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Mes frères, ma belle-mère et son fils.

Chapitre 1

La belle-mère.

Inceste
Je vis avec trois beaux garçons et une fille désormais tous majeurs. Un seul est de moi, Jules. Paul, Stan et Rose sont les cadeaux que m’a laissés mon deuxième mari avant de se barrer. Je me bats pour leur assurer un avenir et je consacre tout mon temps pour qu’ils vivent ensemble en essayant d’oublier la trahison de leur père. Le seul point favorable avec mon ex, c’est qu’il a assuré pécuniairement avant de disparaître.
Paul est le plus âgé, Stan et Rose sont des jumeaux qui ont onze mois de différence avec leur frère qui essaie de remplacer son père afin de m’aider le plus possible. Ils m’appellent d’ailleurs ; Maman. On s’est construit une petite routine, travail, études supérieures pour les enfants, vacances. Mes amis se sont éloignés et ma vie de femme n’est plus qu’un lointain souvenir.
Paul plaît aux filles qui lui courent après, mais je compte beaucoup pour lui et il n’hésite pas à me faire passer avant elles. Stan connaît ses premiers émois pour une fille de son bahut et pour Rose, elle garde secrète sa vie de jeune fille en fleur. La vie s’écoule, ordinateur, smartphones et jeux sur console pendant que je vaque aux travaux de la maison, cuisine, vaisselle, lessive. Mais ils m’aident bien.
Pour le petit dernier, Jules, qui est de moi, il a un caractère assez renfermé et je ne sais jamais à quoi il pense. Il a l’âge des jumeaux, mais il est introverti, souvent enfermé dans sa chambre, seul, participant peu avec les autres. Ces derniers temps, il tient même à faire lui-même sa lessive et le ménage de sa chambre. Et sa lubie maintenant c’est de porter des pantalons bouffants comme ceux des zouaves, quelle drôle de mode.
Nous sommes les cinq au salon quand Paul attire notre attention :
— Maman, c’est ton anniversaire aujourd’hui, va te faire belle et reviens dans une demi-heure au salon.
C’est gentil d’y avoir pensé, je lui obéis, vais me faire belle dans ma chambre et reviens toute pomponnée. De retour au salon, une bouteille de crémant et un gâteau avec des bougies m’attendent. Les enfants m’entourent et m’embrassent.
— Bon anniversaire maman !
Nous buvons et nous partageons le gâteau avant de regarder un film romantique qu’ils ont choisi pour l’occasion. Je m’installe au milieu pendant que Paul et Stan m’encadrent et que Rose et Jules sont assis dans les fauteuils devant moi. Je savoure ce moment unique avec une joie intérieure qui me fait oublier la fatigue de la journée.
Mes paupières deviennent lourdes et je somnole un instant. Stan a posé sa tête sur mes cuisses et je lui caresse les cheveux. Comme ça n’a pas l’air de lui plaire, il prend ma main et la pose sur son ventre.
Tentant de renouer avec l’intrigue du film, je reprends mes caresses sur son ventre comme je le fais avec notre chat. Je ne me rend pas compte que ma main glisse vers le bas et elle bute sur quelque chose de dur. Instinctivement, je remonte mon bras. Stan n’ose plus bouger et ronronne comme le chat. Je reprends mes mouvements en évitant de trop descendre pour ne plus heurter cette jeune virilité. J’ai déclenché chez lui une belle érection en train de grandir et qui déforme le devant de son pantalon.
Je tourne le regard vers Paul qui n’a rien raté de la scène. Si Stan a eu l’air gêné, ce n’est pas son cas. Il me regarde dans les yeux puis regarde son bas-ventre où là aussi une bosse est apparue. Je ne sais plus trop quoi faire quand Paul prend ma main et vient la poser entre ses cuisses en la maintenant fortement. Heureusement qu’il n’y a que la télé d’allumée dans la pièce ! Stan finit par se rendre compte du manège de son frère et voudrait que je lui fasse la même chose. Je ne les regarde plus, le regard fixé sur la télé. Ils sont devenus de vrais petits hommes, mais ils devraient se contrôler en présence de leur frère et sœur. Je sais que je ne suis pas leur mère, mais quand même...
Stan se redresse et j’ai maintenant son membre à l’érection bien apparente contre ma main. Je pourrais échapper à leur emprise mais je ne bouge pas, mais Paul en profite pour ouvrir son pantalon et sortir son sexe. Il m’incite à prendre le membre durci et encore une fois je le laisse faire. Son frère ne veut pas être en reste et fait de même, leurs regards se croisent.

