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Mes satyres

Chapitre 1

Zoophilie
MES SATYRES
    Avec Julia, notre belle et sensuelle gouvernante, excepté nos regards langoureux, le doux contact de ses doigts et ses furtifs attouchements quand elle nous habillait, moi et ma jeune sœur Sonia, il n’y avait pas eu d’évolution notable dans nos relations. Avec toutes les occasions manquées, nos rendez-vous ratés pour une raison ou une autre, je m’étais mise à rêver souvent d’elle, à languir comme une jeune amoureuse, à fantasmer même sur tous les plaisirs qu’on aurait pu s’offrir toutes les deux. Elle occupait un petit appartement dans une aile de la maison et avait pour seule compagnie un grand et magnifique chien bâtard, Samson, qui tenait à la fois du Saint-Bernard et du Bouvier Bernois. Un chien très intelligent qui m’avait vite adoptée dès la première fois où je m’étais retrouvée toute seule avec lui…    « Obéissant à mes instincts de jeune pucelle, je m’étais décidée une nuit, alors que Nicole était en voyage à Paris, à aller rejoindre Julia dans sa chambre, son petit chez soi. Il se faisait tard, ma jeune sœur dormait à poings fermés et toute la maison était plongée dans le silence. A moitié nue je ne portais qu’une courte chemise de nuit à bretelles en soie blanche à même le corps, une sorte de nuisette qui me couvrait à peine une partie des fesses, et un amour de minuscule culotte noire en dentelle, un cache-sexe à peine plus large qu’un timbre poste, souple, au contact agréable. A peine sortie de la chambre je m’étais retrouvée dans un long couloir, une ruelle plutôt, bruyante, mal éclairée, où plusieurs loges étaient alignées l’une à côté de l’autre comme des boxes de quelque sordide bouge. De temps à autres, une à deux femmes entre deux âges grossièrement fardées et légèrement vêtues, en attente sous un porche, me souriaient en me lançant des œillades incendiaires pour m’inviter à les rejoindre. Je reconnaissais certaines, des habituées du ‘Shéhérazade beauté’, des clientes assidues qui venaient de loin pour assouvir leurs désirs. Un carrosse tiré par deux grands chevaux s’arrêta dans un crissement de roues sur le pavé humide à l’entrée d’un hôtel. Suspendues sous le grand porche des lanternes laissaient apparaître dans leurs losanges vitrés des lumignons rouges, verts et jaunes. Une femme très belle, élégamment vêtue avec une longue robe de soirée étincelant de strass et de paillettes, et accompagnée d’un monsieur en smoking, canne et chapeau haut de forme, en descendirent. Je cru reconnaître Nicole, en plus jeune, avec l’un de ses nombreux ‘amis’. Plus loin, quatre hommes, une bouteille d’alcool à la main et chantant à tue-tête une chanson paillarde, des marins transportés par l’ivresse, me barrèrent la route. L’un d’eux me saisit par la taille en me clamant son désir d’une femme jeune et belle, un autre glissa une main sous la chemise de nuit et se saisit d’une de mes fesses, le troisième d’un sein et le quatrième me força à boire en m’embrassant fougueusement après chaque gorgée. Avant même que je ne réagisse ils m’avaient déjà introduite, en me soulevant presque, dans le vestibule sombre d’un petit immeuble. Là, dans le noir, ils se jetèrent sur moi comme des forbans sur une captive. Après quelques chaudes caresses de mes fesses et de mes seins, les deux premiers se mirent à se quereller alors que le troisième continuait de me faire boire en m’embrassant entre deux gorgées. Le quatrième, ivre et n’arrivant que difficilement à tenir debout, s’assit sur une marche en tentant de me faire asseoir sur ses genoux. Le gin dégoulinant entre mes seins je réussis à lui résister, prendre mon courage à deux mains et leur fausser compagnie en prenant mes jambes à mon cou. La vue d’une faible lumière sous une porte me fit croire que c’était celle de Julia, qu’elle m’attendait. Le cœur battant et les chairs moites tant j’étais impatiente d’être dans ses bras, j’avais frappé avec des doigts tremblants quelques coups rapides à la porte. J’entendis vite un bruit feutré, comme des pas précipités, puis un souffle court, un halètement bruyant de l’autre côté. J’attendis quelques instants, puis ne voyant rien