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Mes plus belles années

Chapitre 3

Ma rencontre avec Katherine (3)

Erotique
J’entendais du bruit dans la cuisine, alors je me dirigeai par là, légèrement nerveux. J’avalai ma salive au moment où j’entrai dans la pièce : Katherine se trouvait là, préparant à manger, vêtue d’un pyjama des plus légers, qui se composait d’un minishort en soie, et d’un haut en forme de mini-débardeur, au décolleté large, et qui lui dénudait son ventre plat. Ses longs cheveux noirs étaient ramenés en arrière en une queue-de-cheval, dégageant son visage d’ange.
Je restais quelques secondes bouche bée devant ce tableau. Elle dut se douter de ma présence, parce qu’elle se retourna vers moi et me sourit.
— Salut mon grand ! Alors ? Bien dormi ? Pas trop gêné par les bruits de cette nuit ?
Je lui jetai un regard noir. Elle essayait clairement de me provoquer et de me déstabiliser, mais je restai stoïque, bien décidé à ne pas me relancer dans un jeu de séduction qui ne m’apporterait encore que de la honte et de la frustration.
— Bon, grognai-je, désolé d’avoir squatté si tard, je m’étais pas réveillé. Je vais y aller et... — Chut. — Quoi ?
Elle contourna la table et marcha vers moi. A nouveau elle avançait d’une démarche lente, calculée, m’évoquant irrésistiblement une bête féroce prête à bondir.
— Je t’ai dit chut. Tu vas aller nulle part. — Euh... quoi ? — J’ai compris ce qui s’est passé hier. J’aurais pas dû te sauter dessus comme ça alors que t’es puceau. Mais voilà, tu m’excites à fond, alors il est hors de question que tu sortes d’ici avant qu’on ait baisé.
J’ouvris la bouche et la refermai. Sans dire un mot. Désolé si je vous parais idiot à ce moment-là, mais même dans mes fantasmes les plus fous je n’aurais jamais envisagé qu’une fille me dise ça. Et entendre cette déesse infernale me lancer ça sur un ton décidé, juste après avoir manqué une occasion en or avec elle me laissait pantois.
Souriant devant mon mutisme, elle s’avança jusqu’à moi. Elle fit glisser son doigt le long de mon torse, me faisant frissonner de la tête aux pieds.
— T’inquiète pas, je vais y aller doucement... susurra-t-elle.
Elle me détailla quelques secondes, puis ajouta.

— Enfin... je vais essayer en tout cas.
C’en fut trop pour moi. Je me jetai sur elle, enroulant mes bras autour de ses hanches et la collai contre moi, avant de l’embrasser sauvagement. Nouant ses bras autour de mon cou, elle me rendit mon baiser, plus sauvagement que jamais. Mon cœur se mit à battre très fort, une chaleur torride s’empara de moi : à nouveau je goûtais à ses lèvres au goût fruité, à nouveau je sentais son corps se presser contre le mien, à nouveau je sentais la douceur de sa peau contre moi. Mais cette fois-ci, je ne ferais pas le con. Cette fois-ci, j’étais bien décidé à aller jusqu’au bout.
Jamais je n’avais vécu une telle chose. J’avais déjà embrassé deux ou trois filles, mais rien de bien sérieux. Là, Katherine et moi étions agrippés l’un à l’autre, et nous étions embarqués dans un baiser sauvage, torride, animal. La sentir contre moi, entendre sa respiration s’accélérer, m’excitait à un niveau inédit. Mon sexe était tendu à fond, et chaque cellule de mon corps me hurlait de la prendre sur-le-champ.
Sans trop savoir ce que je faisais, je la soulevai. Katherine réagit favorablement à mon initiative, se hissant sur moi pour que je puisse la porter plus facilement. La soulevant, je la déposai avec délicatesse sur la table. Je ne savais même pas pourquoi j’avais fait ça, ni ce que j’allais faire ensuite, mais une chose est sûre, étendre sur la table cette brune au corps de rêve, dans son petit pyjama sexy était la chose la plus bandante que j’aie jamais faite. Je crus que mon caleçon allait se déchirer.
Pris dans la folie du moment, je me penchai sur elle et lui embrassai le cou, puis le buste, n’hésitant pas à la lécher même par endroit. Elle enroula ses jambes autour de mes hanches, me penchant encore plus sur elle. Je descendis de son buste et lui embrassai son ventre plat, me délectant de l’entendre souffler d’excitation.
