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Mes servantes

Chapitre 9

Trash
Finalement, nous arrivons chez moi, mais je la dirige après dans la cave. Il y a une pièce que j’ai récemment aménagée, peu de temps avant le Nouvel An. Je l’y amène en la portant.
La pièce semble être une pièce de torture médiévale. Elle est sombre, mais assez éclairée pour voir clairement ce qu’il faut voir. Au centre, il y a un large lit, recouvert d’un édredon noir. Tout autour, des meubles de rangement et aussi des vitrines, où se trouvent derrière divers accessoires et jouets. Les murs sont peints en brun foncé et le sol est tapissé d’une moquette rouge. Il y a, sur le côté du lit, une structure faite avec des barres en métal. Elle ressemble à une cage avec une sorte de balançoire au milieu au-dessus d’une espèce de bassine. Je pose Thulas sur le lit, avant de la déshabiller entièrement.
Je prends une fiole contenant de l’aphrodisiaque ayant pour but de rendre plus sensibles les parties du corps touchées. J’en badigeonne le corps de Thulas au niveau de sa poitrine, de ses fesses, de ses jambes et de ses pieds sans oublier toute la partie dans l’entrejambe. Je place ensuite ma victime sur la balançoire, ventre vers le sol. J’attache ensuite ses mains à une barre en métal horizontale au-dessus de sa tête. Je replie ses jambes pour les attacher avant de joindre les cordes à deux barres verticales. J’attache ensuite des cordes au niveau de son ventre et autour de ses seins.
« La voilà parfaitement installée. Plus qu’à la réveiller et en profiter... »
Entre temps, mon membre s’est gonflé tandis que j’en tremble d’excitation. Je commence par pincer ses mamelons, qui pointent alors instinctivement. Je presse fort, si bien que Thulas ne tarde pas à se réveiller. Elle ouvre les yeux et crie immédiatement.
“ - Ah...! Julien...! Ça fait ... mal ! — C’est normal si la douleur est grande. J’ai accentué tes sensations à l’aide de ça.”
Je lui montre la bouteille devant ses yeux.
“ - Mais ... c’est ce que ... t’as acheté ... la dernière ... fois ... aïe...!”
Je tourne les tétons et les tire de façon violente. Thulas continue de crier mais commence aussi à sourire.
“ - Fais-moi mal !! AHHH !! Continue !! J’suis ta salope !!”
Ses paroles m’excitent encore plus. Je saisis alors d’un coup ses seins que je presse. La réaction est immédiate. Ma prisonnière hurle comme pas possible. La salive coule de sa bouche sans retenue et tombe sur la moquette, allant même à former un début de flaque. Soudain, sans prévenir, Thulas jouit et sa cyprine jaillit et éclabousse ma chemise.
“ - Je ... n’aurais jamais ... pensé que ... je puisse jouir ... juste de mes seins ...”
Je retire mes habits et sors enfin mon pénis qui n’a jamais été aussi gonflé. Je claque un grand coup une fesse de ma partenaire, qui hurle de nouveau. Je recommence encore et encore, jusqu’à ce que Thulas ait tellement crié que sa voix déraille.
“ - S’il te plaît ... Enfonce ta bite dans ma chatte. Elle brûle ... Défonce-moi ... je t’en prie ...— Cela est si bien demandé. Je ne vais donc pas me retenir.”
J’enfonce d’abord le gland dans son vagin. Elle réagit immédiatement et est prise d’un coup de chaud intense. Un frisson parcourt son corps et elle commence à pleurer de joie.
“ - Enfin ! Vas-y, prends-moi et défonce-moi !”
Je continue mon avancée et enfonce entièrement mon sexe. Mon gland touche alors le col de l’utérus de Thulas qui crie instantanément de plaisir. Elle crie fort, tellement que sa voix déraille totalement. Je me sens mal pour elle mais en même temps, la sensation de son vagin comprimant mon pénis me fait un bien fou. La sève monte mais j’essaye de me contenir. Mon gland continue de frapper le fond de son sexe et Thulas jouit encore une fois. Sa voix cassée me brise les oreilles. Ma salope pleure de joie et souffle de fatigue. Sa salive coule à flots de sa bouche tout comme sa cyprine. Je craque et jouis à mon tour. Ma semence remplit le fond de ma partenaire.
“ - Hmmmm ... — Ah ... ah ... Julien ... Ton sperme ... en moi ...”
Sa voix éraillée ainsi que sa position me font penser à de nouvelles idées. Je me retire de son antre chaud et humide tout en massant la belle paire de fesses devant moi. Thulas me sourit avant de dire :
“ - Ta bite est si bonne ... tu me laisserais vivre chez toi ... au moins quelque temps ?— Que dis-tu ? Te soumets-tu donc entière à mon autorité ?— Oui Juli...— Maître, tu ne m’appelles que par Maître.— Bien, Maître ...”
Je lui souris, puis je la détache.
“ - Je ne savais pas ... que tu avais ce genre de penchant masochiste Thulas.— J’en suis la première surprise.”