venir j’avais de nouveau donné quelques petits coups sur la porte, provoquant aussitôt une sorte de gémissement comme celui que ferait un enfant en pleurs. Inquiète, j’ouvris la porte. A peine à l’intérieur un garçon se jeta sur moi comme un diablotin en me prenant par la taille avant de glisser ses mains sous la courte chemise de nuit tout en m’attirant à lui et en se mettant à me martyriser les fesses. Il était de petite taille mais assez fort, très entreprenant, un véritable satyre. Comme la chambre était plongée dans l’obscurité je n’arrivais pas à distinguer ses traits mais je ressentais son torse nu et musclé contre mon ventre, sa tête collée à ma poitrine. « Julia ! Julia  !..., fis-je d’une voix basse, empressée, alors que mes jambes commençaient lentement à fléchir sous la traction du garçon jusqu’à ce qu’on finisse tous les deux au sol.» N’obtenant pas de réponse j’avais conclu que celui-ci était seul dans la petite chambre. Comme un galopin avide de jeux, de câlineries, le petit chenapan me retira très vite la petite chemise de nuit puis me prit par les épaules et m’attira de nouveau à lui en m’embrassant les seins. Sa bouche épaisse et avide allait rapidement d’un sein à un autre, suçant et mordillant les tétons jusqu’à les rendre aussi tendus que des aiguillons, alors que ses mains me caressaient avec grande habileté les fesses et le haut des cuisses. Comme interdite par la rapidité des choses, stupéfaite par tant d’audace, déjà émoustillée par le gin, je me laissais faire sans réagir. Glissant sous la petite culotte ou entre le creux de mes fesses, ses doigts hardis, quelque peu rugueux, n’hésitaient pas à faire de profondes et chaudes intrusions entre mes plis, mes chairs humides, m’arrachant aussitôt de petits cris de surprises, des râles et des gémissements étouffés de douleur et, je l’avoue, de plaisir aussi. Profitant de ma faiblesse, le petit coquin ne tarda pas à me faire rouler sur le sol avant de venir sur moi en se trémoussant fébrilement sur mon ventre et entre mes cuisses en poussant de petits grognements de plaisir, comme s’il cherchait à me montrer sa force, sa virilité. Les contacts et les frôlements de nos corps nus étaient si lascifs qu’il était difficile de rester insensible. A mon corps défendant je me sentais vite entraînée dans un véritable petit jeu de corps à corps, où mes râles et ses gémissements laissaient peu à peu place à des souffles courts, des halètements de lutteurs, de petits cris et des geignements que je poussais instinctivement d’une voix étouffée lorsque ses mains me pressaient fortement les seins ou que ses doigts écrasaient brutalement mes tétons enflés, de plus en plus fiévreux, tendus, raidis. Sa ‘chose’, étonnamment grosse et aussi longue qu’un phallus de quelque bête sauvage, chaude et visqueuse, glissant avec force tantôt entre le haut de mes cuisses et tantôt au creux de mes fesses en laissant s’échapper des filaments de sécrétions, me fit subitement réaliser que j’avais plutôt affaire à un adulte, un ‘nain’, dans toute la force de l’âge et bien décidé à me faire subir bien des sévices pour assouvir ses désirs. Une fois mes yeux habitués à l’obscurité, je pus distinguer ses traits. Comme s’il portait un masque, il avait le visage allongé, de longues oreilles pointues, tenait à la fois du bouc et du loup et semblait rire silencieusement. Un véritable faune. Tout autour de nous des ombres, des mouvements furtifs de corps, des chuchotements à peine perceptibles, puis d’innombrables pairs d’yeux rouges et jaunes, scintillants dans le noir comme des lucioles et semblant suivre avec attention nos ébats. Etais-je tombée dans un repaire de satyres, de ces faunes de légende qui hantaient mes longues nuits fiévreuses ? Je découvris aussi que plus je me débattais, plus j’essayais de résister, de le repousser, plus cela semblait nous exciter, tout en lui faisait gagner du terrain. De temps à autre je ressentais son membre tel un dard, un tison brûlant, fondre mes chairs, secouer mes entrailles et m’immobiliser comme une proie. Cela ne durait que de courts instants, de furtives et sauvages possessions avant que je ne lui échappe, mais suffisantes pour éveiller en