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Mes premiers papys

Chapitre 3

Gay
A mon réveil donc, j’ai un message pour me remercier de cette nouvelle rencontre, ses amis sont contents de moi. Je pense avoir bien encaissé leurs assauts, surtout du dernier avec son sexe que je ne pensais pas pouvoir rentrer. Machinalement, en repensant à ça, je touche mon anus, il est à nouveau refermé et légèrement humide, une fin de sperme s’est écoulée de ma grotte. Dans ce message, il me pose une question.
— Peux-tu, la prochaine fois, venir en femme ?
Je ne réponds pas de suite, je réfléchis, mais pas trop longtemps, je sais que cela m’excite, donc je dis oui.
Le lendemain, juste avant d’aller au travail, je navigue sur un site pour acheter ce qu’il faut. Une paire de bas noirs autofixants, une minijupe, un petit débardeur et une perruque blonde platine. Pas de string, je ne porterai rien dessous. Je pars plus tôt pour aller dans un sex-shop acheter un rosebud, cela devrait faire son effet. Je passe ma journée dans un état d’excitation hhhuuuummmm. Trois jours après, un colis arrivait, le temps de l’essayage, tout me va, je me regarde dans mon miroir, quelle salope je suis. J’envoie une photo de moi. Un nouveau message
— Je bande, quand peux-tu venir ? — Dans 2 jours, je suis en repos.— OK à dans 2 jours, pour toute la journée.
Deux jours plus tard.Je me réveille, une douche et me voilà en femme, je bande. Je lubrifie le rosebud et l’enfonce doucement dans mon anus. Je me sens remplie et ne fais plus attention à lui. J’arrive chez lui, il est nu. Il me regarde, sourit, me touche, soulève ma jupe et vois le rosebud, tire un peu dessus, je sens que je m’écarte, il lâche et mon cul l’aspire à nouveau, me faisant gémir.
— Tu es de plus en plus salope, aujourd’hui, tu vas prendre.
Je ne dis rien, nous montons dans sa chambre et il me fait mettre à genoux. Je m’exécute. Son sexe est déjà bandé devant mes yeux.Je sors ma langue. Je lèche son gland puis toute la longueur de sa tige avant de le prendre en bouche. Je m’applique à bien le sucer, je lui crache sur le sexe, le ravale, ça glisse tout seul, il durcit encore plus, se retire, respire fort, me fait allonger sur le dos, soulève mon cul et arrache mon jouet. C’est fort, mais j’aime ça. Il se présente à mon cul ouvert, la bite pleine de salive et s’enfonce en moi comme dans du beurre. Doucement, mais d’un coup jusqu’aux couilles que je sens contre mon cul. Il me prend. Il se retire et éjacule sur mon sexe. Il remet mon jouet dans le cul. Baisse ma jupe. Et me demande d’attendre. Il part et ferme la porte à clef. Après un long moment, il revient, me bande les yeux, me fait mettre à quatre pattes, m’attache les mains et les pieds au lit, le cul tendu en l’air. Il retire le rosebud, me lubrifie abondamment et me réglisse mon jouet dans le cul.
— Mes amis sont là, ils vont te rendre visite.
J’attends, la porte s’ouvre, je sens quelqu’un derrière moi. On me débouche le cul, puis sans un mot, je me fais enculer, le sexe prend sa place, il n’est pas gros, pas long, je sais qui c’est, il se retire et un râle accompagné des jets chauds qui atterrissent sur mon dos. Il me rebouche le cul et s’en va sans dire un mot.
Un deuxième arrive et ça recommence, le sexe n’est pas très large, mais long. Il entre facilement et glisse dans mes entrailles avant de me labourer, je couine comme une chienne, j’aime me faire baiser, pas un mot de mon partenaire. Il se retire, me rebouche, et je me reçois son sperme sur le côté de mon visage.
Un troisième fait son entrée, quelque temps après. La bite est épaisse, ça rentre avec difficulté, j’ai à nouveau deviné qui est celui qui force mon passage. Il y va doucement, son gland passe, je sens ma rondelle se refermer après le passage. Je suis remplie, la douleur est là, mais il attend. Il s’enfonce encore un peu et fait de petits va-et-vient. La douleur s’estompe petit à petit. Il s’enfonce encore et recommence. Et nouveau jusqu’au bout. Je sens mes entrailles s’écarter sur son passage. Je sens mon sexe se gonfler venir doucement à la rencontre de mon ventre. Je suis en rut, il me baise et je bande, je suis une pute, les bites de plusieurs hommes prennent mon corps pour quoi ? Un vide couilles ? Oui c’est ça, je me fais rabaisser à un vulgaire vide couille. J’aime ça et ne veux pas arrêter.
Mon occupant me baise, je ne gémis plus, je crie, je jouis, mon sperme s’échappe de mon sexe, mon occupant sort de mon cul qui doit être complètement distendu, je sens le sperme atterrir sur mon cul, glisser dans ma raie et rentrer dans mon cul. À nouveau rebouché, il s’en va.
Un quatrième vient, m’encule d’un coup sans ménagement, avec ce que je viens de prendre, ça rentrait sans problème. Il râle rapidement et se vide à moitié en moi, à moitié sur mon dos. Mon rosebud en place, il part.
Quelque temps plus tard, mon papy me débande les yeux et me détache. Je m’écroule sur le lit, je suis plein de sperme séché. Une petite claque sur les fesses.
— Tu me plais beaucoup, à mes amis aussi, t’es une belle salope, merci.
Il me guide à la douche, je me lave soigneusement, remets ma jupe tachée de sperme, sans le rosebud. Je prends un café avec papy.
— Je pense qu’il est temps de prendre soin de toi. Me dit-il.— Comment ça ?— J’ai ma petite idée, nous avons été égoïstes, maintenant faut que je prenne soin de toi, à toi de prendre du plaisir.— J’en prends énormément, je suis un vide couille, je suis utilisé pour ce que je suis, c’est mon plaisir.— Ne t’inquiète pas, laisse-moi juste le temps de régler quelques petits trucs, et tu vas prendre encore plus de plaisir.
Nous parlons de choses et d’autres, puis je rentre chez moi, toujours habillé en femme, me questionnant sur la suite.
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