendue et gorgée de foutre. Elle en oublia la punition, la raison pour laquelle elle avait été emmenée de force ici et sous le regard émerveillé de papa, elle dévoila sa vraie nature. La soirée s’acheva sans autre forme de punition-récompense… Maman et papa en parlèrent longuement ensuite. Elle avoua avoir détesté...puis adoré. L’humiliation l’avait transcendée et la puissance de feu des mâles l’entourant fut pour elle une révélation incroyable pour une femme qui ne se livrait jusqu’ici qu’à une forme d’exhib et qui avalait avec peine le jus (que je trouve succulent) de mon papa. Papa la décida à recommencer rapidement. D’abord un parking, puis dans un sex-shop. Là, il lui ordonna d’écarter les cuisses et de prendre des bites dans sa chatte. Elle refusa pendant une heure tout en suçant comme prévu toutes le bites qui se présentaient. Puis toute seule, elle se relâcha. Elle écarta ses cuisses et elle attira elle-même une grosse bite d’un jeune type qui manqua avoir une attaque quand elle s’empala sur sa verge. Les yeux dans les yeux, il explosa au bout de deux minutes. Ma mère devint alors officiellement une grosse pute.
Mon père tout en évoquant ces souvenirs à côté de moi, bande furieusement. Appuyée sur le bord de la baignoire, je le regarde tendrement, mon petit papa. J’avais donc eu après ma mère à peu près le même parcours initiatique qu’elle. La différence, c’est que moi, je m’étais "lancée" seule...et au final, c’est papa qui nous a dirigées toutes les deux.
Puis il m’avoue avoir sauté d’autres filles. Avec maman, le début de la fin commença à cette époque. Ils adoraient tout faire mais ensemble et ma mère ne lui pardonna pas à son tour cette infidélité. Engueulade, vaisselle cassée. Rupture. La vie avec moi un peu entre les deux. Fille heureuse. Des parents adorables malgré tout, sans défaut. Fin d’adolescence pour moi.
Papa a le regard dans le vague. Mais je ne sais toujours pas ce que maman fait de son corps…
— Elle continue sans toi ?— Elle est sublime. Elle se fait ramoner au sud de la ville. Elle a son fief.— Et tu sais ça ?— Des copains qui nous connaissaient quand nous étions en couple continuent de la voir. Mais pour la sauter. Parfois, ils me racontent. c’est apparemment une sacrée chienne.— Et toi, mes oncles ? Jamais vous n’y êtes allés ?— Chérie… non ! Elle péterait un câble si elle nous voyait débarquer. On ne fait plus partie de sa vie.
Je réfléchis longuement tandis qu’il se met au garde à vous devant moi, la bite dure et prête à gicler.
— Finis-moi ma fille, je bande trop…— C’est ta petite pute de gamine qui te fait bander ainsi ou tu penses un peu trop à maman ?— Enfin Lola, c’est toi, bien sûr !
Et juste avant de le prendre en bouche, je murmure, terriblement salope :
— Moi, maman, si elle écarte les cuisses devant moi, je lui lèche sa petite chatte…
Et là..comment dire ? Papa devient cramoisi, il se tient la tête dans les mains et il me balance la seconde suivante en bouche sa semence épaisse avec une puissance et une rage phénoménales ! J’avale en bonne chienne sans le quitter du regard. Je me calme au bout de quelques secondes de peur que son cœur ne me lâche… Une fois écroulé sur le carrelage, le dos au mur frais à côté de la baignoire, il m’observe en secouant la tête, comme hypnotisé.
— je crois que tu viens de décrire mon rêve ultime !— Ce n’est plus celui de me faire visiter les bas-fonds d’Abidjan ou de Marrakech ?
Je souris gentiment. Il secoue la tête, décidé à vivre ses rêves :
— l’Afrique, le Maghreb, tout ça, ça va se faire, crois-moi...mais toi et ta maman… je ne peux pas ne pas essayer !Il m’embrasse puis il me laisse tranquille. Je pense à maman. Je pense à l’ Afrique. Je pense à ma copine Léa… j’ai trois moteurs qui tournent ensemble et qui vont forcément m’entraîner sur des routes un peu inquiétantes, glauques ou humiliantes mais surtout...surtout ! Terriblement excitantes ! Papa va se "charger" de maman, j’ai l’impression. Mais comment va t-il s’y prendre ? Et maman, elle n’en sait rien, que sa Mathilde adorée, sa petite puce chérie est la grosse pute de tout l’ouest de la ville. Elle va me tuer. Impensable. Puis elle va tuer papa quand elle saura ce qu’il me fait, comme il m’offre à tous… il va falloir jouer finement. Mais je ne vois pas comment.
Maman… alors elle, c’est le sud ? Je dois voir ça de mes propres yeux. Je ne sais pas encore mais je dois voir ! j’y songe longuement, mes doigts au bord de ma chatte bien réduite en compote ce soir, j’ai des petits frissons tout doux. Je pense à maman, sa peau si douce, son parfum fruité, son sourire fabuleux, ses bisous tout doux… et si elle aussi, ses bisous sur mon minou...? je fonds !… Puis je sais comment la voir...oui, papa, tout simplement !