moi de folles envies. A chacune de ces chaudes intrusions, de plus en plus rapprochées et de plus en plus longues, je me sentais faiblir, céder à un voluptueux engourdissement. Séduites par autant de sollicitudes, autant de flatteries, je sentais peu à peu mes chairs s’asservir, se ramollir, de cette douce mollesse des contours propice aux voluptueux enchevêtrements organiques ; ne songeant même plus à lui échapper lorsque je sentis de nouveau sa longue racine fendre mes chairs et s’enfoncer lentement, glisser comme une grosse anguille dans mes entrailles, profondément, jusqu’à ce que son bas-ventre vienne buter contre mes fesses, m’arrachant aussitôt un râle, un profond geignement de plaisir. Du plus profond de mes entrailles je sentais poindre cette douce chaleur qui faisait de moi juste une femme, une femelle, une louve. Le souffle court, mes jambes écartées reposant sur ses larges épaules velues, nous étions enchevêtrés comme dans quelque coït de bêtes fauves. Pendant quelques instants on resta ainsi presque sans bouger, comme si l’on cherchait à mieux nous découvrir, à mieux agencer, ajuster notre étrange lien. Lentement mes chairs s’adaptaient, prenaient le pli. Puis l’homme, la bête, avec un savoir-faire diabolique, desserra son étreinte et commença alors à me limer, alternant des séries de rapides et véhéments va-et-vient avec de douces, de lentes et sensuelles pénétrations qui me faisaient hurler de plaisir. La tête me tournait comme si j’étais dans un manège fou, un carrousel lancé à une vitesse vertigineuse. Drôle combien je me sentais faible, petite devant la force du mâle, les assauts répétés de cet infatigable amant, ce merveilleux satyre. A un moment je m’étais surprise qu’à chaque fois qu’il venait en moi je soulevais le bassin en allant avec force à sa rencontre en râlant comme une bête, une jeune louve se faisant saillir par un mâle solitaire. Lorsque étroitement collés l’un à l’autre, sa chaude verge profondément enfoncée dans mes entrailles et son gland plus enflé que jamais, il arrêta ses assauts, je savais qu’il allait, qu’on allait jouir. Dès que son gland éclata, tel un geyser giclant de chaudes coulées de sperme, un vif plaisir parti de mes entrailles me submergea aussitôt tout le corps, faisant vibrer toutes les fibres de mon être. Tressaillant de tout le corps, je m’étais mise à pleurer et à gémir de plaisir, alors que des bruits étouffés, des murmures plutôt, s’élevaient tout autour de nous… Sans le moindre répit, je sentis des mains velues palper mes chairs, tâter mes plis, caresser mes formes, mon ventre plat encore chaud, ruisselant de sueur. Des ombres, des visages, des paires d’yeux scintillants dans le noir comme des yeux de chats, de loups ou de quelques autres bêtes sauvages, se penchèrent sur moi. On me retira mon cache-sexe. Alors que des mains impatientes et des lèvres épaisses se saisissaient goulûment de mes seins, de mes tétons, une forme se glissa entre mes jambes. Je sentis aussitôt un reniflement bruyant, un souffle chaud entre le haut de mes cuisses, avant qu’une bouche humide, un museau plutôt, ne se colle à mon sexe. Très vite je sentis mes petites lèvres se décoller l’une de l’autre, puis une langue collante, chaude, visqueuse, glisser comme une petite anguille dans mon orifice vaginal. Très active, un véritable petit furet, elle se mit à me fouiller, à me laper en retirant mes anciennes mouillures, en provoquait de nouvelles, plus chaudes, plus nombreuses, en m’arrachant râles et geignements. Je secrétais abondamment. Puis je sentis de larges cuisses velues, musclées, venir prendre appui sur les miennes en les écartant, alors qu’un gland chaud et visqueux cherchait passage entre mes petites lèvres. Vierge…, j’avais affreusement peur d’avoir mal, d’être déflorée ainsi, de tomber enceinte et de donner naissance à quelque étrange faune. Je me trouvais dans une telle situation que j’eus peur après un moment de ne pouvoir résister trop longtemps, tant je me sentais faiblir à la fois devant la force ‘herculéenne’ du satyre qui m’écrasait de tout son poids mais surtout face à mes propres envies que je ressentais comme de nouvelles ondes de désirs qui me traversaient