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Mes premières fois avec ELLE

Chapitre 1

Hétéro
C’est décidé, je franchis le pas, je vais vous raconter mon histoire ...Elle sera peut-être le début d’une série, ce sera en fonction de l’accueil que vous ferez à mon récit.
Je t’ai rencontrée pour la première fois quand j’étais en terminale, tu étais une des nouvelles qui sont arrivées lors de la rentrée de septembre dans mon lycée. Tu étais dans l’autre terminale D, nous étions ensemble lors de certains cours. Au fur et à mesure, nous sommes devenus amis. Nous étions tout juste majeurs. Nous pouvions compter l’un sur l’autre comme ce soir où j’avais changé la roue de ta voiture qui avait crevé.
Petite présentation physique : Tu étais une jeune femme de 1,70 pour 60 kilos, des petits seins fermes, 95 B, un cul d’enfer. Des cheveux châtains, des yeux noisette. Tu n’étais pas super populaire, mais avec une petite bande de copines plus ou moins sympas.Moi j’étais plus tôt transparent, pas le beau gosse, mais 1,75 m pour 70 kilos, pas super musclé, mais un peu sportif, je pratiquais le volley et faisais beaucoup de VTT avec les copains le samedi après-midi.
J’étais bon en chimie physique. Mais nul en maths, toi tu étais tout l’inverse. Nous nous entraidions pour le BAC, pas trop de choix, fallait assurer.
Nos physiques n’avaient pas de secrets pour nous deux, les cours de piscine étaient obligatoires, et tu n’étais pas du genre à te défiler, un maillot de bain cache peu de choses pour une fille ou un garçon, surtout quand les shorts sont interdits. Il m’arrivait de fantasmer sur toi ...
Le BAC en poche, nous avons continué dans la même filière à la FAC avec un DEUG B. Nous étions dans le même amphi, et c’est un jour de novembre que tout a changé entre nous. Nous avions prévu de revoir certains cours ensemble. Le début de l’année avait été dur pour nous deux, pas simple de passer du lycée à la FAC. Et les partiels arrivaient à grands pas.Pour plus de facilité, je t’avais proposé de venir chez moi, la bibliothèque de la FAC étant lugubre et beaucoup trop bruyante pour travailler. Tu as accepté sans te faire prier, de plus comme tu venais à la FAC en voiture, cela était plus simple pour rentrer chez toi après nos révisons.
Arrivés chez moi, je t’ai fait visiter ma chambre, enfin mon frigo ... Ma mère avait eu la bonne idée d’ouvrir mon velux le matin après mon départ. Faut dire que d’habitude, ça sent le phoque avec mes affaires de sport qui traînent. Autant vous dire que même avec le chauffage à fond, cela allait demander du temps avant que la température remonte ...
Pour pouvoir travailler, tu m’as proposé que l’on se mette dans mon lit sous la couette pour avoir plus chaud. Tu as décidé de retirer ton jean pour être plus à l’aise... J’ai pu apercevoir ta petite culotte en coton, celle rayée bleu et blanche (je vous en parlerai dans un autre épisode ...) avant que tu glisses sous la couette. Je t’ai imitée avec nos cours et nous avons commencé à bosser. J’ai aimé ce moment de complicité, nos jambes nues se frôlaient sous la couette, tu m’enjambais pour prendre un livre ou une feuille passant tes seins sur mon visage ...
j’étais à l’étroit dans mon caleçon par moments, mais j’essayais de ne pas trop le montrer pour éviter de te gêner, nous étions qu’amis. Enfin, c’est ce que je croyais.
Mais à un moment, tout a basculé pour prendre une feuille, de mon côté du lit, tu es passé au-dessus de moi et tu as glissé, tu t’es littéralement effondrée sur moi, nos lèvres se sont frôlées et nous nous sommes embrassés pour la première fois. Ce baiser a tout changé pour nous, au départ, c’était innocent.
Mais il a révélé ce que nous nous cachions depuis longtemps, nous avions des sentiments l’un pour l’autre. Nous avons recommencé à nous embrasser, nous caresser sur nos vêtements et nos sous-vêtements. Après quelques moments, nous nous sommes arrêtés, nous trouvions la situation bizarre ...
je me suis levé pour aller chercher des gâteaux et des sodas. À mon retour, tu étais toujours sous la couette, mais avec un petit regard lubrique. Je compris plus tard pourquoi ... tu avais profité que je sois parti pour te mettre nue sous la couette, une fois de nouveau sous la couette, tu es venue te coller à moi. Et en même temps que tu m’embrassais, tu as commencé à me déshabiller, mon sweat et mon t-shirt ne t’ont pas résisté longtemps. Mon caleçon a pris rapidement le même chemin. Nous avons commencé à découvrir nos corps avec nos doigts et nos lèvres.