Je l’ai rejoint sur le canapé toute nue. Je me love contre lui devant un film mièvre. On ferait mieux d’aller dormir mais toutes ces révélations nous rendent nerveux et un peu trop excités, surtout… Alors je tente une approche toute en douceur, sa bite dans ma petite main toute douce.
— Papa ?— Ma princesse ?— Je voudrais qu’on retrouve maman dans une soirée où elle suce de la bite. l’espionner. La voir faire. j’en ai terriblement envie. Je voudrais ça mais pas toute seule, je ne me sens pas prête ou en tout cas pas encore capable d’assumer une telle escapade…
Papa se contracte. Il doit d’un coup encore imaginer mon corps nu et sublime à côté de celui de ma mère.
— Si c’était simple ! Mais je ne sais déjà pas comment faire pour simplement la voir accepter de te regarder nue sans faire un malaise !— Et bien peut-être qu’on pourrait faire d’une pierre deux coups. On y va. On observe. Et puis on se montre...on improvise…— Chérie, tu es folle.— Tu as raison. Je pense que tu dois plutôt aller la voir et lui dire : Ta fille veux t’écarter les cuisses et te lécher la chatte. Papa, je pense que ça se passera mieux.
Il semble torpillé par l’évidence. À côté, ma proposition est un jeu inoffensif que l’on peut en plus stopper si la peur de l’interdit envers elle est trop forte. Il est encore un peu réticent. Mais moi, je ne veux que ça et je vais tout faire pour l’obtenir. Alors j’abats ma dernière carte.
— Léa.— Quoi, Léa ?— Papa ! Léa, ma copine…— Oui je sais bien. La lesbienne. Et bien ?— Si je te l’offre, tu fais le nécessaire pour maman et moi.— Que tu m’offres Léa ? Mais elle t’a avoué il y a deux jours n’aimer que les filles !— Oui mais moi, je suis une nana.— Je te le confirme ma petite salope de fille adorée !— Bon. Suis bien mon raisonnement : Léa, elle est amoureuse de moi.— Merde ! La salope !— Et moi, j’ai très envie de baiser avec elle.— Ma Salope !
On rit. Il fronce les sourcils, il semble perdre le fil de mon idée en visualisant Léa la magnifique et timide petite bombe avec sa langue dans ma bouche, par exemple… je surenchéris vicieusement :
— Alors si elle fait tout ce qu’elle veut, je peux aussi l’enivrer…— Léa, ça ne se fait pas !— Non, c’est juste que Léa, quand elle a bu, elle est une super-chaudasse ! Je l’ai déjà vue sucer des mecs alors qu’elle n’aime pas tellement ça ! On monte une petite soirée avec intervention de mon papa-chéri pour elle… — Mais tu es une vraie perverse ! Merde...Tu sais à quel point je bande en pensant à elle !— Voilà ma proposition. Mais en retour, je veux que tu trouves où maman fait sa pute et que tu m’y emmènes et qu’après…— Stop ! Chérie, d’accord pour ça mais après, je ne peux rien promettre, tu le sais ! Si ta mère décide que cela est inadmissible, on finit au gnouf !— Oh non, ne me dis pas ça… ta petite fille, ta Mathilde baisée par deux cents prisonniers en rut ! Ça serait terrible. Mes trous qui dégueuleraient de foutre, ouverts comme des buses à vidange d’égout , les mains attachés aux barreaux d’une cellule, ramonée, enculée toute les nuits…Grâce à maman ? — Stop ! Je vais gicler sans me toucher si tu ajoutes un mot !Et puis c’est un peu moi qui subirais cela, toi tu serais une victime…— Et je t’apporterais de la vaseline.— Salope ! Bon, okay pour Léa…
On se serre la main. Le pacte nous lie divinement. Je lui dis d’être prêt demain soir parce que Léa, je l’avais déjà invitée à dormir à la maison.
