Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 190 J'aime
  • 5 Commentaires

Mes petites aventures

Chapitre 1

Aventures au bureau

Divers
Suite à une réflexion que j’ai écrite sur le forum, on m’a invité à la mettre sous forme de récit. Je vais donc faire l’essai de vous narrer une petite partie de mes aventures. La mise en place risque de vous paraître un peu longue, mais il faut bien vous fixer le contexte.
J’étais marié depuis quatorze ans quand tout a commencé. Après l’arrivée de notre troisième enfant, nos relations ont lentement pris le chemin de la fin. Elle, plus occupée par son rôle de mère ou les sorties avec ses sœurs, et moi, me sentant délaissé, je me rabattais sur le boulot.
Ma vie se résumait à métro, boulot, dodo. Le soir, en rentrant, je jouais avec les enfants et une fois ceux-ci couchés, on se contentait de regarder la télévision. En ce qui concerne nos galipettes, pour lesquelles j’avais assez d’une main pour compter le nombre de fois où ça s’était passé en trois ans, elles étaient loin d’être torrides et passionnées et ressemblaient plus à j’écarte les cuisses tu tires ton coup et c’est terminé.
Avouez que c’est loin d’être excitant. Donc ce qui devait arriver arriva.
J’étais au bureau, occupé sur mes dossiers, quand mon chef arriva accompagné de deux dames, qu’il nous présenta comme nos nouvelles collègues. Etant l’un des plus anciens parmi les dix employés, je fus désigné pour leur expliquer le fonctionnement du bureau et le travail à effectuer. C’est ainsi que je fis la connaissance de Laura et de Clara. Laura, grande blonde à l’allure sportive et Clara, tout aussi grande, mais avec un peu plus de hanches.
Au bout d’un an, elles s’étaient bien intégrées et nous formions une belle bande de camarades. Mais un jour, Clara vint me trouver afin que je l’aide à faire comprendre à un collègue qu’elle commençait à le trouver lourd et qu’elle n’était pas intéressée par ses avances. Peu enclin à m’immiscer dans les histoires des autres et sachant très bien qu’elle pouvait tout à fait se défendre seule, je me posai la question de savoir la raison de cette demande. Mais appréciant Clara, je lui dis que j’en discuterais avec lui sur le chemin du retour.
Une semaine plus tard, réunion de service avec le grand chef, tous les employés du bâtiment y étaient conviés. Ayant reçu l’ordre du jour la veille, et peu intéressés par celui-ci, Laura, Clara et moi nous étions installés tout au fond de la salle. On écoutait à moitié et discutait par petites notes interposées. On parlait de tout et de rien, parfois avec des sous-entendus un peu grivois jusqu’au moment où je reçus de la part de Clara un :
— J’ai envie de t’embrasser.
En lisant ça, Laura faillit s’étouffer et moi de lâcher un peu trop haut un :
— Pardon !!!!! Tout étonné.
Un silence s’installa dans la pièce, moi, rouge comme une pivoine, je me confondais en excuses auprès du big boss, Laura s’essuyait les larmes qu’elle avait aux coins des yeux et Clara, elle, me regardait le sourire aux lèvres, le regard narquois, toute fière de son petit effet.
De retour à nos places après la pause déjeuner, je vis s’ouvrir à l’écran la petite fenêtre de notre messagerie et pus lire que même si elle avait écrit cela dans nos petites badineries, elle n’en était pas moins sérieuse et que si j’étais intéressé, je devais la rejoindre à la cantine.
Sur ce, elle s’éclipsa en me lançant un regard aguicheur. Deux minutes plus tard, je pris le même chemin, en demandant sur mon passage si personne n’avait besoin d’une boisson au distributeur, et je montais au septième étage pour rejoindre la belle.
Je n’avais pas fait deux pas dans le local, qu’elle me colla au mur et me roula une pelle magistrale. Sa langue n’eut aucun mal à venir titiller la mienne, moi-même ayant ouvert la bouche de surprise. Durant cinq bonnes minutes, nos lèvres restèrent collées et nos langues dansèrent un tango endiablé. Puis, entendant des pas dans les escaliers, nous nous sommes séparés vite fait le temps que l’indésirable disparaisse.
