Le lendemain je me réveille. Ma mère est toujours dans sa chambre. Je rejoins mon père dans la cuisine qui referme la porte derrière moi. Je suis en pyjama, il me touche les fesses Nous recommençons à parler doucement.« Tu veux que je t’appelle Éric ou que je continue comme hier soir »« Continue comme hier, papa »« Bien tapette … ça me plait aussi … »« Pourquoi ça te plait ? »« Parce que ma chérie j’ai toujours pensé que tu étais un drôle de garçon … j’ai bien remarqué que tu me matais … et que tu prennes plaisir à te faire touchez les fesses, que tu aimes être insultée me fait dire que tu es une soumise. Et j’aime les filles comme toi»« Merci papa »« Tu vois je te dis que tu es une fille et tu me remercies … un vrai garçon se serait fâché … mais ma chérie je ne te le reproche pas. »Je souris … comme satisfaite …« Ma chérie quand nous sommes seuls je préfèrerais finalement pouvoir t’appeler avec un prénom de fille plutôt que tapette … quel prénom te plairait ? »« Je ne sais pas papa, je n’y ai jamais pensé … »« J’ai pensé à Virginie. ça te plairait ? »Je ne réponds pas tout de suite. Je ne suis pas sûr que cela me plaise. Il ajoute :« Pense que je t’appellerai Virginie dès que nous serons seuls tous les deux »Je ne veux pas le décevoir et je m’entends répondre :« D’accord papa. Appelle moi Virginie »« Bien Virginie, super … c’est bien »« Merci papa »« Ton prénom te va très bien … parce que hier je ne t’ai rien dit … mais tu as vraiment un cul de femme … il est magnifique. »« Merci papa »« Montre moi le avant que ta mère se lève »Je baisse mon pantalon de pyjama, je remonte un peu le sweat-shirt et me retourne … J’ai une érection. Mon père le remarque.« je vois que ça te plait, Virginie de t’exhiber ? »Je rougis.« Tu as un super cul, Virginie … »
« Merci, papa »Il le caresse un moment. Mon père bande. Il reste silencieux et au bout d’un moment :« Bon je dois y aller … à ce soir, Virginie » Ce matin là, je me sens bien. Mon père se met à m’aimer, je lui plait physiquement … je le sens proche de moi … il me comprend bien. Il me tarde d’avoir d’autres moments d’intimité avec lui.Les jours passent et la présence permanente de ma mère à la maison nous empêche de nous voir seuls.Au collège Philippe utilise toutes les occasions pour me tripoter les fesses, il s’est mis aussi à me pincer les seins … Il m’a proposé d’aller chez lui, j’ai refusé. Ensuite il m’a proposé de le suivre à l’extérieur du collège, j’ai accepté. Il m’a fait rentrer dans un immeuble, nous sommes descendus dans les caves, nous nous sommes mis sous l’escalier et nous avons attendus que la lumière s’éteigne. Il m’a pris contre lui, m’a toucher les fesses.« ça faisait longtemps que j’avais envie de toi tapette »Je ne dis rien je me laisse faire. Il passe sa main sous mon pull et me tripote les seins et me pince les tétons. Je sens qu’il est excité, je sens sa queue dure contre moi. A ce moment là je me suis dégagé.« Arrête, Philippe, il faut que j’y aille »Il a semblé, à ma grande surprise, compréhensif et m’a dit :« Ok mais avant de partir montre moi ton cul de tapette »« Si je te le montre, tu me laisses partir ? »« Oui petit pd après tu pourras partir, déshabille toi je vais éclairer »Je descends mon pantalon, je suis toujours sous l’escalier.« Vient sous la lumière »J’obéis« Tourne toi et appuie toi sur le mur tapette »J’obéis.« Cambre toi »Je cambre mes reins.« Tu as un super cul »Il commence à me tripoter, me pétrir, écarter mes fesses. Ensuite il commence à me donner des petites tapes. Il amplifie ces gifles sur mes fesses. En fait il commence à me fesser. Ça commence à me piquer … mais je ne dis rien. La fessée est maintenant nette. Philippe passe son autre main sur mon ventre et descend sur mon sexe et s’aperçoit que je bande dur.