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Mes premiers congés payés

Chapitre 56

Trash
C’est la sonnerie du téléphone qui me réveilla vers 9h le lendemain matin, et comme d’habitude, je me réveillais en grande forme, je me levais et j’allais dans la cuisine où je pensais trouver Jeanine, en passant dans le couloir, je la vis se prélassant nue dans un fauteuil sur la terrasse, enfin, se prélassant c’est un bien grand mot, elle était surtout entrain de se caresser négligemment la fente, je la rejoignis et alors que j’allais lui dire bonjour, elle ne m’en laissa pas le temps, d’un ton courroucé, elle me dit « c’est à cette heure là que tu te lèves, tu te rends compte que ça fait plus d’une heure que j’ai envie de pisser et que toi tu dors, alors je vais commencer par te mettre une bonne fessée et ensuite je me soulagerais sur toi petite salope, mets toi sur mes cuisses et dépêche-toi », je m’exécutais, à peine étais-je installé que les coups commençaient à tomber, elle alternait, un coup la fesse droite, un coup celle de gauche, et ça cinglait, elle ne retenait aucun coup, je me mis à pleurer et à la supplier d’arrêter, mais rien n’en fit, Jeanine tapait de plus en plus fort, elle ne s’arrêta que quand son bras lui fit mal.
Je pleurais à chaudes larmes, elle me dit « ta gueule petite pute, c’est de ta faute, et si tu continues, je recommence, tu as déjà ton petit cul bien rouge et ça ne le fera pas changer de couleur pour autant », effectivement, mes fesses me cuisaient et comme je ne voulais pas qu’elle recommence, je me contrains à arrêter de pleurer, elle me donna une dernière claque en me disant de me lever, puis elle se leva à son tour, descendit de la terrasse et se mit face à moi, les jambes écartées, je voyais ses tétons qui étaient gonflés et qui paraissaient bien dur, et j’attendis de savoir ce qu’elle voulait.
Jeanine : « alors salope, tu attends quoi ? Tu crois que je vais pisser sur toi d’où je suis ? Amènes ta petite gueule d’amour ici, tu te mets à genoux et tu ouvres bien grand ta bouche que je me vide dedans », je fis ce qu’elle me demandait, et la rejoignis sur la pelouse, à peine étais-je à genoux face à elle et bouche ouverte, elle commença à uriner, le premier jet me frappa en plein visage et dégoulina sur ma figure puis sur mon torse alors qu’elle modifiait légèrement sa position et continuait à pisser dans ma bouche, j’eus du mal à tout avaler, elle avait vraiment une très grosse envie, quand elle eu fini, elle fit juste un pas et me colla son sexe sur la bouche en disant « essuies salope, lèches ta maîtresse pour la remercier de t’avoir donner à boire », c’est elle qui m’arrêta après avoir jouit deux fois dans ma bouche.
Lorsque je me relevais, Jeanine vit que je bandais, elle attrapa mon sexe à pleine main et dit « dis donc salope, c’est quoi ça, qui t’a autorisé à bander, je vais te mettre une autre fessée, comme ça tu comprendras peut-être que ton clito doit rester au repos, à quatre pattes et vite », une fois que j’eus pris la position, elle se mit au-dessus de moi, une jambe de chaque côté de mon corps et, se penchant en avant, commença à taper, elle ne retenait aucun de ses coups et elle n’arrêta que lorsqu’elle fut fatiguée de taper. Jeanine se redressa et dit en m’enjambant « à la douche, tu vas d’abord me laver correctement et ensuite je m’occuperais de toi, nettoyage et préparation, nous avons une petite heure avant l’arrivée de Cathy ». Dans la salle de bains, nous entrâmes tous les deux dans la baignoire et je commençais à laver et savonner Jeanine consciencieusement, elle se pencha en avant, appuyant ses mains sur les rebords de la baignoire et me dit « nettoies mon cul salope, qu’il soit tout propre au cas ou Cathy voudrait y goûter », je repris du produit douche sur mes mains, le fis mousser et commençais et en passer sur toute sa raie, puis sans la prévenir, je rentrais mon majeur dans son cul et commençais de petits aller retours, Jeanine gémit, encouragé je continuais, elle me dit « dis donc petite salope, je t’ai dit de me laver, pas de me branler l’anus », innocemment je lui répondis « ben c’est ce que je fais, je nettoies aussi les bords », Jeanine gémit alors que je venais de rentrer mon doigt entier dans son anus, « tu me paieras ça petite pute, je te le promets », puni pour puni, avant de retirer mon doigt, je le fis tourner dans son cul en le ressortant, Jeanine gémit à nouveau, puis je la rinçais et elle me dit « à toi maintenant, tu vas voir, moi aussi je vais bien te nettoyer partout »
Jeanine commença par me mouiller partout avec de l’eau froide, puis prenant du produit dans se mains, elle s’évertua à me faire bander en me caressant plus qu’elle ne me lavais, elle s’occupa de mes tétons, elle les fit durcir puis avec un sourire sadique les pinça assez durement jusqu’à ce que je gémisse de douleur, et bien sur elle arriva à ce qu’elle voulait, je me mis à bander, elle me dit « penche-toi en avant salope que je nettoies ta petite chatte de pute, en plus je suis sur que tu n’attends que ça », effectivement, j’avais envie qu’elle me fasse ce que je lui avait fais, j’avais envie de sentir son doigt me pénétrer et me nettoyer le petit trou.
