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Mes rêves se réalisent

Chapitre 5

Gay
Impossible de tenir à ce rythme sans s’arrêter. Pour la toute première fois de ma vie, je viens de me faire pénétrer par deux hommes en même temps. Rien que d’aligner ces mots, je n’arrive presque pas à y croire. Mon mari Laurent m’a sodomisée pendant que mon frère Nicolas me baisait. Dans ma tête, il n’y a aucun regret. Pas une once de culpabilité. Je viens de vivre un des moments les plus intenses de mon existence, un plaisir dont je ne soupçonnais pas l’existence, et franchir l’interdit de l’inceste et le tabou du triolisme a été pour moi une révélation. Je recommencerais sans hésiter – je corrige : je recommencerai, c’est une certitude. Ma sexualité vient de s’agrandir, de s’étendre à des territoires que je ne demande qu’à explorer davantage. Oui, d’accord, je suis une petite coquine – ne le dites pas à ma mère, d’accord ?
Cela dit, toutes ces étreintes ont laissé des traces. Mon corps est moite de sueur et de sperme. Mes muscles sont tout courbaturés. J’ai le souffle court. Je ressens à l’intérieur de moi que cette double pénétration a laissé mes fruits fragiles toute endoloris. Bref : pouce ! Il est temps de faire une pause. Je file sous la douche, la tête remplie à ras-bord d’images extraordinairement salaces dont j’espère qu’elles continueront encore à me tenir chaud quand je serai vieille.
Les heures qui suivent, avec Laurent et Nico, on se laisse vivre. On grignote, on s’affale sur des canapés en regardant des films, pas très attentivement. On s’habille, mais à peine. On discute un peu, on rigole beaucoup. On ne se remet pas tout de suite à baiser, mais après tout ce qu’on a fait tous les trois, l’atmosphère reste érotiquement très chargée. De temps en temps, on se touche, on s’embrasse sur la bouche. J’embrasse mon mari Laurent. J’embrasse mon frère Nicolas. Mes deux hommes s’embrassent eux aussi, de moins en moins timidement. J’ai de plus en plus envie de les voir faire l’amour...
D’ailleurs on en prend le chemin. Au retour d’un raid dans la cuisine, je retrouve Laurent et Nico bouche à bouche, leurs belles lèvres de mecs qui s’entredévorent, leurs langues qui s’enroulent l’une contre l’autre. Leurs corps presque nus sont entortillés l’un contre l’autre. A ce spectacle, quelque chose d’ardent s’embrase en moi. Je regarde le torse musclé de mon mari glisser contre celui de mon frère, leurs jambes s’envelopper les unes contre les autres, plus ou moins dans le désordre, leurs mains qui effectuent, peu à peu, la visite de leurs peaux, plus curieuses que tendres, et dans leurs caleçons leurs queues durcissent d’anticipation.
Je ne dis rien pour ne pas les effaroucher. Silencieusement, je me pose sur le fauteuil d’en face, un verre à la main, et je profite du spectacle en voyeuse, un grand sourire aux lèvres.
Il y a de l’empressement. Peu à peu, les mains se rapprochent de plus en plus clairement des sexes, et, bientôt, mes deux mecs se mettent à se branler à travers le tissu fin de leurs sous-vêtements. Leurs soupirs emplissent la pièce. Jamais je n’ai assisté à une scène comme celle-ci, même si c’est un fantasme récurrent depuis mon adolescence. A ma connaissance, Laurent n’a jamais rien fait avec un homme. En ce qui concerne Nico, j’en suis beaucoup moins sûre.
« Je crois que j’ai envie de baiser ton mec » me dit mon frère, en se retournant vers moi. Il a les yeux tout chiffonnés de désir. Souriant avec les yeux, je leur donne à tous les deux ma bénédiction silencieuse. « Merci mon cœur » me dit Laurent. « Je crois que c’est quelque chose que j’ai besoin de faire... Et quand ce sera fait, j’ai envie de te voir, toi aussi, explorer ton homosexualité. »
Son vœu me bouleverse. Mon mari a envie de me voir faire l’amour avec une fille ? Voilà une idée qui ne m’a jamais traversé l’esprit. Et il ne m’en avait jamais parlé auparavant... Est-ce que je serais capable de coucher avec une autre femme ? Est-ce que j’y prendrais du plaisir ? Je ne sais ni quoi penser, ni quoi répondre...
Mais très vite une idée chasse l’autre. Pendant que j’étais occupée à mes rêveries, les garçons n’ont pas perdu de temps. Ils se sont débarrassés de leurs caleçons, et, désormais, ils se branlent mutuellement à pleine main. Tous les deux ont sur le visage la même expression émerveillée et satisfaite. Comme s’ils étaient en train de découvrir une part d’eux-mêmes qu’il leur tarde d’explorer davantage. Comme ils sont beaux, ces deux mâles en proie au désir...
