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Mes premiers pas dans le monde du SM

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Retour chez Francis

Pour ceux qui n’auraient pas lu mes précédents écrits (mes premiers pas dans le monde du SM), Francis est la personne qui m’a fait découvrir les plaisirs de la fessée. Je l’ai rencontré un soir de l’hiver 2003, et il m’a fait jouir, les fesses rouges et un gode dans le cul.
Cette soirée fut pour moi une découverte, et je n’ai pas résisté à reprendre contact avec lui. Pour pimenter un peu cette rencontre, Francis m’a demandé de me présenter à lui en portant une culotte odorante de ma femme. Pendant le week-end, j’ai donc fouillé le panier de linge sale afin de trouver celle qui sentait le plus fort, et je l’ai dissimulée dans ma valise. Le simple fait de la sentir me fait déjà bander !Afin de le remercier de me prendre ainsi en main, j’ai pris l’initiative de lui offrir un cadeau. Je suis allé dans un sexe shop de Pigalle pour trouver l’instrument de torture que je lui offrirai. C’est la première fois que j’examine les articles dans ce genre de rayons, et je dois avouer être un peu décontenancé. Il y a toute sorte de matériels, des martinets, des fouets, des paddle, avec ou sans rivets. Je me décide enfin et porte mon dévolu sur un paddle noir, recouvert de cuir.Je sais aujourd’hui que je viens de faire une grosse bêtise, mais à l’instant où je le fais emballer, je suis tout excité par la surprise que je m’apprête à faire à Francis.
Ce soir, j’ai donc rendez-vous chez Francis. Je connais son adresse et son numéro de portable me permettra de franchir la porte d’entrée.Francis m’accueille avec un grand sourire, et me conduit dans la salle à manger. Je lui offre le cadeau que j’ai acheté à Pigalle, et il semble content de la qualité du paddle. Comme la fois précédente, il est avenant et me propose à boire afin de me mettre à l’aise. Devant mon refus, il me demande de retirer mes vêtements, à l’exception de la culotte de mon épouse, et de me positionner à genoux par terre. Je m’exécute immédiatement, et la culotte de « grand-mère » de ma femme ne peut cacher une belle érection. Je ne vais pas bander longtemps et Francis commence par se moquer de moi sur le type de culottes que je porte, avant de me faire comprendre que cette érection n’a pas lieu d’être pour un soumis. Je dois baisser mon slip, et muni de sa règle en bois, il m’assène quelques coups sur la queue, qui me font rapidement débander.A genoux, les mains sur la tête et la culotte baissée, je me sens vraiment honteux.
Francis me laisse un moment dans cette position humiliante, et quand il me demande de me relever, je constate qu’il est intégralement nu. Confortablement installé sur une chaise, il me demande de venir m’allonger sur ses genoux, et débute une fessée progressive. Mon épiderme est encore sensible à cette époque, et la chaleur se fait cruellement sentir. Mais ce n’est que l’échauffement, car il s’est maintenant saisi du paddle. Les coups pleuvent avec une violence à laquelle je ne m’attendais pas, et je souffre le martyre sous ces coups de battoir. Et la punition n’en finit pas, et j’encaisse les coups sans broncher, si ce n’est quelques larmes qui me montent aux yeux. Quand il se décide à changer d’instrument de torture, je suis déjà épuisé. Mais il me demande maintenant de me positionner devant la table, les mains posées sur le bord de la table, le cul en arrière bien cambré. Je ne saurais plus dire quel matériel il a employé, mais je pense que tout son attirail y est passé, le martinet, le règle en bois, la tapette à mouches. J’ai le cul en feu et je commence à regretter ma visite.
En fait, je ne regrette encore rien. Je suis en train de découvrir de nouvelles sensations, la violence des coups anesthésie inexorablement mes fesses, et cette douleur fait place à une impression étrange de victoire du cerveau face à la torture.
Francis a senti, un peu tard, qu’il doit arrêter. En guise de pause, il me fait agenouiller devant lui et il me présente sa queue molle devant la bouche. Je ne suis pas encore un expert dans cette pratique, mais je comprends évidemment ce qu’il cherche. J’ouvre donc la bouche pour lui pratiquer une fellation. L’hygiène n’est pas le fort de Francis. Sa bite a des odeurs d’urine qui me montent à la gorge, mais j’obéis à sa demande, et je le suce de mon mieux. J’arrive lentement à le faire durcir, et il me donne maintenant ses couilles à lécher, avant de me présenter son cul. Je déteste cet instant, et je darde timidement ma langue, évitant au maximum le contact avec son anus. Pendant ce temps, il enfile une capote.
Sur son ordre, je me redresse et lui présente mon cul en feu, cambré au maximum. Il m’enduit rapidement de gel, et m’encule brutalement et sans ménagement. La douleur est fulgurante quand son gland force mon passage étroit et encore peu habitué à ce genre de pratique. Néanmoins, une fois à l’intérieur de mon cul, il reste un peu sans bouger, le temps que la brulure s’estompe. Et quand il entame un lent mouvement de va et vient, je commence à ressentir un plaisir certain. J’ai maintenant l’autorisation de me masturber, et j’astique mon membre avec frénésie, pendant que je me fais enculer de plus en plus fort. Les rythmes se synchronisent, et j’éjacule bruyamment dans la culotte de ma femme. Au moment de jouir, mes sphincters se resserrent et cette nouvelles pression sur sa bite fait immédiatement jouir Francis, qui se fiche au fond de mon cul. Je viens à nouveau de vivre une jouissance intense, que j’ai pu communiquer à mon Maitre d’un soir, et je manque de m’écrouler tant l’orgasme est violent.
La séance touche à sa fin, et j’accepte alors le rafraichissement que Francis me propose. Il évoque un prochain voyage à l’étranger avec une dominatrice, et ce qu’il me raconte m’inquiète un peu quant aux rapports dominants/dominés. A l’époque, je suis à cent lieux de m’imaginer tel que je suis aujourd’hui.
En rentrant chez moi le lendemain, je suis allé vérifier l’état de mon postérieur. Il est devenu violet, et va passer par le marron. Je ne pourrai pas me découvrir devant me femme avant au moins une semaine. J’en veux à Francis de m’avoir ainsi massacré, et je décide d’arrêter la pratique de la fessée. Je ne le reverrai plus !
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