Le lendemain, quand Léa débarque, on ne laisse évidemment rien transparaître de notre lubricité. De son côté, elle m’embrasse gentiment sur la joue en rosissant, et elle serre la main de papa qu’elle connaît depuis déjà quelques années. Bien sûr, c’est là que papa décide de bousculer ces formules de politesse un peu trop étriquées et qu’il l’embrasse sur les deux joues avec entrain. Elle rigole, joyeuse. Sur la terrasse du jardin et dans une douce soirée d’été, on prend l’apéro, on rit, on évoque la vie - sans parler sexe - . Quand Mon père va chercher une autre bouteille de vin elle me dévore des yeux. Elle est absolument sublime. Cette fille est une copine géniale mais aussi une femme magnifique. On s’est connues adolescentes. Déjà, à la piscine, quand on regardait nos nénés nus dans les vestiaires, je voyais à quel point elle adorait me mater. Elle n’ a jamais rien tenté à mon égard mais ses touches tactiles de "copines-de-toujours" furent bien plus appuyées ces derniers temps. Elle me savait libre, célibataire et elle m’avoua alors aimer les filles. Oui, il y a deux jours... Une petite larme et l’envie terrible de me dire à quel point elle m’aimait... elle me l’avoua. j’ai eu un choc. J’ai alors repoussé ses avances. Je voulais me laisser du temps… puis cela me titilla. Mon invitation le lendemain. Hier. On en est là et elle me regarde et je la trouve si jolie. j’en ai… si envie. Je pense à ce qu’on va faire d’elle, j’en avale ma salive. Vais-je oser lui faire cela ? Mais j’ai aussi tellement envie de voir le minou de maman… son petit trou du cul…
Papa revient et il nous serre du vin blanc frais et fruité. Un délice. On mange sur la terrasse. Salade de tomate et brochettes. La nuit tombe doucement et je m’approche de Léa. Elle est touchée par mon geste et dans les conversations entre les rires et les regards, je pose ma main sur son genou. Je la sens trembler… et moi aussi. Elle me fait un effet fou. Je ne m’y attendais pas. Je crois que je mouille… Papa, lui, bande déjà. Je le vois se tortiller, son verre tenu devant sa bite dressé dans son bermuda. Léa ne s’en aperçoit pas. D’ailleurs, elle ne voit plus grand-chose. Elle rit beaucoup. Moi aussi, je pense qu’on a déjà bien tassé… À vingt-deux heures, on va se coucher. On feint les copines qui vont dormir dans le même lit gentiment et mon père lui, feint d’être un papa naïf qui va bientôt ronfler...selon ses propres dires… Dans ma chambre, Léa me regarde me déshabiller lentement. Elle m’imite et en quelques secondes, on est en petites culottes et seins nus. J’ai toujours une brosse à dents pour elle chez moi et on se brosse les quenottes en riant dans la petite salle d’eau de ma chambre. Trop mignonne, vraiment. On se rince la bouche et on se jette sur le lit. j’éteins et j’ouvre les volets en tuiles pour laisser passer un peu d’air frais. On ôte nos petites culottes. On se couche côte à côte, les yeux rivés sur un plafond qui tourne pour elle. La pénombre est légère, on se devine facilement. Je mate ses deux groseilles au bout de sa poitrine dressée droit vers le haut.
— J’ai trop bu…
Elle semble s’en excuser tant sa voix est fluette. Je la regarde. Je dépose mes lèvres sur les siennes. Elle fond. Elle m’embrasse furieusement. Elle glisse sa langue merveilleusement habile autour de la mienne, elle me viole la bouche et j’adore ! Puis elle descend le long de mon corps qu’elle embrasse partout et très vite, comme si j’allais bientôt la repousser et qu’elle voulait en profiter au maximum avant. Mais non, je ne la repousse pas. Je lui tiens même la tête quand elle touche ma chatte du bout de la langue… puis je lui fourre le visage dans mon intimité et je lui dis de me la bouffer… La salope me fait jouir. Ma camarade de classe, du CP au lycée, me lape mon jus qui ruisselle de ma chatte ! Je la retourne sur le lit et le lui rends la pareille… la salope paraît défaillir tant elle ne semble pas y croire. Je lui écarte son intimité et je la fais crier… je la doigte en profondeur mais je n’oublie pas la suite…
— Léa, tu es bourrée ?— Complètement !— Tu…
j’hésite. Lui dire que mon père va venir ne va pas être coton ! Je prends mon courage à deux mains en même temps que ses seins :
— Mon père va venir te baiser. Je sais que tu aimes aussi la bite, tu vas bien aimer…
 Elle est surprise mais elle sourit. Elle semble vraiment pas mal bourrée. Alors j’envoie très rapidement un message-signal à mon père, comme convenu juste avant que Léa n’arrive ce soir. Je m’assois dans le lit et je la serre contre moi dans la même position face à la porte de ma chambre. On écarte les cuisses et je lui caresse le minou et les seins. Je l’embrasse dans le cou et elle feule, au bord d’une nouvelle jouissance. La porte s’ouvre et mon père entre. Elle le voit. Nu. La bite en l’air. Elle semble désemparée mais elle sourit timidement. Papa monte sur le lit. Léa regarde la grosse queue tendue devant sa chatte. Il s’approche encore et il pose son gland sur son minou. Elle dit qu’elle ne sais pas. Je la tiens avec tendresse. Moi, je mouille terriblement ! Alors je murmure à son oreille. Elle sourit, elle se détend. Elle m’embrasse passionnément par dessus son épaule. Elle regarde ensuite mon père dans les yeux et elle sourit.  