Soudain, Jules s’aperçoit du culot de ses demi-frères, les engueule comme du poisson pourri et s’offusquant de mon manque de réaction, se lève et va dans sa chambre et claque la porte avec violence.Je devrais tout arrêter, je le pourrais et je sais qu’ils arrêteraient aussitôt mais je n’en ai ni le courage ni l’envie... Le regard de Rose se tourne vers le canapé, mais elle ne dit rien, regardant l’érection de ses frères comme si c’était déjà de l’histoire vécue.
Elle se lève, s’approche de moi et soulève ma jupe. Elle écarte mes jambes que je n’essaie même pas de resserrer et retire ma petite culotte, aidée par ses frères qui me soulèvent juste ce qu’il faut du divan.
Paul et Stan reprennent leur manège, entraînant mes mains pour branler leur verge. Ils ne sont montés, ni trop gros, ni trop petits, dans la moyenne, comme leur père, plus ou moins quinze centimètres. Je sens l’air agir sur la peau de ma vulve, c’est Rose qui souffle dessus avant d’y coller sa bouche. C’est loin d’être désagréable.
La tête de Rose se trouve appuyée contre le haut de mon pubis et prend entre ses lèvres mon petit bouton. Les secondes ont l’air de devenir des minutes. Je tente de reprendre mes esprits, mais pourquoi cela me rend si humide ?
Je réalise soudain qu’il n’y a plus de main sur les miennes, je m’aperçois que je suis la seule à branler les sexes dressés qui ne semblent pas vouloir de repos. Rose en revanche ne loupe rien du jeu qui se déroule sur le canapé et en profite même pour saisir dans chaque main les bourses de ses frères. je devrais me lever et aller dans ma chambre, je le pourrais sans aucun problème car je sais qu’ils me respectent autant que si j’étais leur propre mère. Je pourrais mais je ne le veux pas, je sais que ce n’est pas très bien mais c’est si bon...
Je plaque ma main sur sa nuque pour qu’elle se concentre de nouveau sur ma chatte en feu. Mais cette petite coquine a vu que l’un après l’autre, ses frères ont éjaculé. Elle se précipite pour récupérer leur gourme, heureusement que ce sont de piètres éjaculateurs.
Le film se termine enfin et le charme est rompu. Ils se relèvent tous les trois. Paul me tend la main pour m’aider à me lever, mais son regard a une vue plongeante sur mon décolleté. Mais ce n’est pas possible ! Qu’est-ce qu’ils ont ce soir ? Je leur dis gentiment que je vais aller me coucher, mais ils me lancent un regard réprobateur, leur verge entre les jambes. Ils me proposent un café et je finis par accepter, sachant que ça peut déraper bien plus loin dans les minutes qui suivent. Stan introduit un DVD dans le lecteur. Cette fois-ci, c’est directement un film de boules.
Ils se déshabillent entièrement avant de s’en prendre à moi qui ne réagis même pas à la situation, les aidant même.On se retrouve dans la même position dans le divan et deux bouches se posent sur mes seins. Ma poitrine déformée par leur tête me fait avoir la chair de poule et durcir mes bouts, pourtant il ne fait pas froid dans la pièce. Ils posent chacun une main sur mes cuisses, ce qui me donne des frissons. Les doigts sont si doux, si légers, je ronronne presque sous leurs doigts.J’essaie de me concentrer sur le film, mais mon esprit revient à la moiteur qui émane d’entre mes jambes. Je n’ai plus connu d’hommes depuis mon deuxième compagnon. Mais comment comparer avec les caresses de ces trois jeunes frères et sœur ?
