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Mes petites chiennes

Chapitre 1

Zoophilie
Je vis dans une grande maison avec un grand jardin en banlieue ouest de Paris.
La famille se compose de :
Papa, il s’appelle Sébastien. En fait, ce n’est pas mon père, mais il me dit souvent « Tu dois obéir à Papa », l’autre jour, on a fêté son anniversaire de 42 ans.
Maman, elle s’appelle Céline. C’est pareil, ce n’est pas ma vraie mère, mais elle me dit « viens avec Maman dans le jardin ». Elle a 39 ans, elle est très belle...
Ma sœur, elle s’appelle Manon. Elle non plus n’est pas ma sœur, mais souvent, Papa ou Maman me dit « Laisse-moi tranquille, va jouer avec ta sœur ». Manon vient juste d’avoir 18 ans. C’est une très belle fille, il parait qu’au lycée, elle se fait draguer par tous les garçons.
Mais en fait, je sais qu’elle préfère les filles, je l’ai souvent surpris à jouer avec sa copine Emma qui a le même âge qu’elle et qui vient souvent à la maison. Mais ça ne me regarde pas, elles sont assez grandes pour savoir ce qu’elles font.
Il y a 4 ans, avant que je ne sois là, un jour où personne n’était à la maison, des cambrioleurs sont entrés dans la maison et ils ont emporté plein de choses. Céline et Sébastien étaient catastrophés et pour éviter que ça se reproduise, ils m’ont adopté.
J’avais 4 mois, ils m’ont appelé Mac. Ils m’ont choisi parce que j’avais les yeux en amande.
Aujourd’hui, j’ai grandi, ma queue est longue portée en sabre, mon poil noir et feu est doux et Manon aime me caresser. Je pèse 60 kilos et mesure 65 centimètres au garrot, ce qui est très bien pour un rottweiler de 4 ans (malgré mon jeune âge, j’espère que la censure de XStory publiera mon témoignage...).
Mon histoire commence dès le premier jour où je suis arrivé dans cette maison. On m’a installé un panier dans la cuisine et tous les 3 ont tenu à s’occuper de moi, me bichonner, chouchouter, dorloter, bisouter ainsi j’ai vite oublié ma vraie mère.
Toutefois, j’ai échappé à un gros problème quand j’avais environ 1 an.
Un jour, papa est revenu avec une petite maison qu’il a installée dans le jardin, un collier et une laisse. Il m’a montré cette maison en me disant que c’était ma niche et que c’est là que j’habitais maintenant, que je n’avais plus le droit d’aller jouer avec Manon dans sa chambre et monter sur son lit.
Ce soir-là, il m’a attaché à la niche et ils sont tous allés se coucher en me laissant dehors.

