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Mes rêves se réalisent

Chapitre 4

Inceste
Je veux aller prendre ma douche, mais avant que je puisse faire quelques pas, Nico place ses bras autour de moi et je sens sa langue glisser entre mes lèvres.« Sœurette, tu ne peux pas nous laisser comme ça ! »Il m’empoigne comme une poupée de chiffon et me jette par-dessus son épaule.« Viens Laurent ! » Et il me transporte dans la chambre à coucher.
« Nico ! Laisse-moi ! » lui dis-je, morte de rire. Les deux garçons rigolent comme des collégiens.Puis ça s’arrête net. En un instant, l’ambiance change du tout au tout. Mon frère me pose sur le lit et m’embrasse comme un amant. Sa langue écarte mes lèvres et va à la rencontre de la mienne, avec appétit et autorité. On se roule un patin de film porno, on se bouffe la bouche. Toute l’excitation qui vient de s’accumuler traverse nos corps. Je n’en peux plus, je suis liquéfiée. Je me rends compte que les baisers profonds avec mon frère, j’y suis déjà habituée : à présent, je veux le sentir en moi...
Je lui ouvre largement mes cuisses. Laurent nous regarde. La main de Nicolas se pose sur mon pubis, son index s’enfonce dans ma grotte tandis que son pouce s’attarde sur mon clitoris. Mon sexe est ouvert comme un fruit mûr, mon petit bouton dressé. Il m’embrasse dans le cou. Je prends son sexe en main. Je l’imagine dans mon vagin. J’ai envie de lui. De mes maigres scrupules de la veille, il ne reste rien.« Je te veux Nico. J’ai trop envie de te sentir en moi... ».« Putain que t’es belle, Mélissa. Je vais bien te baiser, tu vas voir... »Je le caresse. Il me caresse. Nos souffles sont lourds. On se bouffe la bouche en se masturbant mutuellement. Il n’y a plus de tabous entre nous. Juste du désir. C’est si bon. Cette fois, on va le faire...
Soumise et impatiente, je le supplie :« Viens maintenant. Viens en moi. Baise-moi ».Nicolas se couche sur moi, et je guide sa grosse queue bandée qui pointe en direction de mon vagin. Son gland vient frotter mes lèvres sensibles, franchit le col moite, et enfin je sens le membre énorme de mon frère pénétrer mon intimité. Il entre en moi sans grands égards. Il est viril. Ça me plaît.
Je frissonne de plaisir sous l’assaut vigoureux, et je ne peux pas retenir un gémissement en sentant son pénis écarter mes lèvres trempées et s’enfoncer au plus profond de moi. Il est tendre et puissant à la fois. Ses couilles viennent toucher mes lèvres intimes. Mon fourreau se dilate pour l’accueillir, c’est incroyable comme il me remplit. Je suis sa sœur. Il me baise. Il est mon frère, il est mon amant. Je ne sais plus, tout se mélange. J’ai la tête remplie de souvenirs de mon enfance, qui ne cadrent plus du tout avec ce qu’il est en train de me faire :
« Tu me sens, petite sœur ? »« Oh oui mon Dieu... J’ai trop envie d’être salope aujourd’hui... »« Tu es salope... Tu te fais baiser par ton frère... »
« J’ai envie d’être ta salope... »« Tu l’es déjà... »Je savoure cet instant en caressant son dos. Nos langues se mêlent pour un baiser qui n’en finit plus tandis que mes mains se posent sur ses fesses musclées.
Me sentant prête, Nico entame son va-et-vient, d’abord lentement, puis le mouvement s’accélère. Je me colle à lui. Son gros membre défonce ma chatte en feu. Je ne pense plus qu’à ce sexe énorme qui me baise. C’est doux, c’est chaud, c’est fou. Frère et sœur, on fait l’amour. Mon mari nous regarde. C’est merveilleux. Je réalise que je suis libérée de tout ce qui encombre, tous les tabous, tous les interdits. Mon plaisir est la seule mesure de tout ce qui est beau et de tout ce qui est beau.
« Oh Mélissa » dit Nicolas, la voix ébréchée. « Oh putain j’arrive pas à y croire... »Chaque coup de butoir augmente mon plaisir. Je sens monter au fond de mon ventre de nouvelles sensations. Mon sexe palpite, mon vagin se contracte violemment. Je ne suis plus qu’une chienne en rut en train de se faire monter et mon corps tressaute de plaisir.
Mais le meilleur est encore à venir.« Laurent, prends-lui le cul ! », dit soudain Nicolas.
Je n’ai pas le temps de donner mon avis, même si je n’ai aucune objection à formuler...Mon frère saisit mon visage et m’embrasse goulûment. Sa langue glisse entre mes lèvres pendant que je sens le lit bouger avec le poids de mon mari. Dans un instant, je vais être doublement pénétrée pour la première fois de ma vie. J’ai un peu le trac, j’avoue...
