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Mes premiers congés payés

Chapitre 28

Trash
Cela fait plusieurs années que nous allons dans une petite pension de famille, une maison assez grande que son propriétaire que nous appelons par son prénom depuis le temps, Jacques, a fait transformé lorsque sa femme a disparue, oh ce n’est pas très grand, une ancienne ferme, 6 chambres en tout à l’étage, avec une douche et des toilettes dans chaque chambre. En bas il s’est gardé une partie pour lui et a fait une grande salle à manger avec un petit salon pour prendre l’apéritif ou le café le tout donnant sur une grande terrasse en bois couverte. Dans la salle à manger il a fabriqué lui-même un bar derrière lequel il trône toute la journée. Cette année, lorsque nous sommes arrivés, il y avait une surprise, surtout pour les hommes d’ailleurs, Jacques nous fit la bise comme d’habitude et nous présenta un p’tit bout de chou au cheveux roux, Mylène, en nous disant qu’il l’avait embauché pour l’aider car il commençait à sentir le poids des années, 68 ans ça commence à compter, comme il dit. La gamine, 25 ans, à tout casser, nous fit un grand sourire et Jacques nous dit que si nous avions besoin de quoi que ce soit, il suffisait de lui demander, elle était aussi bien femme de chambre que serveuse et il rajouta, et aussi une personne de confiance.Je la trouvais très gentille, mais lorsque je vis le regard d’Albert, je fis vite grise mine, il la dévorait des yeux, il est vrai que la gamine portait un chemisier blanc suffisamment léger pour voir qu’elle ne portait rien dessous, et tout comme moi, elle pouvait se le permettre, une petite planche à pain, avec ce chemisier, elle portait une mini jupe noire, les jambes gainées de noir, et des chaussures à talons qui la grandissait un peu, ce qui n’était pas plus mal, car elle n’est pas très grande. Mylène pris notre valise qu’Albert avait posé par terre et Jacques nous dit « elle va vous accompagner à votre chambre, la même que d’habitude bien sur », la gamine commença à grimper les marches et j’arrivais juste à temps à passer devant Bébert, car je ne voulais pas qu’il mate cette petite salope, eh bien heureusement, car le spectacle lui aurait fait rater les marches.Au milieu de l’escalier, la clef de la chambre lui échappa et tomba, tout du moins je crus qu’elle lui échappait, et au lieu de s’accroupir comme toute femme l’aurait fait, elle se pencha en avant, je m’étais arrêtée juste à temps pour ne pas lui rentrer dedans, et quand elle se pencha pour ramasser la clef, j’eus sous les yeux, une adorable lune complètement découverte, cette petite salope, comme je m’en doutais, ne portait rien sous sa jupe, à part un porte-jarretelles et ses bas, et il est vrai que c’était très agréable à regarder, elle mit quelques secondes avant de récupérer la clef, puis se redressant elle se retourna me regarda avec un grand sourire et dit « excusez-moi, je l’ai laissé glisser » je vis que son regard cherchait Albert, mais celui-ci, derrière moi ne pouvait rien voir, elle paru un peu déçu, et nous reprîmes notre ascension, arrivés devant la porte de notre chambre, une nouvelle fois la clef lui échappa, mais avant de la ramasser, elle se tourna en disant « ben décidément », mais je vis qu’en fin de compte elle regardait où était Albert, elle se déplaça de manière à être dans son champ de vision et se baissa à nouveau comme dans l’escalier, et là j’entendis Albert qui était un peu en retrait de moi mais sur le côté, souffler puis murmurer « putain la salope, jolie vue », je ne pense pas que Mylène ai entendu, elle se redressa, ouvrit la porte et nous fit entrer, elle posa notre valise sur une petite table puis alla à la fenêtre et l’ouvrit en grand en disant « vous avez de la chance on a un temps superbe, vous allez même pouvoir profiter de la terrasse, et puis c’est très calme et où que l’on soit, il y a une vue superbe, si vous voulez, quand vous descendrez, vous m’appelez et je vous montrerais ce qu’il y a à voir », je lui répondis que nous connaissions le coin car cette petite salope commençait sérieusement à m’énerver, lorsqu’elle fut partit, je commençais par défaire la valise et alors que Bébert s’allongeait sur le lit, je décidais d’aller prendre une bonne douche, car depuis le matin et notre « arrêt pipi » je n’avais fait que m’essuyer avec des mouchoirs en papier pour ne pas salir la voiture. Lorsque je sortais de la douche, je repassais ma robe en laissant les boutons du haut et du bas défait de manière à ce qu’Albert me regarde moi et pas la petite salope que nous n’allions pas manquer de voir en descendant. Il était à peu près 11h30 lorsque nous redescendîmes de la chambre, Mylène était en train de dresser la table, et Jacques était dans le salon avec un couple de personnes âgées qu’il prenait en photo, la déco du salon avait changé, il y avait de très belles photos sous cadre des paysages environnants et également un pan de mur recouvert de cadres vides et quelques uns avec des portraits.Quand nous entrâmes, Mylène vint vers nous en minaudant « puis-je