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Mes premières expériences de soumis

Chapitre 3

Mon dépucelage

Travesti / Trans
Je l’ai rejointe dans sa chambre toujours - avec le plug en moi - où elle était en train de fouiller dans son armoire à vêtements.Elle avait déjà posé sur le lit un beau tanga blanc et une minijupe qui ne devait pas faire plus de 30 centimètres de long.
— Tu peux déjà enfiler la culotte et la jupe, me dit-elle.
Sagement, j’ai obéi. J’ai trouvé divine la sensation du tanga sur mes fesses, qui appuyait sur le plug. Puis elle me tendit un soutien-gorge à armature blanc assorti au tanga :
— Voilà, mets ce soutif et on va le remplir avec des faux-seins. — Bien Maîtresse, mais je ne sais pas mettre un soutien-gorge.— Okay, je vais t’aider pour la première fois, mais les prochains, tu devras savoir le mettre et le régler seul.
Une fois le soutien-gorge et les faux seins en place, je pus apprécier ce poids qui me tira sur les épaules et auquel je n’étais pas habitué. Pour finir, elle me tendit un top moulant noir transparent très décolleté qui laissait bien voir mon soutien-gorge et me fit me regarder dans son miroir :
— Alors tu aimes ça, être habillée comme une pute ?
Je lui répondis avec honte et excitation :
— Oui maîtresse. — Bien, par ce que tu n’as pas le choix. Et attends, j’oubliais, pour pas que tu me salisses tout.
Elle sortit dans sa table de nuit une lingette hygiénique qu’elle me glissa dans le tanga devant mon pénis. J’allais comprendre pourquoi plus tard.
— Maintenant, prépare-moi quelque chose de bon à manger pendant que je regarde une série.
Je me suis dirigé vers la cuisine pour lui obéir. Heureusement, contrairement à pas mal d’étudiants, je savais cuisiner autre chose que des pâtes et des conserves. Je pus donc me débrouiller pour lui préparer quelque chose de convenable. Une fois la table mise pour une personne et le repas servi, je l’appelai pour lui dire que le dîner était prêt.Elle arriva et s’installa sans faire de commentaire pendant que je restais debout à côté d’elle, prêt à la servir. Une fois fini, elle me dit que je pouvais finir ses restes et tout bien ranger et nettoyer.
Soudain, pendant que j’étais en train de nettoyer, je sentis des vibrations dans mes fesses qui devenaient de plus en plus fortes. J’étais excité et je m’écroulai par terre en gémissant de plaisir. Au bout de 5 minutes de ce plaisir, je jouis une bonne rasade de sperme dans le tanga et le plug s’arrêta. Je compris alors à quoi servait la lingette que Marie avait glissée entre mes jambes et que c’était elle qui avait tout prévu.
Je me relevai tout rouge et finis de nettoyer la cuisine. Une fois que ce fut fini, j’allai la retrouver dans le salon ou elle regardait une série.
— Alors tu as bien aimé ? me demanda-t-elle avec un regard à la fois amusé et pervers.
J’acquiesçai.
— Bien, maintenant, tu vas venir m’aider à prendre une douche.
Je l’ai suivi dans la salle de bain où elle fit couler l’eau de la douche et se déshabilla. C’était la première fois que je voyais ses seins. Ils étaient magnifiques. Juste comme il faut, ils se tenaient parfaitement et ses petits tétons qui pointaient fièrement. Je compris qu’il fallait que je me déshabille aussi. En enlevant le tanga, je sentis une forte odeur de sperme séché et je la rejoignis dans la douche. Elle me demanda de la laver et de commencer par lui faire un shampoing. Une fois le shampoing terminé, avec un massage crânien, je m’attaquai au reste de son magnifique corps.
Je commençai par lui savonner le haut en lui massant les épaules puis je descendis en lui caressant les seins. Ils étaient aussi beaux et agréables à tenir en main qu’à regarder. Plus je la caressai, plus je sentais ses tétons se durcir. Elle avait vraiment l’air d’aimer ça. Ensuite, je lui nettoyai les fesses en faisant passer ma main dans sa raie et elle gémit au moment où mes doigts passèrent près de son petit trou. Je finis par remonter à sa chatte après lui avoir nettoyé les jambes. Et je lui enfonçai un doigt, puis deux, et ma deuxième main arriva pour lui titiller le clitoris. Elle gémissait et mouillait très fort. Au moment où je voulus lui introduire un troisième doigt, elle jouit très fort en criant :