par vagues tout le corps. Plus j’essayais de les combattre, et plus je ressentais que je ne faisais en vérité que les attiser davantage ; d’autant plus que les assauts répétés du beau diable, désordonnées au début, gagnaient maintenant en véhémence, en justesse. A un moment je m’étais surprise qu’à chaque assaut, plus il venait en moi, plus je relevais les jambes pour mieux le recevoir. A partir de cet instant, j’étais certaine que le petit démon savait qu’il avait déjà gagné la partie. Lorsque je ressentis enfin son gros gland frayer passage entre mes petites lèvres et avancer résolument, j’avais relevé le bassin en écartant encore un peu plus les cuisses et en râlant de plaisir. Glissant comme une anguille et aussi doux que du satin, le gros membre me pénétra alors avec une telle impétuosité qu’il ne s’arrêta que lorsque son gland buta contre mon utérus, m’arrachant aussitôt un profond gémissement et provoquant une onde de plaisir qui me submergea vite tous le corps. Tremblante alors comme une feuille, je m’étais mise à jouir de nouveau. Nos sexes étroitement collés l’un à l’autre et ses grosses couilles me battant le creux des fesses, on resta quelques instants immobiles. Le gros membre, fourmillant comme un serpent, me remplissait tout le vagin. A chacune de ses respirations son doux gland se relevait dans une merveilleuse caresse de mon utérus, faisant vibrer toutes les fibres de mon être. Il me prit enfin par les hanches puis se mit tout doucement à aller et venir en moi, à chaque fois de plus en plus vite, de plus en plus fort. Comme deux vieux amants en train de se limer mutuellement, nos sexes n’arrêtaient pas d’aller et de venir fougueusement l’un à l’autre, nous arrachant à chaque fois râles et gémissements. Son membre était maintenant si enflé, si dur, que je savais qu’il pouvait jouir à tout instant. A un moment, alors que j’anticipais un de ses assauts en allant ardemment à la rencontre de son phallus, celui-ci me pénétra avec une telle violence qu’il heurta cette fois avec force mon utérus, m’arrachant aussitôt un petit cri de douleur puis un intense plaisir lorsque je sentis le gros gland éclater. Un véritable volcan dégageant de longues coulées de sperme qui m’inondèrent tout le vagin. Aussitôt je m’étais mise encore une fois à jouir moi aussi, une jouissance comme je n’en avais jamais connu auparavant…    La nuisette me collant à la peau et la minuscule culotte à la main, j’étais de nouveau dans le long couloir, la ‘ruelle’, encore plus sombre, plus animée, mais ici personne ne faisait attention à l’autre. Puis l’appartement de Julia au bout de la ruelle. Elle était absente. Lâchant des jappements de joie à ma vue, Samson, le grand chien de Julia, se jeta aussitôt sur moi en posant ses grosses pattes de devant sur ma poitrine avant de se mettre à me lécher le visage et le cou, tout en m’attirant à lui, sa manière à lui de me montrer sa force, sa virilité. Très intelligent, Samson n’avait pas mis longtemps avant de découvrir ma faiblesse et de trouver en moi les mêmes qualités que celles de sa maîtresse, celles de toute femelle. Il ne me quittait pas d’un pas et me suivait dans toutes les pièces en poussant de petits geignements. Dans la salle de bain j’avais profité pour essuyer les longs filets de sperme encore chauds qui s’écoulaient le long de mes cuisses en abandonnant celles qui collaient à mes fesses à Samson. Le chien se fit non seulement plaisir de lécher tout le sperme qui me collait sur la peau mais sa langue, aussi douce que chaude, râpeuse et collante à la fois, alla si loin entre le creux de mes fesses que cela m’excita au plus haut point, d’autant plus que le chien tentait maintenant de me basculer en avant. Sans hésiter je m’étais mise à genoux puis à quatre pattes, comme les autres fois quand je venais en cachette le retrouver. Samson, qui avait déjà eu à plusieurs reprises l’occasion d’apprécier le doux moelleux de mes fesses, ne se fit pas prier de me monter. Ses pattes sur mes flancs m’enserrant comme un étau, il m’attira vers l’arrière alors que son gros et long phallus s’enfonçait profondément dans mes entrailles. Très vite il s’était mis à me limer, comme seul un chien