C’est assez jeune que j’ai pris le gout au travestissement. M’habiller en femme pour me faire désirer par les hommes est mon péché mignon… et j’en use à loisir. Mon premier contact avec cette pratique à été purement fortuite, et j’en fut le premier surpris. j’étais un homme plutôt macho, aimant séduire et conquérir les femmes, comme quoi on se connait souvent très mal.J’étais invité à une soirée costumée et j’avais décidé, par provocation, de m’habiller en femme. Il me fut bien sur assez difficile de trouver de quoi m’habiller et je du solliciter quelques copines pour me fournir la garde robe nécessaire. Elles avaient bien travaillées puisque je pu entièrement m’habiller, et , ma foi je crois que je faisait un certain effet. La soirée avait bien commencée, ambiance, petits fours, un peu d’alcool, musique et danse. Comme il se doit je jouait le jeu de mon déguisement et dansait "comme une folle", me déhanchant, imitant les vamps, et autres gogo danseuses. Tous le monde riait et s’amusait, et moi je me sentais bien, oubliant presque mon déguisement. Vint l’heure des slows, le lumière s’éteignit et les couples se formèrent. Je regardais les danseurs avec intérêt, quand un homme que j’avais déjà remarqué me proposât, en riant, de danser avec lui. C’était mon rôle et j’acceptais. Il m’enlaçât aussi tôt. La musique était douce, sensuelle, et je me sentais tout à fait à l’aise. L’homme me serrât un peu contre lui et, ne trouvant rien à y redire je me laissait faire. Nos corps étaient tout proches, nos joues se touchaient, et dans la pénombre je me laissait aller tout contre lui. Sa main était dans mon dos, et je la sentis doucement descendre vers mes reins. Elle glissait le long de mon corsage, jusqu’à la ceinture de ma jupe, …puis plus bas. Elle était maintenant carrément sur mes fesses et se promenaient sur mes reins. Elle jouait avec le tissus léger de ma robe, je suis sur qu’elle ne manquait rien de ma petite culotte, … je la sentais suivre le chemin de ma jarretelle, aller du haut de mes bas à ma culotte, s’en délecter. je me sentais à la fois soumise et dominante, prête à tout subir et en même temps fière de l’emprise que je pouvais avoir sur cet homme. C’était une douce sensation de honte et de plaisir, à la fois proie et chasseur ! Je sentis alors quelque chose se durcir dans son pantalon, et bien sur mon expérience de mâle diagnostiqua aussitôt une érection. Cela aurait du me rebuter, mais au contraire je me sentis fière de lui faire cet effet. Pris d’un soudain désir je passait mes deux bras autour de son cou pour être encore plus près de lui. Ses mains libres me caressèrent les dos, les reins. Je n’écoutais plus que la musique et mon désir de me laisser faire. Maintenant sa main caressait mes fesses, jouait à travers ma robe avec l’élastique de ma petite culotte .je n’avais jamais rien ressenti de pareil. C’était bon et je le laissais faire. Je glissait même ma jambe autour de sa cuisse pour qu’il puisse apprécier le contact de nos deux entres jambes enlacés. Doucement il descendait ma petite culotte sous ma jupe et je sentis qu’elle avait libéré mes fesses qui étaient maintenant découvertes, bien que sous ma jupe cela ne se vis pas. J’avais honte car, déculottée je me sentais nue, mais ma plus grande honte était certainement de prendre du plaisir à me laisser faire ! La musique continuait inexorablement, et a chaque mesure je m’enfonçait un peu plus dans ma soumission. Je ne sais comment, mais bientôt nos lèvres se joignirent, et pour la première fois de ma vie je fus embrassé. C’est moi qui recevais le baiser, moi qui ouvrais la bouche pour recevoir sa langue. Le baiser durât longtemps, et sans que je m’en rendisse compte ma culotte était maintenant au niveau de mes genoux, et j’était nue sous ma robe. Je m’était laissé déculotter sans même en avoir conscience. C’était la première fois qu’un homme me mettais nue. Je me voyais maintenant danser collée joue contre joue avec un homme, ma culotte à mes genoux,… je n’ose imaginer ce qui aurait put se passer si la musique ne c’était pas arrêtée …!La lumière revint et vite je remontais ma petite culotte, je me dégageais à grand peine des ces bras, et je repris mon rôle d’amuseur déguisé en femme. Bien sur je n’était plus moi-même. Comment admettre ce que j’avais put subir, laissé faire sans réagir, qu’allait -il se passer maintenant ? … je vous raconterais la suite de cette histoire, car évidement elle a une suite, plus tard !