Lorsque je me redressai, j’étais haletant, rougi par l’excitation, et mon pantalon était déformé par une énorme bosse. Katherine se redressa, s’asseyant sur la table.
— On monte dans ma chambre, lança-t-elle.
Elle ne me posait pas vraiment la question. Ce n’était même pas un ordre. Elle lançait juste une évidence, comme si l’idée même qu’on ne fasse pas ce qu’elle voulait était inenvisageable. Je ne sus pourquoi, mais ça m’excita au moins autant que nos baisers.
Elle me prit par le poignet, et je la suivis, docilement. Dans ma tête tout se bousculait, aucune idée cohérente n’émergeait à part une seule : je voulais littéralement la démonter.
On grimpa les escaliers, et nous fonçâmes jusqu’à sa chambre. Là, Katherine se retourna et m’embrassa à nouveau. Je partis à nouveau à l’assaut de ses lèvres, frissonnant de la tête aux pieds. Elle me saisit par la ceinture de mon jean, et m’entraîna plus avant dans sa chambre, comme une sirène qui entraîne un marin au fond de l’océan.
Elle me retira mon pull, avant de me tirer encore et de me pousser sur le lit. Je m’effondrai sur le matelas, ne parvenant pas à contenir un petit cri d’excitation qui la fit sourire. Elle s’approcha du lit, je m’installai confortablement, et elle vint sur moi. Je frémis à la vue de cette brune incendiaire installée au-dessus de moi, je sentis mon cœur s’emballer davantage encore lorsqu’elle recommença à m’embrasser, et lorsqu’elle me saisit au cou, et qu’elle me plaqua contre le lit, je sentis le souffle me manquer. Elle se redressa, me dominant de toute sa hauteur, ses mains posées sur mon torse.
— Alors mon grand, prêt à devenir un homme ?
J’avalai ma salive. Maintenant que j’étais au pied du mur, je ne pouvais pas m’empêcher d’être inquiet.
— Euh... enfin oui, mais...
Elle me mit un doigt sur les lèvres, me faisant taire.
— Chut. Ne nous refais pas la pucelle échaudée. Après tu vas encore le regretter. — Ouais... t’as raison. Mais... t’iras doucement hein ? — Mais ouais, t’inquiète. Allez, on retire ce t-shirt.
Elle me redressa et avant que j’aie pu dire ouf, me retira mon t-shirt. J’eus le vague réflexe de me couvrir le corps, gêné d’être ainsi mis à nu devant une fille, mais elle me saisit aux poignets et me les cloua contre le lit afin de pouvoir m’admirer tranquillement.
— Bordel ce que t’es bien foutu, susurra-t-elle. — Ah oui ?
Elle me lâcha les poignets, et fit courir ses mains sur mon corps, parcourant mes muscles avec un plaisir évident.
— Hmm tu sais quoi ? — Quoi ? — Je retire ma promesse. Y a pas moyen que j’y aille doucement avec toi. Tu m’excites trop. — Mais... — Chut.
Elle se pencha sur moi, et commença à m’embrasser sur tout le corps. Elle dévorait mes pectoraux, léchait mes abdos, remontait jusqu’à mon cou, mes épaules, ne laissant pas un centimètre carré de mon corps non embrassé. Lorsqu’elle se redressa pour me contempler, j’étais littéralement en feu après une telle séance d’embrassade.
Katherine commença à déboutonner mon jean. Je sentis la pression monter en moi, mais ne dis rien, pressé et anxieux à la fois de voir ce qui allait se passer ensuite... Elle m’arracha littéralement mon jean et l’envoya à l’autre bout de la pièce. Puis, elle retira lentement mon caleçon, me dénudant totalement.
— Joli morceau, dit-elle en passant un doigt sur mon sexe en érection.
Je ne pus retenir un grognement d’excitation. En même temps, sentir quelqu’un d’autre que moi toucher mon organe était une grande première.
Me regardant bien droit dans les yeux, elle prit ma bite en main, et commença à me branler doucement. Je me raidis, savourant les sensations qui m’assaillaient, tandis qu’elle accélérait progressivement le rythme, serrant ma queue avec fermeté, jouant parfois de ses doigts pour toucher mes boules en même temps. Je vivais un moment délicieux, avec en prime, la pensée que le meilleur était encore à venir...
Comme pour me donner raison, Katherine s’allongea entre mes jambes, rapprochant sa bouche aux lèvres pulpeuses de mon sexe. Je retins mon souffle : j’avais toujours fantasmé sur la fellation, l’idée d’en vivre une d’ici quelques secondes me faisait perdre la tête.