« Salope tu aimes ça la fessée ? »Je ne réponds pas. Il tape plus fort et les claques font du bruit.« Alors tu aimes ça tapette ? »« Pas si fort, Philippe, on va nous entendre »Il s’arrête de me fesser et me dit :« Si je trouve un endroit tranquille, tu seras d’accords pour recevoir une vrai fessée bien forte ? »Je suis surpris de la question. Je réfléchis et je m’entends lui dire :« Oui Philippe je serais d’accord» dis-je entre deux claques sur mes fesses.Il a l’air satisfait et diminue la force des claques pour ne pas nous faire entendre.« Non seulement tu es une tapette mais tu es une soumise, j’ai jamais vu un mec accepter une fessée sans se plaindre et même y prendre du plaisir. Tu as déjà reçu des fessées ? »« Non jamais Philippe »« Et ça te plait ? »Pour moi c’est une découverte que sentir du plaisir à recevoir une fessée … « Je crois que oui »« Tu veux que j’arrête ? »« Non Philippe»« Je continue à condition que tu veuilles être ma soumise, Éric. » et il s’arrête de me battre les fesses.Je ne réponds pas mais malgré moi je lui dit : « continue Philippe s’il te plait »« Dis moi que tu seras ma soumise et je continue, tapette »« Oui Philippe je serai ta soumise »« Tu vois c’est bien ma petite femelle » et il reprend cette fessée qui m’excite tant. En plus il vient de me traiter de femelle. Je ne peux m’empêcher de gémir.« Tu vois salope tu ne parles plus de partir »Là je sors tout à coup de mon bien être pour lui dire qu’il faut que je m’en aille, je dois rentrer chez moi.« Ok vas-y … » il me prend dans ses bras me serre et me dit : « on recommence dès qu’on peut … ok ? »« Oui Philippe je suis d’accord »Je me rhabille et je m’en vais. Sur le chemin du retour, je repense à ce qui vient de se passer. J’ai trouvé que Philippe était devenu moins agressif qu’au paravent. Je ne sais pas d’où lui est venue cette idée de me mettre une fessée. Je ne me doutais surtout pas que cela me procurerait ce plaisir que j’ai découvert. Si accepter une fessée signifie qu’on est soumis alors oui je dois l’être. Je suis très excité … Je me dépêche de rentrer chez moi pour me masturber …Ma mère est là. Je l’embrasse. Je vais directement dans ma chambre et je me branle frénétiquement, je jouis très rapidement.Le soir après le repas ma mère est fatiguée elle va se coucher directement. Une demi-heure après je suis seul avec mon père dans le salon devant la télé. Les portes sont fermées.Mon père « Virginie, ça faisait longtemps qu’on était pas seuls tous les deux »« Oui papa, ça a été long »« Très long. Va te mettre en pyjama ma chérie »Je reviens de ma chambre en pyjama.Mon père « viens t’asseoir à côté de moi Virginie » Dit-il en chuchotant pour ne pas être entendu par ma mère qui doit dormir. « Alors chérie depuis le temps ??? … ça va … »Mon père n’a jamais été aussi gentil et prévenant avec moi. Je suis très content qu’il me considère enfin.« Oui papa ça va merci et toi ? »« ça va … j’ai souvent rêvé de toi la nuit ma chérie … c’était très excitant »« Moi aussi papa je pense souvent à toi … j’aimerais recommencer ce que nous avons fait l’autre fois »« Attends un peu que je sois sûr que ta mère dorme. »Il ajoute : « ton Philippe a arrêté de t’embêter ? »« Il est plus gentil qu’avant oui. »« Il t’a encore traitée de pd et de tapette ? »« Oui … il aime bien cela apparemment »« ça tombe bien toi aussi à ce que j’ai constaté »Je réponds en souriant « oui, c’est vrai »« Et il a mis ses mains sur toi récemment ? »« Oui papa, il voulait m’amener chez lui, j’ai refusé. Mais j’ai accepté de le suivre dans les caves de la résidence à côté du collège »« Et qu’avez-vous fait ma chérie ? »« Philippe m’a demandé de me mettre tout nue sous l’escalier de la cave »« Ma chérie, on va convenir d’une chose, quand nous sommes seuls et que tu es Virginie, j’aimerais que tu parles de toi au