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mes oncles, mon père...

Chapitre 3

Inceste
Je ne me souvenais plus du rendez-vous donné au plombier… En fait, Léa l’avait contacté deux jours plus tôt et elle m’avait balancé l’heure et le jour tout en me doigtant gentiment au cinéma, style : "Au fait, pour le problème de la fuite de la cuisine, un type viendra vendredi à huit heures"… J’avais juste répondu : "Enfonce encore, je vais jouir, salope "!Mes soupirs de dépravée qui prend son pied avaient bien plu à un gars du rang de devant. Pour ce souci de plomberie certainement relativement basique ( mais on est des filles et les trucs basiques, ce n’est pas pour nous), au lieu de faire intervenir un de mes oncles ou même mon père, ma douce Léa avait paniqué et contacté un plombier. Coût estimé de l’opération : Trop cher pour nous et petite grass’mat’ foutue…
Le gars insiste sur la sonnette. Je pousse Léa qui râle endormie et si jolie. Je me lève à poil au radar, je trace ma route jusqu’à la porte d’entrée. J’ouvre… Le mec devient tout rouge. Il a environ… Quoi ? Cinquante ans ? Un mec bourru, grosse moustache, basané style très méditerranéen… il mate tout de suite ma chatte et mes seins.
— Bon...jour. Je viens pour la fuite…— Entrez Monsieur, désolée pour l’accueil, on est encore au lit… Léa !
J’ai crié. Léa râle dans la chambre. Je me dandine toute nue devant le plombier. Il me suit, tout penaud. Plutôt que de l’amener à la cuisine, je lui fais faire un détour par la chambre.
— Léa, le plombier est là… tu t’occupes de lui, je file à la douche…
Ma Léa repousse la couette, les cuisses écartées elle exhibe sa chatte qui baille au type qui commence à souffler fort. Elle est encore toute endormie, ma princesse. Vision sublime. Je pars vers la salle de bain et là, je l’entends dire :
— Venez…
Je tique. Je m’arrête au bout du couloir. Elle n’ a pas compris je pense...comme souvent, elle commet une gaffe… je reviens très lentement sur mes pas. Le plombier s’est déjà engouffré dans notre chambre. Quand le le revois, il a déjà enlevé ses godasses, son pantalon et son caleçon et il prend d’un coup avec sa grosse queue bien épaisse le minou adorable de ma petite chérie couchée sur le dos, les jambes tenues par les deux mains puissantes du plombier qui l’ouvre comme une pute. Il la pénètre d’un coup… elle couine. Il lui fracasse la chatte en râlant comme un porc. Le contraste est saisissant : Ma merveilleuse et frêle jeune compagne violentée par ce vieux qui la baise comme il n’a peut-être jamais baisé une fille aussi merveilleuse qu’elle. Sa queue déforme l’entrée de son vagin à chaque entrée profonde et puissante. Il la caresse partout, il enserre ses seins avec fougue, il glisse des doigts en plus de sa queue au fond de la moule humide de ma nana. Il commence à la traiter de pute. Il dit qu’il va l’enculer. Léa secoue la tête, elle n’est pas très chaude, ce matin pour cela alors je me venge à ma manière en murmurant à l’oreille du type qu’il peut l’enculer à sec et gicler en elle. L’homme rit. Il pose aussitôt son gland sur le petit trou de Léa et il la pénètre d’un coup. Elle hurle, elle râle, il la tient fermement en lui démontant la boîte à caca et je ris à mon tour. Léa gémit de douleur alors j’ai un peu pitié, je fais signe au vieux de se retirer et aussitôt, je le prends en bouche et je le suce avidement, j’humidifie sa queue avec ma salive, j’enroule ma langue autour de sa belle queue odorante de la merde de ma nana, je prépare cette tige de chair à mieux entrer en elle et je repositionne moi-même le gland énorme devant le petit trou de cette pute de Léa. Il entre en elle aisément. Il tape au fond de son cul, elle couine désormais de plaisir à chaque fois. Il l’encule comme un taré. Il ressort et entre en elle avec une violence inouïe, il la reprend dans la chatte, il alterne les coups, il l’utilise comme un objet sexuel. Je suis fascinée. Il la retourne sur le lit puis il l’encule à nouveau, il lui déforme l’anus en lui explosant le cul. Je la vois pleurer de douleur puis me sourire en jouissant en silence. Le type me fait signe de venir, il m’ordonne par geste de lui exhiber ma chatte ouverte en m’asseyant sur la nuque de Léa. j’obtempère, faussement apeurée. Il croit nous dominer maintenant. Je dois encore m’approcher...Je suis assise sur les fesses de ma copine. Il sort d’elle, il entre acrobatiquement dans ma chatte, il hurle, il gicle… le jus coule de ma moule sur le cul de Léa. Je me penche, je lèche, j’avale tout. Je fouille de ma langue son cul béant. Le type est effondré sur le lit, totalement émerveillé par son début de journée.
Cette fois-ci , je file enfin à la douche. Le plombier répare la fuite. Quand je reviens dans la cuisine, il est habillé, il a fini son job mais il prend debout Léa, toujours toute nue, en la traitant de pute. Je me fais un café en matant la scène. Il la soulève du sol à chaque coup de bite. Il éructe en jouissant, il gicle dans sa chatte en la plaquant à l’évier qu’il vient de "réparer". Il essuie ensuite sa bite sur les fesses de Léa puis il range ses outils. Il nous présente la facture -salée ! - et il nous tape le cul comme si on était ses salopes attitrées. Fin de la récréation. Je pense – logiquement - que l’on ne reverra pas ce plombier avant longtemps.
