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Mes servantes

Chapitre 8

Trash
Je mets mon téléphone en veille, puis je m’apprête à manger mon petit-déjeuner, préparé par Marine. Cette dernière sort de la cuisine, avec une assiette blanche dans les mains. Mais surtout, ce qui attire mon regard, c’est l’accoutrement de Marine. Elle est simplement vêtue d’un tablier blanc, et c’est tout. Elle m’apporte mon repas, toute souriante. Je suis émerveillé de la beauté se dégageant d’elle.
“ - Tu es magnifique, Marine.— Merci Maître !— Je suis ravie de ta tenue, mais ne devrais-tu pas te concentrer sur la mission que je vous ai confiée ?— Ne vous inquiétez pas, j’ai tout prévu. Mais je pense avant tout au bien-être de mon Maître.— Tu as bien raison. Assis toi sur moi, je vais manger avec toi.”
Son fessier s’installe alors sur mes cuisses, son visage face au mien. Je prends une fourchette, pique dans une saucisse que je mets dans la bouche de Marine. Ensuite, nous commençons à manger chacun de notre côté la saucisse jusqu’à toucher nos lèvres. Nous nous écartons l’un de l’autre, puis je dis :
“ - Ton Maître désire manger un petit-déjeuner agrémenté d’une sauce Marine... — Venez donc la chercher...”
Marine s’assoit sur la table et écarte ses jambes. Je prends une saucisse et l’enfonce dans le vagin de ma belle rousse. La sécrétion vaginale enrobe le bout de viande que je déguste goulûment. Je mastique légèrement, puis je m’approche de ma servante. Je l’embrasse et partage mon repas et ma salive avec cette dernière. Ensuite, je lui fais signe de s’allonger. Je défais son tablier et la dévoile à nue. Je prends un pot bientôt vide de pâte chocolat à tartiner, que je verse sur le corps de ma nouvelle assiette. Une fois le contenu versé, équivalent à quatre cuillerées à soupe, je prends une cuillère avec laquelle j’étale la pâte à tartiner. Marine frissonne et commence même à mouiller. Je badigeonne de la poitrine au bas-ventre de chocolat noisette, puis commence la dégustation. Je commence par les seins, que je lèche lentement. J’en profite pour mordiller les tétons, ce qui provoque les gémissements de Marine. Une fois nettoyé, je m’attaque au ventre puis enfin, au niveau de son vagin. Je racle le peu de chocolat qui reste dans le pot pour en étaler sur les lèvres vaginales. Finalement, je termine par tout avaler. Après quelques minutes à jouer à ce petit jeu, mon repas d’ores et déjà terminé, je sors de la salle à manger, laissant seule Marine.
“ - Ce fut très plaisant Marine, à l’avenir, prépare d’autres plats, histoire qu’on varie les plaisirs.— Bien Maître.”
Il est 11 heures moins 20, heure parfaite pour aller voir Natacha au dojo. Lorsque j’arrive au bâtiment, je n’entends par les traditionnels kiaïs (cris accompagnant les coups dans les arts martiaux) mais plutôt une discussion.
“ - Comment peux-tu me dire cela !— Pourtant c’est bien vrai ! Tu es la préférée de notre Maître, ça bondit au moindre regard !— Peut-être bien ! Mais ce n’est pas une raison pour essayer de me faire culpabiliser ou je ne sais quoi, miss Alexa ! Et puis moi, je ne gâche pas la semence de mon Maître...!— Je n’avais pas fait EXPRÈS ! Maître est bien injuste pour au mieux quelques millilitres.— Maître, injuste ?! Surveille tes propos ! Tu ne mérites pas ton rang de servante...
— Comment cela ?! Je l’ai servi tout comme tout depuis le début ! Je le connais aussi bien que toi, qui plus est que je sais qu’il aime mon intérieur.— L’a-t-il dit explicitement ?— N... non mais ...— Haha, je le savais !”
Je décide de rentrer dans la pièce.
“ - NATACHA, ALEXA !— Maître ! Maître !— Cessez vos enfantillages ! Vous êtes toutes deux dignes de me servir, et vous n’avez pas à contester ou interférer dans mes choix.— Oui Maître. Mais c’est Natacha qui ...— Silence Alexa ! J’aurais à te parler plus que cela ce soir. Tu viendras chez moi à l’heure du coucher. — Très bien, Maître. — Maintenant, pars d’ici !”
Penaude, Alexa quitte le dojo, nous laissant, Natacha et moi. Elle soupire d’exaspération puis se tourne vers moi.
“ - Mon Maître, merci d’être intervenu. Que faites-vous ici ?— Il me semble être chez moi. Mais pour répondre franchement, venir te voir.— Pardonnez mon insolence.— Je te pardonne. D’ailleurs, tu as très bien parlé. Il est vrai qu’on ne conteste pas mes choix et mes désirs. Que dirais-tu de tester une nouvelle expérience ?— Comment cela ?”
Je lui réponds en la prenant par la nuque, puis en la poussant contre le parquet. Je soulève le kimono, descends sa culotte blanche en coton, puis insère un doigt dans l’anus de ma blonde. Elle crie de surprise mais est excitée par ma spontanéité. L’entrée tout comme l’intérieur est chaude. Je retire mon doigt, avant de l’enfoncer dans son vagin, afin de lubrifier sa rondelle. Une fois fait, je me place devant son anus. Mon pénis se lève aussi je la présente immédiatement devant le trou.
