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Mes servantes

Chapitre 5

Trash
Le matin se lève à nouveau. Il est 9h30 lorsque mon réveil sonne. Je me réveille, me lève et vais dans la salle de bain. Je me douche avec de l’eau froide, histoire de me réveiller un bon coup. Cela fait 6 jours que je n’ai rien fait de mes servantes. D’un côté, cette pause qui a suivi des parties de jambes en l’air effrénées m’a permis de me reposer, mais d’un autre côté, je me sens frustré sexuellement. Entre-temps, Sophie, Marine et Aurora étaient revenues de chez leurs familles respectives.

Nous sommes donc le 31 décembre, et malgré mon envie de rester chez moi passer le Nouvel An parmi mes servantes, j’aimerais tout de même aller au siège social de l’entreprise dont j’aurais la direction un jour. Je me change et vais dans le salon où les filles jouent à un jeu de société. Elles s’arrêtent lorsqu’elles me voient, mais je leur fais signe de m’ignorer.

Je pense alors à cette Saint Sylvestre, où énormément d’employés ainsi que leurs familles se retrouveront dans une immense salle de fête. Après tout, l’entreprise fêtait ses 25 ans et tout le monde était convié. Je décide alors de partir aider mes parents organiser ce réveillon du Nouvel An. J’appelle le chauffeur et me prépare. A 11 heures, le chauffeur arrive et je monte. J’ai laissé un petit message aux filles, dont le contenu était le suivant :

« - Quand vous lirez ce message, je serais en route vers le siège social de W&E (l’entreprise de mon père). Vous avez le choix, rester dans la demeure ou me rejoindre. CEPENDANT, une seule pourra le faire, c’est-à-dire si je vois plusieurs d’entre vous là-bas, vous serez toutes punies. A vous de décider ! »
Mon but est de passer la soirée seul ou avec une des filles, et de passer une bonne soirée avec beaucoup de gens avec qui je l’espère, partager des anecdotes. J’arrive enfin, il est alors midi. J’appelle mon père au téléphone :
« - Oui bonjour Papa, j’suis à l’entreprise pour vous aider, ça vous dérange pas j’espère ?— Non fiston, va à la salle de fête, tu trouveras quelque chose à faire. — Tu fais quoi toi ?— J’suis avec ta mère avec les cuisiniers, on est en train de décider du menu et des aliments à commander.— OK, bah à plus. »
Je raccroche, puis me dirige dans l’endroit convenu. Déjà une dizaine de personnes s’affairait autour des décorations. Je les rejoins puis suis troublé de leurs réactions. Ils étaient tous ahuris. Je compris que 5 secondes plus tard. Voir le fils du grand patron les aider pour décorer une salle semblait invraisemblable. Je décide alors d’une stratégie.
« - Bonjour Messieurs-Dames, comme vous l’avez remarqué, je suis bien Julien Brétonge. Je suis là pour vérifier si tout allait bien. »
Un homme d’une quarantaine d’années, qui semblait être le directeur des opérations, s’approche de moi.

« - Bonjour Monsieur Julien, c’est un honneur de vous... vous rencontrer. Nous serons dans les temps ! Comme vous le voyez, nous installons les décorations, mais il semblerait que ma fille s’est perdue. Mais elle m’a appelée et sera bientôt là.— Bien, que personne ne s’égare, cela serait embêtant, je vous laisse. »
Je pars en direction des bâtiments administratifs, vides. Je sais que mon père est dans les cuisines, du coup, je me permets d’aller dans son bureau. J’appelle l’ascenseur, puis arrive au 50e étage de la tour, dans le bureau de ma mère. Etrangement, la porte qui menait vers le bureau de mon père était entre-ouverte. Méfiant, je prends une paire de ciseaux de la table de la secrétaire et entre dans le grand bureau.
« Personne, hmm c’est louche tout ça »
Je crie alors :
« - Y a-t-il quelqu’un ?! Personne n’est censé être ici ! Montrez-vous ! »
Aucune réponse. Je pénètre alors encore plus dans le bureau, puis soudain, j’entends un cri venant de derrière moi. Une silhouette porte ce qui semble être un petit meuble et veut l’abattre sur moi. Mon sang bout, je me retourne et j’esquive le coup. Le meuble se fracasse contre le sol, puis je prends le bras de la personne, la prends en clé de bras et pointe mes ciseaux contre son cou.

« - Qui es-tu ?! »
La personne semble très déstabilisée, sûrement dû à mes réflexes. Ces réflexes, je les ai développés en affrontant maintes et maintes fois Natacha au karaté.

« - Je le répète encore une fois, qui es-tu ?! »
Je remarque alors que la personne est une femme, vu la paire de fesses qui colle mon bas-ventre.

