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Mes premiers émois avec mon père

Chapitre 6

Gay
La relation que j’ai avec mon père m’épanouis. Depuis qu’il me considère comme sa fille et sa maitresse, je me sens mieux dans mon esprit et dans mon corps. J’assume ma féminité. Il y a des moqueries sur moi au lycée mais elles me passent loin au dessus de la tête.
Depuis quelque temps maintenant je cherche à me féminiser. Mon père m’a proposé de m’acheter de la lingerie. J’ai déjà deux ensembles culottes soutien-gorge. Un totalement blanc l’autre noir et gris. Je les ai porté plusieurs fois chez nous. J’ai beaucoup plu à papa. Mais je garde toujours en tête la tenue de ma mère quand je l’ai vue se faire baiser par mon père et j’ai envie d’une tenue similaire. J’ai donc demandé à mon père de m’acheter, pour compléter mon ensemble gris et noir, un porte-jarretelles et des bas. Je lui ai aussi demandé une combinaison.Je garde une autre chose en tête, puis-je séduire un autre homme que mon père ; je pense essentiellement à René.
Ma mère semble accepter ma nouvelle façon de m’habiller.Elle m’a acheté d’autres pantalons et jean très serrés. Je choisis toujours des pantalons mettant en valeur mes fesses et je les porte en arrangeant mon devant pour être plat comme une fille. Je lui ai demandé de m’acheter un jean de fille, elle a refusé. Mes hauts sont aussi ambigus, assez courts, avec des couleurs pastel. Mes chaussures sont des baskets de fille. Je suis moquée mais ça me laisse indifférente.Mon père doit m’amener ce soir mes nouveaux sous-vêtements. Il me tarde.J’ai rencontré ce matin, René dans la cage d’escalier. Nous avons échangé des banalités :« Bonjour Eric » me dit-il avec son regard bleu perçant.« Bonjour René » lui dis-je timidement en baissant les yeux.« Tu as changé, Eric, ces derniers temps. »Je lui souris ne sachant que dire« Je le disais à ta mère il y a quelques temps »En me disant ça, je vois son regard se promener sur mon corps, il s’arrête à hauteur de mes hanches. Son regard sur moi me plait. Le silence pendant lequel il me mate (c’est le mot) paraît durer longtemps.« Je lui disais que en grandissant tu as mis un cul de fille »Je souris franchement, cela semble le surprendre. Il me regarde de nouveaux.« Je dois y aller Eric, viens me voir quand tu as le temps, je bricole souvent dans ma cave »« Oui René, je passerai »Nous nous séparons.
Mon père arrive chez moi avec ce qu’il m’a promis. Il me tend un sac en papier assez luxueux. Il y a de nombreuses boites à l’intérieur. Je déballe successivement plusieurs paires de bas, une dizaine de culottes, deux porte-jarretelles et deux combinaisons. Je suis aux anges.« Je t’ai acheté suffisamment de culottes pour que tu n’ai plus à porter des slip de garçon »« Merci papa je suis super contente »
Je lui saute au coup et je l’embrasse.« Va vite mettre des bas et un porte-jarretelles, j’ai hâte de te voir en salope, dépêche toi ta mère sera là dans 2 heures »Je me précipite dans ma chambre et choisis un ensemble complet culotte, soutien-gorge, porte-jarretelles et bas noirs. Les bas ont une large bande de dentelle en partie supérieure. Je mets une combinaison noire que mon père m’a achetée.Une fois habillée comme cela, je me sens vraiment femme. Celle que je vois dans le miroir est une jeune fille, habillée pour aguicher les hommes. Je constate qu’il me manque deux choses pour compléter ma tenue, du maquillage et des escarpins. Je n’aurais pas le temps de me maquiller pour ce soir (en plus je n’ai jamais fait cela) mais je récupère une paire d’escarpin de ma mère. Celle que je vois dans le miroir me paraît être une jeune fille très séduisante. Je vais rejoindre mon père dans le salon. Dès qu’il m’aperçoit, il reste bouche bée. Les talons accentuent mon déhanchement. Je suis surprise moi-même par le fait de très bien marcher avec des escarpins alors que je n’ai jamais porté ce genre de chaussures. J’ai l’impression que mon père me regarde avec excitation mais aussi avec une sorte de dégout. Je ne dis rien.« Approche salope »