C’est à ce moment-là que Laura arriva. Nous voyant chacun d’un côté du distributeur, elle se mit à rire et nous dit que si nous voulions faire ça discrètement, il aurait déjà fallu modifier les destinataires de la discussion sur la messagerie, car elle était toujours dedans et qu’elle venait me rechercher pour aller voir le chef.
Les jours suivants, nous fîmes attention pour que notre relation naissante ne se remarque pas de trop, c’était un baiser entre deux portes, un effleurement en se croisant, et toujours Laura qui nous regardait, un sourire au coin des lèvres.
Au bout de trois semaines, la période estivale arriva, les tenues plus légères et le bâtiment se vida, tant et si bien que nous ne fûmes plus qu’une vingtaine à rester présente pour assurer les permanences.
Un matin, Clara arriva en short et petit débardeur à fines bretelles et Laura en petite jupe et t-shirt assez moulant. Ma matinée fut difficile à gérer, entre Clara qui m’envoyait des messages plus que suggestifs et Laura, qui étant restée dans nos conversations, pouvait suivre le fil de notre petite relation et n’hésitait pas à faire, elle aussi, de petites allusions salées... j’avais une trique à tout casser.
Le déjeuner englouti, Clara m’envoya un message me disant qu’elle avait très envie d’un tête-à-tête (mais dans mon vestiaire) pour ne pas être dérangés. Ni une ni deux, nous prîmes la direction désirée et sitôt la porte verrouillée, notre ballet débuta.
J’ai commencé en la collant au mur et en l’embrassant fougueusement, avant de me retrouver à mon tour dos contre la paroi. Ce petit jeu dura dix bonnes minutes. Voulant avoir le dernier mot dans notre duel, je finis par lui saisir son derrière et je la soulevai de terre. Au bout d’un moment, nous finîmes par nous poser sur le banc et j’entrepris l’exploration de son corps.
Je glissai mes mains sous son débardeur et lui caressai le dos, puis petit à petit, mes mains passèrent à l’intérieur de son soutien-gorge et je me mis à lui malaxer doucement les seins, tout en cherchant ses tétons. Je finis par me séparer de ses lèvres afin de la débarrasser de ces barrières gênantes. Je pus admirer sa belle poitrine lourde et ferme, ses petites aréoles rosées au milieu desquelles se tenaient fièrement dressés, deux petits boutons à peine plus colorés. Je les soupesai, les caressai, les malaxai tout en l’embrassant, puis, toujours en la couvrant de baisers, ma tête descendit à la rencontre de ces deux globes attrayants. Une fois sur place, ma langue se mit à lécher, ma bouche à sucer, mes dents à mordiller ses petits bouts si délicieux.
L’une de mes mains glissa le long de son ventre. Arrivée au bord de son vêtement, elle entreprit de déboutonner le short et s’insinua pour atteindre l’endroit convoité. Elle rencontra à nouveau un morceau de tissu sur lequel elle se frotta et y constata une certaine moiteur. Clara était toujours assise, la tête renversée en arrière, pinçant fortement ses lèvres pour n’émettre aucun son, tandis que mes doigts continuaient de parcourir son entrejambe, en appuyant de plus en plus, pour s’enfoncer, lentement, dans sa fente toujours plus mouillée.
C’est alors que vint le moment où Clara m’avertit qu’elle allait bientôt craquer et que nous devrions peut-être attendre de nous retrouver chez elle. A ces mots, je ne sus plus me contenir, je la relevai, et entrepris de lui ôter les derniers remparts qui me séparaient de sa vallée. J’y collai mes lèvres avides de goûter à son jus déjà bien présent. Mais je ne pus guère en profiter : Clara, trop excitée, me déshabilla puis me fit m’allonger sur le banc, avant de m’enjamber pour venir s’empaler sur mon membre bien dressé. Elle s’activa furieusement pendant dix minutes encore, puis elle se raidit soudain, et, prise de spasmes, son vagin se contracta sur mon sexe toujours planté dans son intimité, ce qui me procura tant de plaisir, que je me déversai en elle.
Après une petite pause pour nous remettre de nos émotions et un petit nettoyage, nous retournâmes à nos places.
La suite plus tard si vous le souhaitez..
Diffuse en direct !
Regarder son live