— Ta maman vient à quelle heure ?— Dix heures et demie . Mais tu lui fiches la paix, tu n’auras pas le temps de lui lécher le minou, okay ?
— Je sais bien mais… j’adore quand elle vient après ses "soirées" et que sa moule pue le sperme et que ça dégouline encore du jus des mecs qui l’ont baisée…— Pas ce matin, je t’assure. Maman, elle dort, aussi, des fois ! Franchement, chérie, je me demande parfois si tu es vraiment lesbienne tant tu aimes le goût du jus de mâles !— Je n’y peux rien, c’est mon péché-mignon…— Ma petite nana…
Elle a pris son air de petite fille désolée et une fois de plus, je craque devant ses mimiques. Ma pute adorable. J’en fais ce que je veux, je l’aime comme une folle. Je regarde ses trous de salope. On dirait qu’ils n’ont jamais servi tant ils sont "comme neuf". Il n’y a que le jus du plombier qui s’écoule lentement d’elle et qu’elle récupère avec un doigt avant de le présenter à ma bouche. Je vais le lécher mais elle le retire au dernier instant pour avaler elle-même le liquide gluant et jaunâtre. Elle rit. Jamais rassasiée, ma Léa. Elle aime aussi la bite maintenant. Mon papa et mes oncles ont tellement bien su la faire "grimper aux rideaux"… . Quand papa vient me - nous ! - baiser, elle adore nous regarder nus et collés. Elle est émerveillée - selon ses propres mots – par le papa et la fille en train de copuler bestialement. Souvent, elle me bouffe le trou qui a été rempli de jus par mon papa ou alors il jouit directement dans sa gorge.
Maman arrive à dix heures trente pile. On se boit un café vite fait en papotant. Léa se tortille sur sa chaise en la regardant. Elle a juste enfilé une petite culotte et maman rit en la voyant minauder.
— Léa, tu as des vers ?— Non, elle veut juste te bouffer la chatte.
Je me moque de ma copine qui me tire la langue, vexée. Maman rit un peu plus devant notre petite scène de ménage sans conséquence…
— Ma Léa… je te promets que tu pourras avaler mon jus et ma pisse si tu veux à notre retour du shopping.
La bouche et les yeux de Léa s’arrondissent. La pisse ! Elle n’y avait jamais songé et je n’imaginais même pas que maman allait un jour proposer cela. Léa joint ses mains comme un applaudissement silencieux qui en dit long sur ce qu’elle pense de cette proposition. On la laisse en émoi, toute seule dans l’appartement. Elle qui voulait rester un peu seule ce matin pour faire du ménage et un peu de tri dans ses affaires, j’imagine aisément qu’elle va se doigter en souhaitant ardemment notre retour. Maman et moi, on fait le tour des boutiques de la ville. On achète des petits pulls, des chemisiers… On mange vite fait une salade dans une brasserie du coin et on repart dans la vieille ville à la recherche des escarpins qu’il me faut pour faire la pute avec elle. On a décidé qu’on allait commencer ensemble ce soir. Elle va m’emmener sur ses quais. Depuis deux jours maman est coiffée comme moi, avec la même couleur de cheveux. On sait tout de suite qu’on est mère et fille. On veut être très proche physiquement pour exciter davantage les salauds qui nous enfilent et on a opté pour la même tenue de sortie : Escarpins noirs. Mais exactement les mêmes. Les siens sont si beaux qu’on en achète une paire pour moi.On s’arrête dans un café pour souffler et je regarde ma mère. Elle est magnifique, ma maman. Elle sourit tout le temps et je pense alors que papa ne lui a pas dit que dans cinq jours, il m’emmène en Afrique. Elle va certainement gueuler. Je préfère ne rien dire pour l’instant. j’adore ce moment juste entre nous. J’ai envie de l’embrasser comme on le fait si souvent, mais là j’en ai envie ici, devant tout le monde. Je me retiens difficilement. On se ferait virer ! Pourtant, si les gens voyaient cela, quand elle glisse sa langue dans ma bouche, que je deviens folle et dépendante. Nos bouches ne se décollent plus et elle enfonce alors ses doigts dans ma chatte et elle me fait jouir ainsi, je jouis la bouche ouverte qu’elle visite de sa langue gourmande, elle expulse en petits crachats sa salive dans ma gorge, elle me fait jouir et me murmurant que je suis sa pute attitrée, sa petite fille adorée et j’en ai des larmes aux yeux, en lui susurrant "Je t’aime maman"…
Tout va être compliqué, d’ailleurs. Léa, elle n’a pas aimé quand je lui ai dit hier. l’Afrique, elle aurait voulu être du voyage. Mais papa m’emmène dans le cadre de son travail et il a pris une place qu’il me paye avec ses propres deniers. Bien sûr, je vais le rembourser avec mon corps et je ferai tout ce qu’il veut là-bas... Léa, je pense qu’elle va se consoler en faisant "pute de remplacement de maman". Et puis mes oncles adorent son cul. Ils aiment tellement ramoner les trous profonds de son petit corps de poupée naïve…
Au retour du shopping, maman doit faire un petit pissou mais juste pour Léa, comme promis, et elle l’invite à l’accompagner à la salle de bain. Je les laisse faire mais je me rince quand même l’œil par la porte entrouverte. Maman retire sa culotte et elle s’accroupit. Léa est comme une gamine devant une tirette de distributeur de bonbons. Elle joue avec les lèvres gonflées à bloc de maman, elle les triture puis elle la doigte en profondeur. Elles s’embrassent comme deux salopes. Puis maman invite Léa à se coucher par terre sous elle. Je me demande si Léa va aimer… sa bouche ouverte sous les orifices de ma mère, elle attend et le premier jet de pisse atterrit dans sa bouche. Elle tousse mais elle adore. Maman pisse dans sa gorge et Léa avale tout ! Ma léa ! C’est tellement chou, ma maman qui abreuve ma chérie de pisse ! Une fois le pipi terminé, Léa tend le cou et nettoie à grands coups de langue sa chatte humide . Quand maman se redresse, elle doigte un peu Léa qui jouit instantanément.