— Oooohhhh ouiiii, tu es une bonne salope !!
Elle m’autorisa à me nettoyer vite fait puis on sortit de la douche et je la séchai avec sa serviette en insistant bien sur ses parties les plus sensibles. Une fois sèche, on sortit de la salle de bain pour que je l’aide à enfiler sa nuisette. Elle était très simple en satin avec un peu de dentelle en bas, ce qui la rendait très douce et belle. Elle sublimait Marie en mettant sa poitrine et ses fesses parfaitement moulées en valeur.
Ensuite, elle me demanda d’aller chercher ma fausse poitrine que j’avais laissée dans la salle de bain. Une fois revenue, elle me tendit un magnifique body noir hypersexy entièrement transparent en me disant de l’enfiler avec les faux seins.
Elle me proposa de regarder un film qu’elle avait spécialement choisi pour l’occasion. Vous devinerez tous je pense « 50 nuances de Grey ». Je n’avais jamais eu l’occasion de le regarder, c’est donc avec plaisir que je m’installai avec elle, enfin à ses pieds pour regarder le film.
Une fois le film fini, j’étais bien excité par les scènes et j’avais une belle érection comprimée par le body. Marie l’a bien sûr vue et elle me conduisit dans sa chambre où elle s’allongea sur son énorme lit et m’ordonna de la lécher. Je ne me fis pas prier pour passer sous sa nuisette où elle ne portait pas de culotte, ce qui me laissa libre accès à son intimité.
Elle jouit assez rapidement en m’inondant le visage, mais elle me fit comprendre qu’elle en voulait plus en m’allongeant sur le dos. Elle commença à me masturber par-dessus le body puis elle sortit mon pénis sur le côté et s’empala dessus. Ça y est. Je n’étais plus puceau. Quelle sensation de pénétrer une femme ! Et elle commença à monter et à descendre au rythme qu’elle voulait, j’étais juste son objet. Mais ça ne m’empêchait pas de prendre du plaisir. Elle était vraiment magnifique avec ses seins qui balançaient au rythme de ses coups sous sa nuisette. Ce traitement me fit jouir très rapidement, trop même... Après m’être déchargé dans son con, elle me regarda avec un regard noir. Elle se retira de mon pénis maintenant tout flasque et me retourna sur le ventre violemment en m’ordonnant de me mettre à quatre pattes d’un ton sec. J’obéis et elle partit chercher dans le salon la boîte et le tube de lubrifiant qu’elle avait utilisé plus tôt.
— Alors comme ça, tu te permets de jouir avant moi ?!
Elle monta sur le lit et se plaça derrière moi et me mit une belle fessée.
— Réponds sale chienne ! me dit-elle.— Je suis désolé maîtresse, je n’ai pas fait exprès, la suppliais-je.
Elle tira sur le body afin de lui libérer l’accès à mon trou du cul, mais ce qui eut aussi pour conséquence d’écraser fortement mon pénis contre mon ventre. Elle retira violemment le plug que j’avais gardé les dernières heures, ce qui me laissa échapper un petit cri qu’elle ne prit pas en considération. Elle le remplaça directement par trois de ses doigts qu’elle avait préalablement lubrifiés. Après avoir bien écarté mon petit trou, elle remplaça ses doigts par le plug légèrement plus gros que le précèdent.
— Voilà ! Maintenant, tu te souviendras que je devrais jouir avant toi. Tu dors au bout de mon lit à mes pieds, comme toute bonne chienne qui se respecte. Et demain, dès que le réveil sonne, je veux que tu me fasses plaisir avec ta bouche et tes doigts. Compris esclave ?
Je hochai de la tête et alla me positionner en boule au bout de son lit et elle se glissa dans ses couvertures. Le plug écartait bien mon trou, mais heureusement, ça n’était pas très douloureux. Je finis par m’y habituer et m’endormir.
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J’espère que ce nouveau chapitre vous a plu, n’hésitez pas à me partager vos suggestions et remarques. Amicalement, TeenMan.
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