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Mes premiers ébats avec ma mère

Chapitre 4

Inceste
Les vacances d’été arrivèrent très vite. Ma mère et moi ne comptions plus le nombre de nos fougueux ébats. Il m’arrivait souvent dans mon lit de penser à jusqu’où irait cette relation et ce que cela apportait autant à ma mère qu’à moi. Je n’arrive pas à comprendre du mal que c’est aux yeux de la société. Ma mère et moi sommes adultes et consentants, et nous ne voulons pas procréer, juste avoir du plaisir. Donc où est le problème ?
Maman m’avait appris tant de choses et m’avait fait tellement de bien. Impossible d’imaginer que cela s’arrête ! Et pourtant… Au début des vacances, j’y ai cru fortement… Mon père ne travaillait donc pas, il était donc difficile que maman et moi fassions l’amour. Elle m’offrait souvent une masturbation ou une fellation le soir, mais ça s’arrêtait là. Cela devait bien faire 3 semaines que je ne l’avais plus pénétrée. Le désir était à son comble. Cela était aussi le cas de ma mère apparemment, puisque lors des séances de petites gâteries qu’elle me donnait quand je lui touchais le sexe, elle mouillait énormément. Sa cyprine coulait entre mes doigts et sur ses cuisses. J’adorais sucer mes doigts après. Le goût n’était pas top, mais faire ce geste là m’excitait beaucoup. Maman, elle, se gargarisait de mon sperme chaud. Mais rien n’y faisait, je voulais entrer mon pénis dans sa moule béante.
Un samedi matin, je me réveillais avec les bruits de la tondeuse à gazon. Sur le coup, je n’y prêtai pas attention, mais lorsque je vis la trique matinale d’enfer que j’avais, je trouvai le moment idéal pour enfin satisfaire mon désir. Je fonçai au rez-de-chaussée en caleçon. Mon érection se voyait clairement. Maman était dans la cuisine, elle faisait la vaisselle d’hier. Elle me dit bonjour et me demanda si j’avais bien dormi. Je ne répondis rien, et m’approchai d’elle.C’était l’été, il faisait chaud, au alentour de 30°, ma mère portait une robe blanche légère, avec son tablier par-dessus. Il était écrit "Kiss The Cook", sur le coup, j’avais plutôt envie d’écrire "Fuck The Cook". Je suppose qu’il est inutile de vous dire à quel point maman était sexy dans cette petite tenue. Je la pris par la taille et l’embrassai dans le cou. Elle comprit tout de suite où je voulais en venir.— Non, Quentin, pas maintenant…— J’ai envie de toi, maman.— Moi aussi mon chéri… (Elle commença à haleter sous l’effet de mes bisous passionnés)… Mais ton père… Il… pourrait nous surprendre.Mon père était dans le jardin, tout au fond. Je ne savais pas vraiment si de là où il était, il pouvait nous voir. Cela rendait le jeu terriblement excitant. Mais, le destin s’y mêlant, mon père se rapprochait un peu plus de la fenêtre. Il y avait donc plus de risque de se faire prendre. C’est à ce moment que j’eus une brillante idée.— Continue ta vaisselle, maman.Elle ne comprit pas tout de suite. Quant à moi, je m’abaissais, de sorte de n’être plus à la vue de mon père. Je soulevai doucement la robe de ma mère. Je ne fus pas surpris lorsque je vis de la cyprine couler le long de sa jambe gauche. Je commençai par cet endroit : je léchai la goutte qui tombait tout en remontant vers son vagin. Ma mère prit une grande respiration et me dit :— Je ne sais pas si c’est une bonne idée… Je risque de jouir et…Je l’interrompis :— Laisse moi faire maman, fais semblant de faire la vaisselle.Je lui fis le plus merveilleux des cunnilingus qu’elle n’eut eus dans sa vie. Je la léchais, la suçais, la mordillais. Je comprenais bien qu’elle adorait ça puisqu’à un moment elle commença à bouger rapidement son cul, de sorte que ma langue frotte plus. Mon père de son côté ne voyait par la vitre que maman en train de nettoyer une assiette. Avec un peu de perspicacité, et une bonne vue, il aurait compris que cela faisait 5 bonnes minutes qu’elle s’occupait de la même assiette. Je dois avouer que je trouvais cela terriblement excitant de risquer de se faire prendre à tout moment.