Le soir est vite arrivé et maman est revenue me chercher...Je tremble comme une folle. On est à cent mètres des quais. Maman sourit. On a nos jolis escarpins aux pieds. Un long manteau pour seul vêtement… Elle éteint le moteur. On jauge la situation, des regards brefs dans les recoins des quais, vers les ombres profondes… il y a des voitures garées bien plus loin, on devine des formes mouvantes autour et on ressent l’adrénaline nous secouer. Maman me tient la main. On descend et nos talons claquent tout de suite, ils annoncent deux salopes en approche. Ceux qui baisent maman ici depuis longtemps doivent avoir la bite qui durcit en nous voyant. On marche tout droit et j’ai toujours ma main dans celle, chaude, de ma mère. Elle a deviné ma petite trouille toute légitime. Je suis dans l’antre d’une reine. Son fief…
— Ma chérie, ça va bien se passer. Il y a toujours une dizaine de types en moyenne qui tournent ici. J’ai des habitués. j’en ai même un, il me baise environ quatre fois par semaine depuis plus d’un an. S’il est là, tu le reconnaîtras, il a toujours une chemise à carreaux. — ils nous regardent déjà avec intérêt ! Ils sortent de partout, on dirait des zombies d’un film d’horreur c’est presque flippant !— Et quand ils vont voir ton corps parfait de jeune salope, ils vont se ruer sur toi !
Elle rit. On s’arrête le long d’un gros bloc de béton. Nos manteau tombent au sol. Les types approchent. Des vieux, des jeunes, des moches, des pas mal mais surtout, oui, des très, très moches ils sortent leurs queues, ils se branlent en s’approchant encore.
— Je vous amène ma fille. Elle aime la bite, c’est une vraie salope…
c’est comme un signal...les types se ruent sur nous, ils nous fouillent durement avec leurs doigts, ils nous cambrent, nos culs sont écartés, nos cuisses bien ouvertes, appuyées sur le béton, et un type me prend la chatte d’un coup sec. Il me lime comme un dingue. Je vois maman déjà à quatre pattes et une bite dans la bouche tandis qu’un jeune l’encule à la hussarde. On nous claque le cul, on nous enfourne d’office des queues, propres ou sales voire très sales dans la bouche, on décrasse tout ça en suçant comme des folles... on y est ! Je me sens pute… j’adore entendre râler les mecs qui m’enculent, qui alternent dans mes trous des coups d’une violence hallucinante…mon anus ne se referme plus tant on y introduit de la bite. Je suis un trou. La première giclé de jus est épaisse et elle arrive sur ma langue. Je nettoie cette queue puante d’un vieux qui jouit tellement fort qu’on dirait qu’on l’égorge. Tout le monde rit et c’est reparti. Maman est sodomisée par son baiseur habituel… je reconnais sa chemise à carreaux ! Et là, je reconnais même son visage : Le plombier ! Ce salaud de plombier baise ma mère en me regardant. Je sais qu’il m’a reconnue. Il l’encule à fond en lui claquant le cul.
— Ta mère, c’est ma pute, et gratuite, en plus ! Depuis le temps, je l’ai remplie de plusieurs litres de crème. Et toi, je vais te ravager tes trous comme on fait chez moi !
Maman jouit...elle hurle, elle dit que oui, je suis bonne à vider les couilles au Maghreb ! Que je serai fabuleuse, si blanche et douce, ramonée par des gars costauds et montés comme des ânes dans des bordels… Elle se lâche, maman… ! Et j’en profite…
— Papa m’emmène en Afrique dans quelques jours…
Elle me regarde, hébétée. C’est si drôle de la voir à ce point d’un coup décontenancée et secouée comme un prunier et embrochée comme un poulet par le plombier et un gros poilu qui gicle dans sa bouche...
