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Mes premières fois : la colocation

Chapitre 1

Lesbienne
On n’a pas mis longtemps à décider de la colocation.À la fin décembre, je disais au revoir à Mamie Zinzin et à sa chambrette mais mes affaires étaient déjà chez Christine.Je ne payais pas plus cher pour un superbe F2 à partager avec celle qui était devenue ma meilleure copine et mon binôme d’études. Christine, quant à elle, était ravie de ma présence à ses côtés et récupérait l’argent de ma participation même si c’était ses parents qui payaient le loyer.
Je dois ici faire un aparté. L’essentiel de notre temps passé ensemble était consacré à bûcher nos sujets d’études. On pouvait finir nos journées ou plutôt soirées à deux ou trois heures du matin et reprendre à sept heures.De plus, il n’était pas question de quelconque activité sexuelle dès que l’une de nous avait ses règles. L’une et l’autre subissions des ménorrhées où nous étions pliées en deux de douleur. Et même si on était décalées, on était avant tout solidaires.Donc ce que je vais décrire plus loin, ne représentait pas la majorité de notre temps. Rangez vos fantasmes et vos quéquettes, messieurs. Nous étions justes des jeunes femmes normales, pas des salopes. Fin de l’aparté.
Tout de même, suite à notre aventure sexuelle ensemble (lire l’épisode précédent), on avait eu une grande discussion. Il en était ressorti que même si chacune avait beaucoup apprécié, on ne se sentait pas du tout goudou et encore moins amoureuse de l’autre. Nous nous étions dit nos secrets et nos préférences sexuelles.
On aimait toutes les deux, les garçons, leurs attibuts et ce qu’on pouvait faire avec. Elle avait déjà eu des expériences avec des femmes. Christine, elle, était ma première aventure bisexuelle.On se prétendait toutes les deux expertes en fellation et on aimait vraiment ça. Elle avait participé à deux ou trois partouzes, moi aucune, mais était restée évasive quand j’avais demandé des précisions.Elle était comme moi, accro à la masturbation. Elle avait chez elle deux godes tandis que moi, j’utilisais des objets usuels: déos, manche de tournevis ou autre.Elle pouvait prendre son pied mais jamais rapidement, moi j’étais plus prompte à partir. Et point commun, on pouvait avoir plusieurs orgasmes lors d’une même soirée.Elle adorait le goût du sperme, moi pas du tout.Enfin, même si elle avait expérimenté deux fois la sodomie, Christine en gardait un souvenir douloureux. Orgueuilleuse comme j’étais, je lui avais parlé du plaisir que j’avais eu avec mon gendarme. Pas peu fière de moi. En blaguant, elle m’avait traitée de petite enculée. Ce n’était pas faux. Je lui rendais tout de même près de trente centimètres.
Les premiers jours de notre colocation, j’avais dormi sur le clic-clac et Christine dans la chambre mais c’était peu pratique de faire et défaire ce couchage d’occasion et bien vite nous convenions de dormir ensemble dans le lit à deux places de la chambre.
Dès le premier soir, ma belle black m’avait avoué sans détour, se masturber régulièrement le soir pour tous les bienfaits que cela lui donnait. Elle pensait à elle, oubliait ses soucis et se concentrait sur ses futures relations sexuelles du prochain week-end avec son amant régulier.
Elle s’était déshabillée sous les draps de sa culotte et son tee-shirt et avait découvert sa magnifique poitrine. Sa main était partie directement sous le drap. Ses genoux s’étaient séparés et tendait le voile de coton au-dessus de ses hanches. Je devinais rapidement que Christine se caressait le sexe de haut en bas. Tout cela était très excitant pour moi.
Puis ma belle colocatrice retira ses doigts, sa main droite remonta jusqu’à son visage et elle plongea index et majeur pendant quelques secondes dans sa bouche. Elle les retira. Je les voyais, brillants de salive. Sa main retourna sous les draps. Je m’étais redressée dans le lit puis assise en tailleur et j’observais, excitée, ma Chri-Chri se donner du plaisir. Aux mouvements de son poignet, je devinai que ses doigts voyagaient sur et dans sa chatte. Sa respiration s’accéléra et j’entendis des soupirs de plaisir envahirent la chambre. Cela dura encore quelques minutes. J’étais excitée mais je ne bougeais pas.Christine avait fermé les yeux et était dans son monde de fantasmes.

"Ho oui. C’est bon".
Sa respiration s’était accélérée. Elle ouvrit les yeux, me jeta un regard puis un sourire et d’un mouvement énergique du pied et de la jambe, elle fit glisser le drap, se découvrant entièrement. La couleur noire de sa peau éclatante sur le blanc du lit me donna un choc érotique. Je me sentis fondre et ma chatte s’humidifia instantanément. Sa jambe droite était maintenant à plat, son genou gauche replié sur mes pieds. J’étais toujours assise en tailleur sur sa gauche. Christine aurait pu voir la tâche sur ma culotte. Mais si sa tête se redressa, c’est pour regarder ses doigts plonger dans son sexe à un rythme lent.
"Ho putain putain putain... Karine aide-moi".
De sa main gauche, elle écarta les lèvres de sa chatte tandis que les doigts de sa main droite pistonnaient son intimité rose en faisant des bruits mouillés. Son appel à l’aide était un appel à jouir mais j’étais encore béotienne pour les rapports entre filles. J’avais déjà fait jouir une douzaine de garçons surtout avec ma main ou ma bouche. Mais je n’avais pas eu de relation avec des filles. J’osais poser ma main sur son sein gauche. Cela déclencha un soupir de contentement de ma belle ébène. Et un frisson érotique dans mon corps. Sans même m’en rendre compte, je pinçais et étirais son téton. Christine se cambra un bref instant puis me regarda avec intensité.
"Ti Doudou, fais moi le clito".
Je fis glisser ma main droite de son nichon à son ventre puis à son pubis. Mes doigts trouvèrent facilement son clitoris humide de ses sécrétions. Sa main gauche écartait toujours sa chatte et son index et son majeur de la main droite marquaient le rythme de sa masturbation. Je caressais de droite à gauche son bouton de plaisir.
"Ho c’est bon. Continue. C’est ça."
Elle accéléra son piston digital. J’accélérai mon frottage clitoridien. Nos mains se touchaient imprimant un rythme de plus en plus rapide.
"Ho putain oui oui ouiii".
Je n’aurais pas résisté plus longtemps mais Christine mit encore plusieurs minutes avant de jouir.
"Ho oui ho oui ho oui oui oui ouiiiii... ouiiiiii... je jouiiiiiiiis...".
Sa jouissance ne fut pas explosive comme mes orgasmes. Elle s’immobilisa en jouissant dans un long soupir aigu puis son corps se recroquevilla sur lui-même, m’obligeant à enlever ma main, pour finir dans une position presque fœtale. Qu’elle était belle, ma Chri-Chri !Je la laissai reprendre vie. Elle me proposa de faire de même. Je n’en avais pas envie sur le moment. Je lui promis pour demain. Nous nous endormîmes une demi-heure plus tard.
Le lendemain, sans même l’avoir évoqué dans la journée, nous nous masturbions côte à côte. Cela devint notre rituel. Quelques fois, cela se transforma en relation plus hard. J’ai ainsi pu expérimenter avec Christine, mon premier 69 (génial), mes premiers ciseaux lesbiens (vraiment pas top - je n’ai jamais eu de réel plaisir avec cette figure de porno soft) et quelques autres positions.Mais la plupart du temps, c’était de la masturbation classique l’une à côté de l’autre pour tenir le coup avant de retrouver nos copains respectifs, le week-end.
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