Beaux et très pressés. Décidément, cette queue dure et bien dressée dans sa main, ça lui fait trop envie, à Nicolas. Sans attendre la permission, il se penche sur mon mari et prend son pénis en bouche. Il n’obtient aucune réclamation, au contraire. Alors que son pote commence à le sucer, Laurent laisse échapper un feulement de contentement. C’est très beau, ce qui se passe. Mon frère gobe la belle queue qui se présente à lui, en suçote le gland violacé, en lèche le pourtour avec une infinie curiosité, puis reprend sa fellation, avec plus de fureur et moins de délicatesse qu’une femme. On voit qu’il prend beaucoup de plaisir à sucer cette belle bite, et qu’il en donne aussi énormément à son partenaire. Peu à peu les mains s’enhardissent. Laurent masse doucement les couilles de Nico pendant qu’il lui lèche la queue. Nico pose sa main sur la nuque de son amant pour guider ses gestes. Et progressivement, des doigts se font aventuriers, se rapprochent des fesses et d’autres plaisirs.
Mon mari émet un gémissement. À voir la grimace de plaisir qui se dessine sur son visage, il n’est pas passé très loin de jouir dans la bouche de mon frère. Nico le comprend. Il cesse de le sucer, le laisse respirer un peu. Les deux mecs se roulent un gros patin, marquent une pause avant de passer à l’échelon supérieur de leur accouplement. Entre deux souffles, entre deux prises de bouches, j’entends Laurent dire à Nicolas : « J’ai envie de toi. Je te veux en moi. Baise-moi. »
J’aurai rarement été aussi excitée qu’à l’écoute de ces quelques mots. C’est extraordinaire, ce qui est en train de se passer. C’est magique, c’est merveilleux. Dans un état second, la tête pleine d’étoiles et d’images cochonnes, je me vois me lever pour aller chercher un tube de lotion que je passe à Nico. C’est celle qu’on utilise souvent avec mon mari quand il m’encule. À présent, c’est lui qui va connaître ce plaisir...Les deux mecs s’embrassent une nouvelle fois, comme pour se donner du courage. Et puis Laurent se met à quatre pattes sur le tapis du salon, un coussin du canapé sous les genoux pour être confortable. Je vois Nicolas, la bite dressée d’excitation, qui lui mate les fesses. Bientôt, il sera à l’intérieur de lui.Je salive, j’en baverais presque. Excitée comme jamais, je m’installe aux premières loges, dans le grand fauteuil d’en face. Sans même m’en rendre compte, mes doigts ont trouvé le chemin de ma chatte et s’y sont glissés, y trouvant énormément de moiteur alors que j’entreprends de me toucher en assistant à ce qui va suivre.
Ça, je ne suis pas déçue. Nico prépare avec douceur l’anus de Laurent à le recevoir, lubrifiant l’accès et détendant l’orifice. Ce genre de choses, ça réclame du temps. Et du doigté.Et puis quand tout est prêt, je sens mon frère se raidir, hésiter, comme s’il avait du mal à sauter le pas. Ce n’est pourtant pas lui qui s’apprête à subir la plus radicale des remises en question. Paradoxalement, c’est mon mari qui semble le plus détendu et qui prend les choses en main. Il le fait littéralement, d’ailleurs, attrapant la queue tendue de Nicolas, l’invitant à s’approcher de lui. Il lui adresse un sourire coquin et lui dit, les yeux dans les yeux : « J’ai envie que tu me l’enfonces bien profond dans le cul. »
C’est comme une déflagration qui emporte tout sur son passage. Laurent semble ne pas arriver à croire son audace. Nico s’enhardit, les doutes envolés et remplacés par un violent désir sexuel pour son pote. « Oh oui » dit-il. « Je vais l’enculer, ton petit cul bandant. » Moi, je n’en peux plus, je me masturbe frénétiquement, excitée, presque délirante. Je crois que c’est le plus ancien de mes fantasmes.
Et puis Nico encule Laurent. Il le fait doucement, sans sauvagerie d’abord. Il se contente de poser son gland à l’entrée du tout petit anus de son ami, de tourner autour, de s’installer confortablement à proximité, de jouer avec. Peu à peu, il ose davantage, il élargit le trou d’abord minuscule, se servant de sa bite comme d’un sésame, et, à force de patience et d’insistance, son gland finit par disparaître dans le trou du cul de mon mari.« C’est bon jusque-là ? » demande-t-il.Nicolas grimace, il souffle, il fronce les sourcils. Mais il tient bon.« Ça va aller. Ne t’arrête pas. »
Alors, moment sublime : extrêmement lentement, mon frère enfonce sa grosse queue dans l’anus de mon mari. Cela semble durer plusieurs minutes jusqu’à ce qu’il soit tout au fond. Laurent déguste mais j’ai l’impression que le plaisir est en train de se mêler à la douleur. « Oh putain », dit-il.Voir ainsi ces deux magnifiques corps de mecs emboîtés l’un dans l’autre, c’est sans doute le spectacle le plus sexy que j’ai eu l’occasion de voir dans ma vie. Que c’est beau, deux mâles qui baisent, qui font ce que deux hommes peuvent faire de mieux ensemble. Au moment où Nicolas arrive tout au fond, c’est le feu d’artifice en moi, je perds complètement les pédales et je pars dans un petit orgasme perso. Je devine que ça ne sera pas le dernier.