féminin… OK… donc il t’a demandé de te mettre toute nue.. »« Oui papa il m’a demandé de me mettre toute nue. »« Et tu as obéis »« Oui »« Tu en avais envie ? »« Je ne sais pas mais comme je lui avais refusé d’aller chez lui je voulais être gentil avec lui »« Gentille Virginie »« Oui je voulais être gentille »« Et une fois nue ? »« Il m’a demandé de m’appuyer contre le mur et de me cambrer »« Et tu as obéis ? »« oui, et il est venu me caresser les fesses, il me les a pétries, il me les écartées et ensuite je n’ai pas compris pourquoi mais il s’est mis à me donner une fessée »« Et qu’as-tu fait ? »« Rien papa »« Tu t’es laissé faire ? »« Oui »« Et ça t’a plu ? »« Je crois que oui papa j’avais une érection. Je ne sais pas pourquoi mais ça m’a beaucoup excité.»« Je suppose que lui est resté habillé pendant que toi tu étais nue ma chérie.. »« Oui papa »« Et tu ne t’es pas sentie humiliée nue dans une cave en train de recevoir une fessée ? »« Oui je me sentais humiliée mais en même temps je ne voulais pas que ça s’arrête … c’est drôle non ? »« C’est ce que je te disais la dernière fois ma chérie, tu es une soumise, tu aimes obéir et être humiliée … les personnes comme toi vont parfois très loin … et tu verras. Avec le temps tu seras demandeuse de plus en plus d’humiliations nombreuses et avilissantes »« Tu crois papa? »« J’en suis sûr, ma chérie, … viens sur moi »Il me fait asseoir à califourchon sur lui, face à lui. Il me serre contre lui m’embrasse dans le coup. Je suis contente que mon père m’aime. Il avait peut-être plus besoin d’une fille que d’un garçon et je suis en train de devenir cette fille … Virginie. Je le serre contre moi.« Enlève ton haut s’il te plait » me demande-t-il très attentionné.Je suis heureuse de me dévoiler si près de lui … Il fait de même, il enlève son teeshirt. Me voilà contre son poitrail poilu … magnifique. Je passe mes mains dedans avec plaisir … son corps est chaud … ma respiration s’accélère. Mon père le voit.« Tu aimes les poils d’homme hein chérie. »« Ho oui c’est très bon à toucher. » Je passe mes mains sur sa poitrine, je descends sur son ventre.« Tu es très poilu papa … j’aime beaucoup »« Vas y chérie …. Caresse mes poils … tu veux mettre ton visage dans mes poils Virginie ?.... »« Je me penche vers sa poitrine et frotte mon visage dans ses poils. » J’ai la respiration courte. Pendant ce temps mon père me caresse aussi. Surtout les fesses … je vois qu’il a une belle érection. J’en suis fière et excitée.« Vas y tapette met bien ta langue dans mes poils »J’obéis« hooo oui j’aime ton odeur et ton gout »« Tu aimes les hommes salope c’est tout et moi j’aime t’insulter Virginie »« Merci papa, j’aime aussi quand tu m’insultes »« Vraiment tapette … tu aimes ça ? »« Oui ça m’excite »« Je te veux à poil salope »« Oui papa »Je me met debout devant lui et enlève le pantalon de mon pyjama. Mon petit sexe est en érection.« Montre moi ton cul putain. »C’est la première fois que je me fais traiter de putain. Je me sens femme. Je me tourne … il se lève et viens derrière moi passe ses mains devant et me caresse les seins, il les pétri, il le fait bien ça m’excite, il me pince délicatement les tétons … j’en gémis et il me dit doucement dans l’oreille : « tu veux une fessée petite putain ? »« Oui papa j’aimerais bien … »« On ne va pas faire ça ici … ta mère pourrais entendre les claques sur tes fesses, va dans ta chambre et met toi à quatre pattes comme une chienne sur le lit fesses bien en l’air »« Oui papa … j’y vais tout de suite »J’obéis et j’attends mon père en position sur mon lit.Il rentre dans ma chambre referme la porte, se met nu et se dirige vers moi avec sa queue fièrement dressée.Il la met devant mon visage et me dit « tu as vu dans quel état tu me mets salope ? »Il se dirige vers mes fesses et commence à me les gifler vigoureusement … ça fait du bruit, ça me pique. Je dis à mon père que j’ai mal il me répond « tu ne dois pas avoir très mal, regarde ta petite queue de pd » C’est vrai je bandais de cette douleur et de cette humiliation qui m’excitaient.Quand il eut fini la fessée je sentais mes fesses me brûler, elles devaient être rouges. Mon Père me fait mettre debout il me serre amoureusement contre lui, je sens sa queue dure coincée entre nous. Ses poils sur ma peau sont doux.