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Mes petites annonces

Chapitre 2

Gay
Mes petites annonces (2)

Après s’être relevé du canapé, mon « acheteur » s’apprêtait à remettre son jean et son polo. Je lui proposais d’enfiler simplement un de mes tangas, pour être plus à l’aise en prenant un pot et en discutant, pour se connaître un peu mieux.
Personnellement, je fis tomber mon legging et mon tee-shirt, et j’enfilais un string noir, en couvrant mes jambes de mes bas, noirs également.
Je lui proposais diverses boissons, et il opta, comme moi, pour un bon whisky de 15 ans d’âge.
Je lui demandais alors, s’il voulait voir certaines de mes vidéos, tout en sirotant son alcool. Il me dit être très intéressé à les visionner. J’enclenchais donc le diaporama de mes vidéos de branlettes sur mon ordi.

Tout en les regardant, nous avons commencé à discuter de nous. Il était marié, mais son couple n’allait pas fort, et il avait découvert récemment son attirance pour les hommes. Ne sachant pas s’il pourrait franchir le pas, et s’il y trouverait le plaisir qui le faisait fantasmer, il m’avoua avoir commencé à aller sur des sites homos, sur son ordi. Il était très excité par les vidéos de fellation, et de branlettes entre mecs, mais se sentait gêné par les scènes de sodomie. Il me raconta comment il avait trouvé sur des sites des lieux de rencontre entre hommes, et comment après bien des hésitations un soir, il se rendit dans des WC publics réputés pour être un endroit où beaucoup de mecs se retrouvaient pour des branlettes entre hommes. C’est là qu’il me dit avoir eu ses premières relations avec des hommes, mais uniquement des masturbations. Il n’avait d’ailleurs pas vu de mecs se sucer ou se sodomiser.
C’est ici qu’il entendit parler du site de rencontre où j’avais fait paraître mon annonce de vente de sous-vêtements. Il me dit alors avoir été très excité à sa lecture, et s’être branlé plusieurs fois, avant de m’envoyer un message.
De mon côté, je lui racontais ma récente conversion à la relation avec les hommes. Et il sembla très intéressé par mes expériences au sauna gay. En arrière-plan de mes vidéos qui continuaient de tourner, et qu’il ne quittait pas des yeux, je mis en « lire en vocal », les histoires que je vous ai racontées sur mes après-midi au sauna.
Mes aventures au sauna racontées par la voix de mon ordi, associées aux vidéos et au deuxième whisky que je lui avais servi, produisirent leur effet. Je vis nettement une bosse gonfler mon tanga à l’endroit de son sexe. Tout ceci ne me laissait pas insensible non plus, et mon sexe en érection déborda bientôt de mon string. L’élastique de ce dernier retenant la peau de mon prépuce, c’est mon gland qui se retrouva libéré. Tout en ne quittant pas l’écran de l’ordi de son regard, et en écoutant attentivement mon histoire au sauna, sa main s’avança vers ma bite et la saisit doucement. Je sortis alors mon sexe entièrement de mon string, et il commença à me branler avec délicatesse. Il s’y prenait très bien. C’était très agréable. Mon regard se portant sur son tanga, me fit savoir qu’il bandait à nouveau très fort.
Le prenant par la main, je le fis se lever et l’amenant au bord du canapé, je l’allongeais tout en lui ôtant son tanga. Sa bite était dressée fièrement et prête à recevoir mes hommages. Je commençais par m’agenouiller devant son sexe et j’entrepris de bien le lubrifier de ma salive, sur toute la longueur. Il geignait doucement, les yeux fermés. Sans bruit, je fis tomber mon string et montant sur le canapé, je me mis à califourchon au-dessus de son sexe. J’avais pris la précaution de bien me lubrifier le trou du cul avec mes doigts enduits de salive.

