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Mes premiers congés payés

Chapitre 72

Trash
Germaine s’assoupit et pendant deux bonnes heures, je roulais avec juste le bruit de sa respiration et surtout, je ne me gênais pas pour la regarder, même en dormant elle me donnait envie, malgré son âge qui aurait fait reculer plus d’un homme, je la trouvait belle et excitante, en un mot bandante, et je bandais bien sur, je sentais mon sexe emprisonné dans le string, tendu, prêt à servir, c’est plaisant d’être en érection, de bander et de se sentir très dur, de savoir aussi qu’à un moment ou un autre, ce sexe va servir et qu’il procurera du plaisir en se mettant au chaud dans une chatte trempée ou dans un p’tit trou étroit mais accueillant.
Vers 11h, Germaine commença à se réveiller, puis à s’étirer, ce qui n’arrangea rien à ma situation car en s’étirant, le haut de sa robe s’écarta pour me laisser voir ses petits seins que j’avais très envie de sentir durcir sous ma langue et dans le même mouvement, elle écarta les cuisses et me permis de voir son sexe épilé et près, j’en étais persuadé, à se faire dévorer.Je posais une main à l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est très sensible et où je savais qu’elle aimait être caressée, je commençais à faire bouger mes doigts, elle me laissa faire quelques secondes puis mettant une tape sur ma main, elle me dit « mais c’est pas vrai, tu ne penses qu’à ça, et en plus je suis sur que tu bandes » et pour vérifier ses dires elle posa une main directement sous ma mini-jupe, et y trouva l’objet de ses convoitises qu’elle massa doucement en disant « tu vois, j’avais raison, tu es un obsédé, et bien pour te punir, tu vas rester comme ça, elle ne va pas servir maintenant, par contre ta langue va servir », je lui demandais, avec précipitation, si elle voulait que je m’arrête, Germaine éclata de rire et me répondit « oui, tu vas t’arrêter, car j’ai très envie de faire pipi et il c’est là que tu interviens car il est hors de question que je me racle la peau avec la saloperie de PQ merdique qu’ils mettent dans les toilettes des autoroutes, d’autant que j’ai ta langue qui m’essuiera beaucoup mieux et en plus me fera du bien, tu t’arrêtes sur une aire, pas une station service, il y a trop de monde », puis elle se laissa aller contre le dossier du siège pour attendre en rajoutant « dépêche-toi, car j’ai vraiment très envie, de pisser et de ta langue ».
Je m’arrêtais une vingtaine de kilomètres plus loin, l’aire de stationnement était propre, l’herbe avait été coupée récemment et surtout, il n’y avait aucun véhicule.
Germaine descendit et me dit « allez dépêche-toi, suis moi, j’ai tellement envie que je vais pisser avant d’arriver aux toilettes si ça continue », d’un pas rapide elle partit devant pendant que je fermais la voiture, je la suivis et je marquais une hésitation devant les toilettes réservées aux femmes dont elle me tenait la porte ouverte, elle s’impatienta « alors tu viens », je lui dis « ben ce sont les toilettes pour femmes » elle sourit et me répondit « et alors tu ne crois quand même pas que je vais aller pisser chez les hommes et puis regarde-toi, je te rappel que tu es habillé pour venir dans ceux là », vaincu, je franchis la porte, il y avait deux cabinets, Germaine rentra dans le premier et dit « putain, je m’en doutais, heureusement que tu es là, pas de papier », elle ressortit pour rentrer dans le second et constata la même chose, elle se retourna, souleva le bas de sa robe et me dit « entres et verrouilles la porte », puis elle s’assied sur la cuvette et se lâcha, effectivement, elle ne pouvait pas se retenir plus longtemps, c’est une cataracte d’urine qui gicla de son sexe, de la voir uriner, me fit bander encore plus et m’excita, je m’approchais d’elle et m’agenouillais juste entre ses jambes, quand le flux s’arrêta, elle posa une main derrière ma tête et appuyant dessus pour la diriger vers son sexe, dit « maintenant le meilleur, allez essuies moi bien mon chéri, et fais moi du bien avec ta langue ».
Je n’attendais que ça, je sortais ma langue et la posant en bas de sa fente, je remontais doucement vers le haut, Germaine gémit « putain que c’est bon, tu es doué, vas-y bouffe-moi », et je m’appliquais à lui donner ce qu’elle voulait, je léchais sa fente en appuyant ma langue sur ses grandes lèvres pour les ouvrir et Germaine g »mit encore plus fort au moment ou nous entendîmes la porte extérieur s’ouvrir et un bruit de pas, puis la porte des toilettes voisines fut fermée, quelques froissements, puis le bruit de l’urine cinglant la cuvette, Germaine écoutait alors que je continuais à dévorer sa fente, et de savoir qu’il y avait quelqu’un à côté m’excitais encore plus, Germaine se mit à gémir « oui, ma chérie, essuies moi bien, c’est nettement mieux que leur saloperie de papier, vas-y essuies tout », elle avait parlé plus fort, avec l’intention de se faire entendre, et ça marcha, nous entendîmes une voix dire « euh excusez moi, il n’y a pas de papier ici, pourriez-vous m’en passer un peu ».
Germaine repoussa ma tête d’une main et se leva, elle répondit à la voix « bien, sur pas de problème, je vous envoie ma petite fille, déverrouillez votre porte », puis elle me posa une main sur mes fesses et me poussa en avant en me disant « applique-toi », je sortis et allait frapper à la porte d’à côté qui s’ouvrit, je poussais la porte mais je sentis une résistance, puis la voix dit alors qu’une main se tendait « donnez le moi comme ça, ça ira, merci beaucoup », je pris la main et la repoussais alors que Germaine qui venait de sortir dit « laissez la entrer, vous allez voir », la petite voix hésita puis la résistance se relâcha, je poussais complètement la porte et la franchissais pour trouver une femme qui tenait sa jupe sur son ventre dénudé et surtout très arrondit, Germaine qui était derrière dit « oh mais vous êtes enceinte, vous avez raison de ne pas vous essuyer avec n’importe quoi, on ne sait jamais, puis elle me regarda et dit « allez essuies la dame », celle-ci pour nous laisser entrer s’était appuyé contre le mur, elle avait gardé les jambes ouvertes pour éviter de se mettre de l’urine dessus, je m’agenouillais et approchais ma tête de son entrecuisse, elle posa une main sur ma tête et dit « ben qu’est-ce que vous faites, non, je veux simplement du papier », Germaine lui répondit « laissez vous faire, vous allez voir, c’est plus doux que du papier et nettement meilleur, et de plus si votre mari est comme le mien quand j’étais enceinte, il ne doit plus vous toucher, au fait combien de mois ? » La femme repondit « 6moi ½ »et pendant que Germaine lui parlait, j’en profitais pour la détailler.
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