Papa la pénètre alors lentement. Sa chatte est un fourreau merveilleux dans lequel il entre en râlant. Il nous regarde. Il voit deux magnifiques putes dont sa fille, les cuisses écartées devant lui. j’espère qu’il va tenir plus de dix secondes !Il lui tient alors les pieds, il la soulève un peu et il la ramone doucement. Elle commence à aimer. Beaucoup. Il lui embrasse les orteils, elle kiffe en rigolant, Elle vient régulièrement par dessus ses épaules manger ma langue. Alors papa a une bien belle idée. Il glisse sa queue plus bas et il me prend le minou tandis que je caresse frénétiquement celui de ma chérie. Je pense cela comme ça : Ma chérie. Je ressens quelque chose de puissant pour elle. Je suis définitivement tombée sous son charme, c’est évident. Papa retourne dans sa chatte. Il revient en moi...il alterne entre nous sans arrêt, il mélange nos jus de moules. Je sais que la situation m’échappe. Je renifle les cheveux de Léa, je mords dans sa peau. Je jouis simplement en la touchant. Je vois que papa ne tient plus. Il est dans ma chatte mais je lui implore par un regard de remplir ma compagne, ma petite femme… il le fait alors. Il la prend, il coulisse trois- quatre fois et il gicle en elle. Il tape au fond en y déversant sa semence épaisse. Il fait d’elle un trou rempli de son jus qui se déverse rapidement sur les draps quand il se retire d’elle. Je m’extirpe de dessous ma petite salope et je me précipite pour lui lécher la chatte et avaler tout le nectar gluant de mon père. Je la fais crier comme une véritable nympho… la salope jouit comme jamais. Je choppe la bite de mon père que je suce pour la nettoyer et Léa me rejoint aussitôt. Nos deux langues se mêlent sur le gland de papa qui se croit au paradis avec deux anges merveilleux à ses pieds. Il gicle encore. Léa prend le jet en bouche, elle avale puis elle m’embrasse. Une vraie grosse salope…
Dix minutes après, je bouge enfin. On s’est écroulés tous les trois dans la pénombre. Je regarde l’heure. Onze heures du soir. Je ne veux plus qu’une chose. Voir le minou de maman. Je réveille mon père qui s’est endormi avec sa main dans la chatte de Léa, comme un début de fist.
— Papa… on va voir maman, lève-toi !
Il grogne. Il râle puis il se lève grâce à mes mouvements autour de lui pour le redresser. Une fois éveillé, il est dubitatif. Mais avec ce que je lui ai offert ce soir, il ne peut pas refuser. On s’habille très léger. Je ne mets pas de sous-vêtements sous ma petite robe d’été. Des sandales et voilà… Léa dort à moitié. Je l’embrasse et je lui dis que je reviens.
— Okay mais je veux que ton père me baise encore…
On se regarde en riant avec papa. On s’en va.
En route, papa me demande ce que j’ai dit à l’oreille de Léa. J’hésite puis j’avoue :
— Je lui ai dit que si elle fait ça, on vivra ensemble dans notre petite maison rien qu’à nous. je serai sa petite femme et on fera l’amour tout le temps.
Un silence suit mes mots. Je le sens touché. Je lui caresse le bras, toute douce :
— Papa… je resterai toujours ta petite pute, hein… tu pourras me tringler quand tu veux. l’Afrique, ça tient toujours ! Et Léa, je te l’offrirai régulièrement.
Je le devine se redresser dans le noir. Il doit sourire, même. Il conduit lentement. On a quitté la partie de la ville que je connais le mieux. On file vers le sud, en périphérie.
— Ma chérie, ta Léa… quelle merveille ! Une vraie pute. Tu crois que tu pourrais la convaincre d’écarter les cuisses des nuits entières pour des routiers, par exemple ?— Je ne crois pas… faudra essayer. c’est aussi compliqué que…— Pour ta mère ?
Il a bien deviné ma pensée du moment. Je ne réponds pas. Il me caresse la joue du bout des doigts. Une tendresse absolue. Je ferme les yeux et j’emprisonne ses doigts que je garde contre moi en les embrassant.
— Ma fille… tu es tombée dans le piège de l’amour, hein ? Tu l’aimes à la folie, ta Léa ?— Papa… je… oui.
On ne parle plus pendant dix kilomètres. Il a glissé un doigt dans ma chatte et il me fait du bien doucement. Il essaie de son côté de se repérer entre les différents quartiers de la ville et les quais dont il recherche un parking qui selon lui, est un endroit propice à l’exhibition de salopes. Quand je lui demande s’il connaît bien ce lieu et maman aussi, il détourne je sujet en rigolant…
— Ta mère, elle fait, moi, je sais, elle a sa vie, hein… bon, son fief, c’est par là. Oui, je sais et alors… ? Je l’ai vue, voilà ! Une nuit...ou deux. Trois peut-être mais en tous cas pas plus de vingt fois. — Tu l’as… ?— Tu rigoles ? Elle me couperait les couilles ! Non je l’ai vue sucer des bites, oui...mais la dernière fois cela remonte à environ deux ans…— Ah quand même, oui…— Et oui ! Si ça se trouve, elle a arrêté…— Vu ce que fait sa pute de fille, je n’y crois pas…
Papa rigole. Il file le long des quais. l’endroit est lugubre, impressionnant. Je reçois un message de Léa…
"Ma puce, tes oncles viennent d’arriver pour boire un dernier verre… je fais quoi "?
J’ai lu à haute voix. Papa me dit qu’elle n’a qu’à leur offrir un coup. j’approuve et j’envoie à ma nana ce message. Puis on se regarde.
— Ma chérie, tu as utilisé exactement ce vocabulaire ?— Bin oui….
Un petit silence s’installe. Ma Léa bourrée et mes oncles bien bombardés eux aussi… Papa crie presque de joie en freinant brusquement.