« Tu es une bonne femme Virginie »Il me rassure, moi qui me posait des questions quand je regardais les hommes sans les approcher, il me permet de me comprendre de m’épanouir. Il ne me dénigre pas sous prétexte que je suis obéissante et soumise, il m’initie aux humiliations. Ça me plait ça m’excite … je m’épanouis.« Merci papa. » Être considéré comme une fille par mon père me permet d’assumer beaucoup plus facilement mon côté féminin très prononcé, c’est gagné l’amour de mon père que j’attendais depuis toujours et c’est avoir cette attention et cette douceur que je ne lui connaissais pas mélanger à cette virilité qui m’excite.« Branle moi chérie »Je me saisi immédiatement de sa queue, le gland est baveux, je commence mes vas et viens sur toute la longueur de son sexe.De mon autre main je lui caresse ses couilles grosses, magnifiques.Il regarde mes mains travailler, puis nous nous regardons dans les yeux … je n’arrête pas de le branler … « Tu aimes la queue toi ma salope, t’arrête pas petite putain. »Je lui souris.« Tu aimes qu’on te manque de respect. »« Oui papa je ne sais pas pourquoi mais ça m’excite. »« Parce que tu es une soumise ma chérie »Il me prend la tête dans ses mains et l’approche de son visage, je sens son souffle sur ma bouche, il respire fort. « Ma chérie, je vais faire ton éducation de femme, je veux dire ton éducation sexuelle … quand tu auras une bonne idée de ta sexualité de femme, je t’enseignerai les humiliations …., tu es d’accord ma poupée ? »« Tu peux m’apprendre les deux en même temps lui dis-je en souriant »« Nous verrons » Je suis aux anges, je suis la poupée de mon père. Je m’applique à bien le branler. « Tu as déjà embrassé une femme ? »« Oui papa »« Tu as déjà embrassé un homme ? »« Non »« Tu veux que je t’embrasse … ? »Je sens son souffle sur mon visage j’aime cette sensation« Oui papa » dis-je le souffle court« Tu sais que je vais t’embrasser comme j’embrasse une fille et la fille ce sera toi »« Oui papa embrasse-moi »Sa bouche s’approche de la mienne et il me fait une série de petits baisers sur mes lèvres … il parcourt mes lèvres d’un côté à l’autre plusieurs fois. La sensation est unique je n’ai jamais ressenti une telle sensualité. J’ai arrêté de le branler. Il appuie ensuite un peu plus fort sur ma bouche, sa langue tente une rentrée dans ma bouche … je me laisse faire docilement … sa langue m’envahit et caresse tout mon intérieur. Je commence à caresser sa langue avec la mienne. Je sens sa salive, son goût me parvient. J’aime. Le baiser va durer, je suis abandonnée dans ces bras … « Tu as aimé chérie ? »« Oui papa, c’était divin … j’aime ton gout … »En fait j’ai trouvé le gout de la salive de mon père très excitant.Il recommence et cette fois sa langue rentre directement dans ma bouche. Elle roule sur la mienne. C’est très doux très sensuel … Il me bouffe littéralement. Puis s’arrête.« Tu t’es arrêtée de me branler salope. Recommence »Je reprends sa queue et ses couilles dans mes mains et je reprends mes caresses.