sait le faire et m’arrachant de sourds râles de plaisir à chaque assaut… On resta pendant un moment encore étroitement collés l’un à l’autre avant qu’il ne me libère. Dans la chambre à coucher le lit n’était même pas défait. Les vêtements de travail de Julia, sa jupe de tous les jours, son petit tablier, une chemisette blanche et une minuscule culotte rouge en dentelle, étaient éparpillés sur le sol comme si elle avait du vite se changer avant de partir précipitamment quelque part. J’étais très inquiète et j’hésitais sur la conduite à tenir. Poussée par une irrésistible impulsion de femme, le pressentiment qu’elle ne devait pas être bien loin, j’étais montée à l’étage en laissant Samson à ses geignements. Une petite lumière sous la porte de la chambre de mon père attira aussitôt mon attention. A peine m’étais-je rapprochée, à pas de loup, que j’entendis des bruits confus de voix, puis un rire étouffé de Julia, plutôt un gémissement, un long râle de plaisir. Ma curiosité piquée au vif je mis avec précaution un œil dans le trou de la serrure. Je vis d’abord Julia sur le grand lit, toute nue, me faisant face et se caressant d’une main les seins et de l’autre le sexe. A genoux, son beau corps vénusté montait et redescendait lentement, lui arrachant à chaque fois des râles de plaisir, alors que Paul, tout nu lui aussi et allongé de tout son long sur le dos, la tenait par les hanches. Ils étaient en train de baiser chaudement, comme deux infatigables amants. A un moment Paul lui enserra la taille des deux mains et la bascula en avant en se mettant à son tour à genoux. Sa racine dans une main, une grosse et longue verge avec un beau gland rose, aussi brillante que du satin, il se releva un peu avant de se mettre à la chevaucher comme un fougueux étalon. Enfant j’avais déjà vu mon père tout nu, mais c’était la première fois que je le voyais en tant que mâle, dans toute sa splendeur, sa beauté. J’enviais diablement Julia pour tout le plaisir qu’elle tirait de cette belle ‘étreinte’. Je ne savais pas pourquoi, mais le fait de savoir qu’elle et mon père baisaient ensemble, me fit plaisir. Sur une table basse, des victuailles en abondance, des verres et une bouteille de vin à peine entamée, me firent croire qu’ils en avaient encore pour longtemps, toute la nuit peut-être. Les chairs moites et les tétons tendus à me faire mal, je prenais un réel plaisir à voir Julia se faire baiser de la sorte. C’était très excitant. La dentelle de ma culotte qui avait été mise à rude épreuve, comme la peau du haut de mes cuisses et surtout celle du creux de mes fesses, étaient encore toutes visqueuses, gluantes, et me collaient aux doigts. Mes petites chairs étaient encore toutes molles, de cette douce mollesse des chairs languides, assoiffées de caresses, avides de sexes. Subitement j’avais une folle envie de me faire baiser, de me faire ‘sauter’ de nouveau par quelques inconnus ; des marins ivres ou des libertins paillards à la recherche d’une fille pour la nuit. Sur le chemin du retour, faute de bonnes rencontres, j’avais marqué le pas devant la porte, le repaire des satyres. Comme s’ils guettaient mon retour, certains que j’allais revenir, les petits démons s’étaient mis tout doucement à gémir dès que j’avais mis la main sur la poignée de la porte en la poussant lentement...’’     Puis j’ouvris les yeux, resta quelques instants dans les vapes, à demi consciente, en sueur, avant de reconnaître la chambre et ma sœur Sonia allongée tout contre moi. Nous étions toutes les deux nues comme des vers. Déçue de constater que toutes mes aventures n’étaient que de beaux rêves, j’étais malgré tout contente en découvrant que je mouillais comme une fontaine. Même en rêve j’avais joui pour de vrai, goûté avec délice à de voluptueux plaisirs. Les yeux grands ouverts maintenant et un sourire polisson au coin des lèvres, j’avais serrée très fort Sonia contre moi avant de me mettre à lui caresser tout doucement les cheveux. « Qu’est-ce que tu as ?..., me fit-elle d’une voix ensommeillée, à peine audible.» « Rien ma chérie, dormons !...»

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Par Darine
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