Je me penchais en avant et elle commença par me nettoyer la raie, puis tout comme je l’avais fais elle me pénétra, mais au lieu d’un doigt, ce sont deux, accolés l’un à l’autre, qu’elle rentra dans mon cul, assez facilement car j’étais dilaté et de plus j’en avais envie, puis elle commença à me limer l’anus en disant « alors petite pute, on aime se faire doigter la chatte hein, avoues que tu aimes sentir mes doigts te branler », je gémissais un « ouiiii » et de sa main libre, elle ma claqua les fesses en disant « oui qui ? Salope, c’est comme ça qu’on cause à sa maîtresse ? » Tout en gémissant sous la caresse de ses doigts, je répondis « oui, maîtresse, j’aime que vous me branliez la chatte », contente, elle retira ses doigts quelques minutes plus tard, juste avant que je n’explose, m’attrapa les couilles à pleines mains et serra en disant « interdiction de jouir, salope », la douleur me fit débander et nous sortîmes de la baignoire pour nous essuyer.
Une fois essuyer, Jeanine posa sur le tabouret qu’elle avait ramené de la cuisine le gode avec lequel elle m’avait déjà sodomiser et le posant sur le tabouret elle dit « assieds toi petite pute, que je te maquille et que je te fasse belle pour Cathy », délicatement je me baissais et positionnait mon anus sur le bout du gode, je voulait faire doucement pour éviter la douleur, mais c’était sans compter sur Jeanine, dès qu’elle vit que le gland du gode était bien placé, elle appuya de toutes ses forces sur mes épaules et le gode rentra d’un coup en entier dans mon cul, je criais de douleur malgré la préparation dont j’avais bénéficié pendant la douche, le gode était plus gros que ses deux doigts, Jeanine ricana et dit « voilà ma belle, ton cul est rempli je vais m’occuper de te préparer » et elle me maquilla, puis positionna la perruque sur ma tête et me mis le collier de chien autour du cou, puis elle sortit quelques minutes et revint avec le string, de petites socquettes blanches, la mini-jupe que j’avais déjà porté et des ballerines vernies, posant le tout sur le lavabo, elle me dit en attachant la laisse au collier, « debout salope que je t’enlève la bite que tu as dans le cul, ensuite tu t’habilles et pendant que je me prépare, tu vas attendre à genoux derrière la porte d’entrée, la laisse dans ta petite gueule, et quand Cathy arrive, tu lui ouvres la porte et tu l’accompagneras sur la terrasse où je vous attendrais ».
Je fis ce qu’elle me demandait, et c’est à genoux, la laisse entre les dents que j’attendis que Cathy arrive, Jeanine vint vérifier que j’étais dans la bonne position et je vis qu’elle avait mis pour la circonstance, un chemisier sous lequel ses seins libres bougeaient au rythme de ses pas, une jupe très courtes qui laissait voir ses cuisses enveloppées et des chaussures à talons aiguille vernis.Elle me donna un coup de pied dans les fesses en disant « redresse-toi salope, c’est quoi cette tenue, je te veux bien droite et les mains dans le dos », je rectifiai ma position et sentais avec plaisir, la ficelle du string caresser mon anus dilaté, Jeanine partit, je n’osais bouger alors que j’attendais avec impatience que Cathy arrive.
Quelques minutes plus tard j’entendis la voiture arriver et d’instinct je me redressais encore un peu pour être sur de ne pas lui déplaire quand elle me verrait. Lorsqu’elle frappa, j’ouvris la porte immédiatement, Cathy rentra et passa devant moi, je refermais la porte, puis je vis que sous une longue gabardine très légère, elle portait un caraco en voile rouge transparent qui montrait ses petits seins et laissais son nombril à l’air, un pantalon de cuir noir et elle avait au pieds des chaussures à talons aiguilles dont le dessus était fait de lanières argentées qui permettaient de voir ses pieds nus aux ongles vernis de rouge vif, tout comme le vernis des ongles de ses mains. Elle retira sa gabardine et me la tendit pour que je l’accroche à la patère de l’entrée, je restais subjugué par la vision qu’elle m’offrait.
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