« Tu t’ai déjà fait sucer la queue par une fille chérie ? »« Oui papa »« Tu as déjà sucer la queue d’un garçon ? »« non papa »« Tu n’as pas envie de me sucer la queue ? »Je ne réponds pas je marque un temps d’arrêt. J’arrête à nouveau de le branler. Il me caresse les seins, me pince les tétons, redescends ses mains sur mes fesses les pétris les écarte … Les mots vulgaires qu’il prononce m’excitent. Je n’aurais jamais pensé qu’un jour, mon père me parlerait avec ces mots et me ferait une telle proposition. Je suis gênée, embarrassée« C’est bien, Virginie, tu te laisses faire comme la dernière des salopes. Il y a longtemps que je savais que tu deviendrai une bonne femelle soumise … hhhmmmm »J’ai toute l’attention de mon père telle que je ne l’ai jamais eue. Ses caresses m’excitent … je me sens aimée … je suis bien…Il met ses mains sur mes épaules et appuie. Je comprends …Je me mets à genou devant lui. Son sexe dressé est à hauteur de mon visage. Je ne me pose pas de question. Je le prends en main et je le masturbe lentement en le fixant.« Lèche moi les couilles d’abord »Je relève sa verge sur son ventre poilu. Ses testicules pendent lourdement, je les lèche lentement. J’aime l’odeur et la texture de la peau. Tout en le léchant, je lui masturbe la verge très dure, veineuse, épaisse.« Prend ma queue en bouche chérie »Je baisse sa verge à hauteur de ma bouche, le gland est devant moi, gros, violet, baveux, du liquide transparent sors de son orifice. Je me vois au ralenti ouvrir la bouche pour y engouffrer cette magnifique partie du mâle qui est devant moi. Je referme ma bouche derrière le gland et je fais tourner ma langue. Cet organe est à la fois dur, très dur et doux. Le liquide visqueux de mon père a un gout légèrement salé/sucré, j’aime, ça m’excite. Je commence des va et viens sur son sexe en essayant de l’enfoncer plus profond à chaque fois … Il y a peu de temps encore je fantasmais sur les entrejambes des hommes que je lorgnais … aujourd’hui je suis nue, à genou devant un homme qui m’aime, mon père, son sexe est dans ma bouche, je le suce … j’ai l’impression intérieurement d’être une femme, je suis excitée. Ce corps brun et poilu me fascine. Je lâche la verge de mon père pour passer mes mains dans les poils de son ventre, de son pubis (c’est une forêt de poils), de ses cuisses.« On dirait que tu as fait ça toute ta vie salope. Vas y … hmmmmm … Tu vas me faire jouir»Je sens qu’il va jouir … je ne sais pas si je dois continuer de le sucer ou m’arrêter … il me prend la tête entre ses mains et fait des vas et viens dans ma bouche. De plus en plus rapide.« hoooo chérie …. Tu es bonne je vais jouir. Haaaaa haaaaa !!!!!!»Il sort sa queue, place son gland face à mon visage et jouis sur moi. Il gicle 4 ou 5 fois de son sperme poisseux et chaud sur mon visage. J’en ai sur le front, les joues, les yeux, ça coule sur mes lèvres et le menton. La sensation n’est pas très agréable, mais j’aime l’odeur qui se dégage de ce liquide. « Tu es une très bonne suceuse, Virginie … tu suces comme une professionnelle. Comme une vrai putain. »« Merci papa »« Tu es adorable, je te traite de putain et tu me remercies. Incroyable, tu vois c’est ça être soumise … je crois que tu prends grand plaisir à être insultée … »Il me regarde. J’ai un peu honte de l’avouer clairement.« Réponds moi Virginie, tu préfères quand je t’insultes ou quand je te parle gentiment ? »« J’aime les deux papa … »« Tu sais je peux te parler gentiment quand nous parlons et pendant les préliminaires et je peux être très irrespectueux pendant l’amour.. »Je lui souris. « Oui papa, ça m’ira comme ça …. »« Je vais te chercher de quoi t’essuyer … »Je reste seule dans la chambre. Le visage dégoulinant de sperme. Je sors ma langue pour tenter d’en gouter un peu. Le gout est très acre, fort, agressif.Il revient.« Essuie toi ma belle et couche-toi il est tard … je vais dormir. A demain chérie»« A demain papa »Je me couche, je me suis essuyée mais l’odeur forte du sperme persiste. Je suis excitée … je me masturbe en repensant à tout ce qui vient de se passer dans cette chambre, j’éjacule et je m’endors.