Katherine me prit en bouche doucement, me regardant toujours intensément, guettant mes réactions. Pressant bien ses lèvres contre ma hampe, elle démarra des va-et-vient avec sa bouche, me pompant doucement, jouant de sa langue sur mes veines pour faire monter les sensations. Un plaisir des plus intenses monta en moi, en même temps que l’excitation de voir un visage si parfait à l’œuvre. Petit à petit, Katherine accélérait le rythme, mettant de plus en plus d’entrain dans sa fellation. Je me sentais de mieux en mieux, le plaisir coulait en moi, voir cette bombe penchée sur mon sexe et l’avaler me faisait frémir, et lorsqu’elle s’interrompait pour me branler, me regardant bien en face, je me sentais décoller. Je ne tardai pas à pousser des grognements, puis des cris de plaisir, ce qui lui tirait un sourire satisfait.
— Tu kiffes bon beau ? Je m’occupe bien de toi, pas vrai ? — Ooooh... oui, oui putain ! — Et t’aimes si je fais ça ?
Elle fit tournoyer sa langue autour de mon gland, et je poussai un grognement de plaisir. Elle fit revenir sa langue juste sur le frein, et s’amusa à me l’asticoter, avant de donner des grands coups de langue dessus, me faisant me convulser de plaisir. Elle se retira, souriant d’un air démoniaque.
— Tu prends tellement ton pied, c’est trop marrant à voir. C’est tellement marrant de dépuceler un mec. — Faut dire que... t’es super douée.
Elle haussa les épaules.
— Ouais c’est vrai.
Elle se leva, interrompant sa fellation à ma grande déception. Elle se tint debout devant le lit, et fit un petit tour sur elle-même.
— Tu m’as pas dit au fait : tu me trouves comment ? — T’es... incroyablement sexy.
Elle sourit.
— Merci. Et si je fais... ça ?
Lentement, sous mes yeux hypnotisés, elle se déshabilla, mettant son corps de rêve à nu. Elle refit un petit tour sur elle-même, me laissant admirer son corps sous toutes les coutures, sa poitrine bien ronde et ferme et ses fesses incroyablement bien dessinées, ainsi que son visage, bien mis en valeur avec ses cheveux ramenés en arrière. A cette vue, je me redressai, bien décidé à la prendre sauvagement, mais elle vint sur le lit et me repoussa, me maintenant allongé.
— Reste tranquille mon grand.
Elle s’installa sur moi, et lentement, très lentement, s’empala sur mon sexe tendu. Je poussai un grognement de plaisir en le sentant s’enfoncer dans une fille pour la première fois, tandis que Katherine fit une grimace de plaisir.
— T’as une bonne queue, toi. Je sens qu’on va bien s’amuser...
A la voir, comme ça, juchée sur moi, me tenant par le torse, ses yeux brillant de désir, j’éprouvai à nouveau un brin d’appréhension.
— Tu...
Katherine me bâillonna avec sa main.
— Chut, ne parle pas et laisse-moi faire.
Elle commença à lentement aller et venir sur mon sexe, guettant mes réactions et passant ses mains sur mon torse en même temps. Un plaisir inédit monta en moi, bien supérieur à toutes les branlettes que j’avais pu m’offrir. Je sentais mon sexe coulisser en elle, et les frottements m’apportaient des décharges de plaisir à chacun de ses va-et-vient, la chaleur montant en moi d’une façon délicieuse. J’avais en plus une vue imprenable sur Katherine et son corps de rêve en action au-dessus de moi. A un moment, elle me donna un coup de reins plus fort que les autres, et je poussai un râle de plaisir.
— Tu kiffes mon beau ? — J’adore, t’es... tellement douée ! — Ça fait quoi de devenir un homme ? — C’est... délicieux.
Elle accéléra légèrement l’allure, et le plaisir en fut aussitôt décuplé. Je sentis mon corps se raidir et mon souffle s’accélérer. Elle se déhanchait sur moi, allant de gauche à droite, secouant mon sexe au rythme des cercles qu’elle dessinait avec son ventre plat. Elle dansait littéralement sur mon sexe, et à chaque tour qu’elle faisait, je poussai un cri de plaisir, ce qui la faisait sourire d’un air à la fois narquois et prétentieux. Elle se remit ensuite à aller et venir d’avant en arrière, m’envoyant de puissants coups de bassin, accélérant progressivement le rythme, jusqu’à littéralement se déchaîner. Ses coups de reins devenaient si forts, que j’en étais ballotté sur le lit.