— C’est là !— Sûr ?— Ma fille, oui, premièrement parce que c’est ainsi, et doublement oui parce que...tu vois la voiture garée là ?— La bagnole de maman !— Et oui… Ta mère est donc toujours une suceuse de quéquettes !
Il sourit, content de lui. Il y a aussi une douzaine de véhicules garés à proximité de cette sorte d’immense parking ceinturé par un haut grillage. À quelques mètres de nous, la jetée, l’eau saumâtre, l’estuaire et l’océan si proche. Maman, toute seule ici la nuit avec des inconnus ? j’en frémis de peur… d’envie. Maman qui est si classe et belle… et ici, quelle tenue ? On se gare un peu à l’écart des véhicules et on longe à pied et sans bruit dans le noir absolu le grillage. Le quai est assez délabré. Il y a des sortes de gros blocs en béton haut de deux à trois mètres disposés un peu partout sans cohésion apparente et envahis petit à petit par une végétation sauvage. On entend du bruit ou plutôt des grognements et des rires gras d’hommes. Des formes sombres apparaissent, découpées sur le fond scintillant de la ville qui vit de l’autre côté du fleuve. Des hommes sont regroupés autour de quelqu’un appuyé contre un des blocs en béton. On devine… on voit une silhouette fine et élégante. On arrive dans le dos de tout le monde. La fille est celle que l’on imagine...maman. Elle est en escarpins noirs et rien d’autre. Ses magnifiques cuisses galbées et longues mais si longues, sans fin… je n’ai pas hérité de cela. Je suis bien plus petite que ma mère mais j’ai d’autres atouts, je crois…
— Elle fait ça comme je t’offre, tu as vu ?— Magnifique !
Je n’ai que ce mot pour commenter ce que je vois. Époustouflée, la Mathilde-Lola. Maman est prise par derrière par un gros dégueulasse qui lui défonce le trou dans lequel il sévit. On ne voit pas mais on le comprend rapidement quand elle gémit…
— Vas-y, gicle dans mon cul, vas-y !
L’homme beugle puis il lâche sa sauce au fond de maman. Aussitôt retiré, un autre type la prend sauvagement. Il lui laboure la chatte et il jouit rapidement en elle. Je regarde la scène, fascinée. Mon père se caresse la bite à travers son pantalon. Je me sens vivre la situation. Je crois y être, à la place de cette pute de maman. Puis je me dis que j’ai vécu cela, en fait… pas plus tard que ces derniers soirs quand papa m’a offert à des routiers… alors je me pose légitimement des questions tandis que maman est totalement violée par les types. Remplie de jus… gavée comme une oie. On reste au loin. Ne pas se faire voir. Je recule un peu. Papa me suit, déçu. j’entends maman crier de douleur...puis rire. On l’ encule avec du gros calibre et elle en plaisante. On part.
Sur le chemin du retour, je comprends des choses. Je lui en parle…
— Papa, tu as vu maman se faire baiser comme une vraie salope. Escarpins...rien d’autre. Tu me demandes la même chose...pourquoi ?
Il rit mais jaune. Démasqué, alors ? Alors il me dit tout…
— Ma fille, j’ai vu ta mère faire cela. j’en ai été choqué… j’ai adoré. Alors quand tu as accepté de faire ta pute sur des parkings et ailleurs, j’ai su que j’allais te grimer comme elle parce que tu es elle. Deux des plus grosses putes de la ville sont mon ex-femme et ma merveilleuse fille. Je suis comblé. Rien d’autre…
Je me tais. Je comprends. Je comprends surtout qu’Il baise maman par procuration. Gicler dans mes trous est un double plaisir pour lui. Il nous baise ensemble. En fait, il aime toujours ma mère… ? Je préfère ne pas poser la question, cela est trop compliqué. En fait, je crois que je ne sais pas tout. Quand on revient à la maison, on entre sans faire de bruit. Personne dans le salon ou sur la terrasse. J’imagine un instant que mes oncles sont partis et que Léa dort sagement dans ma chambre… Dans ma chambre, Léa est bien couchée, sur le dos. Mes oncles l’entourent, nus. Ils la tiennent écartelée et il la ramonent vigoureusement. Ma Léa. Quand elle me voit, elle rougit. Ma petite chérie ramonée à fond par mes tontons… Papa rit. Je me mets alors toute nue. Quoi faire d’autre ? Avec Léa, on se met à quatre pattes côte à côte, le cul cambré et ouvert. On suce très vite les grosses bites de mes oncles et de mon père tandis que nos chattes et nos culs sont démontés durement. Au goût des bites que je reçois en bouche je comprends vite que Léa a déjà subi des profondes sodomies. Elle me regarde, adorable et désolée… je l’embrasse à pleine bouche. Elle est à tomber par terre, d’envie, d’amour. J’ai envie de sa chatte… et puis je pense à maman. Sa chatte à elle. Remplie de jus d’hommes, d’inconnus. Je voudrais tant aspirer cette crème, la nettoyer en profondeur. Papa n’ira peut-être pas plus loin, alors je vais me débrouiller.Le jus nous remplit les orifices et on jouit plusieurs fois comme des chiennes.