Il me prend dans ses bras, me serre contre lui, m’embrasse à pleine bouche, passe une main sous ma combinaison, me caresse sur la peau non couverte entre mes bas et la culotte, passe sa main sous mes jarretelles, puis sous ma culotte.« Tu fais très pute habillée comme ça, chérie, tu es plus belle que ta mère »Je suis contente d’être comparée à ma mère à mon avantage.Il me caresse les fesses, et rapidement les écarte pour me doigter. Je me cambre pour lui offrir mon sexe féminin.« Met-toi à genou salope. » Il appui sur ma tête. Je comprends ce qu’il veut. Je me place à genou devant lui, il a sorti son membre, veineux et dur. Je commence par le lécher sur la longueur, puis je descends sur ses grosses couilles. Je suis très excitée, ma bouche produit beaucoup de salive, je respire fort. Je le lèche un moment, puis j’engouffre son gros gland dans ma bouche en tenant sa queue avec mes deux mains et je commence des vas-et-viens énergique. Aux petits bruits que fait mon père, je sais que je travaille bien.« Toi tu aimes la queue, ma pute »Je sens un jus salé/sucré sortir de sa bite. Après un moment de ce traitement, il me relève. « Je veux pas jouir dans ta bouche. Tourne-toi petite pute »Je me tourne, il me fait marcher jusqu’à la table du séjour. J’allonge mon buste sur la table. Il se baisse relève ma combinaison, écarte ma culotte et se met à me bouffer la raie et mon sexe féminin. Je gémis de plaisir.« Attend moi je vais chercher du gel pour t’enculer petite pute »
Il revient et m’enduit l’orifice abondamment. Il lubrifie sa bite.Il se penche sur moi et me susurre à l’oreille : « Je vais te baiser comme la pute que tu es, ma fille. Je me tape la mère et la fille …. C’est trop excitant »Je ne dis rien, je me laisse faire. Je me dis que mon père est vraiment un pervers. J’aime comme il me traite.Il pose son gland à l’entrée de ma chatte et le fait rentrer aisément. Il pousse ensuite pour faire rentrer son membre dur. Je sens la douleur envahir mon petit cul, mais je la supporte bien. Une fois remplie de son membre, une fois immobilisée par mon père, je me dis que je suis là dans une situation rêvée que je n’aurais même pas imaginée il y a un an. Je suis en lingerie comme une femme, je sens mon porte-jarretelles tendu et tirer sur mes hanches. Ma culotte écartée pour laisser passer le mandrin qui me lime, les mains de mon père sur les hanches qui me maintiennent en position de femelle offerte. Je suis bien, je suis moi.
Mon père s’active il me dit que je suis plus belle et meilleure que ma mère. Son mouvement s’accélère, puis il s’arrête et enfonce son membre à fond et crache son sperme dans mon ventre.Il s’allonge à nouveau sur moi.« Haaaaaa bonne salope que tu es ma fille …. »« Merci papa »Nous nous embrassons. Il se retire. Je me relève et réarrange ma tenue.« Tu es très excitante dans cette tenue »« Merci papa » lui dis-je en souriant.« Va te changer et range ta lingerie dans ton tiroir »« Mais maman va les voir ? »« C’est pas grave on gèrera et je lui dirai de jeter tout tes sous-vêtements de garçon »Je suis comblée ma féminisation va se poursuivre avec le soutien de mon père qui va me défendre contre ma mère.Je reviens de ma chambre, nous regardons la télé avec mon père, un peu fatigué tous les deux et je pense à René. Je me dis qu’il faut que je parle à mon père de ce qu’il m’a dit la dernière fois.« Papa, j’ai vu René … »« Ha et alors ? »« Il veut que j’aille le voir quand il bricolera dans sa cave »« ça te plairait d’y aller ? »J’ai peur de fâcher mon père en lui disant la vérité alors je lui réponds :« C’est comme tu veux, si tu veux que j’y aille, j’y vais, sinon j’y vais pas. »Il détourne son regard de la télé et me regarde fixement.« J’aimerais que tu y ailles, pour savoir ce qu’il te veux. Quand tu reviendras tu me raconteras tout en détail, OK ? »« Oui papa je te raconterai, tu veux que je me fasse belle pour René ? »« Oui tu vas même te faire très belle, tu mettras sous tes habits, culotte, soutien-gorge et porte-jarretelles avec bas, comme aujourd’hui »Je suis interloquée, je n’imagine pas sortir en lingerie même dissimulée sous mes habits. Je viens à peine de découvrir le bien-être de les porter en privé, de là à les porter en public. De toute façon si mon père me le demande je le ferai.Il me voit marquer un temps d’arrêt.« Si tu veux être une femme il faut que tu assumes ta condition, ma chérie et que tu sois aussi séduisante que possible »« D’accord papa » lui dis-je en souriant.