— Hmm ! Oooh bordel ce que je te mets ! C’est moi qui te baise là ! gémit Katherine.
J’aurais bien répondu quelque chose, mais je n’étais pas en état. Le plaisir saturait l’ensemble de mon corps, j’avais l’impression que mon cerveau allait fondre ou exploser et ma vue se brouillait tant ce qu’elle me faisait était bon. Jamais je ne m’étais senti aussi bien, ni aussi vulnérable, à la merci de quelqu’un. Katherine avait raison, elle était vraiment en train de me baiser.
Je sentais l’orgasme monter en moi, de façon irrépressible, mais, désireux de prolonger cette séance mémorable, je m’agrippais aux draps, serrais les dents, et faisais tout pour le contenir. Ce n’était vraiment pas évident : non seulement Katherine y allait de plus en plus vite, mais en plus le spectacle qu’elle offrait était terriblement excitant, entre son corps de rêve qui s’activait sous mes yeux, son visage d’ange, bien dégagé, qui grimaçait et rougissait sous le plaisir et l’effort et les gémissements qu’elle poussait.
Elle accéléra encore une dernière fois, poussant des cris aigus en s’empalant sur mon sexe. Le plaisir me submergea, et cette fois-ci, je ne pus rien faire pour le contenir. Je me sentis partir dans une explosion de plaisir, poussant un grondement de soulagement, me déversant en Katherine, tandis qu’elle-même poussait un cri aigu indiquant qu’elle avait joui en même temps que moi.
La belle brune s’effondra sur le lit, s’allongeant à côté de moi.
— C’était... incroyable, parvins-je à articuler. — Te vante pas trop, c’est moi qui ai fait tout le boulot, répliqua Katherine. — Je sais... c’était un compliment.
Elle ne répondit pas, mais me sourit et me fit un bisou sur l’épaule. On resta un moment silencieux, puis voulant savoir, je lui posai la question :
— J’ai... j’ai été bon ? T’as bien aimé ?
Nouveau sourire.
— Ouais, t’as bien tenu, c’était impressionnant pour un mec de 18 ans. — T’as le même âge que moi, hein. — Mais moi je suis pas vierge. Loin de là. Ça se voit, je pense... — Ça c’est sûr, dis-je en repensant à sa chevauchée fantastique.
Elle recommença à m’embrasser l’épaule, mais cette fois, se fit plus pressante. Elle remonta jusqu’à mon cou tout en s’installant à nouveau sur moi. Elle m’embrassa sur la bouche, et je lui rendis son baiser, goûtant à la saveur de ses lèvres tout en lui caressant le dos. Elle rompit notre baiser, me mordillant la lèvre au passage. Katherine eut un petit rire.
— Déjà ? T’es chaud toi dis donc.
Je compris de quoi elle parlait avec une petite seconde de retard : je rebandais déjà. Pas étonnant : cette fille me rendait complètement dingue.
— Bon... on va le faire d’une autre façon, roucoula Katherine.
Avant que je n’eus le temps de poser la moindre question, elle s’empala à nouveau sur moi, mais cette fois, me tournait le dos. Elle commença à se déhancher, secouant son dos et ses hanches sous mes yeux émerveillés. Le plaisir commença aussitôt à se répandre en moi, mais le mieux, c’était de pouvoir admirer son incroyable cul, bombé et ferme à souhait se secouer sous mes yeux. L’excitation, autant que le plaisir, me faisait décoller au septième ciel et je lançai des cris de plaisir. Katherine accéléra l’allure, amenant mon plaisir à son point le plus haut, puis... se mit à ralentir soudainement, allant à un rythme très lent, qui ne faisait que me frustrer.
— Qu’est... qu’est-ce que tu fais ?
Elle tourna la tête et me servit un de ses sourires narquois et diaboliques. Puis, elle se remit soudain à accélérer l’allure, me faisant à nouveau chavirer sous le plaisir... avant de ralentir encore une fois. Katherine joua à ce jeu pendant un long et terrible moment, alternant rythme lent et rythme rapide, me faisant osciller entre frustration et satisfaction. C’était vraiment un délicieux calvaire de vivre ça, Katherine me rendait complètement fou.
N’en pouvant plus d’être frustré et de voir ce boule de compétition s’agiter sous mes yeux, je le saisis à pleines mains, et le malaxai avec ferveur, m’émerveillant de sa fermeté. Katherine poussa un petit gémissement.
