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Mes petites annonces

Chapitre 1

Gay
Mes petites annonces

Indépendamment du site de Lucie & Lisa, je suis inscrit sur d’autres adresses de lieux de rencontres et de partage. Sur l’un d’eux, dernièrement, j’ai lu le témoignage d’un mec qui racontait comment il avait fait des rencontres en passant des petites annonces de vente de sous-vêtements féminins, qu’il avait lui-même portés. Il expliquait que dans son annonce, les mots les plus importants étaient « essayage possible ». En effet, disait-il, les hommes qui lui répondaient savaient ce que cela sous-entendait.
Je me suis connecté sur le site où j’ai passé quelques annonces de recherche de rencontre. A ma grande déception, d’ailleurs, car j’ai constaté, que bien souvent, les réponses obtenues provenaient de mecs qui fantasmaient, mais qui, souvent, n’osaient pas aller au bout de leurs émotions et de leurs envies.

Dans la rubrique « adulte » de ce site, il y avait possibilité de mettre en vente des articles érotiques. J’ai donc passé une annonce accompagnée de ma photo en « tanga », la moins « osée », celle où on ne distingue que la bosse formée par mon sexe, disant la chose suivante :
"Homme propose de recevoir acheteur potentiel de mes sous-vêtements féminins. Je les ai portés.
Très bon état. Essayage possible.Premier contact par mail"
Mon annonce a été vue plus de 200 fois, mais sur toute la France. Dont 2, qui ont généré une réponse dans ma région. Une qui n’a pas donné de suite, et une autre d’un homme de 58 ans qui se disait très intéressé de savoir ce que j’avais à vendre. Comme vous vous en doutez, je n’avais rien de particulier à mettre en vente. Je pense que mon interlocuteur n’était pas dupe non plus, car je n’avais pas indiqué de prix dans la publication. Il me demanda, s’il était possible d’avoir des photos par mail des articles en question. Afin de le tester, je lui répondis que cela était difficile, car toutes les photos que je possédais de ces sous-vêtements étaient en « situation » sur moi, et plus « osées » que celle de mon annonce. Dans sa réponse, vu l’intérêt qu’il manifesta à ce que je lui en envoie une, je lui proposais un rendez-vous chez moi, pour lui exposer la marchandise. Message auquel j’ai joint une photo un peu plus explicite, mais ne dévoilant pas mon sexe.
Au rendez-vous convenu, l’homme se présenta chez moi. C’était un bel homme, grand et relativement mince qui allait vers la soixantaine, apparemment en bonne forme. Il était en jeans, et sous sa veste, il portait un polo de marque. Je le fis entrer dans mon salon, en lui proposant un café, qu’il refusa, me disant son empressement à voir les articles que j’avais à lui proposer.
Personnellement, je portais un legging et un tee-shirt, moulant tous les deux, sous lesquels je n’avais pas mis de sous-vêtements.
J’ouvris donc la mallette où je range tous ces « joujoux », et j’ai étalé sur le canapé mes divers strings, tangas et bas. J’ai bien vu à son regard, l’excitation commencer à monter chez mon visiteur, et à voir le commencement de bosse qui se formait sous son jean, il devait être nu en dessous, je ne doutais pas de l’effet produit, et de ce qui allait suivre.
Il me dit alors :

— Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je suis curieux de voir leur effet sur vous, si vous voulez bien me montrer les photos que vous n’avez pas souhaité m’envoyer.
Me doutant qu’il m’en ferait la demande, mon ordi était en veille sur le dossier contenant ces photos. Je lui fis dérouler le diaporama. L’effet fut certain !
— Magnifique ! dit-il, je peux les essayer ?— Bien évidemment, je lui répondis, vous êtes venu pour cela. Je vais vous laisser vous déshabiller. Voulez-vous que je sorte de la pièce ? — Non, je voudrais avoir votre avis sur l’effet qu’ils rendent sur moi, dit-il en faisant sauter son polo et en baissant son jean.
Il avait une belle bite, encore à demi-molle, dont le gland était entièrement recouvert de peau. Je songeais déjà au plaisir que je prendrais à décalotter ce beau morceau. Il s’apprêtait à saisir un string pour l’enfiler, quand je l’arrêtai brusquement.
— Vous m’excuserez, mais comme vous le voyez, ces articles sont dans un parfait état de fraîcheur et de propreté. Je suis très exigeant en ce qui concerne l’hygiène. — Oui, je vois ! Et alors ? me répondit-il.— Si cela ne vous dérange pas, je souhaite procéder sur vous, à une toilette intime, avant que vous essayiez ce string. Cela ne vous sera pas désagréable, j’imagine. — OK ! D’accord ! me dit-il, alors que je voyais dans ses yeux la lubricité remplacer la surprise que lui avait causée mon commentaire.
Je saisis la pochette de lingettes pour toilette intime de bébé, que j’avais préparée dans cette optique, l’ouvris, en pris une, et m’agenouillant devant mon visiteur, je commençais la toilette de ses parties intimes. Il ne bandait pas encore totalement, mais sa bite était déjà bien gonflée, à demi dressée. Je saisis délicatement la peau couvrant son gland et le décalottai doucement. Je sentis à entendre sa respiration devenir plus intense, qu’il appréciait ce que je lui faisais. Son gland entièrement décalotté, j’entrepris de passer la lingette pour bébé sur tout le pourtour de son gland en insistant particulièrement sur son frein. Sa bite était maintenant entièrement bandée, et toute dure.
Je lui proposai alors de s’allonger sur le canapé pour que je puisse parfaire sa toilette. Je n’eus pas à insister. La respiration haletante, il s’allongea, et souleva ses reins, quand je lui fis comprendre que je voulais mettre un coussin sous ses reins. Dans cette position, et prenant une lingette neuve, je caressai sa bite de son gland jusqu’à ses couilles, et profitant de sa position, mes doigts poussèrent la lingette dans la raie de ses fesses, en insistant plus particulièrement sur sa rosette. Mon visiteur geignait doucement.
— C’est trop bon ! Arrête ! Je vais jouir ! Non, pas encore ! Pas maintenant ! C’est trop bon, ce que tu me fais !
Il n’en pouvait plus ! Sa bite était dure comme du bois, son gland énorme. Je ne pus résister à l’envie qui me tenaillait depuis un moment. Je laissai tomber la lingette, et j’embouchai en totalité son sexe dans ma bouche. Agenouillé devant le canapé, sur lequel il était allongé, je pouvais le pomper à fond. Ma main ne resta pas inactive et trouva le chemin de son cul afin que mon majeur, bien lubrifié de ma salive puisse forcer l’entrée de sa rondelle. Le résultat ne se fit pas attendre. Ma langue caressa son frein, ma bouche pompant sa queue, et mon doigt lui limant le cul, il se libéra en déversant de grands jets de sperme dans mon gosier. Je ne l’avalai pas et posant ma bouche sur son sexe qui ramollissait, j’étalais une bonne partie de sa semence dessus. Puis je posai ma bouche sur ses lèvres, et forçant l’entrée de sa bouche avec ma langue, je lui fis déguster le reste de sa production.Il respirait doucement, les yeux fermés.
— Ouah ! C’était trop bon ! Je peux te le dire, maintenant, c’était une première fois pour moi. Je me suis déjà branlé avec d’autres mecs, mais avoir une relation comme ça, c’est la première fois. Par contre, j’ai honte, parce que je me suis pas du tout occupé de toi, et tu dois être frustré. C’est égoïste de ma part, alors que tu m’as fait tellement de bien. — Rassure-toi, lui répondis-je, j’ai pris un pied phénoménal à te faire du bien, car je pense que j’avais senti que c’était une première pour toi.
Et puis, j’ai rajouté :
— Tu n’as pas essayé les sous-vêtements, alors comme tu as du temps devant toi, et moi aussi, on peut boire un pot, manger un bout et reprendre les essayages après, si tu veux.
Il n’a pas eu besoin de me répondre. J’ai vu dans son regard qu’il était d’accord avec mon programme.
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