En descendant doucement mes hanches, j’amenai mon anus sur le bout de son gland.
A cet instant, je lui dis :
— Ouvre les yeux, s’il te plaît, et regarde comme tu vas bien me fourrer ta bite dans mon petit trou, qui n’attend que ça depuis que tu es arrivé. — Je ne sais pas si je suis prêt pour cela ! me répondit-il. « C’est peut-être un peu trop vite, non ? »

Mais en me disant cela, je sentais que son sexe n’avait pas ramolli, au contraire, et qu’il me semblait bien que ses reins se soulevaient pour pouvoir bien m’enculer.

Je ne pris même pas la peine de lui répondre et je descendis doucement, très doucement m’empaler sur son sexe. Quand je sentis qu’il était entièrement rentré en moi, j’entrepris alors des va-et-vient afin de bien me faire sodomiser par ce sexe qui me remplissait le cul. Mon partenaire devait trouver cela très bon, car il geignait de plus en plus fort :
— Putain, c’est bon ! J’imaginais pas que ça pouvait être aussi bon. Tu es très étroit, et je sens que je te remplis en entier.
Ouvrant les yeux et me voyant monter et descendre sur sa bite, il vit que ma queue dressée était à portée de ses mains et qu’elle n’attendait qu’à être branlée, pendant que je me faisais défoncer le cul.
Avec une main, il me saisit la queue et en remontant vigoureusement ses hanches pour m’enculer encore plus loin, il se mit à me branler vivement. De son autre main, il avait saisi un de mes tétons qu’il malaxait consciencieusement.

Je sentis le plaisir monter dans mon anus et je sus que j’allais jouir du cul. Je sentais d’ailleurs que je mouillais abondamment.
— Viens maintenant ! Je lui criais, « Je veux te sentir te vider dans mon ventre. »

Il n’eut pas besoin d’être encouragé beaucoup plus, car je sentis un flot bouillant et abondant me remplir le ventre. Il s’était vidé entièrement dans moi, en gueulant sa jouissance.

A cet instant, j’avoue qu’il me surprit énormément, car de nombreux mecs quand ils ont craché tout leur sperme, tombent sur le côté avec une libido à zéro.

Lui se releva et en me faisant mettre à quatre pattes, entreprit de me lécher le trou du cul, en recueillant tout le jus qu’il m’avait balancé dans le ventre. Puis me retournant, il emboucha ma pine et se mit à la pomper, tout en la branlant. Je compris qu’il voulait me faire jouir dans sa bouche.Ce qui ne manqua pas d’arriver. Je lui envoyais de longs jets de foutre dans le gosier, dont il avala une partie, mais dont il me donna le reste à déguster avec lui en me roulant une pelle d’enfer.
Nous avions joui, tous les deux avec une force rare, et un plaisir très intense :
— Eh bien, mon cochon ! lui dis-je, « Pour quelqu’un qui n’avait jamais eu de relation sexuelle complète avec un homme, je trouve que tu y as pris beaucoup de plaisir et que tu t’es sacrément bien investi. J’ai adoré ce que tu m’as fait, après avoir joui. »— Oh oui ! J’ai adoré te baiser et jouir dans toi. Mais ce que je t’ai fait après, je n’imaginais pas à quel point j’apprécierais de te faire ça, me répondit-il en souriant. « Et t’embrasser sur la bouche... Je ne te dis pas comme j’ai aimé. Je n’aurais jamais pensé que rouler une pelle à un homme était aussi bon. »— Tu as bien fait de passer cette annonce, rajouta-t-il, « Cela m’a permis de découvrir complètement le plaisir que procure une relation sexuelle avec un homme. »

En prenant un dernier verre, avant de nous séparer, il me demanda :
— Parfois, je suis en déplacement, et je dors à l’extérieur de chez moi. Crois-tu qu’il soit possible que je vienne un soir chez toi, et que nous passions la nuit ensemble ? Si tu en as envie, bien sûr !
Au travers des instants passés ensemble, ce jour-là, je devinais sous son initiation que cet homme serait un amant hors pair. Ma réponse ne pouvant être que positive, c’est avec joie que je lui dis mon accord et même mieux, mon souhait que cela se réalise très vite.
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