— Je n’en peux plus ! Dit soudain ma mère. J’ai envie de ta bite au fond de moi !Ces paroles me réjouirent au plus au point. Le risque d’être vu augmentait considérablement, mais à ce niveau d’excitation seul le plaisir comptait. Je me levai donc, ma mère cambra son dos et tenait sa robe. La vue de cette chatte qui ne demandait que moi me rendait fou. Mais je voulais faire durer le plaisir, je me collai au dos de ma mère, et avec ma main gauche, je commençai à lui malaxer le sein, et avec ma main droite, j’enfonçai petit à petit mon doigt.— Hum… Petit cochon, tu veux me rendre folle !Je prenais le temps en faisant des va-et-vient avec seulement un doigt. J’aimais beaucoup racler les parois de son vagin comme on racle un pot de chocolat pour avoir le peu qu’il reste à l’intérieur. Et ma mère avait l’air d’aimer ça aussi. Si j’enfonçais mon doigt jusqu’au bout, je pouvais sentir l’entrée de son utérus. Cela me rappelait mes rapports sexuels avec ma mère les plus torrides, où je me déversais au plus profond possible, car celle-ci adorait sentir mon sperme chaud dans son ventre et imaginer mes petits spermatozoïdes parcourir ses trompes à la recherche désespérée d’ovule à féconder. J’avais mon doigt trempé, c’était presque comme-ci je l’avais mis dans de l’eau. Je le mis à ma bouche pour goûter une énième fois la moule de ma mère. Cette odeur qui émanait, remplie d’hormones expliquant un état d’excitation énorme. Hum ! J’en avais presque l’eau à la bouche. Je tournai la tête de ma mère dans ma direction, toujours en la doigtant, et je l’embrassai. Nos langues s’entremêlèrent. Sans aucune honte d’avoir le même sang. Un sein était sorti du décolleté de maman et pendait dans les airs, je le pris et commençai à le sucer, à le mâchouiller et à le lécher. Il était vraiment dur tellement ma mère pointait. Soudain, ma mère me prit la tête afin que je la regarde et elle me dit d’un air dominateur :— Je veux ta bite ! Maintenant !Ah, comme ça tu la veux, et bien tu vas l’avoir ! Me dis-je sur le coup. Je la retournai brusquement vers l’évier. Et je commençai à la pénétrer. Cela fit un bien fou ! 3 semaines sans sentir son vagin serré sur mon sexe, 21 jours sans sentir la cyprine et mon liquide séminal se mélanger pour permettre un glissement plus facile lors du coït. Et quel bien fou aussi, de sentir mon gland percuter contre son utérus à chaque mouvement de bassin que je fais. J’étais tellement excité que j’y allais brutalement. En y repensant maintenant, peut-être que j’y allais même trop brutalement ! Ma mère dut se cramponner au robinet pour ne pas trop bouger. Mais je m’en fichais, j’étais trop concentré sur sa paire de fesses que je tenais pour mieux la pénétrer. Sur le coup, ni mon père, ni personne n’était dans notre monde. Il n’y avait que moi et ma chère maman. Après ses quelques jours d’abstinence, mon gland n’avait plus été habitué à de tel frottement. Cela ne gâchait rien au plaisir, au contraire ! Je sentais beaucoup plus son orifice interne frottait contre les bords innervés de mon gland. C’était l’extase ! Et heureusement d’ailleurs que ma mère m’avait appris à retenir mon éjaculation, car à ce moment là, mes couilles n’avaient qu’une envie : c’était de cracher trois semaines de production. J’étais à bout de souffle, ma mère aussi. Je sortis mon pénis qui n’avait jamais bandé aussi fort. Ma mère me regardait avec un air bizarre. Je ne l’avais jamais vue comme ça auparavant.— Ca va ? Lui demandais-jeElle ne me répondit pas d’abord et se contenta juste de m’embrasser. Elle me mangeait presque la bouche. Waouh !— Je n’ai jamais pris autant de plaisir à être limée ainsi.