Au petit matin, on est réveillées tôt. On a prend une douche ensemble. Léa a mal au cul. Tous mes hommes se sont acharnés en elle à la fin pour la remplir de jus tandis que je lui léchais sa chatte et que j’avalais le sperme qui dégueulait ensuite dans ma gorge. Je me moque d’elle gentiment et je lui masse doucement l’anus avec une crème apaisante. Papa est parti travailler depuis une heure. Léa doit elle aussi aller bosser. On se quitte sur le perron de la porte. On s’appelle, on définit plus tard ce qu’on fait ce soir.

Je pars rapidement après elle. Je rejoins le centre-ville. Chez maman.Quand je sonne, elle m’ouvre aussitôt, étonnée par le message que je viens de lui envoyer lui demandant si je pouvais passer tout de suite. On s’embrasse, elle m’offre un café que j’accepte. On parle de tout, on rit. Je scrute son visage. Maman est si belle. Brune, le regard noir et un sourire fabuleux. Elle pose sa main sur mon genou l’air surpris.
— Ma chérie, qu’est ce qui te tourmente ?
Elle devine simplement à mon regard que je suis un peu déboussolée. J’aperçois dans l’entrée ses escarpins jetés sans façon au pied du mur. Ses escarpins de salope. Je me lève alors, faussement intéressée par ces chaussures. Je les prend, j’ôte les miens puis je les enfile avant qu’elle ne puisse faire un geste. Je la vois très embêtée. Ils me vont pas mal. Un peu trop grands toutefois…j’hésite. Je suis à un tournant de ma vie, je le sens. Plus qu’avec papa quand je l’ai pris en bouche la toute première fois. — Maman, j ‘ai…
Je panique. Je ne peux parler de ça, tout de même ! Alors je me lance sur un autre sujet. Je parle de Léa…
— Maman, je voudrais te présenter mon amie. On est ensemble...on va vivre ensemble.
Elle a un sourire merveilleux. Elle me prend dans ses bras, enchantée.
— Ma chérie, que je suis contente ! Mais je n’ai jamais entendu parler de lui auparavant ! Tu es amoureuse, alors ?— De plus en plus…
Elle me serre fort contre elle. Je sens sa poitrine contre la mienne, je suis traversée par des sentiments confus… elle sent si bon, elle est si belle… Elle croit évidemment que "mon amie", c’est un mec… Alors je vais avancer autrement mes pions. Je veux sa chatte !
— Et justement, je suis passée te voir afin de t’inviter à venir manger à la maison ce soir. Je te donnerai son adresse sur ton téléphone… ça te dit ?— Et bien… oui, j’avais prévu autre chose mais...oui ! Avec plaisir, ma chérie !
On se regarde dans les yeux. Elle pense à un futur gentil mari pour moi, je vais lui présenter ma copine de toujours et qu’elle connaît si bien… choc, pas choc ? Il y aura aussi une deuxième surprise : Mon père sera là. La troisième ? Je vais lui bouffer la chatte.
Quand je préviens Léa, elle est catastrophée. Parce qu’elle connaît bien maman, parce que j’ai décidé cela si vite et que je lui dis que mon père sera là !
— Mais c’est la galère, là !— Mais non, je gère tout. Le repas, tout !— Et tu gères aussi les sourires de tes parents entre eux ? Et la réaction de ta mère quand elle verra qui est ton "mec" ?— Oui.
Elle est ébahie. Elle m’embrasse alors tendrement, conquise.
— Okay. Au moins, ce soir, on va reposer nos minous et nos petits trous…— Heu...oui.
Je fais les courses, je prépare la maison, la table, tout est prêt à dix-neuf heures, heure à laquelle Léa revient du boulot. On s’embrasse. Elle adore la déco de la table, le repas que j’ai prévu, mon sourire juste pour elle. j’ai enfilé une petite robe courte. Quand je me penche, on voit mes beaux seins… je n’ai pas mis de soutien-gorge, de culotte Léa s’en aperçoit, elle me fait des gros yeux pour rire puis elle va prendre une douche. Quand elle revient, elle est vêtue comme moi, jolie comme un cœur. Et la chatte à l’air …
Papa arrive en premier. Je lui ai dit à dix-neuf heures trente précises. Il a apporté du blanc et des gâteaux. Il nous embrasse tendrement. Quand il aperçoit les assiettes au nombre de quatre sur la table, il est étonné. Léa file dans la cuisine au son de "ouille ouille ouille" ! Elle sent la cata arriver mais je sais parler à mon père, alors…
Je lui caresse l’entrejambe. Je me serre contre lui, je lui dis que je suis sa pute et que maman vient ce soir. Il recule, atterré. Pas le temps de fuir que maman est à la porte. J’ouvre, et je la fais entrer. Elle est juste sublime. En escarpins (pas ceux des quais!) et robe légère virevoltante.
— Bonjour ma puce. c’est mignon ici…— Ouille ouille ouille…
Elle me regarde, surprise.
— Il y a d’autre invités ?— C’est Léa. — Léa ? Que je suis contente ! Ça fait des mois que je ne l’ai pas vue !— Léa est ma chérie et papa est là aussi.— Ouille ouille ouille !