“ - Est-ce propre ?— Oui, mon Maître. Je me lave tous les jours afin de vous satisfaire. — Parfait.”
L’enfoncement de mon pénis se fait d’un coup sec, ce qui arrache un cri de douleur à Natacha. Je l’ignore et commence mes va-et-vient brutaux. Ma servante ne supporte pas plus la douleur et ses cris s’accompagnent aussi de pleurs.
“ - Cela fait si mal... mais se faire prendre ainsi... ah... Maître, remplissez-moi de votre semence... ah !”
Ses paroles m’excitent, mais je souhaite lui faire tester une sodomie violente. D’une main, je prends ses cheveux et les tire. De l’autre, je claque ses fesses brutalement.
“ - Si douloureux ... et si bon ! Ah... ah ... Maître, prenez-moi comme ... une chienne ! Cela me fait tellement mal ... que je n’arrive plus ... à réfléchir normalement ...— Je vais jouir en toi, prépare-toi !— Oui ! Oui ! Oui ! Videz-vous en moi ! — Voilà ta récompense !”
Le sperme jaillit de ma verge enfoncée dans son intestin. Je la sens se convulser avant de s’affaler au sol.
“ - Votre sperme ... en moi ...”
Je me retire et constate une Natacha complètement excitée et épuisée. Elle pleure mais sourit, ses fesses et sa rondelle sont rouges de douleur mais son visage est rose d’excitation.
“ - Cela a été très plaisant, vous autres vous améliorez de jour en jour. Je vais tenir compte de ceci. Et au fait, Natacha, Alexa n’a peut-être pas tort. Tu pourrais être ma préférée ...”
Elle me sourit malgré la fatigue. Il est alors midi trente. Je décide de déjeuner à l’extérieur, mais pas seul...
Il est 14 heures moins cinq. Je suis devant la boutique où Thulas travaille. Je suis habillé d’une chemise, d’un blazer noir ainsi que d’un jean. J’attends, téléphone en main. Aucune des filles n’est au courant d’où je suis ni de ce que je fais.
“ - Julieeeeen ! — Bonjour Thulas. Comment vas-tu ? — Très bien et toi ?— Je vais bien, on va manger ?— Ouiii !”
Je monte dans la voiture, accompagné de Thulas. Elle est habillée d’un tee-shirt blanc, d’une veste en jean et d’une jupe noire. Quelques minutes s’écoulent avant qu’on arrive au restaurant. Nous sortons du véhicule pour entrer dans l’établissement. Un serveur nous y accueille et dit :
“ - Bienvenue, Monsieur-Dame.— Bonjour, j’ai réservé une table au nom de Brétonge.— En effet, veuillez me suivre.”
Il nous emmène dans une salle décorée d’un style moderne. Un carrelage noir recouvre la salle peinte en gris et blanc. Les tables sont recouvertes de nappes à motif géométrique en couleur froide. Thulas s’installe et consulte le menu. Je fais de même et lis les noms des plats. J’opte en entrée pour un tartare de bœuf alors que ma nouvelle compagne choisit un velouté de légumes. Elle me demande d’un coup :
“ - T’es sûr que je peux manger avec toi ? Je t’ai seulement demandé de ... tu sais ...— Ne t’inquiète pas, après tout, je n’ai pas encore mangé. Au fait, comment as-tu eu mon contact ? — C’est Marine qui me l’a donné la dernière fois, elle ne te l’a pas dit ? — Non, mais c’est bien que tu me l’aies dit.— Tu mijotes encore quelque chose, c’est ça ? — En effet, cela te dérange-t-il ?— Un peu oui, mais bon, je ne suis pas ta mère. — Changeons de sujet. Tu es vendeuse à temps partiel ou tu as fini tes études ?— Pas encore, je suis à l’université. — Celui de Montbourg ?— Oui pourquoi ? — Juste pour savoir. — Et toi Julien, tu fais quoi actuellement ?— J’ai fini mes études, même si elles ne sont pas officielles. Je prendrais les rênes de l’entreprise de mon père une fois qu’il prendra sa retraite. — Ah oui ? D’ailleurs, tu sais ... pour mon père...— Oui je sais, mais je ne peux rien pour toi, du moins pas pour l’instant.”
Thulas baissa la tête, penaude. Le serveur nous apporte nos entrées, que nous mangeons. Puis s’enchaînent les plats et les desserts. Finalement, nous terminons le repas à 15 heures. Je paye et nous sortons du restaurant.
“ - Ah ! J’ai bien mangé, et toi Thulas ?— Oui c’était bon. Je n’ai pas l’habitude de manger de si bons mets. — Maintenant, tu vas devoir payer ta note. Nous allons dans un coin tranquille. Mais par contre, tu dois jouer le jeu. Je vais devoir te bander les yeux.— Tu me fais un peu peur, mais d’accord.”
Je lui bande alors les yeux avec un tissu. Nous nous installons dans ma voiture. Durant tout le trajet, elle reste silencieuse. Je lui dis soudain :
“ - En réalité, tu vas devoir plus jouer le jeu que ça. Je te demande de boire un somnifère, pour que je puisse tout mettre en place, tu peux dire non, mais je t’assure que cela sera moins bien.— D’accord, je te fais confiance hein, tu ne me laisses pas toute seule nulle part ?— Bien sûr que non, moi aussi j’aimerais baiser.”
Elle avale le somnifère, puis s’endort au bout d’une dizaine de minutes.
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