« - Je ne suis que la fille d’un employé trop sous-payé. Et je suis là pour rendre justice ! Maintenant lâchez-moi !— Je ne pense pas que vous soyez en mesure de demander quoi que ce soit. Quel est votre nom, et que venez-vous faire ici ?— Je le répète, mon père est sous-payé et je comptais changer sa fiche de paie. Et mon nom, c’est Thulas.— Thulas ?! Une vendeuse dans un sex-shop ?— Comment vous savez ?— C’est moi ! Julien !— Julien, le mec avec cinq filles pour lui ?— Oui ! C’est ça ! »
Je lâche Thulas, tout en restant méfiant. Elle me regarde, puis dit :
« - T’es vraiment Julien ? Parce que sinon, t’as changé.— On ... on peut dire ça ... »
Je me reconcentre, puis dis d’une voix claire :
« - C’est toi, qui s’est "perdue" ?— Euh oui ... enfin pas vraiment.— Bon je t’explique la situation. Un, tu as pénétré une zone interdite d’accès sans autorisation. Deux, ton but était de modifier un salaire illégalement. Trois, tu as tenté d’assommer voire tuer quelqu’un. Quatre, cette personne, c’est moi. Donc tu es assez intelligente pour savoir que si ça se fait savoir, tu seras jugée et ton père perdra son emploi, non ?— NON ! TOUT mais pas ça ! — Bon bon, tu sembles assez intelligente. Couche-toi sur la table, dos vers le plafond.— Pourquoi ?— Fais ce que je te dis !— D’accord d’accord, pas besoin d’être violent ! »
Thulas se retourne, puis se couche sur le bureau sur le ventre. Je n’avais pas remarqué la première fois, mon son cul était énorme. Je m’approche d’elle, puis mets une main sur ses fesses.
« - Héééé ! Tu fais quoi là ?— Au juste, j’avais bien entendu ‘tout’, n’est-ce pas ? »
Elle comprit immédiatement, puis répondit :
— C’est bien ce que j’ai dit, mais ...— Donc oui ? Comme ça, je n’ai pas de problèmes au niveau de la loi, et toi non plus si tu fais ce que je te dis.— D’accord, mais ne tire pas mes cheveux, j’y tiens et ils sont fragiles.— Marché conclu. »
Je claque ses fesses une fois, puis deux. A chaque fois, Thulas lâche un petit cri, dont je ne peux me lasser. Je continue, puis lui susurre :

« - Tu as une bien belle paire de fesses, que dirais-tu de commencer par une séance de massage façon Julien ?— Vas-y, fais-toi plaisir. »
Je la prends par les épaules, puis l’entraîne sur un large fauteuil. Je m’y assois et fais signe à Thulas de venir. Je l’allonge sur mes jambes, fesses vers mon visage. Je défais sa ceinture, puis descends son jean. Les plus belles fesses du monde se présentent à moi, et je n’y renonce pas. Je claque un grand coup, ce qui arracha un cri de Thulas. La fesse rougit, puis je recommence. Après quelques minutes, je m’arrête. Je pousse violemment Thulas au sol, puis sors mon pénis.
« - Suce-le ! »
Thulas se relève lentement et sourit. Telle une animale s’approchant de sa proie, elle rampe lentement et pose sa main sur mes jambes. Elle approche son visage de mon engin, puis commence une torride fellation. Les bruits de succion accompagnés de salive m’excitent un maximum. Je ne tarde pas à jouir, et crache mon sperme sur son visage.
« - Wouah ! C’est la première fois qu’on me recouvre autant le visage de foutre.— Attends, tu n’as encore rien vu. »
Etant prévoyant, j’ai une paire de menottes dans ma poche. Je les lui enfile au niveau des mains, que je place dans son dos. Puis, je la pousse contre le bureau de mon père, et commence un rapide doigtage vaginal. La cyprine coulait déjà, de façon abondante. Je lèche alors ma main mouillée, puis enfonce mon pénis en elle.
« - AHHH ! C’est bon ! Défonce-moi comme ta pute ! »
Mes va-et-vient deviennent brutaux. Mon ventre claque avec ses fesses. Thulas gémit de plus en plus. La pénétrer revient à enfoncer un couteau dans du beurre mou. La mouille sort de son vagin sans cesse et m’éclabousse. Elle crie de plus en plus fort, tandis que je grogne de plaisir. Thulas jouit en premier, puis s’affale sur le bureau.
« - Ah ... j’en peux plus, tu m’as défoncé comme pas possible. Je pensais pas jouir avant toi. Mais j’suis crevée là. On peut faire une pause ?— Tu rigoles ? Je n’ai pas encore joui. »
Je la traîne contre la moquette, puis je présente mon gland devant son anus.
« - Attends Julien ! On n’est pas obligé de continuer ! Laisse-moi au moins reprendre mon souffle !— Très bien, tu as dix secondes et appelle-moi Maître ! »
Je la laisse souffler quelques secondes, puis je me baisse pour lécher sa rondelle. Avec sa mouille et ma salive, je lubrifie l’entrée et enfin, je place mon sexe. La pénétration se fait doucement, centimètre par centimètre. Thulas gémit de plaisir avant de dire :
« - Tu viens de me prendre ma première sodomie, p’tit coquin...! »
Je continue mon avancé dans son anus en lui souriant, puis mes testicules atteignent ses fesses. Je me retire vite, puis recommence avec brutalité. Thulas crie de plaisir tandis que je recommence. Deux minutes passent et je suis toujours au fond de son anus. Elle a les yeux vides, la bouche ouverte et de la salive en sort. Je comprends qu’elle a dépassé ses limites. Je n’ai toujours pas joui, aussi, je me retire d’elle puis la prends par le cou. Ma nouvelle partenaire réagit et essaye de se dégager, en vain à cause de la fatigue. Je la jette sur le canapé, puis j’enfonce mon pénis dans sa gorge. Elle étouffe et essaye de crier. Je l’en empêche et continue. Finalement, je jouis dans sa bouche. Jamais autant de sperme n’était sorti de mon pénis, si bien que Thulas est incapable de tout boire d’un coup. Je vois alors ma semence déborder. La bouche de ma partenaire explose de sperme quand je m’en retire. Elle est complètement épuisée, et s’évanouit. Une idée germe alors dans mon esprit.
« Autant profiter d’elle encore un peu, et puis, ce n’est pas comme si elle ne voulait pas... »
Je prends de nouvelles menottes, l’emmène dans les étages inférieurs. Au niveau -3 se trouvaient de petites salles servant aux plombiers, notamment remplies de tuyaux. Je l’y emmène doucement, puis l’attache contre des tuyaux de façon, à ce qu’elle soit suspendue, mais tout de même à ma portée, pour la baiser comme il faut. J’en profite pour masser ses fesses et ses seins. Je lèche tout son corps, de ma langue lascive. J’installe une chaise sous elle, pour l’embrasser.« Une inconsciente ne fera pas l’affaire ... Il faudrait qu’elle se réveille bientôt. »Je reçois alors un message sur mon téléphone.
« - Maître, nous avons décidé que ce serait moi, Marine, qui viendrait. Où êtes-vous ? »
Je lui envoie mes coordonnées et l’attends. Au bout de 10 minutes, Marine ouvrit la porte.
« - Maître, qui est-ce ?— Juste un jouet. Je sors un instant, surveille-la et préviens-moi quand elle sera réveillée. — Je suis réveillée, Julien. »
Surpris, je me retourne.