Elle se rhabille avant de s’asseoir près de moi sur le lit.
“ - Parle-moi de toi plus en détail, Thulas. Combien de partenaires as-tu déjà eus ?— En te comptant, cela doit faire trois.— Bien mais je tiens à te reprocher ta familiarité avec moi. Fais attention ou je risque de changer d’avis.”
Thulas baisse les yeux, signe de soumission envers moi.
“ - Pardonnez-moi Maître.— Quand était-ce ta première fois ?— Suis-je obligé de répondre Maître ?— Oui, à moins que ce ne soit trop embarrassant pour toi ?— Ça l’est.— Bon bon, alors avant moi, depuis combien de temps n’avais-tu pas eu de relation pour que tu me sautes dessus peu de temps avant Noël ?...— Thulas ! Réponds-moi !— Un an et demi...— Quel âge as-tu ?— Mais ça ne se fait pas de demander ça à une demoiselle !— Erreur Thulas, tu n’en es plus une d’un. De deux, si tu veux savoir pourquoi, j’ai besoin de tes informations personnelles pour t’engager ici. Donc, réponds-moi et c’est la dernière fois que tu contestes mes ordres et questions.— Dix-huit ans depuis novembre dernier...— Bien, j’en conclus donc que tu l’as fait pour la première fois vers 15-16 ans.”
Thulas me regarde hébétée avant de se rendre compte de son «erreur».
“ - Bon maintenant, rentre chez toi, mon chauffeur t’y conduira. Fais ta valise pour une semaine avec le nécessaire. — Bien Maître.— Ce soir, tu dormiras ici.— Merci Maître Julien !”
Elle s’éloigne et quitte joyeusement la pièce. Je regarde l’horloge et constate 17 heures moins 4 minutes. Une idée germe dans ma tête, qui facilitera beaucoup de choses. Je sors aussi de la cave, avant de me diriger chez moi pour commander en ligne ce que je désire. Je me repose enfin dans mon lit et je m’abandonne aux bras de Morphée.
Une main me secoue.
“ - Maître ! Maître ! Une personne désire entrer chez nous ! Que fais-je ?”
J’ouvre les yeux, et distingue Natacha. Je ne lui réponds pas et me dirige vers l’entrée. J’ouvre la grande porte, et Thulas entre avec une grosse valise noire. Elle me sourit et dit :
“ - Bonsoir Maître.— Bien, je vois que tu es venue, lourdement chargée. Accompagne-moi, que je te montre où tu dormiras.”
Elle me suit dans les escaliers, où elle peine à porter sa charge. Je descends pour prendre sa valise, par pure galanterie. Nous arrivons finalement dans sa nouvelle chambre, identique en termes de meubles que celles de mes servantes ; c’est-à-dire une pièce carrée avec un lit au centre, un bureau à gauche, plusieurs armoires en face, une baie vitrée à droite avec une porte menant à la salle de bain.
“ - Wouah, c’est plutôt spacieux, pour une chambre. — Ouvre ta valise et attends que Sophie vienne l’examiner. Elle te débarrassera de tout ce qui te sera inutile. Puis tu nous rejoindras pour le dîner.— Bien Maître.”
Je sors de la pièce et appelle Sophie. Je lui explique la situation avant de m’en aller dans le salon. Il est alors 18 heures 40. Je reçois un mail de M. Gordon m’expliquant plus en détail ma tâche. Je sens les fumets du repas me parvenir depuis la cuisine. Étant mardi, Alexa s’occupe du repas. Thulas arrive dans la salle à manger et m’appelle. Je me dirige vers elle et lui dis :
“ - Tu es là le temps d’une semaine c’est cela ?— Oui Maître. — Bien, tu seras rémunérée à la fin, en fonction de tes performances et de tes résultats.— Ah parce que je peux être payée pour ça ?— Cela me semble normal, pas pour toi ?— C’est juste, que c’est moi qui t’ai demandé une faveur du coup ...— Tu te sens embarrassée. Enfin, le salaire dépendra de toi, donc fais de ton mieux. Aussi, ce soir, comme je n’ai pas encore prévenu les autres de ta présence, je vais le faire avant le dîner, et tu mangeras ma part. Je sais ce que tu t’apprêtes à dire, mais je m’en contrefiche. Si tu te sens redevable, c’est par ton corps que tu devras me le rendre, pas par des mots.”
Le dîner est servi par Alexa. Toutes mes servantes arrivent et constatent la présence de Thulas. Je me racle la gorge avant de dire :
“ - Bonsoir, vous avez sans doute remarqué la présence de cette jeune fille. Il s’agit de Thulas, ici pour me servir tout comme vous, mais seulement durant une semaine. Accueillez-la comme votre paire.”
Les filles sont partagées entre la joie et la curiosité d’une nouvelle amie, mais aussi entre la jalousie et la haine de cette même nouvelle servante. Je n’en tiens pas compte et quitte la salle sans rien manger. Je m’enferme chez moi avant de m’endormir.
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