Léa tourne en rond comme un poulet sans tête...Maman ne dévisage avec une sorte d’expression, comment dire ? Bovine. Trop d’infos violentes d’un coup. Deux mais trop. Elle voit alors papa qui surgit dans le couloir, l’air contrit.

— Notre fille nous a piégés, hein ? Mais c’est pour son bonheur, alors… on fait la paix pour ce soir ?
Maman le regarde durement. Elle hoche finalement la tête en souriant.
— Ça marche.
Léa apparaît à son tour. Elle est toute rouge. Je m’approche d’elle et je lui roule un patin. Elle embrasse ensuite maman qui lui tient le mains, étonnée de nous voir ensemble mais finalement très heureuse pour nous. On s’installe dans le salon. Papa et maman côte à côte. Je me mets en face de mon père et Léa face à ma mère qui fronce les sourcils en scrutant mon minou qui se dévoile au gré de mes mouvements. Je sers l’apéro tout en écartant les cuisses. Elle peut alors tout voir. j’en ai des frissons, je mouille… maman voit ma chatte ! Mais ce que je comprends, c’est qu’elle devine que papa peut aussi la mater. Elle ne semble pas en être malade. J’imagine pourtant que jamais elle n’acceptera cela...alors si elle savait à quel point il m’encule et il me remplit de foutre… elle va m’en parler, j’en suis sûre mais Léa intervient, comme pour briser l’atmosphère qui s’alourdit dangereusement :
— Vous êtes magnifique, ce soir ! Lola a votre beauté…— Lola ?— Mathilde !— Oui… c’est vrai qu’il paraît qu’on se ressemble pas mal pour certaines choses.— Je te le confirme !
Papa a parlé mais bizarrement, un silence pesant suit sa remarque. Je suis sûre que chacun pense au côté salope qui nous lie. Mes yeux tombent sur sa petite culotte. Je suis déçue et en même temps, j’imagine bien qu’elle n’allait pas débarquer chez sa fille la touffe à l’air…Petit à petit, la conversation se détend, on parle de tout, de rien. Papa et maman dialoguent courtoisement sur le boulot les amis communs… Léa qui a déjà bu deux mojitos est un peu pompette. Elle se cale dans le fond du canapé, les cuisses ouvertes mais sans réfléchir au fait qu’elle ne porte plus de culotte. Je l’imite alors. Mes parents voient alors nos deux moules bailler largement . Je pense que maman va péter un câble, elle se trémousse, elle se lève puis elle demande où sont les toilettes. Je l’y emmène. Quand je reviens, Léa a relevé sa robe et elle se doigte gentiment devant mon père. Il adore ! Au retour de maman chacun est sage. Maman s’assoit, plus souriante qu’à son départ. Elle lève son verre vide pour réclamer un peu de blanc. Papa la sert en riant. Maman s’installe mieux dans le canapé et là...là ! Je fonds de plaisir… elle a enlevé sa culotte. Je vois le ligne sombre de son intimité. Elle écarte un peu les cuisses et ses lèvres s’entrouvrent… je suis hypnotisée par ce spectacle fabuleux… et quand je relève les yeux vers elle, elle sourit. Papa va aux toilettes à son tour. Alors maman désigne nos minous. Elle est bien alcoolisée et elle rit…
— Vous êtes adorables avec vos chattes à l’air… mais moi, j’ai une vraie chatte de salope ! Je ne sais pas à quoi vous jouez avec ton père mais moi, je suis la plus forte !
Elle est torchée...merde. Je ne l’ai pas vu venir, ça. Maman torchée, la dernière fois, elle a dansé nue dans le salon… ça fait dix ans au moins… je souris.
