Voici la suite de mon histoire, celle qui a fait ce que je suis actuellement. Je vous avais laissé après mon premier rendez-vous avec un homme d’âge mur (oui 30 ans de plus), après notre qu’il m’ait laissé son petit mot dans les mains sans un mot de ma part, et que nous ayons convenu d’une autre rencontre. Ce matin-là, après un café englouti en rentrant chez moi après le travail, je monte me coucher. Je reçois un texto. — Tu arrives bientôt ? Mince, j’avais oublié le rendez-vous. Je lui dis que j’arrive d’ici une heure. Je file vite dans la salle de bain, petite épilation, douche, tee-shirt, et pantalon sans boxer dessous. Je prends la voiture et fonce chez « mon » papy. Comme convenu, je rentre ma voiture dans sa cour, en arrivant devant sa véranda, je vois 4 hommes en plus de lui en pleine discussions, tous assez jolis et dans le même âge, la soixantaine. Il m’invite à rentrer et me présente à ses amis : — Voici Gilles, une petite salope qui ne demande qu’à être présentée à des joueurs. Tous ont le sourire. Je suis sur le cul. Nous sommes seulement au deuxième rendez-vous et me voici entouré de 5 hommes au sourire plus pervers les uns que les autres. Mon hôte me fait déshabiller, je suis nu dans une véranda avec 5 autres personnes me regardant. Il me caresse doucement, mon sexe se gonfle instantanément, je suis excité par la situation, je ne peux le masquer, je sens mes joues rougir, me voilà debout nu, le sexe tendu, je me laisse guider en guise de soumission, livré à ce qu’il sera leurs envies. On me retourne, me fait me pencher et ses mains écartent mes fesses. Des sifflets se font entendre. — Dis-moi la rondelle de ta petite pute est bien ouverte on dirait. Ces mots m’excitent encore plus et me font sourire. Mon hôte me crache abondamment dans ma raie, je sens que ça coule, un doigt rentre dans mon cul, facilement, puis un deuxième. Il joue avec mon élasticité. Il prend sur une petite table un plug anal qu’il me glisse difficilement, mais facilement après une bonne lubrification. Mon trou est ouvert, le passage fait. Des sifflets se font entendre. Je me retourne, ils sont tous assis, nus, leurs sexes en mains. — Suce-nous tous, me dit-on. Je m’approche d’un premier à quatre pattes. Je prends son sexe en main. Sa bite est molle. Je commence à lécher, je le prends en bouche, son sexe se durcit et ma bouche se remplit d’un beau volume. Je m’applique. Je passe au suivant qui lui bande déjà, mais il a un sexe plus petit, je le suce et n’ai aucun mal à lui faire de la gorge profonde. Je passe ensuite de bite en bite, dont une d’un gros diamètre et d’une longueur que je n’avais vue que dans des films x. J’ai du mal, seul le gland rentre dans ma bouche. Je suis donc obligé de le lécher, c’est plus facile pour moi. Je lui gobe les couilles. Elles sont grosses et pendent bien, j’adore ça. — Ta chienne suce bien, elle fait quoi d’autres ? Sans un mot, le plug est retiré. Je sens l’air passer sur mon anus, grand ouvert. Du lubrifiant retourne sur mon cul et c’est à 3 doigts qu’on me lubrifie bien l’intérieur. Mon hôte prend le gode sur la table et me le glisse doucement, mais profondément en moi. Une fois au bout, sans ménagement, il me lime le fondement. Je suis humilié d’être à la merci et à la vue de ces 5 hommes, mais j’aime ça. Je couine comme une chienne, je bande comme un malade. Une main vient me branler en même temps. J’explose, je me vide littéralement sur le parquet. Ils rigolent, le gode se retire d’un coup sec. Machinalement, je vais laper mon sperme sur le sol. Une claque sur mes fesses me font reprendre les esprits, je les vois, leurs bites tendues. Mon hôte se place derrière moi et me rentre dedans, comme de rien, ça rentre tout seul. Je me fais prendre. Un invité me prend la tête et me force la bouche. Je me fais baiser et je suce en même temps alors que d’autres nous regardent en se masturbant. Je me fais insulter de pute, de chienne, de salope, de femme à bites ou encore de garage. Je sens mon hôte se durcir un peu plus, il va jouir. Sur moi ? En moi ? Je ne sais pas. Un râle se fait entendre, il est toujours dans mon cul, je sens un liquide couler dans mon boyau. Il se retire. — Voilà, je viens de l’engrosser cette femelle, vous pouvez faire de même. Mon invité en bouche prend sa place et un autre m’oblige à le sucer. Oui, je suis à leurs services maintenant, je le sais, je n’ai plus qu’à me laisser faire. Chacun se relaiera dans mon cul et ma bouche, et tous se videront dans mon intestin. Arrive le dernier qui est resté sagement à regarder. Celui à la bite dont les mensurations me font rêver, mais peur. Il s’installe, un homme écarte mes fesses, il se présente, son gland commence à forcer le passage, je suis ouvert, mais pas encore assez. Je pousse en même temps pour me décontracter. Son gland passe, sa progression s’arrête, j’ai la bouche grande ouverte et aucun son ne peut sortir. Il s’enfonce encore un peu, fait des petits va-et-vient. La douleur fait place au plaisir. C’est à ce moment qu’il s’enfonce entièrement. Je sens ses couilles sur les miennes. Il fait des mouvements doux et accélère d’un coup. Il me laboure, je me retrouver à glisser sur le sol, puis il s’arrête et je sens des jets à l’intérieur. Il me remplit. Se retire, je suis ouvert et rempli du sperme de 5 hommes.Ils m’aident à me lever, je suis fatigué, je sens un gaz s’échapper de mon anus non refermé. J’ai honte, le sperme s’échappe et coule sur mes jambes et le sol. Je suis en train de me vider. Mon hôte et ses acolytes me font aller à la douche. Une main délicate m’aide et s’attarde sur mon sexe qui bande encore. Je me fais masturber jusqu’à la jouissance. Je me retrouve seul, m’habille, et en sortant, je suis accueilli par de larges sourires, et de grands mercis. C’est moi qui me retrouve à les remercier à mon tour. Je suis raccompagné à la voiture, mes papys me font des clins d’œil. A la maison, je m’endors. Au réveil, je touche mon anus, il est fermé, mais j’ai l’impression qu’il est plus élastique qu’avant. Un texto de mon cochon, qui me remercie et me demande......