Le plombier rit. Il dit que je vais être empalée, là-bas. qu’ils ne me lâcheront pas. Que mon petit papa, il rentrera sans sa princesse qui sera baisée par des dizaines de mecs chaque jour. Trop belle, trop parfaite, si jeune et la peau si laiteuse… je serai vide-couilles des années durant sans relâche. Je jouis. Une putain de jouissance … ! L’homme en moi gicle au fond de ma chatte et quand il se retire, maman se jette sur mon minou qu’elle me broute avec passion. Ohhhhh ! Je fonds ! Ma maman adorée...quelle pute...puis sa langue nettoie l’intérieur de mon anus dans lequel je sens stagner un liquide visqueux et odorant, mélange de sperme et de caca… elle aspire je suis au bord de l’implosion. Les mecs regardent en riant les deux connasses que nous sommes et qui font tout, tout.. tout. Le plombier se jette sur moi, il repousse durement maman puis il m’encule. Il me ramone un peu et il présente sa queue luisante à maman qui le suce. Il recommence une dizaine de fois ainsi. Maman fait bien son boulot. Il éjacule dans mon trou. Il essuie sa bite dans les cheveux de maman, il la force à respirer mon cul, elle avale la liqueur qui s’écoule. Il se relève et il laisse le champ libre aux mecs qui se jettent sur nous. Ils sont maintenant une vingtaine. Nos trous sont béants, les coups de bites sont accompagnés de cris rageurs des baiseurs, de glapissements des soumises… le visage de maman est contre le mien et on nous encourage à nous embrasser. On le fait, nos langues se lient...on se laisse du temps pour se regarder, savourer cette douceur dans ce monde de rut… Un type en profite pour sortir d’un trou de maman et venir gicler sur nos deux bouches liées. On savoure le jus, on le prend en bouche, on se le donne, on le reprend, on le recrache au fond de la gorge de la pute d’en face… que j’aime ça… puis maman se régale du sperme et de ma salive qu’elle avale comme la chienne dépravée qu’elle est. J’ai perdu un escarpin mais très vite, on l’a retrouvé et on l’enfonce dans ma chatte tout en m’enculant. On est maintenant couchées sur le dos côte à côte. Je pense à ma Léa… elle a plutôt bien pris notre escapade avec maman. Elle va adorer quand je vais lui raconter. Elle ne va pas vouloir que je prenne une douche, elle va me lécher de la tête aux pieds. Mes adorables petits orteils crasseux de jus, de tout, elle va les sucer longuement, rien que cela me fait partir en vrille, je jouis ainsi souvent...oh, ma douce Léa, ma chérie… et quand elle va sentir cela : les hommes font cercle autour de nous. Ils se sont tous bien vidés les couilles. Maintenant, ils tendent leurs queues et...ils nous pissent dessus. Je ne m’y attendais pas, maman, oui. Les jus dorés viennent petit à petit mais au bout de vingt secondes, on est couvertes d’urine. On pue, j’adore ! Je vois maman qui reste la bouche ouverte et trois mecs visent sa gorge ! Une performance de dingue ! Elle laisse sa gorge se remplir sans ciller. La reine des putes, c’est bien elle. Si je veux devenir comme elle, je dois faire pareil. J‘ouvre la bouche. Aussitôt, on me la remplit de pisse. C’est immonde mais je tiens bon. On est maintenant mouillées comme si on sortait de la douche. Les jets cessent. On s’assoit sur le sol humide. Maman avale et elle rit. Je fais de même et je grimace sous les vivats des hommes heureux. On nous rend nos manteaux. On ne les met pas, on revient à la voiture accompagnées de plusieurs types avec lesquels on discute, comme des amis. Le plombier est parti de son côté. L’un des gars veut encore que je le suce. Je le fais et il gicle en peu de temps dans ma bouche. Maman sourit et elle me dit de ne pas avaler, que Léa sera ravie d’avoir un peu de jus en cadeau… je trouve l’idée excellente. On utilise nos manteaux pour ne pas salir les fauteuils et on part. Maman ne parle pas mais elle me regarde avec fierté. Elle glisse ses doigts dans ma chatte, elle le fait plusieurs fois pour ensuite sucer le nectar de la soirée. Je souhaite juste qu’elle en laisse pour ma nana, en plus de ce que je garde précieusement en bouche.
Maman m’a laissée devant chez nous et elle est rentrée chez elle. Ma douce Léa dort. Je la réveille en douceur. Elle est heureuse puis elle grimace en sentant l’urine sur moi, le jus de mâles… je lui relève délicatement le menton et elle comprend que je vais lui donner la becquée. Elle ouvre la bouche et je laisse s’écouler le sperme dans sa gorge. Elle gémit de plaisir. Alors je fais comme on fait maintenant, avec elle ou maman… je crache dans sa bouche, elle se gargarise de ce jus épais, mousseux, elle avale...puis elle me viole. Comme prévu, elle attaque mes pieds,elle me lèche les orteils , elle me chatouille puis elle lèche la pisse. Elle enfonce ses doigts dans mon minou, elle est subjuguée par la béance de mes trous.
— On dirait le gouffre de Padirac !
Et comme pour s’en convaincre, elle met sa main dans ma chatte ! Elle me fiste ! Je gicle de bonheur… et pour m’achever, sa deuxième main entre de moitié dans mon cul. Là, c’est le paradis… je veux être baisée par une armée ! Je me sens devenir folle de bites, de sexe. Il est déjà loin, le sex-shop.
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Afrique, nous voilà !
