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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Mes Patrons

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Je m’appelle Nadège A. j’ai 18 ans. J’habite à Lausanne (en Suisse), chez un couple où je travaille comme femme de ménage pour payer mes études. Je suis blonde, je mesure 1,62 m, des yeux bleus et une poitrine qui n’est pas énorme, mais dois assez respectable.
Mon patron est grand et sportif, sa femme est brune, pas très grande, avec une paire de seins que soutif arrive à peine à contenir. Il y a un mois, comme je n’avait pas cours, j’ai décidé de resté dans ma chambre pour étudié, quand je fut déconcentrée par des bruits qui ventaient de la chambre de mes patrons, que je croyais parti au boulot. Je prête l’oreille et glisse un oil par l’entrebâillement de la porte qui était mal refermée, et là j’aperçois un spectacle à vous faire monter l’eau à la bouche . Claude embrassait Nadine sur tout le corps. Sa bouche sur son sexe, il la léchait tandis qu’elle haletait, en se tordant de plaisir. C’était la première fois que je jouais le rôle de la voyeuse, et prise au jeu, j’attendait la suite.
Il pris les deux jambes de Nadine sur ses épaules, sa bitte cognait contre sa croupe offerte et tendue, laissant planer un doute sur la pénétration, car il la caressait avec son gland, de son clitoris jusqu’à son anus où il faisait de légères pression. Quelle bitte énorme il avait ! ! !
Il finit enfin par se faire engloutir par la belle chatte de Nadine, et elle ne tarda pas à manifester sa jouissance :
— Oh, oui ! Oui ! Oui ! Oh, ouuiiii ! ! ! Vas-y bourre moi, ... oh oui c’est bon ! Oh, oui je jouiiiiiiiiis ! ! ! ! !
De voir sa chatte brune enserrer fortement se beau membre, me fit mouiller. Il la bourrait de plus en plus vite. Elle eut un autre orgasme au montent où il jouit en elle, ils restèrent sans bouger un long moment. Puis il la prit par les fesses, et je me mis à trembler pour elle à l’idée qu’il allait l’enculer. Je pensait : ? il ne va tout de même pas l’enculer avec une bitte pareille ! Il ne pourra jamais y arriver !?
Mais les feulement stridents de Nadine arrivaient jusqu’à moi de plus en plus forts au fur et à mesure qu’il s’enfonçait dans ses reins. Quand il fut tout en elle, il attaqua son vas-et-viens puissant. Son visage à elle se crispa et elle eut un autre orgasme au montent où le mien inondait ma culotte et poissait mes doigts.
Nadine, trop occupée, ne m’entendit pas mais Claude se retourna et, libérant le cul de Nadine, s’avança vers moi, me pris par la main, et me jeta dans le conjugal à côté de Nadine qui, si gentil d’habitude, devint autoritaire, cruelle et imaginative. Je tremblais de tout mon corps et regrettais d’avoir regardé.
— Comme ça, petite salope, ça t’a plu ! Sale voyeuse ! Tu mérites une bonne leçon !Soudain Nadine s’écria :— En lève ton chemisier et ta jupe !— Mais ça va pas, vous ne pouvait pas.— J’ai dis quoi ! ! J’aime pas me répéter.

Alors je commence à déboutonner le chemisier. Quand Claude me l’arracha en me disant d’aller plus vite. Après ça, j’ai ouvert ma jupe et l’ai laissé tomber à terre. Nadine ne dit :
— Tu as de très jolie soulèvement, et t’es très sexy avec ton string. Maintenant je veux que tu me donnes ton soutien-gorge et ton string. Je exécute et enlève mes soulèvements, et je mets mes mains devant mes seins et ma chatte pour essayer de les cacher.
Puis elle dis :
— Allez, viens là ! Et enlève tes mains ! Que je puis voir ton joli corps A peine approche d’elle, les mains le long du corps, qu’elle m’introduit un doigt dans mon vagin
— T’as de la chance chéri, elle est pucelle ! J’étais humiliée, je me sentais plus bas que terre et j’essayais de protester :
— Vous n’allez pas m’obliger à . Une gifle s’abattit sur ma joue, et Claude commença à me ploter les seins, les fesses et ma chatte. Honteuse, je me laissai faire, de peur que Nadine ne me frappe à nouveau. Puis c’est le tour à Nadine de me ploter et Claude approcha sa queue de ma bouche.
— Suce-le, petit salope, et enfonce sa queue dans ta bouche jusqu’aux couilles ! !