Le soir je me couche en pensant à ce que je vais faire. Je suis très excité à la seule pensée de séduire un autre homme que mon père.Le lendemain en rentrant du lycée je passe par les caves pour voir si René par hasard serait là. Je vois de la lumière dans sa cave et la porte ouverte. Je monte vite chez moi, en espérant vraiment que ma mère ne sera pas là. La porte est fermée à clefs, elle n’est donc pas là. Sur la table de la cuisine un mot « Je ne serai pas là pour le diner, débrouillez-vous sans moi, je devrais arriver vers 21H00 »Super me dis-je, la voie est libre.Je vais dans ma chambre, je me déshabille et je prends une douche vite fait. Je sors mon ensemble sexy. Je mets le porte-jarretelles, j’enfile mes bas et je les attache aux jarretelles. J’enfile la culotte. La dentelle sur mon corps m’excite. Je me sens très femme, j’ai envie de séduire René. Je mets mon soutien-gorge, dommage que je n’ai pas de seins. Je mets un de mes jeans serrés, mais une fois mis, je me rends compte que le porte-jarretelles est au dessus et je ne peux le dissimuler. Je mets un haut qui descend assez bas pour ne pas laisser voir le haut de mon porte-jarretelles. Dommage que je ne puisse pas mettre des escarpins, je mets une paire de basket bleue et rose. Je suis prête, je me parfume avec un parfum de maman pour avoir une odeur de femme. Je me regarde dans le miroir, je me trouve superbe ; un seul petit problème, mon jean très serré sur mon corps laisse transparaitre les jarretelles. Tant pis, je n’ai pas le choix, je ne peux pas éviter cet effet. Je redescends dans les caves. Mon cœur bat très fort, ma bouche devient sèche. La lumière dans la cave de René est toujours allumée. J’arrive devant sa cave il relève sa tête me regarde de haut en bas et de bas en haut, je me laisse regardé, ça me plait.« Tiens Eric, je ne pensais pas que tu viendrais, je suis content que tu sois là »« Pourquoi  ? »« Ben, après t’avoir dit que tu avais un cul de fille, je pensais t’avoir vexé »Je rougis et ne répond pas.« En général quand on dit à un mec qu’il a un cul de femme, ça ne plait pas. Mais apparemment pas à toi. »Pour mon grand plaisir il continue de me mater.Il me regarde interrogateur.« Tu aimes être pris pour une femme ? »« je ne sais pas » lui dis-je doucement en rougissant.« Alors je vais te traiter comme une femme, tu es d’accord ? »Je ne réponds toujours pas en baissant la tête, honteuse.« Qui ne dit rien consent …. Tourne toi que je regarde ton cul »Je me retourne lentement et une fois dos à lui, je me cambre.« Tu as réellement un cul de fille, ma poulette … des hommes te l’ont déjà dit ? »« Oui » lui dis-je, sachant que seul mon père me l’avait dit.