vous servir un apéritif, c’est la maison qui offre celui du jour de l’arrivée, nous demandâmes un Ricard pour Bébert et un porto pour moi, pendant ce temps, le couple s’était levé et Jacques le remerciait de l’avoir laissé prendre des photos « je vous remercie, je vous montre le résultat ce soir et vous choisirez celle que vous voulez que j’accroche », le couple nous salua en sortant du salon et Jacques vint vers nous avec un grand sourire, l’appareil photo posé sur sa poitrine « ah super je suis content que vous soyez descendus, maintenant, comme vous le voyez, j’ai changé la déco, depuis votre dernier séjour, je me suis remis à une ancienne passion, la photo, donc j’ai décidé de prendre mes pensionnaires en photo, ceux qui sont d’accord bien sur, et de couvrir un pan de mur avec ces portraits réalisés, est-ce que vous seriez d’accord pour que j’en fasse de vous ? », je regardais Albert, mais lui n’avait d’yeux que pour Mylène qui arrivait vers nous avec un plateau et nos boissons, elle alla vers la table basse devant le canapé occupé précédemment par le couple qui venait de sortir et posa nos verres dessus avec une petite assiette de cacahuètes, puis retourna à ses occupations, je répondis à Jacques que nous étions d’accord, il me fit un grand sourire et me dit « bon asseyez vous, je vais en prendre plusieurs et je vous les montrerais ce soir pour que vous choisissiez celle que j’accrocherais.Nous prîmes place dans le canapé, et Jacques s’assit dans le fauteuil placé juste en face, je m’enfonçais un peu dans ce canapé moelleux, et je croisais les jambes pour me stabiliser, puis je regardais Albert, il venait de s’asseoir mais sans quitter des yeux la serveuse qui plutôt que de faire le tour de la table pour mettre le couvert, se penchait en avant pour placer assiettes et couverts de l’autre côté, ce qui faisant relevais sa jupe et dévoilait ses jarretelles et surtout son p’tit cul aux yeux de qui voulait bien regarder et mon Albert ne s’en privait pas, je lui mis un coup de coude dans les côtes en lui disant « ça va, tu l’dis si tu veux que je parte », il sursauta et regarda Jacques avec un grand sourire en lui demandant « mais vous allez réussir à faire développer vos photos dans la journée ? », Jacques : « je le fais moi-même, je me suis installé une chambre noire et je développe mes photos, je fais plus de noir et blanc car c’est plus rapide à développer, et surtout je trouve que les portraits sont plus beaux, allez, prenez la pose que je vous tire le portrait, j’en prends plusieurs et vous emmènerez celle qui resteront, ce sera le cadeau de la maison, ne regardez pas l’appareil, faites comme ci je n’étais pas là ».Je regardais Albert bien sur ce gros vicieux n’avait aucun mal à ne pas regarder l’appareil, il matait le p’tit cul qu’on lui montrait, je décidais de m’amuser un peu aussi, lorsque j’avais croisé mes jambes, le bas de ma robe qui était déboutonnée assez haut avait glissé sur le côté laissant apparaître mes cuisses un peu plus qu’il n’aurait dû, j’allais la remettre sur mes jambes quand je vis mon gros vicieux trop occupé à mater un cul qui n’était pas le mien, je décidais de laisser ma robe comme elle était, je regardais Jacques qui lui avait vu mes cuisses et ne se gênait pas pour les regarder discrètement, tout de même, puis voyant que le regardait il me dit « non, non, ne regardez pas l’appareil, au contraire, cela fera plus naturel, je fis semblant de regarder au-delà de Jacques alors qu’Albert n’eut pas à bouger ses yeux, trop occupé qu’il était à regarder ailleurs.Comme je regardais dans la direction de Jacques mais sans regarder l’appareil, je vis qu’il prenait 3 photos de nous deux, puis je vis l’appareil se baisser un peu, et comme il était orienté ce n’était plus nos visages qu’il prenait, mais mes jambes, il ne vit pas que je l’avais vu et pris 2 photos, voyant qu’Albert ne disait rien et pour cause, il ne regardait que la p’tite salope, je décidais d’en rajouter un peu, en plus ce qu’il se passait commençait à m’exciter, je décroisais les jambes et restait cuisses ouvertes en face de Jacques, dans mon champ de vision, je le vis rougir et régler l’objectif de son appareil, et il pris au moins 4 ou 5 nouvelles photos, mais là je savais que ce n’était pas des portraits qu’il faisait, il avait une vue plongeante sur mon sexe et en profita, je sentais une douce chaleur m’envahir et je sentis que je commençais à mouiller devant cette situation, j’écartais encore un peu mes cuisses pour offrir à Jacques une vue sur mon sexe, Jacques était rouge écarlate, et il continua à me mitrailler avec son appareil.Je fermais mes cuisses et dit « bon vous devriez en avoir assez maintenant, vous nous montrerez tout ça ce soir alors, en insistant bien sur le « tout ça ». Jacques baissa son appareil et me dit « oui, bien sur et je vous remercie d’avoir pris la pose pour moi, puis il se leva en disant qu’il allait préparer le repas, je vis que mes poses avaient fait leur effet, Jacques bandait et c’était très visible.
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