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Mes premiers congés payés

Chapitre 8

Trash
A peine arrivés à la maison, Jeanine ferma la porte, pris ma main en disant « vient j’ai envie de ta bite, on devrait avoir un peu de temps avant que ta cousine rentre », elle m’emmena directement sur la terrasse, m’appuya sur la table du salon et tout en s’agenouillant, baissa mon short, dans un même mouvement avala ma queue et commença à me sucer, un vrai bonheur d’autant qu’une de ses mains massait mes couilles et que l’autre commençait à me caresser les fesses en se dirigeant tout doucement vers ma raie, me sortant de sa bouche elle me dit « dis-moi que tu aimes avoir ta bite au chaud dans ma bouche, que tu aimes quand ma langue te lèche les couilles et que mes caressent ton joli p’tit cul » et elle me ravala tout entier, ce n’était pas compliqué à dire, j’adorais ce qu’elle me faisait, je lui répétais donc ce qu’elle venait de me demander et en rajoutait « j’adore être au fond de ta bouche et sentir ta langue me lécher le gland pendant que tes mains s’occupent de mon cul et que tu me caresses le p’tit trou », elle redoubla d’ardeur en entendant ça et commença également à me titiller l’anus.
Alors que Jeanine me pompait la queue, je fus certains de voir les rideaux bouger, je repoussais sa tête en disant « il y a quelqu’un dans le salon », elle leva la tête et répondit « n’importe quoi, c’est impossible aller laisses moi faire, je veux ton sperme dans ma bouche » puis se penchant elle passa de grands coups de langue sur mes couilles, et ravala ma queue, je me laissais faire en sentant que le plaisir n’allait pas tarder, et au moment ou je sentis que je n’allais pas tarder, la porte d’entrée claqua, Jeanine se releva en disant « merde, tu y étais presque » et j’eus juste le temps de remonter mon short avant que ma cousine ne fasse son apparition sur la terrasse et vienne nous faire la bise.
Jeanine lui dit « déjà là ma chérie, on a pas vu le temps passer » ma cousine, lui tournant le dos pour me faire face et me faire la bise, lui répondit en se collant à moi « ben et encore je suis en retard le bus déconnait » et alors que sa mère la reprenait sur son vocabulaire, elle se pressa contre moi et m’embrassa au coin des lèvres, je sentis sa petite motte venir s’appuyer sur ma queue encore en érection et assez discrètement, elle la frotta contre la bosse qui déformait encore mon short. Tournant toujours le dos à sa mère, elle baissa les yeux, eut un grand sourire et dit « et vous discutiez de quoi ? » puis se reculant et faisant un superbe demi-tour qui fis se lever sa mini-jupe et montrer sa petite culotte bleue ciel, elle fit face à Jeanine qui venait de se mettre à plier le linge sec et mettant ses mains dans le dos commença à raconter sa journée, une de ses mains saisit ma queue dressée à travers mon short et alors qu’elle racontait à sa mère qu’un nouveau prof très mignon était arrivé le jour même, elle commença à me masturber doucement, dans un état second, j’entendis Jeanine lui dire « tu n’es pas allé au lycée habillée comme ça j’espère et puis arrêtes de parler des hommes comme ça, c’est vulgaire et ce n’est pas de ton âge », me serrant un peu plus fort dans sa main, j’essayais de la repousser mais sa main libre vint sur la mienne et elle planta ses ongles dedans, me mordant les lèvres pour ne pas crier, je retirais ma main et elle repris sa caresse tout en continuant sa discussion avec sa mère.