J’ai donc commencé à pleurer et à aboyer. Je ne me suis arrêté qu’à 3 heures du matin, quand maman en chemise de nuit est venue me détacher, me demandant de me taire.
Sitôt détaché, j’ai couru dans la chambre de Manon qui ne dormait pas, sautait sur son lit, je me suis pelotonné dans ses bras, elle pleurait, je lui ai léché le visage, elle m’a fait des bisous, je me suis endormi dans ses bras.
On n’a plus jamais essayé de me faire dormir dehors.
J’ai grandi comme cela, comme un coq en pâte. Dès qu’elle avait un instant de libre, Manon le consacrait à jouer avec moi dans le jardin, dans la maison, même dans sa chambre.
Parfois, quand Emma venait à la maison, elles s’enfermaient dans la chambre de Manon, ma présence les laissait indifférentes et je les voyais se caresser, s’embrasser, se lécher, je les entendais rire, grogner, ahaner, râler. En un mot, elles s’aimaient...
J’aimais bien les regarder, je me léchais le sexe... Une fois, j’ai surpris maman qui écoutait à la porte. Elle sait donc combien elles s’aiment...
Mon copain, le chien de nos voisins, m’avait dit que lorsque l’on devient grand, il y a des odeurs auxquelles nous sommes habitués sans y prêter attention et que l’on découvre de nouveau avec un vif intérêt...
Je pense que j’étais devenu un grand, le jour où Emma, comme bien souvent, léchait la foufoune à Manon, et que j’ai senti des odeurs délicieuses, je me suis approché, ces odeurs venaient de l’entrejambe de Manon, j’ai donné un coup de tête à Emma pour qu’elle me laisse la place, j’ai juste eu le temps d’enfoncer ma langue dans ce puits de parfums, qu’Emma m’a tiré par mon collier en me disant que ce n’était pas pour les mâles...
Elles ont ri, puis c’était l’heure où Emma devait rentrer chez elle. Quand elle est partie, Manon est moi nous sommes retrouvés tous les deux, elle était nue assise sur son lit, elle me caressait, l’odeur persistait, j’ai plongé mon museau vers son sexe, elle a entre-ouvert ses cuisses, ma langue a ainsi pu atteindre la source de ces odeurs... J’ai léché, et encore léché... elle s’est affalée sur le dos, mis ses pieds sur le lit, jambes repliées, elle a écarté le plus possible ses genoux... L’accès était dégagé, j’en ai profité... Elle aussi si j’en crois les caresses que ses mains faisaient sur ma tête, les gémissements et les râles qui sortaient de sa bouche, les tressaillements dans son corps étaient parfois agités... Ma langue, bien plus longue et plus râpeuse que celle d’Emma, lui donnait à l’évidence, plus de plaisir que celle d’Emma...
Le jour suivant cette partie de plaisir, fut pour moi le début d’une période de dressage, très agréable. Ce dressage, avait pour objectif, qu’il ne me vient pas à l’idée d’aller sous les jupes de Manon en présence d’autres personnes.
Pour cela, elle ne fut pas avare ni de câlins, ni de sucreries et moi de léchouilles tant sur son visage que sur et dans son sexe...
Le principe était simple : quand Manon enlevait mon collier et le mettait autour de son cou, je devenais le mâle, j’avais tous les droits, elle devenait ma femelle obéissante, si j’avais mon collier ou si Manon n’avait pas de collier, je devais rester le petit toutou à sa mémère... J’ai tout compris au bout de peu de jours...
Une fois cet apprentissage terminé, dès que Manon avait le collier, c’est moi qui prenais la direction des opérations et Manon devenait ma chienne soumise. Pour lui faire comprendre ce que j’attendais d’elle, je la mordillais, grognais et aboyais jusqu’à ce que le résultat corresponde à mes attentes. Pour la récompenser, ma langue entrait en action et s’enfonçait au fond de son vagin le plus loin possible. Un jour, ma langue a dérapé et est allée léchouiller son anus. Elle fut comme électrisée, et j’ai compris qu’il ne me faudra pas oublier cet endroit source de plaisir.
Je réussis assez rapidement à lui faire comprendre quand j’attendais d’elle une fellation, ce fut facile, car elle y a mis beaucoup du sien, heureuse à n’en pas douter d’obéir à un mâle.
J’avais beau la lécher, elle avait beau me sucer, je ne sais pas pourquoi je n’étais pas satisfait de nos relations, était-ce parce qu’elle était une fille et moi un chien ?
Nous avions tout l’après-midi, nos parents ne reviendraient que vers 19 :00, nous étions dans sa chambre, nue, elle portait mon collier. À quatre pattes, elle me suçait, c’était bien bon...
Soudain, pris d’une envie irrésistible, je me suis redressé, précipité derrière elle, mes pattes de devant se sont refermées sur sa taille, mon bassin était agité de soubresauts, mon vit sortit de son fourreau...
Elle se débattait, pleurait, hurlait non... non... non...Mac pas ça, arrête...Mais elle avait le collier, elle devait obéir, se plier à ma volonté. Je lui mordis un bras qui passait à proximité de ma gueule, elle cria plus fort... je plantai mes crocs sur sa nuque... elle releva ses fesses, ne bougea plus, mon vit cognait contre son dos, ses fesses, ses cuisses et de lui-même, il trouva cette grotte de tous les plaisirs, je donnai un violent coup de reins, elle hurla, quand j’enfonçai la petite résistance, un peu de sang coula de son minou, et après, la voie était libre... je m’agitai un peu en elle, ses hurlements se transformèrent en couinements, gémissements, râles... d’une main, elle m’agrippa la peau du cou, m’empêchant de me retourner, car j’en avais envie. Je me vidais en elle, elle jouissait, nous ne pouvions plus nous séparer, nous étions rivés l’un à l’autre. Quand enfin elle cessa de me retenir prisonnier, elle s’affala sur le sol...
Je fis ma toilette, je fis sa toilette, elle m’agrippa, me couvrit de baisers, je lui léchai son museau... nous étions heureux...Puis, elle me remit mon collier avant de téléphoner à Emma pour lui dire qu’elle avait plein de choses à raconter qui ne se disent pas au téléphone...Rendez-vous fut pris pour le lendemain...
Quand Emma entra dans notre chambre, je portais mon collier. J’entendis ma sœur raconter à son amie, comment elle m’avait « dressé », elle passa rapidement sur la façon dont je l’avais dressée. Elle lui parla des cunnilingus et anulingus que je lui faisais.
Puis elles se déshabillèrent toutes les deux et firent un gros câlin. Je les regardais avec envie, mais je n’avais pas le droit, j’avais mon collier. Emma me parla gentiment, me disant qu’elle allait demander à ses parents d’avoir un beau et gentil chien comme moi. Pendant qu’elle me caressait, j’ai senti Manon me retirer mon collier et vivement, elle l’attacha au coup d’Emma.
Qu’est-ce que ça veut dire ? Que veut Manon ? Sans aucun doute, elle voulait que je montre à sa copine qui est le chef... Je me jetai sur Emma, qui instinctivement se mit sur le dos, leva les jambes en l’air, m’offrant son minou et son petit trou, ma langue entra en action, Manon me caressait et je léchais Emma qui râlait et je sentais son corps se raidir... elle aimait... je lui pris le bras dans ma gueule la tirai en bas du lit, Manon lui expliqua que je voulais qu’elle se mette à 4 pattes, et si elle ne le faisait que j’allais la mordre... Elle en avait envie, elle obéit, je la dépucelai aussitôt...
Par la suite, Emma s’est acheté un collier qu’elle portait dès que nous nous trouvions tous les 3 ensemble.
Je saille régulièrement mes deux chiennes soumises qui parfois se disputent la place...
Souvent quand maman me caresse, elle me complimente en disant que je suis le plus beau mâle de la maison...
Est-ce qu’elle sait ?
Est-ce qu’un jour, elle l’enlèvera mon collier pour le mettre autour de son cou ?
Quelle vie de chien !...
A +
Je vous fais plein de léchouilles.
Si vous avez aimé, n’oubliez pas un "J’aime", c’et mon nonos.
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