Nico ne sort pas de moi. On se tourne sur le côté, pour pouvoir présenter mon derrière à Laurent, qui vient se lover contre mon dos. Je sens sa chaleur, son souffle dans mon cou, sa peau douce et son érection qui effleure mes cuisses. Laurent m’a déjà enculée plusieurs fois, généralement après une dispute ou une période de stress, pour évacuer la tension. J’aime lui offrir ça, j’aime le sentir par là, j’aime lui appartenir totalement. Et, je le découvre aujourd’hui, j’aime aussi appartenir à deux hommes en même temps...
« Vas-y mon Laurent, sodomise-la ! », encourage Nico, qui, sans arrêter de me baiser, empoigne mon cul et écarte bien mes belles fesses, pour exposer mon anus à mon mec. « Tu as envie, Mélissa ? » me demande-t-il. C’est délicat qu’il y pense. J’acquiesce d’une toute petite voix qui s’échappe de ma gorge serrée.Je ne me suis jamais sentie aussi offerte, aussi soumise, aussi femelle. C’est un des moments les plus intenses de ma vie.
D’une main, j’aide Nicolas à écarter mon cul. Je sens les doigts de Laurent qui tournent autour de mon anus, qui massent la bordure de l’ourlet sensible, qui peu à peu se glissent dans ma béance. Je retourne la tête et je gémis, d’une voix d’adolescente : « Mon amour ? J’ai envie que tu m’encules... »« Tu veux que je te la mette bien au fond de ton cul, hein ? », me demande mon amant, « T’as envie d’une deuxième queue qui te baise, c’est ça ? »Je hoche la tête, les yeux écarquillés. J’aime ce jeu.« Tu veux te faire enculer par ton mec pendant que ton frère te baise ? » demande-t-il encore.Nouvelle approbation. Mais il en veut plus :« Je veux t’entendre me le dire, Mélissa. »Ses paroles m’électrisent. Je soupire. Je sens le sexe de Laurent caresser mon anus. « Oui... Mes hommes... Faites-moi tout ce que vous voulez... Baisez-moi, profitez de moi, sodomisez-moi... »
J’ai des envies de sauvagerie, j’ai envie qu’il me fourre sa grosse bite là, maintenant, au plus profond de mon cul. Sa queue bien dure se dirige vers l’entrée de mon anus généreusement ouvert, dilaté et libéré de toute appréhension. Enfin, je sens son gland écarter mon sphincter pour s’enfoncer d’un coup dans mon ventre. Je gémis de plaisir et de douleur pendant qu’il entre lentement dans mon intestin. « Ooohh ooouuuiii ! »Nicolas s’enfonce dans mon vagin, me poussant vers le sexe de Laurent qui va plus loin dans mon anus. Ça y est. J’arrive à peine à le réaliser. J’ai deux hommes en moi. J’ai deux grosses queues d’hommes qui me pénètrent. Je suis en train de me faire baiser par deux mecs en même temps. C’est une sensation indescriptible. Je gémis, je crie, je hurle, de plus en plus fort alors que Laurent progresse plus loin en moi. Quand il est complètement dans mon anus, je regarde mon frère qui sourit. Je l’embrasse longuement, puis je me retourne et j’embrasse mon mec. Puis Nico approche ses lèvres de celles de Laurent et mes deux amants se roulent une immense pelle. Je suis une boule d’excitation et de fantasmes. Je rêve de les voir faire l’amour tous les deux...
Mais pour le moment, c’est moi qu’ils baisent. Laurent commence de lents mouvements de va-et-vient dans mon cul tandis que mon frère s’enfonce en même temps dans ma chatte. Etre remplie ainsi par deux membres qui me pénètrent en même temps, c’est sublime, c’est sale, c’est magnifique. J’ai toujours aimé la baise, mais là, ça atteint un point délirant. Je n’ai jamais autant prix mon pied... Et tant pis pour la morale. On se hurle des cochonneries :« T’aimes te faire prendre par tous les trous, hein, t’aimes ça ma salope ? »« Oui... oui... c’est trop bon... n’arrêtez pas... »« T’es une vraie pute, Mélissa. T’es une vraie cochonne... T’adores ça, hein ? »« Oui... encore... oui... défoncez-moi... »
Nos corps sont en feu, nos peaux glissantes ruissellent de sueur, mes cheveux sont trempés. Leurs mains sont absolument partout. Leurs bouches sont folles. Leurs pénis me pénètrent, me transforment, m’envahissent, m’enchantent, me bouleversent. Plus possible de parler. Je pousse de petits halètements du fond de ma gorge. Ils se transforment en cris, auxquels répondent des râles de plus en plus rauques de la part de mes deux amants. Je n’ai plus aucune retenue, il n’y a plus rien de civilisé en moi, juste un hurlement ininterrompu de plaisir qui résonne dans la pièce, comme la plainte d’une possédée.
Dans ces sensations inouïes, je m’égare. Je ne sais plus où je suis, qui je suis, où se termine mon corps et où commence le leur. Il n’y a plus que du plaisir, brutal, farouche. Le reste s’efface. Il n’y a rien d’autre que ce moment. Rien au monde n’existe pour moi à part ces deux queues qui me baisent. Elles entrent et sortent de moi, dures, passionnées et extraordinaires. Elles font de moi une femme différente : sauvage, animale, débridée. J’aime.
