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Mes premiers pas dans le monde du SM

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Nous sommes dans l’hiver 2003, et je suis devant mon ordinateur.
Que suis-je venu faire sur ce site dédié à la fesse ? Quelle recoin caché de mon subconscient m’a-t-il poussé à choisir ce site Internet qui présente toutes sortes de fessiers ? J’admire des fesses de femmes, d’hommes, des grosses fesses et des plus sexy, des poilues et des imberbes, et mon subconscient commence à faire de l’effet dans mon bas ventre !Et puis, il y a cette rubrique « rencontres » qui m’attire inexorablement, des femmes cherchent des hommes, des hommes cherchent des hommes. Et je tombe sur cette annonce d’un homme qui cherche, à Arras, des fesses à faire rougir. C’est avec une certaine émotion que j’appuie sur le bouton répondre, que je me présente et propose une rencontre.
A cette époque, j’ai 42 ans. Je suis marié et père de 2 garçons. Mon mètre 69 et mes 69 kg font de moi un homme insignifiant, sans signes particuliers, et plus personne ne se retourne sur mon passage. Mes nouvelles lunettes cachent dorénavant mes yeux bleus, et ma barbe commence à grisonner, ce qui ne doit pas aider. Je ne fais plus beaucoup d’effet à mon épouse, qui se fait de plus en plus prier pour faire l’amour avec moi. Peut-être ne suis-je plus à la hauteur de ses attentes, et pourtant, nos ébats amoureux finissent toujours par la faire jouir. Responsable d’un service informatique d’une enseigne de distribution nationale, mon boulot m’entraine souvent loin de mon foyer, et ces déplacements professionnels sont ces temps ci plus longs et plus nombreux, ce qui ne nous rapproche guère.
Je reçois rapidement une réponse de mon correspondant, nous l’appellerons Francis. Il accepte de me rencontrer, et de m’initier à la fessée. Nos échanges sont succincts. Quelques questions sur mon physique, et nous réglons les détails de notre rencontre. Il me donne rendez-vous sur un parking près du tribunal. Je lui ai donné la marque de mon véhicule, c’est donc lui qui me trouvera, d’autant que je ne connais rien de lui.
Le rendez-vous est fixé à la semaine prochaine, et je vous prie de croire que cette semaine sera longue. Mes nuits sont habitées de rêves et de cauchemars. Dans quoi me suis embringué ? Vais-je tomber sur un satyre, ou pire sur un sociopathe ? Et quelle mouche m’a piqué de me lancer dans cette aventure ? Ne devrais-je pas aller directement consulter un psychiatre ?Mais malgré ces questionnements, je sens bien, au fond de moi, que j’en ai envie. J’ai envie de me retrouver à la merci de quelqu’un qui me prendra en main, qui aura autorité sur moi. Ne plus penser, obéir, et me punir, n’est pas cela que je cherche ?Et les nuits où je me réveille avec ces images dans la tête, mon érection est bien là. Alors, allons-y !
Mon rendez-vous professionnel sur Arras s’éternise, et je dois me dépêcher quand j’arrive enfin à mon hôtel. Je ne sais pas à quoi m’attendre avec Francis, mais je ne veux pas être pris en défaut sur ma propreté ou ma tenue. Je passe donc le temps qu’il faut sous la douche, m’habille de manière correcte et file à mon rendez-vous, espérant ne pas me perdre dans ce quartier arrageois que je connais mal.
Je gare enfin ma voiture à l’endroit convenu, et j’attends. Nous sommes en février, et il fait nuit à cette heure tardive. Je ne suis pas très rassuré, et l’attente me pèse. Les émotions se bousculent à nouveau dans ma tête, et je fantasme sur cet homme charismatique qui va m’amener progressivement à jouir dans la douleur. Une légère érection commence à se faire sentir. Je sursaute quand on frappe au carreau, tant j’étais perdu dans mes pensées. Un Monsieur de mon âge ouvre la portière passager, s’installe à mes cotés, et me guide jusqu’à son immeuble.
Francis est un homme un peu plus âgé que moi. Il n’est pas beau, est mal habillé et ne sens pas très bon. Il doit avoir ma taille, mais avec un peu de bedaine, et je crois que si j’avais eu sa photo au préalable, j’aurai refusé ce rendez-vous. Il parle peu dans la voiture, et mon angoisse monte d’un cran.
Nous pénétrons dans un petit appartement. Il me demande de m’assoir et me propose de boire un verre d’eau pour détendre l’atmosphère relativement pesante. En effet, mon stress vient de grimper très vite. Il n’est plus possible de reculer, je vais probablement me déshabiller devant un homme dans la lumière de son salon, je vais vivre cette fessée tant désirée mais tant redoutée à la fois, le tout par un homme que je ne connaissais pas il y 5 minutes.Francis me parle un peu de lui, il s’agit d’un ancien soumis qui souhaite faire partager son plaisir de la fessée. Il me narre quelques séances qu’il vécu avec des dominatrices, me parle de jours entiers sans pouvoir s’assoir ce qui ne me rassure pas.