Je le sens m’observer. Il se lève. René est un homme d’une cinquantaine d’année, plus grand que mon père (1m85 au moins) avec un ventre qui avance, il est chauve avec une large moustache. A voir ses bras et ce qui sort de son col de chemise il a l’air très poilu. Je suis minuscule comparé à lui.Il pose une main sur mes fesses et me les caresses. Je me laisse faire.« On t’a déjà fait ça ?»Je fais signe oui de la tête.« ça te plait tu veux que je continue ? »Je ne réponds pas. Il prend ça pour un « oui ».« Alors, il faudra en parler à personne, ce sera notre secret, d’accord ? »Je fais signe oui de la tête.Ces mains remontent sous mon sweatshirt et inévitablement il sent le haut de mon porte-jarretelles.« C’est quoi ça ? »Je ne réponds pas, je me sens honteuse.Il soulève mon sweat, il ne peut pas voir ce que c’est. Il me brusque un peu pour voir. « C’est quoi ? » me redemande-t-il.« Vous voulez que je vous montre, mais je suis obligée de baisser mon pantalon »« Attends met toi là si quelqu’un viens, je tirerai le tissus et tu restera là derrière sans bouger, aller baisse ton pantalon »Je déboutonne et descend mon pantalon. René a les yeux écarquillés devant ma tenue.« C’est jolie ce que tu portes, Eric »« Merci »« Tes parents savent que tu t’habilles comme ça ? »« Non ils ne savent pas »« C’est les putes qui portent des bas et des porte-jarretelles »Il me pétri les fesses. Ces mots qu’ils prononcent ses mains sur mes fesses et la situation m’excitent énormément.Il parle doucement dans mon oreille :« Tu t’es habillée comme ça pour m’exciter petite salope ? »

Je ne sais pas quoi répondre. C’est mon père qui m’a demandé de m’habiller comme cela. Il me fait enlever complètement mon pantalon. Puis m’enlève le sweat shirt. Il découvre mon soutien-gorge.« Une vraie petite salope »C’est la première fois que j’entends ces mots dans une autre bouche que celle de mon père. Je me dis que mon père doit certainement avoir raison. Je dois être une salope. En plus ce que me dis René me plait.René me serre contre son ventre, passe ses mains partout.« Il faut que ça reste un secret entre nous si tu veux que je continue »« Oui René personne ne saura rien »Il colle son bassin sur mes fesses, je sens sa grosseur bien dure. Je me cambre.« ça te plait, ce que je te fait, petite pute ? »Il me traite de pute comme mon père, si deux hommes d’âge mur me le disent c’est que je dois en être une. « Oui ça me plait René »
Il me retourne et m’embrasse sur la bouche. Je sens sa moustache sur ma bouche et mon nez, sa langue baveuse rentre dans ma bouche. Je n’aime pas son goût mais je me laisse faire. En m’embrassant il me pétrit les fesses. Il passe ses mains dans ma culotte, continue de manipuler mes fesses, mais là, sa peau est sur la mienne c’est une autre sensation qui m’électrise. Je m’habitue à son gout dans ma bouche. Ses doigts passent dans ma raie, ils s’arrêtent sur mon anus qu’il caresse avec insistance. Sans le vouloir je me cambre et dilate ma rondelle, René prend cela pour un signe positif de ma part et insère lentement un doigt dans mon anus.« Tu sens mon doigt, petite salope ? »« Oui » lui dis-je en soupirant.« Tu t’es déjà fait mettre un doigt ? »« Oui René »Il rentre et sort de mon anus, on dirait qu’il essaye de l’élargir.« Et tu t’ai déjà fait baiser, avec le joli cul de gonzesse que tu te payes ? »« Oui Jean »Il arrête de me doigter, il sort son doigt de mon anus.« A ton âge tu as déjà reçu ? Et c’est qui ? Qui te baise ? »Je ne peux pas lui dire que c’est mon père.« Un copain de mon père »« Et ton père le sait ? »« Non »Il recommence ses caresses, me remet un doigt.« Et ça fait longtemps que tu te fais baiser ? »« ça fait un an »Il me met deux doigts et me fait pencher en avant. Je m’appuie sur un établi. René me parle doucement.« Et tu aimes ça ? »« Oui j’aime ça »
Il me prend une main et la pose sur son sexe tendu, que je sens à travers le pantalon. Je fais tout de suite des vas et viens pour le caresser.« Tout de suite tu branles, on sent que tu as l’habitude, vas-y continue » me dit-il en avançant son bassin pour m’offrir sa virilité.« Je suis seul aujourd’hui, tu veux qu’on aille chez moi ? J’ai pas envie que quelqu’un nous voit comme ça »« Si vous voulez René »
Je me rhabille.
René ferme la cave et nous montons les escaliers jusqu’à son appartement. On passe devant notre appartement. Cela me paraît étrange de passer devant sans y rentrer. J’ai plaisir à me déhancher en montant les escaliers. Je sens mon porte-jarretelles se tendre et se détendre suivant mes mouvements. René est derrière moi, j’espère qu’il regarde mes fesses bouger. Nous rentrons chez lui, il ferme la porte à clé derrière lui. Dans son salon il me dit, va dans les toilettes te déshabiller si quelqu’un nous dérange tu iras pour te rhabiller.Je fais signe oui de la tête et je vais me déshabiller dans les toilettes. Je réajuste mon soutien-gorge mon porte-jarretelle mes bas et ma culotte et je sors des toilettes. René m’attends dans le salon assis sur le canapé, il est torse nu. Il est très poilu et son ventre est beaucoup plus gros que je ne pensais.Son regard sur moi me montre qu’il m’apprécie et je me sens rassurée. « Viens sur mes genoux, Eric »Je m’assois sur ses genoux, il caresse mes jambes. Il me regarde avec des yeux qui me dévorent. Il semble avide de sexe. Il mate mon corps et ma lingerie. Je suis inquiète, j’ai un peu peur devant ce regard avide. Je n’aime pas beaucoup son odeur.