Tant bien que mal, je pris sa queue et je l’ai pompée, jusqu’à qu’il éjacule dans ma bouche et il m’a forcé a tout avaler puis à bien nettoyer l’engin. Pendant que sa grosse salope de femme me suçait la chatte et abreuvait de ma mouille qui commençait à couler. Soudain, j’entendis Nadine dire :
— Elle est prête, mon chéri, elle mouille ! Et toi, ma petite salope écarte bien les jambes, il va te la mettre et bien à fond. Claude s’allongea sur moi et pointa sa grosse queue à l’entrée de ma petite minette. Et moi je le suppliais :
— Non, non ! Ne me prends pas, tu vas me déchirer ! Elle est trop grosse ! Aïe ! Aïïïe, j’ai mal ! ! !
Nadine l’exitait :
— Pousse, pousse, défonce-là, vas-y ! !
Elle prenait un vif plaisir à me voir souffrir :
— Détends-toi, salope, laisse-toi faire, tu vas voir comme c’est bon
— Doucement, doucement ! J’ai trop mal ! Aïe ! Aïïïïïïïïïïïïe ! ! ! !
— Quelle adorable petite chatte ! Quel régal de te voir miauler de plaisir !
Tu vois elle n’est pas trop grosse, ni trop longue, juste ce qu’il faut ! Moi je me trouvais ouverte démesurément, mais à présent, je n’avait plus mal, balançant la tête dans tous les sens, ne sachant plus se que je disais et se que faisais, je GEMISSAIS :
— Ohhhh ! ! ! C’est bon ! ! ! Oh, ouiiiii, je sens tes couilles qui cognent contre mes fesses, c’est bonnnnnnnnnnnnnn ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! Même impuissante et honteuse, je ne pus m’empêcher de jouir comme une pute et de prendre mon pieds. Il se vida en moi à grands coups de jets, en râlant.
Puis nous allâmes prendre une bonne douche et un bon repas bien arrosé à la cuisine. Tous les trois nous étions nus sur l’ordre de Nadine. Nous allâmes boire un verre de whisky au salon. Après 5 minutes il pris mon verre et me fis mettre en levrette et Nadine s’allongea devant moi, en me suppliant :
— Suce-moi !
— Mais, je veux pas !
— Suce ma femme et relève bien ton cul, petite salope ! !
Ses mains écartèrent mes fesses, puis sa langue me lécha le trou du cul. J’eus mal quand son gland pénétra, Il me faisait vriller sur son engin, mon anneau se décontracta et donna feu vert à cette immense bitte qui n’en finissait plus de rentrer dans mon anus.
— Ohh ! oui, vas-y, lèche-moi ma chatte ! Non ! Je veux que suce mon clito. Oh ! oui, oui ! Oh ! Ahh ! Aaah ! ouiiiiiiiii ! ! ! !
Cette pour moi la première fois que touche la chatte d’une femme, et pour me venger de ce que me faisait subir son salop de mari, j’ai décidé de lui enfoncé trois de mes doigts dans son anus, sans aucune preéparation.
— Ahhhhhhhh ! ! ! ! Salope, j’ai mal, enlève tes doigts ! ! !
— Non, non ! ! Je je veux t’enculer comme ton mariiii ! Ah ! OOOhh ! vas-y encule-moi plus fort ! Oh ! ! ! bonnnnnnnnnnnnn !
— Non laisse les c’est bonnn ! ! Oh !Ouiii ! !
Il m’a littéralement défoncée. Claude, heureux d’avoir pris mon pucelage, commentait :
— ?a au moins, c’est un dépucelage sans bavure ! Tiens, ma belle, prends ça, dans le cul ! Eh ! Quel cul T’en veux encore ? Alors, tiens, tiens ça salope !
Il me défonçait tant qu’il pouvait. Nadine plaquait sa chatte tant qu’elle pouvait contre ma bouche. Puis elle fit volte-face et s’occupa de mon bouton sa langue tendis qu’elle caressait les couilles de Claude.
J’eus droit à ma première jouissance anale. Claude, repu, nous quitta , mais ce ne fut pas fini pour moi, car Nadine s’occupa de moi encore pendant une demi heure.
Plus tard Nadine, qui était devenu toute douce m’accompagna dans la salle de bain, où elle me coula un bain moussant. Pendant plus d’heure nous restâmes dans le bain, elle me faisait de massage et me caressait partout.
Quand nous sortîmes du bain, elle me sécha et me passa de la crème sur tout le corps, puis nous descendîmes rejoindre Claude dans le salon. Je m’assit devant eux sur un divan, et c’est là qu’ils m’ont annoncé que désormais, je n’aurais le droit de porté qu’un joli tablier blanc coupé à la taille, mon soutien-gorge et un string. Dans le cas où je n’avait pas de string je ne devais porté aucune culotte.
Nadège
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