La chaleur nous prend de façon agressive dés la sortie de l’avion. Un taxi nous emmène rapidement au port autonome de Dakar. Papa y a un rendez-vous dés ce midi pour son boulot. Notre hôtel est tout près de là mais je souhaite rester avec lui pour humer cette ambiance de port que j’aime tant et la comparer avec celle déjà si particulière de notre bonne vieille ville. Un homme nous accueille dés notre arrivée. Il discute beaucoup avec papa de nouvelles normes, de fret, de taxes et je ne comprends rien… Le bureau dans lequel ils s’engouffrent est exigu et je préfère rester au soleil à flâner. Je marche lentement sur le quai dans une zone prévue pour la circulation pédestre des employés. Des gars me saluent en souriant. Ils s’affairent avec des engins de manutention autour de containers, d’énormes sacs de marchandises diverses, ça grouille de vie. Et moi d’envie. J’entre sous un vaste entrepôt. À ma grande surprise, il est quasiment vide. Un homme déboule dans mon dos. Il m’engueule. Il me dit que je n’ai rien à faire là que c’est dangereux. La cinquantaine, la chemise impeccable, la cravate droite et l’air grave, on dirait le patron des quais.
— Pardon Monsieur… j’attends mon père qui est en rendez-vous avec Monsieur Diop…
Il semble étonné. Il se radoucit.
— Et il est venu avec sa fille ? Enfin bon, s’il veut. Mais vous savez un accident est si vite arrivé…— Les gens qui travaillent ici ont l’air sympas…— Oh ! Je ne parle pas d’une agression mais bien d’un risque de vous faire écraser par exemple. Et ça serait dommage…
Je souris. Lui aussi maintenant. Je regarde sa queue durcir dans son pantalon. Il s’en aperçoit et il semble gêné. Je ne vais pas le lâcher…
— Et dans ce coin, ça semble si sombre…
Je lui indique le fond de l’entrepôt effectivement plongé dans une pénombre assez prononcée. Les larges spots dans cette partie-là sont éteints.
Je recule vers cette zone tout en soulevant mon tee-shirt. Il comprend…
La minute suivante, je suce sa bite. Un gourdin nerveux qui coulisse parfaitement dans ma bouche de salope. Je lui dis que je veux son jus au fond de mes trous. Il se contracte un instant pour ne pas gicler. Je me relève et j’ôte tout… je me mets en mode pute à jus et il me saillit. Il m’attrape les hanches et il s’enfonce entièrement dans ma chatte en soufflant fort. Il accélère la danse et je commence à gémir...il me dit que je suis la pute blanche la plus rapide à le chauffer ainsi. Je lui demande en commençant à jouir si il en baise souvent des françaises et il dit que ça lui arrive. Et quand je lui dis que mon père m’encule, il adore, il me démonte le minou et il ne tarde pas à gicler dans ma chatte. Un flot puissant s’enfonce en moi… Quand il me relâche, il rit. Il se rhabille sans un mot de plus et me laisse là, souillée et trempée par cette moiteur sous cet entrepôt étouffant. Je retrouve papa à la poignée de mains qui clôt cette première visite. Il semble satisfait.
— On file à l’hôtel. Une bonne douche et on se trouve un restaurant sympa ?— J’ai une faim de loup…
La chambre réservée par l’entreprise de papa est assez spacieuse avec vue sur le port. Il a décidé de garder cette chambre avec un seul lit. Je reconnais facilement les entrepôts. À l’opposée, la zone des hydrocarbures, des pétroliers. Je le suce en le regardant dans les yeux. Il semble très content de lui. Assis sur le bout du lit, il me fait signe de l’enjamber et de m’empaler en m’accroupissant sur sa tige que j’ai fait durcir…je râle de plaisir… il mordille mes tétons. Une fois nus, on a laissé provisoirement l’idée de la douche tant on avait envie de baiser. Maintenant, il tape avec vigueur le fond de ma chatte.
— Papa...j’ai sucé un Monsieur en t’attendant, sous un entrepôt…— Petite pute… tu as aimé ?— Oh oui, alors je l’ai laissé me prendre le minou et il a giclé en moi.— Je me disais bien que ça sentait le sperme… salope, tu m’ as bien eu avec ça, je vais…. Je jouiiiis !
J’adore voir ses traits se crisper quand il me "féconde", moi, sa fille, son bébé. La queue de papa qui éjacule en moi, c’est comme la chatte odorante de maman sous ma langue, le paradis…
— Oh ma chérie, ma pute à blacks…
J’ai bien entendu ? Je souris, conquise ! Il a bien pensé à me faire plaisir, alors ? Cela veut-il dire qu’on ne va pas partir au hasard chercher une queue par-ci par-là ? Je veux savoir ! Je me retire et tout en nettoyant sa bite avec ma langue, je l’invite à en dire plus, lui qui depuis des jours ne m’a répondu que par des sourires et un silence agaçant à chaque fois que j’ai évoqué le "sexe qu’on allait faire là-bas"…Ici désormais.
— Tu sais ce que tu vas faire de moi ? Tu as prévu quelque chose en mon honneur ?— Disons que je sais où aller.
Je jubile. Je pense alors à ma petite femme, ma Léa. Je vais l’appeler tout à l’heure. Nos messages sont trop courts, j’ai besoin d’entendre sa voix et je sais qu’elle aussi… Papa m’embrasse dans le cou…
— Robe légère, sans soutien-gorge ni culotte.
Je ris et il part se doucher. j’en profite pour appeler Léa...
— Léa ma princesse… ? Ça va bien ?— Oui… mais tu ne vas pas être contente…
Oh ma Léa...qu’est ce qu’elle a fait, encore ?