Ma cousine répondit « allons maman, arrêtes toi aussi, je vais avoir 17 ans dans 3 mois, je sais ce qu’est un homme et comment ils sont fait, tu me prends pour une nigaude, c’est pas possible, en plus c’est toi qui m’a tout expliqué comment ils sont fait et ce qu’ils aiment alors je ne vois pas pourquoi maintenant tu fais l’offusquée ».Jeanine : « ça suffit comme ça, Brigitte, je te rappel que ton cousin est là »Brigitte : « et alors, il est plus vieux que moi et ce ne doit pas être le genre de discussion qui le dérange, et toi tu fais l’offusquée, tout mon corps se réveille depuis presque deux ans, c’est la femme qui est entrain de faire son apparition, avec toutes ses envies et ses besoins »Jeanine : « tu n’as pas encore 17 ans et à ton âge je ne causais pas comme ça et encore moins avec mes parents »Brigitte que je sentais s’exciter de plus en plus : « maman, allons, dis moi quand tu as pris du plaisir pour la dernière fois, vu que Papa va se coucher largement avant nous et qu’on l’entend ronfler du salon ? »Jeanine en rougissant : « mais ça ne va pas bien, qu’est-ce que c’est que ces questions que tu poses à ta mère et devant ton cousin encore ? »
Brigitte : « Maman, arrêtes, ne me prends pas pour une sainte ni-touche, et mon cousin encore moins, à nos âges, tout est bon pour s’amuser et le sexe en fait partit, vas-y réponds et oses me dire que tu as pris du plaisir depuis moins d’un mois », la conversation commençait à prendre une tournure très bizarre entre une mère et sa fille, mais cela m’excitait, la conversation et bien sur la main de ma cousine qui me branlait doucement, alors que Jeanine paraissait très occupée par le pliage du linge, je constatais que ses tétons commençaient à pointer à travers le tissus de sa robe et ma cousine, ne pouvait pas ne pas le voir, je décidais de m’amuser un peu, il n’y avait pas de raison, je posais une de mes mains à la base du cou de ma cousine et descendais, en appuyant doucement le long de sa colonne, je vis sa peau se hérisser de picots et je la vis vaciller sur ses jambes, arrivé en bas de son dos, faisant attention que Jeanine ne voit rien, je continuais à descendre en appuyant un peu plus mes doigts qui glissèrent doucement, par-dessus sa mini-jupe, le long de la raie de ses fesses, ses jambes tremblèrent à nouveau, alors qu’elle reprenait, un peu haletante, sa conversation en apostrophant sa mère, « alors, maman, réponds, vas-y, dis moi quand tu as pris du plaisir pour la dernière fois et oses me dire qu’il y a moins d’un mois »Jeanine « non mais tu n’es pas bien, et que veux tu dire par le sexe fait partie des amusements à votre âge ? »Brigitte : « tu sais très bien ce que je veux dire, tu étais pareil tu veux que je te répète devant mon cousin ce que tu faisais ? » Les tétons de Jeanine étaient à leur tension maximum, et il était très visible, maintenant qu’elle était très excitée par la conversation elle répondit à sa fille en me regardant droit dans les yeux « ce que je t’ai raconté doit rester entre nous, si j’avais su je ne t’aurais rien dit »Brigitte : « alors réponds moi, sinon je raconte »Jeanine en soupirant : « et bien tu vas être déçue ma chérie, tu vois je te regarde dans les yeux, et je t’affirme que ça fait moins d’un mois que j’ai pris du plaisir », un petit silence et une pique sortit de la bouche de Brigitte « avec Papa bien sur »Jeanine sursauta : « qu’entends tu par là, tu insinues que je trompe ton père ? »
Brigitte, haletante mais continuant à me branler alors que ma main était maintenant passée sous sa jupe et que mon majeur remontait le long de la raie de son cul en y faisant rentrer sa culotte répondit « Non maman, mais tu m’as expliqué qu’il y a plusieurs moyens de prendre du plaisir, que ce soit pour un homme ou pour une femme et que notamment il y avait celle de se caresser toute seule », soulagée Jeanine répondit « bon ça suffit ces conneries, files faire tes devoirs » et alors que mon majeur était en train de masser doucement la rondelle de ma cousine, elle répondit à sa mère tout en accélérant son mouvement « bon ben je vois que pour quelqu’un qui me disait qu’on pouvait tout se dire, c’est assez limité quand même » à la fin de sa phrase, elle fut prise de tremblements, je compris qu’elle jouissait, elle accéléra encore le mouvement de sa main et me fit exploser dans mon short, elle me lâcha, posa sa main à plat sur ma queue entrain de débander et dans une caresse très appuyée étala dans mon short le sperme qui venait de s’y déposer, puis elle s’avança, mon majeur perdit le contact avec sa rondelle, et dit « c’est bon, je file dans ma chambre, mais ne viens plus dire que je ne discute jamais avec toi », et sans se retourner elle rentra dans la maison et pris la direction de sa chambre.Je m’approchais de Jeanine, rouge comme une pivoine et passant ma main sur un de ses seins je lui dit « ça va », elle gémit et me répondit « oui, mais je suis dans un état, et avec tout ce que vient de dire ta cousine, tu vas me prendre pour une salope », j’appuyais ma caresse et elle se pencha pour bien la sentir, je lui dit « et alors, j’aime tout ce qu’on a fait et de savoir que tu te caresses toute seule est assez excitant aussi, pour moi, tu es ma tata chérie, qui me donnes plein de bonheur depuis que je suis arrivé ».
Elle posa sa main sur le devant de mon short, sentit l’humidité, baissa les yeux et dit « merde, tu as jouis, heureusement que Brigitte n’a pas vu ça, vas prendre une douche, rinces ton short et après on va essayer d’être sage jusqu’à demain mon poussin, mais ça va être dur, j’aurais bien aimé sentir ton sperme gicler dans ma bouche. J’allais dans la salle de bains, prenais une bonne douche et rinçais mon short en me demandant comment allait se passer la soirée, je sortais de la salle de bains quand Brigitte m’appela de sa chambre « viens voir, s’il te plaît, j’ai un truc à te demander », sa porte était ouverte et je m’appuyais au chambranle en lui demandant ce qu’elle voulait.
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