— Ton antre chaud me manquait ! Dis-je en souriant.— Alors il faudra faire plus de pauses de ce genre…— Peut-être mais pour l’instant, continuons…Je la soulevai et la posai sur la table ronde de la cuisine. Elle me dit que c’était froid, je lui mis donc des essuie-tout en dessous d’elle. Son trou était encore un peu ouvert à cause de la largeur de mon engin. Quelques gouttes de transpiration ruisselaient sur son pubis rasé. Je m’approchai et lui fis un bisou sur son clito déjà bien dur. Puis je commençai à le sucer en aspirant. Tout en faisant ça, je commençai un petit massage du pubis à ma mère ainsi que sur les côtés de sa chatte.— Tu me fais tellement de bien, mon chéri. Dit-elle. Je t’aime ! Cria-t-elle en basculant la tête en arrière.Sa mouille recommença à couler rapidement. Je me redressais et dit :— Tu me lubrifies un peu, maman ? Demandai-je avec un sourire.La réponse ne se fit pas attendre : elle se redressa elle aussi, commença à déposer de la salive sur le bout de mon gland, puis elle lécha les côtés de mon sexe, comme on humecte une enveloppe pour la fermer. Je la repoussai gentiment, elle comprit que je voulais la pénétrer, elle se remit donc dans la position de départ et écarta les cuisses. Et je m’exécutai comme je l’avais tant de fois maintenant, en entrant dans son con. Mais je ne me lasserai jamais de la sensation chaude et humide que cela provoque. Et lorsqu’on sait que c’est de là d’où on vient, c’est d’autant plus excitant ! Je la ramonais donc de plus fort que je pouvais. Et finalement, heureusement qu’on ait mis les essuie-tout, car ma mère mouillait tellement qu’il y aurait eu presque une flaque sur la table ! Je plaisante… Je me sentais venir de plus en plus, j’allais sûrement éjaculer comme jamais. La sauce montait, je sentais presque mes testicules envoyer la charge de foutre vers ma prostate.Mais soudain, la porte de la cuisine s’ouvrit ! Mon père avait terminé son petit jardinage, alors que le mien venait à peine de commencer. Je ne me retirais même pas de maman, j’étais paralysé. Nous le fûmes tous les trois, en fait.— Chéri… Dit ma mère mais cette fois en s’adressant à mon père.Le pauvre faisait des yeux ronds comme des billes.— Qu’est-ce que… vous faîtes ?Ni ma mère, ni moi ne répondîmes. Mais je vis quelque chose d’étrange : il y avait une bosse au pantalon de mon père ! Le bougre était excité de voir sa femme se faire prendre par son propre fils. Après un silence qui semblait interminable, d’ailleurs mon sexe eut le temps de débander, mon père dit :— Je savais que ta mère était accro au sexe, mais à ce point…Il se touchait les parties, tout en regardant mon sexe encore dans le vagin maternel.— Je suis sûr qu’à deux on peut combler ton insatiable mère ! Partant ?Ce fut à mon tour de faire les yeux ronds. Mon père me proposait de baiser ma mère avec lui ! J’allais dire non, c’était bien trop gênant mais ma mère prit le dessus.— J’aimerais bien voir si vos deux grosses queues peuvent assouvir mon appétit.Mon érection reprit à l’entente de ces mots. Et mon père le remarqua :— Et bien ! Quel engin ! J’en suis presque jaloux.Mon père défit sa ceinture, et enleva son pantalon. Le regard de maman était rivé sur la bosse du caleçon de papa. Elle avait l’air… affamée ! Lorsque celui-ci sortit son engin, je compris qu’il m’avait fait ce compliment juste par modestie. Car son sexe était quand même plus imposant que le mien. Il le décalotta en faisant deux va-et-vient et s’approcha de ma maman. Elle se coucha sur la table, afin de sucer mon père. Je n’avais jamais vu, ni entendu mes parents faire l’amour, mais de les voir dans cette position m’excitait terriblement. J’eus un sourire narquois : je pris ma bite et l’enfonçai d’un coup dans le sexe de ma mère qui poussa un petit cri de plaisir.— Avec le matos que tu as, tu dois sûrement toucher le col de son utérus non ? Me demanda mon père.— Oui…— Essaye de te frotter le gland le long de sa paroi. Elle adore ça ! Je m’exécutai.Je pris mon pénis à la base, et essayai de le bouger. Ma mère gémit de plus en plus. Cela me faisait terriblement du bien à moi aussi, car je frottais les bords de mon gland, les plus proches de mon urètre. Tellement que je commençai à avoir des spasmes au niveau du ventre.— Oh mon chéri, oui encore !— Je sens que je vais jouir. Dis-je tout en continuant mon frottement.