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Mes parents et moi

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Julien, j’ai 25 ans, pour ne rien oublier, je vais vous présenter mes parents, Alain et Florence, âgés tous deux de 42 ans, ils m’ont eu très jeunes…
L’histoire s’est passée il y a environ 4 ans. J’ai décidé, un soir après le repas, d’avouer mon homosexualité à mes parents. Contre toute attente, mon père l’a mieux accepté que ma mère. Elle avait plutôt l’air déçue, désolée de mon aveu. Je n’ajoutai rien, je me suis dit qu’il lui faudrait peut-être un temps de réflexion pour accepter la situation.
Mes parents ont des connaissances homosexuelles avec qui le courant passe très bien, ils sont de nature plutôt ouverte d’esprit. Je m’en étais déjà rendu compte lorsque je les entendais évoquer certains sujets avec leurs amis… Quelques jours après leur avoir dévoilé mon secret, je suis allé sur un site de rencontre gay, et étant attiré par les hommes d’un certain âge, dotés d’une expérience plus développée, mes recherches se concentraient sur des hommes de plus de 40 ans. Vint alors me parler un homme, âgé de 45 ans, n’habitant pas très loin de notre maison.
Tout en discutant avec cet homme, il me dit que mon visage lui rappelle quelqu’un, une personne qu’il aurait jadis connue. Il me questionna, beaucoup, et mes réponses ne lui laissa aucun doute, il me dit alors :
— N’aurais-tu pas dans ta famille une personne nommée Alain ?— Oui lui dis-je, mon père s’appelle Alain.— Je l’aurai parié me répond-il, vous vous ressemblez comme deux gouttes d’eau.— Il est vrai que je ressemble assez fort à mon père. Mais une question me vint à l’esprit, qui était donc cet homme mystérieux ? Il ne me restait qu’à lui poser la question ?— Puis-je savoir comment tu connais mon père ?— C’est simple, me dit-il, j’ai fait mon service militaire avec lui il y a de ça 25 ans, mais tu lui ressembles tellement que ce visage m’est revenu en mémoire.— Eh bien, on peut dire que le monde est petit.— Le monde oui, me répond-il, mais pas le sexe de ton père, dans mon souvenir, il était bien monté et je suis certain que de ce coté là aussi tu dois lui ressembler…
Mon cœur commençait à battre de plus en plus vite, j’avoue que cette discussion commençait à m’exciter légèrement… Très intrigué, je lui demandai :
— Tu as vu le sexe de mon père ?— Oui, me dit-il, et plus d’une fois, et entre nous, je n’ai pas fait que le regarder, tu sais à l’armée, les hommes ont des besoins qu’ils doivent être satisfaits…— Euh, tu insinues que tu as couché avec mon père ?— Oui, plus d’une fois, d’où le fait que je m’en souvienne très bien…
Il n’en a pas fallu plus pour me provoquer une érection très intense, je comprends mieux maintenant pourquoi mon père ne semblait pas déçu que je sois gay. Cet homme, qui en fait s’appelle Roger, m’a expliqué en détail ce dont il se souvient d’avoir fait avec mon père… J’en était sur le cul, sans mauvais jeu de mots. Je n’en revenais pas que mon père avait eu des relations homosexuelles dans sa jeunesse. Mais alors, était-il bi au fond de lui ? Gay refoulé ? L’excitation et les pensées qui me vinrent me poussèrent à vouloir découvrir la réponse à ces questions.