« - Eh bien, tu auras pris ton temps. Tu comprendras que ce n’est pas fini, mais attends un peu, j’ai une autre affaire à régler. »
Elle me sourit faiblement. Je prends Marine par la taille, puis lui dis :
« - Aujourd’hui, tu perds ta virginité. »
Marine rougit, puis prit peur aussi. Sans lui laisser le temps de réagir, je déchire sa robe, puis la pousse contre le sol dur et froid. Je descends sa culotte, et présente mon pénis devant son vagin.
« - T’es obligé de faire ça ici, Julien ?— Bien sûr, parce que vu que je te connais un peu maintenant, je sais que tu vas mouiller d’excitation comme une folle en me voyant baiser quelqu’un d’autre sous tes yeux. Si c’est le cas, tu vas me supplier de te prendre. Or c’est ce que j’aimerais entendre de ta bouche. Et je croyais que tu devais m’appeler Maître ...— Rhoo c’est bon. Maaaaaître ? Pourriez-vous me prendre s’il vous plaît ?— On verra ça quand tu seras plus convaincante dans tes propos... Prête Marine ?— Oui ... Oui Maître. Prenez ma virginité, elle est à vous. »
J’enfonce lentement mon pénis en elle. Marine se cambre, puis se tord de douleur lorsque je déchire son hymen. Elle crie tandis que je commence mes va-et-vient. Le sang sort et recouvre mon sexe. Je sens Marine se détendre au fil de la baise, signe qu’elle y prend du plaisir.

« - On avait peur au début, mais on aime ça maintenant, n’est-ce pas ?— Oui, le pénis de Maître me fait du bien ! Continuez, je vous en prie.— J’exauce ton vœu ! »
Je prends ses deux bras et commence une levrette endiablée. Marine gémit de plus en plus fort, jusqu’à la jouissance. Elle jouit dans un cri d’extase puis je jouis à mon tour dans son vagin. Elle tombe alors de fatigue, comblée. Je me tourne vers Thulas. Effectivement, elle mouille comme une fontaine, si bien qu’une flaque s’est formée en dessous d’elle.
« - Alors ? On veut se faire prendre ?— Oui Maaaaîtrrre Julien !— Comme tu voudras, par contre, rien ne dit que je te relâcherai. »
Son visage pâlit, puis rougit. Je la vois hésiter.

« - Bah et alors ? Ça te dérange tant que ça ?— Bon vas-y ... J’suis prête ! »
Je regarde ma montre et m’aperçois de l’heure tardive.

«- C’est dommage Thulas, je préfère me retenir car tu vois, il est déjà 18 heures et les invités arrivent. »
Thulas semble déçue, contrairement à moi. J’en avais fait mon esclave désormais.
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