On en a tous conscience : ça ne va plus durer très longtemps. Il monte en moi, de tout au fond, une sorte de plaisir logé au cœur du plaisir, comme une déflagration qui serait sur le point de tout emporter sur son passage et qu’on pourrait apercevoir avant qu’elle survienne mais que rien au monde, désormais, ne saurait arrêter. Ma peau s’électrise. Mes poumons brûlent. Chaque sensation s’intensifie, jusqu’à en devenir presque insupportable. Mes amants aussi sont sur le point de succomber. Leurs gémissements prennent des accents incontrôlables. Chacun, de sa propre initiative, accélère le rythme. Les bites coulissent en moi de manière mécanique, acharnée, inéluctable. De plus en plus rapidement, de plus en plus violemment. Mon frère dans ma chatte. Mon mari dans mon cul.
Sans crier gare, c’est tout au fond de mon anus que naît l’amorce de tout le reste. Une détonation de plaisir. Elle se propage en un instant. Mon corps se raidit. Chacun de mes muscles devient, en un instant, un organe sexuel. Ma respiration se bloque. Voile noir sur ma vision. Je ferme les yeux. J’ai l’impression d’être en chute libre.Puis, comme une claque, tout s’enchaîne. Un autre soleil brûlant s’allume dans mon vagin, explose comme une supernova. Puis un autre, puis encore un autre. Puis des dizaines, des centaines d’autres. C’est trop, c’est beaucoup trop. Je crois que je crie, je crois que mon corps est secoué par un spasme. Je ne sais plus, je ne sais pas. Pour moi, il n’y a plus que l’orgasme. Je deviens l’orgasme, je suis l’orgasme. Et quand je crois qu’il va s’arrêter, il repart, il devient plus intense, plus fou, me mène au bord de l’inconscience. Mes ongles se plantent dans la chair d’un de mes amants – lequel, je ne sais pas. Je pleure, je crois.
Et ça se retire, comme un ouragan qui devient simple tempête, après avoir bouleversé tout le paysage. Je quitte l’apnée, m’autorise à respirer à nouveau, et la sensation de l’air dans mes poumons est comme une jouissance de plus. Hypersensible, je ressens chaque centimètre carré de mon corps avec singularité, chaque muscle, chaque poil. Je frémis, traversée par une vibration. Le temps se suspend...
Puis, comme un craquement, Laurent pousse un rugissement. Je sens qu’il jouit et m’attire contre lui pendant qu’il éjacule profondément dans mon anus. L’émotion est si forte que je repars dans un écho d’orgasme. Je perds tellement le contrôle que je crois que je m’entaille la lèvre avec les dents. L’onctueux fluide tiède m’envahit, me souille. Et ce n’est pas fini. Mon mari jouit en moi, encore, encore et encore. Il pompe une quantité invraisemblable de sperme, je peux le sentir dans mes entrailles, comme je ressens chaque battement de sa queue qui gicle dans mon cul. Je hoquette, me cabre, m’époumone. Nos trois corps décollent du matelas, incontrôlables.
L’orgasme de Laurent entraîne celui de Nicolas. Il hurle : « Mélissa ! » et c’est à son tour de libérer tout ce qu’il avait accumulé. Des doigts se crispent, s’enfoncent dans mes épaules. Tout son corps se raidit. Son pénis, en moi, se tend, est traversé par une secousse, se gonfle, puis explose. Un cri rauque accompagne sa jouissance. Mon frère se met à éjaculer en moi, puissamment, jet après jet, alors que mon mari n’a même pas fini de se soulager dans mon anus. Leurs râles, en tandem, emplissent la pièce.Je brûle à l’intérieur. A nouveau, sous l’effet de cette baise incestueuse, je suis soumise à une nouvelle salve de plaisir. Je plonge, je m’y perds. Je ne suis plus que sensation. C’est trop bon. Je ne sens même plus mon corps endolori d’avoir été tant pénétré. En extase, je halète comme une petite chienne. Rien n’est interdit.Nico se retire de moi, d’un coup, comme on sort une dague d’un fourreau. Il pousse un gémissement. Son orgasme n’est pas terminé. Un épais jet de foutre chaud comme l’amour vient s’étaler contre mon ventre. Un deuxième éclabousse mes seins. Un dernier mouchette mon menton de perles de sperme.
Vaincus, anéantis, nous nous disloquons. Nos corps encastrés les uns dans les autres se quittent enfin. Nous nous étalons sur les draps trempés de sueur. Bras et jambes comme du plomb, je suis incapable de bouger. Mon cœur cogne comme un fou furieux, j’ai l’impression que ça fait trembler tout mon corps. Mes poumons grincent comme si je venais d’achever un marathon. Gouttes de transpiration et de sperme s’écoulent de moi, glissent sur ma peau. Je regarde le plafond, fixement, parce que je ne peux rien faire d’autre. Ma chatte et mon cul m’envoient des souvenirs tendres et brûlants des délices dont ils viennent de faire l’expérience.
Avec mes deux amants, on se regarde. On se sourit. On rigole, comme si on ne parvenait pas tout à fait à croire ce que nous venons de faire ensemble.
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