— Tu l’aimes, mon cul ? — Oh ça oui, il est juste parfait. — Comme moi, quoi.
Je ris, mais au même moment, elle entama une série de va-et-vient rapides, qui me transformèrent mon rire en cri. Elle se donna un moment à fond, puis brusquement se remit à ralentir.
— Mais bordel ! criai-je plein de frustration. Baise-moi quoi !
Elle se tourna vers moi, nouveau sourire ironique aux lèvres, puis se retourna complètement, prête à me chevaucher de face. Elle détacha ses cheveux, les laissant tomber en cascade autour de son visage d’ange, et me sourit.
— Tu veux que je te baise ? Que j’y aille bien fort ? — Ouais... soufflai-je excité. — Suffisait de demander mon grand.
Et elle reprit ses va-et-vient, mais cette fois-ci, de face, d’avant en arrière, et à un rythme effréné. A nouveau, le plaisir me satura le corps tout entier et je poussai des cris rauques, tandis que Katherine gémissait à pleine voix. Prenant mon pied, j’admirais une fois de plus ma belle en pleine action, mais cette fois-ci, ça me donnait une nouvelle idée : depuis le début, j’étais passif, soumis. Et si je devenais le dominant ?
Frissonnant d’excitation et d’audace, je me redressai, décidé à renverser Katherine. Elle me saisit au cou et me plaqua à nouveau contre le matelas, me refoulant sèchement. Ses yeux sombres brillaient d’une lueur sauvage, qui valait avertissement : j’avais plutôt intérêt à me laisser faire.
Elle continua sa chevauchée, plus ardemment que jamais. J’étais presque hypnotisé par les mouvements de ses seins et de ses cheveux qui s’agitaient tout autour de son visage, lui donnant un air de sauvageonne. Je me ressaisis néanmoins, motivé à l’idée de l’avoir à ma merci. Je me redressai à nouveau, mais cette fois-ci, elle me colla une gifle pour me rabrouer.
— Tu te laisses faire, gronda-t-elle, y a qu’une seule patronne ici et c’est moi.
Elle passa ses ongles sur mon torse, me griffant, tout en me donnant de puissants coups de bassin, me faisant frissonner dans une décharge électrique. Elle se redressa de toute sa hauteur, me toisant d’un air dominateur, me tenant par le menton, me faisant bien sentir que j’étais à elle. Entre deux râles de plaisir, je lui lançai en défi :
— Tu... vas bien finir par te fatiguer...
Elle eut un sourire condescendant.
— T’auras joui bien avant ça. — Tu paries ? — Si tu veux.
Elle se redressa à nouveau et se déchaîna, allant à fond sur mon sexe, tapant le fond de son intimité contre mon gland, poussant de grands cris aigus. Paralysé par le plaisir, je serrais les dents pour tenir le plus longtemps possible, autant pour profiter à fond de ce qu’elle me faisait et du spectacle qu’elle m’offrait que par jeu, pour gagner notre défi.
Katherine y allait de plus en plus à fond, bougeant, rejetant régulièrement la tête en arrière, les yeux mi-clos, prenant un pied colossal. Elle passa ses mains dans sa chevelure et m’envoya une série de coups de bassins, bougeant son ventre comme une liane, secouant mon sexe délicieusement. Elle était tellement sexy comme ça, à bouger son corps de façon si incroyable. Le plaisir me faisait trembler de partout, les dents serrées, je faisais tout pour le contenir, mais sentais que je pouvais jouir à tout moment.
La belle brune s’arrêta un moment, haletante, visiblement ivre de plaisir elle aussi.
— Toujours pas joui ? C’est qu’il est endurant notre petit puceau ! — Je te l’avais dit ! répliquai-je fier de moi. — Ouais, mais là, il est temps de finir.
Je sentis son vagin se contracter autour de mon sexe, l’enserrant délicieusement. Je lâchai un petit gémissement, et faillis jouir. Katherine me sourit d’un air narquois, me regardant bien en face, puis se mit à twerker sur moi avec ma bite enserrée. L’effet fut quasi instantané. Un véritable tsunami de plaisir me submergea et j’explosai dans un grand cri de plaisir, me déversant en elle dans un feu d’artifice salvateur. Katherine me donna encore quelques coups de reins, prolongeant encore et encore cet orgasme de folie, avant de jouir à son tour dans un cri aigu.
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