Ça y est. Le moment désagréable est passé. Les garçons se détendent et commencent à s’amuser. Mon mari, mon frère, ces deux mecs qui m’ont tous les deux baisée, découvrent à quel point il est agréable de le faire ensemble.« C’est bon putain » grogne Laurent alors que Nico, doucement d’abord, pistonne sa bite dans son fion.On voit qu’ils explorent ces nouveaux plaisirs, qu’ils s’apprivoisent, que peu à peu, les dernières barrières cèdent dans leurs têtes et qu’ils admettent pour eux-mêmes qu’ils sont un peu pédés. Ils ne le suspectaient pas, c’est maintenant devenu une évidence, et à la manière dont mon mari se cambre pour accueillir en lui la grosse queue de mon frère, c’est instantanément devenu naturel. Ils se donnent l’un à l’autre et découvrent ensemble des plaisirs dont ils ne soupçonnaient pas l’existence et dont ils vont avoir du mal, désormais à se passer. Jamais je n’ai autant désiré mon mari. Le sentiment est inattendu. Jamais il ne m’a semblé plus mâle, plus viril, plus désirable que là, alors qu’il se fait sodomiser par un autre homme pour la première fois de sa vie, comme si le fait qu’il explore toutes les facettes de sa sexualité en faisait à mes yeux un amant encore plus séduisant.
Au souffle succèdent les soupirs, aux soupirs, les râles, et aux râles, les gémissements. Les coups de reins se suivent en série, les deux amants trouvent leur rythme, et puis tout s’accélère.Désormais Nicolas sodomise Laurent bien à fond. Il se penche pour l’embrasser sur la bouche, puis saisit ses hanches avec les mains et s’en sert pour prendre son élan. Le ménagement, c’est fini. Les coups de queue se font rapides. Profonds. Brutaux. Les visages sont tordus par le plaisir. Les muscles se tendent. Les peaux se couvrent de sueur. Chaque coup de reins est accompagné par un soupir, un râle, un rugissement parfois. L’odeur de la bite envahit tout le salon. Il y a de la joie, il y a de la débauche, il y a énormément de plaisir. C’est beau, deux amis qui s’enculent.
Je devine qu’on s’approche d’une conclusion. Mais ça, les deux mecs ne le veulent pas. Sans avoir à se consulter, ils s’interrompent, s’apaisent, changent de position. Nicolas va s’asseoir sur le canapé, et Laurent prend position sur ses genoux, laissant peu à peu la bite de son ami l’enculer à nouveau.Malgré tout, il n’y en a plus pour longtemps. Mon mari donne le tempo. C’est lui qui s’encule sur la bite dressée de mon frère. On n’entend plus que des râles, des cris. Il s’éperonne le cul en des va-et-vient de plus en plus rapides, les mains de Nico posées sur ses hanches. La peau des deux amants est luisante de transpiration. Nicolas se mord la lèvre. Laurent ferme les yeux. Moi j’accélère les mouvements de mes doigts jusqu’à m’approcher d’un nouveau précipice, d’un nouveau seuil de plaisir, l’écran noir...
Je jouis juste avant eux. Lorsque j’ouvre les yeux à nouveau, la tête encore bourdonnante d’émoi, les deux mecs sont en train de crier pour exprimer un plaisir dont on devine qu’il est à présent devenu incontrôlable. Laurent se tord, se brise, hurle de toute la force de ses poumons. Il est en train de connaître son tout premier orgasme anal. À l’expression de son visage, je devine à quel point c’est sublime. Soudain, n’y tenant plus, il éjacule. Une longue giclée de sperme épais jaillit de sa bite. Un trait vient atterrir sur ma joue et sur ma bouche, alors que quelques gouttes atterrissent sur mes seins. Quel cadeau merveilleux.Nicolas part à son tour – c’est par un cri presque paniqué qu’il exprime sa jouissance, comme s’il était incapable de la contenir. Lui ne me donne pas son sperme : il en réserve l’intégralité à l’anus de son amant, qu’il remplit consciencieusement, spasme après spasme, jet après jet.
La tension redescend. J’ai l’impression qu’il vient de faire mille degrés dans le salon et que la température redevient normale. Les deux mecs s’embrassent à pleine bouche, puis s’écartent l’un de l’autre, groggy, comblés. En partant pour la douche, Laurent passe devant moi, et, avec un petit sourire, me glisse :« À ton tour mon amour. »
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