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Mes sœurs, des filles comme les autres

Chapitre 1

Justine, irrésistible tout simplement

Inceste
Je vis dans une belle maison, une villa, près de Rennes. Nous sommes cinq, mes parents, mes deux sœurs, et moi. En terme d’âge, je ne suis ni le plus âgé ni le plus jeune, j’ai 20 ans. Ma grande sœur en a 22 et ma petite sœur 18. Ma grande sœur c’est Julie, ma petite sœur c’est Justine. Je n’ai jamais été très proche d’elles, elles sont souvent restées toutes les deux, entre filles, et cela n’a pas changé au fil du temps. Mais je ne le vis pas mal. Je suis en médecine, pas très loin de chez moi, et cela me prend un temps assez fou. J’ai rendez-vous avec des amis aujourd’hui, histoire de décompresser un peu. On s’est donné rendez-vous dans un bar pas loin, histoire de boire un verre. Pierre, Marc, Martin et Valentin doivent me rejoindre. Ce sont des amis que j’ai rencontré au lycée, deux en seconde, un en première et l’autre en terminale. On s’entend vraiment bien. Aucun n’a suivi la branche de médecine comme moi, il sorte bien plus souvent, et je suis obligé de refuser. C’est ce qui m’énerve le plus je pense. Il est 19h, j’arrive devant le bar. Martin est déjà là. — Oh salut Antoine, comment va ?Et oui au fait, moi c’est Antoine.— Salut Martin, nickel et toi ?— Nickel. T’as pas vu les trois autres ?— Non du tout, je viens d’arriver, je me suis garé pas loin.— Ah c’est vrai que t’as la voiture toi, je viens de louper mon permis une deuxième fois. J’ai écrasé une dame.— C’est pas vrai ? Dis-je en rigolant. — Non c’est pas vrai, me répondit-il fier de sa blague. Mais je l’ai vraiment loupé par contre.Martin c’est un bon pote, même si on a eu une période de froid. Mais je vous raconterai pourquoi un peu plus tard.Pierre, Marc et Valentin arrivent, tous les trois, rigolant et souriant. On se dit bonjour, on boit quelques verres. Seulement un pour moi, j’ai un peu à réviser dans la soirée, et puis je conduis pour rentrer. J’ai toujours mes réflexes après un verre donc ça va. Le début de soirée se passe bien et il arrive 20h30, je vais rentrer. Valentin me propose d’aller manger un bout au McDo juste à côté, mais je suis vraiment hésitant. D’un côté je sais qu’il faut réviser, mais de l’autre il faut aussi savoir fermer les cahiers et faire autre chose de temps en temps. Je préviens mes parents, qui de toute façon ne sont pas à la maison ce week-end, et j’accepte la proposition. Mais je ne rentrerai pas tard ! Je le dis à chaque fois, mais cette fois je m’écouterai. Il est 22h quand on termine de manger, mes potes vont retourner je ne sais où, dans un bar ou en boîte, mais je ne les suis pas. Je récupère ma voiture, et prend le départ. J’arrive vers 22h20 chez moi. Il n’y a personne dehors, personne dans le salon. Les filles doivent être dans leur chambre. Je monte, et file vers la salle de bain, pour me laver puis aller me coucher. Je ne réviserai pas ce soir finalement, il est un peu tard, puis j’ai vraiment pas envie. — Rho toujours dans la salle de bain.Je parlais seul, la salle de bain était allumée, il y avait une de mes sœurs à l’intérieur. Ça me tendait, je ne savais pas à quelle heure j’allais encore me coucher. J’approche doucement de la porte, qui est ouverte, et j’aperçois Justine, ma petite sœur, en train de danser sur un air de musique. Elle est entièrement nue, et remue ses fesses, de gauche à droite, et son dos aussi, de droite à gauche. C’est somptueux. Ses fesses sont à croquer, si rondes, si blanches, son dos fin, ses épaules aussi, ses jambes sont longues et sveltes. J’ai honte, mais je ne peux empêcher une érection. Elle a de longs cheveux blonds, qui viennent se déposer sur le haut de son dos. Soudain elle se retourne, et me voit ! Elle claque la porte. A-t-elle vu que je la regardais avec envie ? Ou croyait-elle que je venais d’arriver ? J’espérais la deuxième option. Je file dans ma chambre, plus envie de me laver. Je me change et direction mon lit.