— Le plombier...Il est revenu. Avec trois gars. Ils voulaient te parler parce qu’il t’ a vue faire la pute sur les quais alors il voulait te démonter le cul avec ses potes… mais comme tu n’étais pas là, il a dit qu’avec moi ça le ferait aussi…— Tu as dit oui ?— Oui. Baisée trois heures. Puis on m’a fait enfiler des escarpins , les tiens, désolée, un manteau puis … ils m’ont emmenée dans une sorte de grand bâtiment au nord de la ville. Il y a des dizaines de mecs, on dirait des gars qui n’attendent rien d’autre que de passer la frontière pour aller ailleurs…— Bin oui ma puce, c’est bien ça…— Bon bin je suis toute nue, j’ai juste le droit et le temps de te parler un peu parce que Rachid, le plombier, il va ouvrir la porte dans une minute et ils attendent tous pour me baiser et me remplir de jus.— C’est cool ma chérie ! Tu vois, pas la peine d’aller en Afrique pour t’amuser…— Je mouille comme une vraie salope… oh mon dieu, il ouvre la porte...ils sont des dizaines… je te laisse, Rachid veut te parler je t’aime !— Je t’aime chérie, amuse-toi bien…
Puis Rachid prend le téléphone, il rit en criant en arabe puis en français aux gars qui doivent maintenant se jeter sur ma nana, de bien s’amuser.
— Salut salope… bon, ta copine est en de bonnes mains. Elle est déjà prise par une bite énorme dans sa chatte et elle suce un gourdin hors calibre. Dommage que tu ne sois pas là… tu reviens bientôt ?— Je pense faire élargir mes trous par le port de Dakar. Une semaine et je reviens. Prends soin de ma petite chérie.— Promis. Je la surveille, personne ne va lui faire autre chose que la prendre par tous les trous et la nourrir au jus, promis…salut belle nana !— Bye, à bientôt…
Je suis rassurée, Léa est heureuse. Je me prépare à mon tour et papa m’emmène dans un petit restaurant sympa du sud de la ville. Il y a des grands buildings pas loin, des quartiers plutôt sympas et chics. On mange bien et mes cuisses ouvertes sous ma robe si courte révèlent à d’autres clients ma chatte de pute que j’ai bien épilée pour l’occasion. On part ensuite vers la Médina. On tourne pas mal en taxi et papa en profite pour me doigter. Le chauffeur est aux anges. Il mate sans vergogne dans le rétroviseur les doigts de mon père qui s’enfoncent loin en moi et qu’il offre à ma bouche pour que je les suce ensuite. Quand je prononce "papa", le chauffeur manque de se prendre un trottoir. Puis on s’arrête devant un long entrepôt. Papa semble savoir où il va. Il paye le taxi qui s’éloigne à regret puis on entre directement par une petite porte de service. On arrive tout de suite dans un vaste local ou une dizaine de secrétaires s’affairent devant des ordinateurs, le téléphone à la main. Ce brouhaha nous brasse. Un homme à l’autre bout de la salle nous fait signe en souriant de le rejoindre. Il nous accueille en riant. Il salue mon père avec des grandes embrassades. Papa me présente ensuite. l’homme me serre la main, ravi. Il a la cinquantaine, jovial et grand, il me fait penser aux joueurs de basket de la NBA. La démarche nonchalante mais le geste vif…on le suit dans un grand dédale de couloirs. Puis on descend des escaliers sombres qui nous mènent à une sorte d’immense cave où sont entreposés des cartons emballés sur des palettes. Des centaines, des milliers de cartons. Papa est content de ce spectacle. On ne voit pas le fond du bâtiment tant le plafond est bas et surtout, la salle mal éclairée. On me dit que c’est pour préserver les denrées qui sèchent dans ces conditionnements. Papa et l’homme, Omar, discutent des affaires, de la vie en général. Apparemment, papa n’a rien à négocier ici, il s’agit juste de la marchandise déjà achetée auparavant et dont il vient "prendre" des nouvelles pour la livraison proche… Puis Omar me regarde…
— Alors voilà la jolie Lola. Votre père me dit à chaque fois que l’on se voit tellement de belles choses à votre sujet.— Merci Monsieur…
Je ne sais pas sur quel pied danser. Je pense que papa ne mélange pas le sexe et le boulot. Mais…
— Tu as envie de voir ma grosse queue, petite pute ?— Oui Monsieur…— Fous-toi à poil, et va au fond…
J’obéis. Papa me regarde fièrement. Omar est subjugué par mon corps qui se dévoile à lui. Une fois nue, il se touche le pantalon. Je repère déjà une énorme bosse dans son caleçon mais j’obéis encore et toute nue, je vais au fond de l’entrepôt. Je les entends parler dans mon dos. Omar dit que je suis parfaite, qu’il est rassuré parce qu’il ne se sent pas lésé par rapport aux négociations passées avec papa. Je marche et je m’enfonce dans une sorte d’obscurité et de moiteur qui me brassent les sens. Il y a à droite et à gauche des allées sombres dont je ne vois même pas les murs du fond. Mes pieds nus marchent dans un peu d’eau. Je tremble d’envie, d’excitation. Les voix dans mon dos sont désormais lointaines. Soudain, je vois assis sur une palette trois hommes en train de me mater. Ils sont torses nus. Du même acabit qu’Omar. Je continue. j’hésite mais aucun ordre ne m’est donné. Les trois hommes me suivent. Ils marchent à un mètre de moi, sans un mot. Puis je vois encore deux hommes qui attendent devant. Le reste de l’équipe de basket ?… je ris intérieurement…Un des hommes se place devant moi. Deux autres, sans un mot, me soulève du sol, ils m’écartent les cuisses à hauteur du premier. Je suis ouverte et offerte, incapable de faire un geste. Alors l’homme sort une queue énorme. Il crache sur ma chatte puis il enfonce son gourdin en moi avec une vigueur incroyable. Il me défonce le minou, et au bout d’à peine deux minutes, il jouit en râlant dans mon intimité. Je suis reposée à terre, à genoux. La queue souillée m’est présentée et je la suce, je nettoie tout. Une main puissante me pousse en avant aussitôt. Pas un mot, encore. Ce silence relatif m’impressionne, me tord les tripes et j’adore. Je me cambre au mieux et un des gars s’enfonce d’un coup en moi. Il me laboure longuement…j’aperçois les pieds des autres hommes. J’en compte maintenant dix. Mon baiseur jouit à son tour et un autre prend sa place. Je reste dans cette position. Je pense qu’on va varier mais non, l’homme tasse lui aussi son jus puis le suivant et les autres… "L’équipe" entière m’est passée dessus. Ma chatte est bien ouverte et du jus s’en écoule en continu. Quand je me relève, les mecs ne sont plus là. Je regarde derrière moi, je ne vois plus papa et Omar. Je crois être seule. Pourtant, le fond de l’entrepôt est loin alors je marche encore… puis je vois un matelas au milieu de l’allée. Un bol d’eau à côté. Je m’assois sur le tissu moelleux et doux, amusée. Soudain, je crois entendre une voix de femme qui glapit, qui jouit… Je crois que cela vient de plus loin encore...