Il me serre dans ses bras, ma tête sur son épaule et me caresse le dos. Je sens mieux son odeur en étant contre lui. Il a une odeur forte de sueur qui ne me convient pas mais la texture de sa peau et ses poils qui frottent sur mon corps m’excitent. Je commence presque malgré moi à caresser son poitrail poilu. Je l’embrasse sur l’épaule et dans le cou. Au voisinage de son aisselle son odeur devient très forte. Mais mon excitation commence à venir. Je sens son sexe durcir sous mes fesses. Ses caresses dans mon dos et sur mes fesses m’excitent. Mes mains dans ses poils me font du bien. Il pousse sur mes épaules, et me fait me mettre à genou entre ses jambes. Je caresse son ventre poilu. Une fois à genou, je caresse sa queue dure à travers le pantalon. Il est très excité, je le regarde son regard est dans le vague. Il déboutonne son pantalon, le baisse en même temps que son slip. Sa queue se dresse comme un ressort. Sa queue est plus petite que celle de mon père mais plus large et son gland est plus pointu, celui de mon père est plus rond. Une forte odeur qui n’est pas très agréable, s’en dégage.
Je commence à le branler doucement sa queue est très chaude et douce au touché. Je lui caresse les couilles.Il me dit : « lèche moi les couilles Eric »Qu’il m’appelle Eric me gêne. J’aimerais qu’il m’appelle Virginie mais je n’ose pas lui dire.Je m’accroupis sous son ventre et sous sa queue et je lui lèche ses couilles odorantes. Malgré l’odeur qui ne me plait vraiment, je prend son gland en bouche et commence les va-et-vient comme j’ai appris à le faire. René est aux anges. Je le suce longuement et j’alterne avec des léchages de couilles. J’ai la bouche qui salive beaucoup, je suis excitée. Je caresse le ventre de René tout en le suçant.« On sent que tu sais y faire hein, petite salope ? »Ses paroles me plaisent et m’excitent. René commence à donné des coups sec avec son bassin ce qui pousse sa queue dans ma bouche et je suis obligée de me reculer pour ne pas m’étouffer. Son ventre gras bouge et ondule sous ses coups de bassin.« Tu suces mieux qu’une putain »Cette remarque me choque un peu dans la bouche de mon voisin mais je l’accepte comme je l’ai accepté de mon père.
René respire fort et gémis de plus en plus et me traite de petite salope et de petit pd et enfin se libère de son excitation en se vidant dans ma bouche. Son sperme a un gout insupportable pour moi et je recrache tout parterre. Ce gout m’indispose je suis loin de me sentir femme comme avec mon père.La respiration de René se calme. Il émerge de son état de jouissance et me demande tout de suite de me rhabiller et de partir. Il ne veut pas qu’on me trouve ici chez lui. Je me dépêche de me rhabiller il me pousse vers la porte et referme derrière moi. Je me sens vraiment prise pour une moins que rien …. Je rentre chez moi. Je me change. Je garde ma lingerie pour mon père qui va rentrer et je met une combinaison noire. Je chausse des escarpins de ma mère qui me sont un peu petit mais je me plait comme cela.Le temps me paraît long, je ressasse ce que je viens de vivre avec René et j’ai trouvé ça limite dégoutant, sale, minable. Il me tarde de me confier à mon père.Enfin il rentre. Quand il me voit il sourit avec satisfaction.« Ma fille va bien »Je hoche en signe de oui, un timide oui. Mon père s’en aperçoit.« raconte moi ce qui ne va pas chérie »Ce chérie me réchauffe le cœur et me rassure quant au fait de lui faire des confidences. Nous allons dans le salon, je m’assois sur ses genous. Je me serre contre lui je me sens bien.