Soudain, Francis se lève et me demande de me déshabiller entièrement, à l’exception de mon slip. Je dois ensuite me mettre à genoux par terre, et attendre en lui tournant le dos. Les choses sérieuses débutent, et à peine mes genoux ont-ils touchés le froid carrelage que je sens mon slip tendu par une belle érection.

Je l’entends bouger et quand il me demande de me relever, il est en caleçon et assis sur une chaise. Il m’ordonne de venir m’allonger sur ses genoux. La position n’est pas confortable, mes mains se tiennent aux barreaux de la chaise et mes pieds touchent à peine le sol. Sa main se pose doucement sur mes fesses encore couvertes de mon slip, puis tombe une première claque. Francis y va progressivement, et je ne ressens pas encore de réelle douleur, plutôt ce plaisir nouveau de se sentir pris en main.Après quelques claques alternées entre la gauche et la droite, il me descend le slip au niveau des chevilles, et recommence les claques alternées. C’est à ce moment que je commence à ressentir la douleur. Ses mains sont fermes, mes fesses commencent à rougir, et je gigote pour me libérer de son étreinte. Mais il me tient fermement et je ne peux que subir.
Soudainement, il me demande de me lever pour admirer son travail, et certainement déçu par le manque de rougeur, il me prend sous son bras, et entame une nouvelle fessée debout comme on le fait d’un petit garçon. Je commence à ressentir une certaine humiliation, et j’y prends gout.
Il me conduit ensuite près de la table, me demande de me pencher en avant pour poser mes mains sur celle-ci, les bras tendus et les jambes écartées. Il se munit d’une tapette à mouche posée sur la table, et brutalement m’en assène un coup sur les fesses. On a l’impression que ce petit bout de plastique destiné à écraser les mouches est tellement léger que rien ne va se passer, mais je vous garantis que la douleur est fugace mais bien réelle. Et fugace, ce n’est qu’au premier coup, car au fur et à mesure, la tapette fait vraiment son effet. Si j’osais donner un conseil aux dominants qui me liront, je leur conseillerais de ne pas oublier cet ustensile dans leur panoplie. Je me rendrai compte plus tard que c’est l’instrument qui m’aura laissé le plus de traces.
Mais Francis pense aussi que cet instrument est trop "light", et il empoigne une banale règle en bois de 30 cm. J’ai l’impression d’être à l’école, la Maitre me punit, et ça fait mal. Je gesticule mais n’ose pas trop bouger. Je me sens humilié, mais je ne veux pas le faire voir. En écrivant ces quelques lignes, je me souviens encore des larmes que je ravale !
Francis finit par s’arrêter. Il sort une bite un peu molle de son caleçon, et m’oblige à le sucer, ce que je n’ai encore jamais pratiqué. Mais malgré mon dégout, j’obéis à ses ordres. Je suis au comble de l’humiliation, et il le ressent rapidement.
Il me demande alors de me remettre en position devant la table, et m’abandonne ainsi, les fesses rouges et douloureuses. Je l’entends farfouiller dans la salle de bain, et quand il revient, il m’enduit la rondelle de gel, avant de tenter l’introduction d’un gode dans mon anus encore serré. J’ai mal aux fesses, mais cette douleur fait place à une nouvelle, celle de ce plug qui tente de se frayer un passage dans mon cul, qui distend mes chairs quasiment vierges. Heureusement, il n’ira pas trop vite ni trop profond.
Je crois qu’il souhaite en finir, car il me demande de me masturber, toujours écartelé par son gode et cambré devant la table. Il me claque les fesses à intervalles réguliers pendant que je me branle.Rapidement, je sens le plaisir monter, et je vais vivre un orgasme tel que je n’en n’ai jamais ressenti. La jouissance me fait resserrer les fesses sur ce gode, les claques continuent de les chauffer. Je jouis comme jamais, et je suis à la limite de m’écrouler tant cet orgasme est violent. Mes jambes flageolent autant que me cerveau se délecte du plaisir qui me submerge !
Je viens de vivre mon premier orgasme associant souffrance et sodomie, et gageons que ce plaisir "nirvanesque" me conduira vers de nouveaux plaisir et horizons.Ce jour là, je n’en suis pas vraiment conscient, mais aujourd’hui, je sais bien que ce jour aura marqué mon entrée dans le monde du SM.
Je reverrais Francis une autre fois, et c’est une autre histoire.
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