J’entends des pas. Un type arrive. Un vieux baraqué. Il ôte son pantalon. Sa queue est démesurée. Sans un mot, il m’écarte brutalement les cuisses, il me place dans la position qu’il veut puis il me prend la chatte. Il se vautre sur moi en grognant et il me laboure le minou en scrutant mes traits, ma beauté… il bave et il donne des violents coups de bite au fond de ma chatte. Je commence à fondre de plaisir. L’homme accélère la cadence. Il me caresse partout, il semble déjà fou de mon corps et il ne tient pas, il explose et gicle dans mon trou déjà bien inondé de pute. Il se relève en riant et sans que je n’ai le temps de bouger, un autre type surgi de nulle-part se couche sur moi et me pénètre aussitôt. Il me baise furieusement. En deux minutes, il s’est vidé les couilles au chaud au fond de mon minou. Il recule puis il part. Je reste seule une minute et j’ai soif alors j’hésite. Je renifle l’eau du bol et je bois. Elle est bonne et fraîche. Alors un autre homme arrive. Encore un vieux. Il range son portefeuille dans la poche arrière de son pantalon qu’il retire sans un mot, le regard éberlué par la sublime toute jeune salope blanche et déjà souillée qui attend sa bite. Il hésite… il s’agenouille devant ma chatte, il me touche il me doigte. Puis il me prend, en extase. Il jouit très rapidement. Dés qu’il se relève, un autre homme arrive. Il le pousse gentiment pour l’obliger à lui laisser la place..
Mon minou est ainsi visité quarante-sept fois. Juste mon minou. Puis plus rien. Alors papa et Omar apparaissent. Ils sont joyeux. Je comprends qu’ils ont bu un verre en attendant que tous ces hommes me sautent. Papa est admiratif et fier de moi, je le vois. Omar sort sa queue.
— Tourne-toi putain, je vais t’enculer…
Je le fais et me cambre au mieux. Enfin ! Une queue dans mon cul qui ne réclame que cela… Omar n’a pas à forcer. Je suis une enculée régulière et j’en veux toujours plus désormais. Le sentiment de frustration lié à tous ces hommes qui avaient visiblement la consigne de ne pas me prendre le cul est déjà éteint. Omar m’en-cule, oh pu-tain ! Quelle queue, quelle jouissance ! Je jouis si vite du cul quand j’en veux tant, et là... là ! Il me ramone le conduit à merde dix bonnes minutes. Il me parle en même temps, je comprends définitivement que je suis celle qui a bien fait avancer les négociations. Il m ’explose le cul et il me le remplit de sa crème épaisse. Quand il se retire, je jouis encore.
— Merci pour ta fille, c’est une vraie pute à blacks, maintenant.— Merci Omar. Ton avis vaut certification ! Lola, tu es heureuse ?— Tellement, papa… mais...j’ai entendu une voix de femme, plus loin ?
Omar sourit. Il nous fait signe de les suivre. On avance dans le noir d’une trentaine de mètres. À droite, dans une allée, un autre matelas. Dessus, nue, une blanche qui se fait laminer la chatte par un jeune. La femme a la trentaine.
— C’est une journaliste-reporter française. Elle travaille pour une grosse chaîne de chez vous. Elle a fait un jour un reportage avec son équipe sur le port de Dakar. Le soir, elle est revenue seule. On l’a baisée à vingt toute la nuit. Maintenant c’est une régulière. Elle est actuellement en vacances. Huit jours sur ce matelas à se faire enfiler non-stop. c’est une accro. Des dizaines et des dizaines de gars l’ont déjà prise, depuis cinq jours . Des fois, elle prend une pause. c’est elle qui décide de cela. Elle n’est forcée à rien, elle aime ça. Comme toi, Lola… et comme toi, son cul m’est réservé, à moi et mes associés. On est ainsi quatre à l’enculer de temps en temps.