Et là elle relève tout, elle écarte les cuisses et elle nous exhibe sa chatte magnifique...je suis prête à jouir sans un geste et Léa rougit complètement… Papa revient et elle serre les cuisses en posant son index sur sa bouche pour bien nous signifier un secret juste entre nous, bien appuyé pour que papa le voit, que ça le rende jaloux. Ça peut déraper. Léa rit, pompette, elle aussi. Avec papa, on se regarde. On doit penser la même chose. Que tout est possible… la situation est surréaliste. Nos chattes à l’air ont du déclencher chez maman un truc incroyable… Léa si belle, moi, sa fille, son ex-mari juste à côté et pas mal de vin…
Alors je pose ma main sur le minou de Léa qui soupire bruyamment… Maman regarde. Elle avale sa salive, ses yeux brillent... je doigte ma chérie sans quitter ma mère des yeux. Maman qui soutient mon regard, qui écarte les cuisses et qui se doigte elle aussi…. Je suis prête à m ‘évanouir tant je suis émerveillée par cette vision… les yeux dans les yeux, maman et moi… juste nous deux… je veux… je laisse Léa… j’avance à genoux vers ma maman… elle est étonnée, heureuse… elle m’attend… je pose mes mains sur ses genou et j’écarte davantage ses cuisses si douces… je pose mes lèvres en baisers respectueux de plus en plus proche de son intimité… sa chatte s’ouvre comme une fleur, je suis si proche, je sens sa chatte… on dirait ma Léa, je vais tellement aimer… au moment où je tend ma langue, maman, relève mon visage vers elle, on se regarde, on se jauge. En est-on capable ? Moi qui lèche maman ? Alors je baise la tête et j’aspire sa chatte, je lèche le minou de maman… le plaisir ultime, presque… certainement. Je la fouille comme une dingue, elle crie comme jamais, elle est dévastée par la situation, mais dévastée par le bon, l’abrupt la tuant… sa fille qui fait plaisir à sa maman. Elle est délicieuse. Comme je l’avais imaginé. Elle ruisselle d’un jus odorant, gluant… je lape tout sans m’en lasser. Et Léa et papa, alors ? Quand je les regarde, papa se fait sucer par ma chérie il lui défonce la bouche puis il la relève. Jetée à côté de maman, elle se fait aussitôt défoncer la chatte sans ménagement. Maman mate cette petite pute qu’elle a connue gamine, si polie, si droite et rangée. Maintenant elles jouissent comme des chiennes accolées… Papa s’approche alors de maman… leurs visages sont si près… puis il glisse vers elle, elle sourit, extasiée et ils s’embrassent à pleine bouche. Elle lui dit alors de le faire… je ne saisis pas mais papa se retire de Léa, il se met derrière moi… et là, il m’encule d’un coup… je crie mais maman en jouit, de ma douleur, elle me tient la tête enfouie dans son intimité et elle m’ordonne de lécher. Je regarde maman. Elle a un air dominateur. Papa l’embrasse tendrement. Alors elle parle. Je l‘entends lui murmurer entre deux souffles coupés qu’elle le remercie mille fois de lui avoir raconté quelle pute j’étais. Merci d’avoir préparé le terrain pour une telle rencontre. Merci d’avoir fait de moi une salope merveilleuse. Merci de m’offrir enfin, même si j’ai fait le plus gros sans le savoir…
Je comprends que maman savait depuis longtemps. Elle savait alors mes envies et tout ce que je suis ? Papa lui raconte tout ? À quel point je vide les couilles des hommes de l’ouest de la ville ? Maman sait ça ? Je défaille de plaisir. La bite de papa me perfore violemment. Alors maman me parle… elle me dit que je vais souvent la lécher, sa chatte. Que je vais me faire enculer tout le temps… que j’irai moi aussi sur les quais pour la remplacer, parfois l’accompagner. On sera comme deux putes, juste en escarpins. La maman et la fifille…
Cette pute ruisselle dans ma bouche. j’aspire son jus de moule, ses sécrétions de femelle exacerbée. Papa se tend dans mon cul… il gicle et hurle en me remplissant… maman me caresse la joue, elle dit que je suis sa princesse, son bijou. Quand papa se retire, Léa me bouffe le cul, elle me nettoie le conduit à caca, je pète et elle aspire tout ce que je lui envoie….
Maman me relève vers elle. Elle m’embrasse à pleine bouche. Nos langues mêlées nous font avaler ses sécrétions. Le plaisir est dingue, je jouis sans arrêt, comme si le plaisir était permanent. — Maman, tu fais une superbe salope sur les quais, la nuit. — Oh mon amour…
Elle craque par mes mots, elle jouit en gueulant, aidée par les doigts de Léa dans son vagin… elle tombe à ses côtés alors j’en profite pour enfoncer trois doigts dans son cul tandis que Léa persiste dans sa chatte. maman hurle de plaisir…
Papa consulte son portable. Sans un mot, il va ouvrir l’entrée. Il revient avec mes oncles. Ses frères nous matent en riant. Maman est amusée. Je comprends à quel point tout a été orchestré. Cela se fait ici ce soir mais ça aurait pu être n’importe où ailleurs… l’opportunité grandissante, toute cette fine équipe était prête à entrer en action. Papa m’avoue que depuis le sex-shop, il a bien fait avancer le dossier. Maman a été surprise mais pas tant que ça. Mes oncles ? Des complices très, très intéressés. Alors mes parents continuaient à se voir ? Les salauds… j’en ai la confirmation rapide quand papa prend maman par la chatte, qu’il l’offre ensuite à ses frères qui ne se font pas prier pour défoncer les trous de pute de leur ex belle-sœur et y tasser du jus épaisEt ma Léa ? Elle est un peu décontenancée. Je l’embrasse tendrement. Je lui promet tellement de moments juste entre nous. Je lui dis que je l’aime et que je serai toujours sa petite femme. Mais elle rougit encore un peu…
— Mais je veux faire la pute pour eux. j’ai goûté à ta mère… vous pouvez tout me faire, je veux tout ça… encore…Maman a entendu. Elle vient vers elle. Elle l’embrasse doucement. Leurs langues jouent un ballet torride. Puis maman glisse à ses pieds et elle lui bouffe la chatte...alors mes oncles et papa nous enculent, maman et moi… Je pense aux parkings, toutes les trois… je songe à l’Afrique mais rien que pour moi. j’ai envie de jus au fond de moi… un oncle puis deux me remplissent… j’en veux encore… encore. Ce n’est que le début du bonheur...
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