J’ai exploré tous les recoins de ta peau en venant tout doucement sur ta petite chatte bien entretenue aux poils ras. Un plaisir de te toucher, je te sentais frémir sur mes doigts. Tes seins ne faisaient pas exception. Je glissais un doigt entre tes deux petites lèvres pour découvrir ton vagin tout humide de désir. Ton clito n’a pas été long à trouver, et tes gémissements m’ont fait savoir que j’étais sur la bonne voie.
De ton côté tu n’es pas restée inactive, tes mains ont parcouru mon corps pour s’attarder sur ma bite. De lents mouvements de va-et-vient ont fini de mettre dans un état proche de la jouissance. Tu m’as avoué plus tard que j’avais été beaucoup plus tendre que tes précédents copains qui n’avaient fait que baiser à la va-vite ; une fille de plus sur leur tableau de chasse ...Tu découvrais avec moi ce qu’était l’amour tendre. Donner du plaisir à l’autre. C’est aussi pour cela que tu m’avais choisi. Car j’étais romantique et respectueux des autres.
À un moment, nous nous sommes calmés pour récupérer de ces premières émotions. Après quelques instants, tu t’es rapprochée de moi, et tu t’es collée à moi. Tu t’es mise à glisser sur moi, ta chatte sur ma queue raide, sans pour autant t’empaler dessus. J’ai aimé cette sensation de toi sur moi où tu te frottes langoureusement et lentement. Après quelques baisers, je t’ai demandé si tu en avais vraiment envie, tu m’as répondu que tu n’attendais que cela. J’ai pris une capote dans ma table de chevet. Le SIDA était déjà présent ...
Je l’ai enfilée et tu t’es glissée vers moi tel un félin ... une chatte amoureuse. Avec des yeux à damner un saint. Une fois sur moi, tu t’es positionnée et tu as choisi le moment et la vitesse à laquelle tu t’es empalée sur ma queue, tout en douceur, en me regardant dans les yeux. Arrivée au contact de mon pubis, tu n’as plus bougé comme pour apprécier la sensation de t‘avoir tout en toi. Tu as fermé les yeux et tu as pris ma tête dans tes mains et tu m’as embrassé. Ensuite, tu as commencé à bouger d’avant en arrière et à monter et descendre sur ma queue, tu t’es déchaînée sur moi.
Tu m’as avoué après que tu n’avais jamais ressenti cela, tu découvrais avec moi le plaisir de faire l’amour avec un homme. Il m’a fallu beaucoup de self-control pour te résister et ne pas jouir trop rapidement. Tu as fini par montrer des signes d’essoufflements et tu m’as demandé de reprendre le dessus avec un de tes petits « On change ... » que j’aime tant.
Je t’ai couchée au milieu du lit, la couette a volé, nous avions beaucoup trop chaud. Je t’ai pénétré tout en douceur, je voulais sentir chaque centimètre de ma queue pénétrer en toi tel que tu me l’avais fait sentir en t’empalant sur moi. Après quelques mouvements de va-et-vient, je me suis un peu amusé avec toi. Je rentrais seulement la tête de ma queue en toi et faisais quelques va-et-vient en rentrant que le bout de mon gland. Je voyais dans ton regard que tu étais frustrée, je te pénétrais à fond dans un soupir d’extase. Nous n’avons pas résisté longtemps à ce traitement, aussi bien toi que moi. À un moment, je t’ai sentie te crisper et pousser un râle de jouissance. Les contractions de ton vagin ont eu raison de moi, et j’ai joui en toi au fond de ma capote. Je suis resté un long moment en toi, j’étais bien au fond de ce conduit chaud et serré.
Ma queue se ramollissant, je suis sorti de toi et après un dernier baiser, nous avons ri comme des enfants sur ce que nous venions de faire. Nous avons beaucoup parlé, nus, sans complexe de tout ce qui venait de se passer entre nous. Nous nous sommes rendu compte que nous avions des sentiments l’un pour l’autre depuis pas mal de temps, mais que nous ne voulions pas nous l’avouer. De peur de briser l’amitié et la complicité qui nous unissait. Mais tu en avais décidé autrement, pour mon plus grand plaisir.
Malheureusement, l’heure tournait et tu devais rentrer chez toi et mes parents allaient rentrer, dans un moment de folie, j’ai pris mon sac et je repartis avec toi dans ta voiture, tu m’as déposé au bus pour que je rentre de nouveau chez moi.Je ne voulais pas te laisser seule et tu me manquais déjà.
Voilà, c’est la fin de ce chapitre, mes premières fois avec ELLE.Si cette histoire vous a plu, je vous raconterais la suite des premières fois que j’ai connues avec elle.
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