Je lui explique ma rencontre et tout ce qui s’est passé avec René, en détail. Il me laisse parler sans m’interrompre. Puis il me questionne :— tu as aimé son gros ventre semble-t-il ?— étonnée, je réponds oui— Si tu avais le choix, tu préfèrerais un homme beau sympa mais maigre ou un homme moche gros et pas très sympa ?Je me demande pourquoi il me pose ses questions mais je réponds :— je préfèrerai le grosIl sourit.— donc ce que je retiens, en dehors du fait qu’il t’ai foutue dehors de chez lui après s’être vider les couilles dans ta bouche, c’est que tu as détesté ses odeurs et le gout de son sperme ?— oui c’est ça papa, j’ai trouvé ça dégoutant.— C’est normal, tu n’as jamais été en contact avec des vrais odeurs d’homme. J’ai toujours veillé avec toi d’être parfaitement propre, tu n’as jamais senti mon odeur ni aucune autre je suppose ?Je hoche la tête en signe d’approbation mais j’ajoute :— c’est vrai mais j’aime le goût de ton sperme alors que le sien m’a dégouté.— Je comprends donc il va falloir que je t’éduque progressivement à aimer ces odeurs et ces goûts que tu n’aimes pas. Tu verras te connaissant tu y arriveras et sous peu ces odeurs t’exciteront et ce que tu trouvais dégoutant y compris chez René, tu aimeras.Je souris, perplexe mais je fais totalement confiance en mon père.— En attendant, essaie d’éviter René pour t’éviter des situations gênantes.— Oui c’est ce que je comptais faire.— Tu es belle ce soir, Virginie, me dit-il en me regardant de bas en haut.— Oui comme maman va rentrer tard j’en ai profité pour porter de la lingerie.— c’est bien tu vois tu as déjà les bons réflexesJe sens son excitation monter. Son sexe grossi sous mes fesses. Il m’embrasse dans le cou, me caresse le ventre, la poitrine, les fesses. Je me cambre pour les lui offrir.— j’aime cette combinaison que tu portes, tu fais salope comme ça.Je souris, j’aime ce qu’il me dit.Il me relève,, il se lève du canapé il défait son pantalon en me regardant. Je comprends et me met à genou devant lui.— Tu comprends tout de suite, c’est bien salopeJe lui souris. Je nous sens complices. Je me sens femme, je me sens bien.Il sort sa queue et ses couilles, me prend la tête d’une main et m’enfourne sa queue de l’autre dans la bouche.Je suce goulument. Son liquide salé/sucré qui sort de sa queue m’excite terriblement.Il commence des mouvements de va-et-vient en me tenant la tête. Je ne fais plus rien. Je suis totalement passive. Je me soumet à son acte.— haaa tu es bonne, je vais de toi une vraie bombe sexuelle au lit. A côté de toi ta mère sera une nonne. Pourtant c’est une grosse chienne, mais tu la dépasseras. J’aime comme il me parle. Je me sens féminine.Il dégage sa queue de ma bouche.— montre moi ton cul de putain.Je lève, m’éloigne un peu de lui et remonte ma combinaison sur mes reins.— enlève ton string J’obéis.— tu as vraiment un super cul.— merci papaIl se colle derrière moi, je sens sa queue baveuse sur mes reins. Il me caresse de partout, il me fait me pencher en avant. Je m’appuie sur l’accoudoir du canapé. Je sens qu’il dirige son gland dans ma fente sur ma chatte.Il tente de rentrer, je dilate ma rondelle pour favoriser l’intromission.Son gland rentre et me dilate, et là au lieu d’attendre que je m’habitue il rentre la totalité de son membre sans s’arrêter.« prend ça salope, il va falloir que tu t’habitues à te faire défoncer comme une putain »
J’ai l’impression que mon anus va se déchirer. J’ai très mal, je sue, je respire avec difficulté. Tout à coup il commence ses va et viens sans attendre à un rythme effréné. J’ai très mal, les parois de mon cul me brûle, j’ai l’impression que je vais m’évanouir. Je pousse des cris, je pleure mais ça le laisse de marbre. J’essaie de lui dire d’arrêter, mais les mots ne sortent pas de ma bouche.
J’essaie de contenir au mieux ma douleur.— t’es une pute et je te baise comme une pute. Il faudra que tu fasses tout comme les putes, je te veux pute Il pousse et lâche sa semence dans mon cul avant de s’immobiliser au fond de mon ventre.
Je n’en peu plus. Je suis au bord de la syncope...Je suis en train de tomber... Mon père sors sa queue, me prend dans ses bras et me couche dans mon lit.
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