— Ah non, pas tout de suite ! M’arrêta mon père. On échange !On échangea donc de place, et j’arrivais devant ma mère, tête renversée, qui me faisait un sourire. Elle goba ma bite entièrement, sa tête dépassait du bord de la table. Elle commença des mouvements brutaux. Je pouvais sentir sa langue humide le long de ma bite, et mon gland au fond de sa gorge. Mes couilles, elles, étaient posées sur son nez et cachaient une partie de ses yeux. C’était terriblement bandant ! Ma mère avait l’air tellement… soumise ! Mon père, de son côté, lui limait la chatte de toutes ses forces tout en massant son clito avec son pouce. Par cette chaleur, il était normal de transpirer, mais en plus en baisant comme des bêtes en rut, nos corps ruisselaient. Et les seins de ma mère, eux, bougeaient dans tous les sens. Je les pris donc avec mes deux mains et commençai à les pétrir. Je donnais de légers coups de bassin pour faire des va-et-vient avec la gorge de maman. Après quelques minutes d’intense plaisir, mon père et moi nous nous retirons de nos orifices respectifs en grognant.— Elle est bonne, hein mon fils ?— Oh oui !Ma mère essuya les larmes de ses yeux dues au reflexe de haut-le-cœur lors d’une gorge profonde. Elle me regarde et me sourit encore une fois, je viens lui déposer un bisou sur ses lèvres mouillées.— Tu l’as déjà enculée ?— Euh… Oui, mais pas encore aujourd’hui.— Hé hé, je vois que vous n’avez pas perdu votre temps. (Il se tourne vers ma mère) Je t’aime ma petite salope ! Ok, bon, je l’encule un peu, puis je te la passe.— Oh oui, parlez de moi comme si j’étais votre objet sexuel, votre vide-couilles !Mon père monta sur une chaise, souleva le bassin de ma mère et commença à entrer son pénis.— Regarde moi ça, elle est déjà toute dilatée.Quant à moi, ma mère me léchait les couilles tout en me masturbant. C’était divin. J’étais à chaque fois sur le point d’éjaculer, mais je faisais un effort pour tout garder. Puis vint enfin mon tour d’enfourcher ma mère par l’arrière. Mais maman en avait marre de cette position, elle se mit donc à quatre pattes, cul en buse vers moi et langue pendante vers la bite de papa. Je montai sur la chaise aussi, et je commençai à défoncer ma mère. Son cul était encore plus serré que sa chatte, c’était trop bon. Mais je sentais quelque chose de chaud, mais ce n’était pas les intestins de ma mère. Sur le coup, j’eu vraiment peur que cela soit… Vous devinez quoi… Mais voyant que je faisais une drôle de tête, mon père me dit :— Ah oui, au fait, si ça glisse facilement, c’est grâce à moi. Je n’ai pas pu me retenir dans le cul de ta mère. Dit-il tout en massant énergiquement les seins de ma mère.Cela me rassurait, et cela m’excitait aussi. Mais après quelques mouvements je n’en pouvais déjà plus, impossible de tout retenir maintenant.— Je vais jouir.— Moi aussi… Dit mon père en basculant sa tête en arrière.Ma mère arrêta de sucer mon père :— Vas-y, mon chéri, prends moi une dernière fois la chatte et crache moi tout ton jus au plus profond de moi !J’obéis. Je la pris en levrette et commençai une pénétration a la limite du frénétique. Lorsque mon gland ressortait légèrement, je voyais qu’il était tout rouge. Et les veines ressortaient. Et puis, le nirvana arriva. Je sentis une énorme sensation de plaisir m’envahir au niveau des testicules, et je sentais presque le sperme monter le long de ma queue. J’allais le plus profondément que je le pus, comme je l’avais déjà fait tant de fois. Mon gland poussa un peu l’entrée de son utérus.— Ah, je viens !!! Criai-je— Moi aussi ! Me dit mon pèreMaman se contenta de crier son plaisir, annonçant un énième orgasme. Moi, je l’eus lorsque mon sperme arriva au niveau de mon gland. Je lâchai tout avec bonheur dans la vulve de ma mère. Il y eut 5 jets puissants, d’un sperme blanc et très épais. J’avais l’impression que sa chatte buvait mon sperme ! Mon père lui éjacula au niveau du visage de ma mère mais ses giclées étaient tellement grosses qu’il éclaboussa les seins de maman en plus. On était là, vidés, assouvis, on se regarda sans rien dire pendant quelques secondes, puis l’on fut tous d’accord pour dire que c’était génial, et qu’il faudrait recommencer. Ce que nous avons d’ailleurs fait la nuit-même.
Depuis je n’arrête pas de baiser ma mère. Maintenant que mon père le sait, je ne m’en prive plus... Qu’il y participe ou non.
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