La discussion virtuelle avec Roger s’est poursuivie jusqu’à 2h du matin, au moment où je me préparais à aller au lit, j’entends, comme des gémissements, des soupirs. Aucun doute sur ce qu’il se passait, mes parents étaient entrain de faire l’amour. Tout en les écoutant, l’érection de tout à l’heure réapparait rapidement. Je commence à me caresser, à me masturber… Je parviens à entendre des phrases :
— T’aime ça ?— Oui tu suces trop bien, continue salope— Je continue si tu me la mets dans le cul après…— Oui, lui répond-il, tu sais que j’adore les cul serrés…
Rien qu’à entendre ça, une montée de sperme interminable se mit à sortir de mon sexe raide. Et ce que je venais d’entendre allait être pour moi le prétexte pour oser aborder une discussion avec mon père le lendemain… Ayant pensé aux souvenirs de Roger, ayant entendu les ébats de mes parents, me vinrent alors des pensées que la morale réprouve, mais cela devenait de plus en plus excitant…
Le lendemain, mon père était au jardin, occupé à élaguer les arbres, j’en profita alors pour venir l’aider et je savais que cela serait le moment opportun pour aborder une discussion avec lui. Cet après-midi, il faisait plutôt beau, il portait un short en jean’s assez serrant qui mettait certaines formes en évidence ainsi qu’un marcel blanc qui laissait à pleine vue sa musculature développée. Je portais un t-shirt et un short de plage…
— Comment vas-tu lui dis-je ?— Bien et toi ?— Bien mais j’aimerais te parler…— Tu as une autre nouvelle à m’annoncer ? Tu ne préfères pas en discuter en présence de maman ?— Non pas pour l’instant, je préfère seul à seul avec toi…— Bien Ju, dis-moi…— Ne m’en veux pas, mais hier soir je suis resté assez tard sur mon PC, je discutais avec un ami, je me suis mis au lit vers 2h environ et…
Je vis alors apparaître sur le visage de mon père, un petit sourire en coin, sachant très bien de quoi j’allais lui parler, je n’eu le temps de terminer ma phrase qu’il me dit :
— Et tu m’as entendu avec maman ?— Oui, j’espère que ça ne te met pas mal à l’aise mais oui j’ai entendu et écouté…— Non, je ne suis pas mal à l’aise, me répond-il. Après tout ce que tu as entendu, tu aurais pu l’entendre de n’importe qui, n’importe où, c’est naturel.— Oui papa c’est vrai, tu as raison finalement…
Je tournai discrètement les yeux vers son entre jambes et m’aperçu assez vite que la bosse avait doublé de volume, de mon côté, cette ouverture d’esprit de sa part ne me laissa pas non plus sans effets physiques. Il me posa alors une question piège…
— Ce que tu as entendu t’a fait de l’effet ? Me demanda-t-il ?— Papa, c’est plutôt gênant comme question.— Oui, je sais, c’est pour ça que je te la pose, pour que tu puisses te libérer un peu… Alors ?— Je dois t’avouer que oui, ça m’a excité de vous écouter et d’entendre certains mots que tu disais à maman…— Oui, j’avoue que maman et moi on aime bien se lâcher un peu parfois, tu es assez grand pour le savoir.— Vous avez raison, il faut profiter de la vie comme on peut.— Exactement, mais dis-moi, tu as déjà essayé avec une femme ? Et quel style de garçon aimes-tu ?— Non, je n’ai jamais essayé avec une femme, j’y ai déjà pensé mais je ne l’ai jamais fait. Je crains ne pas être à la hauteur vu l’absence d’expérience avec les femmes. Pour ce qui est des garçons, je préfère les hommes mûrs, un peu de ton âge…
Je vis mon père rougir, un peu comme s’il se doutait de mes pensées… Sa bosse était toujours présente, la mienne aussi mais il ne le remarquait pas étant donné que mon short n’était pas moulant… Alors, il me répondit :
— Qui sait, peut-être qu’un jour, tu essayeras une femme, tu as le temps. Ah bon, s’étonna-t-il. Les hommes de mon âge ?— Oui papa, et à ce propos, j’aimerais te parler de quelqu’un à qui je parle depuis quelques temps, on ne s’est jamais vu, on ne fait que parler…— D’accord, je t’écoute…
J’étais, à ce moment, très excité et à la fois embarrassé. Quelle réaction allait-il avoir ? J’appréhendais une mauvaise réaction. Pris entre l’envie de poursuivre la discussion et l’envie d’y mettre fin et de partir, trop tard ! Il faut le lui dire…
— Est-ce que Roger c’est un prénom qui te parle ?
Il baissa la tête, mis la main devant sa bouche, d’un air inquiet… Sa seule réaction verbale fut :
— Et merde…— Papa, lui dis-je, Roger m’a expliqué votre jeunesse lors du service militaire, c’est un peu comme ce que j’ai entendu hier soir, cela m’a fait le même effet. Ne soit pas mal à l’aise. Rassure-toi, je n’en parlerai à personne.— Il vaudrait mieux n’en parler à personne, car ta mère n’est pas au courant, elle n’a jamais su ce qu’il s’est passé dans ma jeunesse.— Je me doute, et je comprends mieux maintenant ton ouverture d’esprit. Je te promets de n’en parler à personne. Mais, dis-moi, tu n’as plus jamais recommencé depuis ce jour ?— Non, mais j’avoue que ça m’a déjà traversé l’esprit, un homme ne fait pas certaines choses de la même manière qu’une femme et vice-versa.— Oui, il paraît que nous sommes doués à certaines pratiques…
Soudain, maman arrive, elle vient nous appeler pour le dîner… Alors du coup, il me vous vous abandonner, et je passerai prochainement quand maman sera partie pour vous expliquer la suite…
À très vite
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