Le film se termine et je ne suis pas sûre d’avoir tout suivi. Je fais le vide dans ma tête. La tête de Paul est fichée contre mon ventre et son souffle effleure l’intérieur de mes cuisses. Stan veut prouver à son frère qu’il peut faire aussi bien que lui et ils se relaient. C’est comme une marée qui monte et descend, amenant à chaque vague son flot de sensualité chaude. Je dégouline d’une façon inquiétante, la respiration courte. Leurs mains parcourent maintenant presque toute la totalité de mes cuisses et viennent se perdre à l’intérieur de la fourche à quelques centimètres seulement de mon intimité. Je pourrais leur crier d’arrêter, mais je ne le fais pas, je ne le veux plus. Je reste là abasourdie de la façon qu’ils me prouvent leur amour.
Rose n’est pas en reste et vient m’embrasser à pleine bouche. Paul a sa main plaquée sur mon pubis. Je pourrais lui demander de retirer sa main, mais quand je vois ses doigts humides, je ne peux m’empêcher de rougir. Ils sont recouverts de ma mouille. Je suis consternée... mais heureuse et en mon for intérieur, ne veux surtout pas qu’il cesse.
Je réalise pour la première fois les yeux fermés que trois paires de mains parcourent ma peau nue. Heureusement que la pièce est plongée dans la pénombre et que chacun ne voit pas bien ce que fait l’autre.J’ai les seins gonflés, la chatte trempée, les tétons et le clito tendus à se rompre sous les attouchements de l’un ou de l’autre, je suis comme perdue et ne résiste pas à une contre trois, deux garçons le sabre au clair et une fille à la chatte baveuse, je les encourage même en ne les repoussant pas. J’ai à peine le temps de sentir les lèvres de l’un au-dessus de mon ventre que de nouvelles lèvres viennent couvrir mes seins ou mon cou. Comme transporté en dehors de la réalité, mon corps frémit quand un baiser atteint l’endroit magique en haut de ma fente trempée et qu’une langue darde mon bouton. Et ce n’est pas Rose cette fois. Je pourrais protester, mais rien ne sort de mes lèvres car j’y trouve un tel plaisir.
Stan fait rouler mes tétons entre ses doigts pendant que sa sœur m’embrasse ou me caresse la poitrine. Mais ce n’est rien à côté de Paul. Son nez bute contre mon clitoris au fur et à mesure qu’il enfouit sa langue toujours plus profondément dans ma grotte offerte. Mon grognement assourdi se mêle aux vagues de plaisir et meurt étouffé dans la bouche de Rose collée à la mienne.
Je sens un doigt fin envahir mon vagin pendant que la langue de Paul joue avec mon clitoris. Mon bas-ventre est gluant de mes sécrétions intimes et de sa salive. Je ne peux m’empêcher de bouger mon bassin en tous sens plus il devient sûr de lui.
Des ondes de plaisir montent de plus en plus vite en moi et se propagent dans tout mon corps. Ces trois pervers ne s’arrêtent pas pour autant. Mes fesses bondissent sur le canapé sous les doigts de Paul. Les deux autres suivent les mouvements désordonnés de mon corps sans quitter leur cible et continuent leur boulot sous mon orgasme d’une violence rare qui me rappelle une certaine époque déjà lointaine.
Mes grognements sont si forts qu’ils stoppent leur activité sans plus rien faire juste à me regarder possédée par la jouissance. Je perds pied, tout tourne dans ma tête, mais fiers comme Artaban, ils arrêtent enfin leur initiative.
Au bout de quelques minutes, je reprends enfin mes esprits. Je n’ose pas ouvrir les yeux. Comment leur avouer le plaisir qu’ils m’ont donné sans paraître vulgaire. Je n’aurais peut-être pas du céder à leur avance mais ils ont réveillé en moi la femme, l’amante... J’entends Stan me murmurer à l’oreille combien il m’aime puis c’est le tour de Stan et enfin de Rose.Leurs déclarations me font tomber en sanglots. Ce ne sont pas mes enfants, mais je ne fais aucune différence avec Jules, la chair de ma chair. Au milieu de mes larmes, je leur avoue combien je les aime et tiens à eux.
— Tu as aimé notre cadeau ? me demande Rose.

A suivre...
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