Je scrute son visage et je reconnais alors cette reporter qui passe parfois dans ses reportages, au JT du soir… quelle pute superbe ! Elle nous voit et elle sourit. Elle n’a pas peur de se faire reconnaître ou dénoncer, ma nudité et le jus qui coule de mes trous sont les cautions d’un secret qui restera bien gardé, elle le sait.
— On a aussi baisé une fois la fille d’un Ministre de chez vous… Une comédienne revient aussi régulièrement. Elle joue si mal dans vos séries niaises mais quelle salope !…— Mais vous avez aussi femmes aussi salopes, non ?— Bien sûr ! Il y a des salopes dans tous les pays.
On revient vers "mon" matelas. Je pense qu’on va s’en aller mais papa demande à Omar de me garder jusqu’à vingt heures puis il viendra me rechercher. J’embrasse papa, je suis aux anges… Alors les mecs arrivent à la queue le leu… souvent, ils rangent leurs portefeuilles en arrivant…Ce que préfèrent la plupart de ces mecs, c’est de me prendre quand je suis sur le dos, ma chatte rosée très ouverte, et qu’ils enfoncent leur gourdin noir au fond de blanche-neige… ils adorent baiser de la toute jeune femme blanche que je suis en la traitant de pute dépravée… le matelas devient humide de jus. Ma moule est béante et remplie. Les hommes se vident sans vergogne, il adorent aussi me tenir les seins pendant qu’ils giclent. Je vois soudain la journaliste passer à côté de moi. Elle s’accroupit pour regarder un jeune black jouir en moi. Sa moule à elle, c’est un carpaccio de salope. Des grosses goutte en tombent et s’écrasent au sol dans un bruit mat.
— Je peux vous nettoyer la chatte avec ma langue ?
J’en ai tellement envie ! Elle hésite, émoustillée, puis elle m’enjambe et elle pose son intimité au dessus de mon visage. Les mouvements de son bassin expulsent des longues giclées de foutre que je reçois dans la gorge. Je me relève pour lui aspirer la moule, j’ai l’impression d’avaler des litres de jus. La salope grogne de plaisir quand ma langue va chercher au fond d’elle la crème qui y est tassée. Le mec qui me baise nous traite de truies. Il en perd son contrôle et il gicle aussitôt en criant son bonheur. La journaliste se redresse ensuite. Elle sourit, harassée mais heureuse. Elle me dit qu’elle va dormir à son hôtel et qu’elle revient demain mais qu’avant tout, elle va se faire enculer par Omar et ses associés. Seule et offerte, je reste les cuisses écartées encore quatre longues heures avec des pauses que je m’octroie pour boire un peu et détendre mes jambes. Un mec me dit que je ne suis pas chère pour une blanche aussi magnifique. Je m’en fous de ça , je veux de la bite et du jus en moi. On me baise à la chaîne. Je sens la vigueur de chaque homme qui profite à fond de mon corps de gamine-pute… Il y a des dockers, des habitants du coin et pas mal de soldats qui se vident les couilles dans ma chatte. Vers dix-neuf heures trente, Omar vient me chercher. On discute un peu en retournant vers l’entrée. On ne passe pas par les bureaux des secrétaires mais on entre dans une petite salle ou nous attendent trois types. Omar me demande de me mettre à quatre pattes. j’obtempère et aussitôt il crache sur mon petit trou qu’il force avec son énorme gland. Il m’encule tranquillement tout en discutant avec ses associés. Il leur dit que je suis une bonne chienne et que je rapporte bien plus que prévu avec le contrat passé avec mon père. Il m’encule alors sauvagement, il me fait hurler de douleur et de plaisir puis il tasse sa crème bien au fond de ma boîte à merde. Il se retire et un autre m’encule aussitôt. Il se déchaîne dans ma cheminée brûlante et il me fait jouir du cul. Ils me défoncent tous le trou avec force puis ils le remplissent de leur sperme épais. Je reste le cul ouvert, béant de longues minutes, puis papa arrive. Il rit en me voyant ainsi.
— Oh ma fille chérie, mon bébé, quelle pute tu es, une vraie chienne sans pudeur...Ma douce Lola, ce que je t’aime…— Elle est parfaite, ta fille ! j’espère que la mienne va s’y mettre… je l’ai déjà fait sucer mes associés…
Je peux me rhabiller. On rentre à l’hôtel. Papa n’ a pas dit "à demain" aux gars. Je ne demande rien, je suis comblée et papa aussi. Je préfère ne pas savoir. Ce que je sais, c’est que Léa vide les couilles depuis des heures. Rachid m’a envoyé une vidéo. En escarpins et bas résilles largement déchirés, elle est saillie par une meute compacte d’hommes qui la prennent par tous les trous sans arrêt. On dirait une grosse fête et les mecs se bousculent pour la toucher, la prendre. Je ris de bon cœur. Je connais bien ses traits qui se détendent quand elle jouit et là, elle semble jouir sans arrêt. Elle est tellement parfaite en connasse humiliée par des mecs qui l’utilisent comme un réceptacle à foutre…avec moi, on dirait un match à distance. Je rejoins papa sous la douche et je m’accroupis. Il me pisse dans la bouche et je le suce lentement. Je me dis que tout va si vite... Léa, moi… même maman est dépassée en la matière parce que l’on fait, ce que l’on est devenues en si peu de temps.
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