J’ai rêvé cette nuit, rêvé de cette scène. Mais même plus, j’ai rêvé que je couchais avec Justine. Elle était allongée sur mon lit, avec des yeux de chat apeuré, si craquants, me laissant la pénétrer avec légèreté. Ces images ne veulent pas s’en aller, et j’en ai honte. Je me lève, file prendre une douche, douche que je n’ai pas prise la veille. Sous l’eau chaude, je ne peux pas me retenir. Je commence à me masturber, en pensant à elle. Ça ne dure pas longtemps, tellement l’excitation est grande. J’asperge le rideau de douche de sperme, et m’empresse de le nettoyer avec le jet d’eau. Il est 9h, Justine est en bas, et prend son petit-déjeuner. Elle porte un long t-shirt qui lui sert aussi de short. Il tombe juste en dessous de ses petites fesses. Je peux voir ses belles jambes et ses deux seins qui pointent le bout de leur nez, à travers son t-shirt trop grand pour elle. Je n’arrive pas à virer ces pensées de ma tête. Qu’est-ce qu’elle est belle. Elle ne dit rien. Julie est aussi avec nous, dehors, sur un transat, devant la piscine. On est samedi aujourd’hui, je n’ai rien à faire de particulier, si ce n’est mettre la tête dans les bouquins. Je sors pour chercher mes lunettes que j’avais oublié près de la piscine.
— Salut Antoine, bien dormi ? Me lance Julie.— Ouais et toi ?— Oui oui, je travaille à 11h, pense à faire manger pour toi et Justine. C’est à ton tour.— Ouais ouais...Julie c’est ma grande sœur, elle est brune, grande, plus grande que Justine. Elle fait à peu près ma taille. C’est notamment à cause d’elle que je me suis distancé de Martin, avec qui j’ai eu une période de froid. C’était il y a 2 ans, je les ai surpris en train de faire l’amour dans la chambre des parents. Je l’invitais souvent à la maison, et il en avait profité pour se taper ma sœur. À l’époque on avait 18 ans, et ma sœur en avait 20. Elle n’avait pas non plus hésité à donner son cul à Martin, qui la pilonnait sur le lit de mes parents, n’ayant aucun scrupule à le faire avec mon meilleur pote. Mais depuis on s’est réconcilié, il s’est excusé et il ne s’est plus rien passer entre eux. Enfin je crois. Je récupère mes lunettes, et monte à l’étage pour rejoindre ma chambre. Justine est dans le couloir, et m’interpelle. — Au fait, tu me regardais hier ?J’ai un peu commencé à paniquer.— Non non je venais d’arriver. — Ah ça va, je ne pensais pas que tu allais rentrer tôt, donc je n’ai pas fermé la porte, dit elle en souriant.— J’avais compris haha.J’ai hésité à lui dire qu’elle était jolie, mais franchement, je me suis retenu au dernier moment. C’est mal placé. Elle repart vers la cuisine, et je monte dans ma chambre. Arrive 11h30, je descends pour préparer à manger. Julie est partie, et Justine est sur le transat, au soleil, en culotte ou maillot de bain je ne sais pas, et en soutien-gorge. Je suis surexcité. Je mets de l’eau à chauffer en me collant au placard, en dessous des plaques de cuisson, pour camoufler mon érection. Elle finit par rentrer pour se servir un verre d’eau. Elle va prendre une bouteille au réfrigérateur, et se place juste à côté de moi pour se servir. Là c’est l’erreur fatale de ma part, son petit cul est irrésistible, j’envoie une main baladeuse toucher sa fesse droite. La sensation est divine. C’est tout moelleux et tout lisse. En l’espace d’une seconde, elle vire ma main avec force, et me repousse. — Tu fais quoi là ?Je ne savais plus ni quoi dire ni quoi faire. — Tu me dégoûtes, me lance-t-elle énervée.Elle partit en courant dans sa chambre, à l’étage. Je n’avais absolument pas pu me retenir, c’était plus fort que moi. Les pâtes ayant fini de cuire, je les égoute, et rajoute un peu de sauce bolognaise. Je monte pour prévenir Justine. Je suis hésitant, ne vaudrait-il pas mieux la laisser tranquille ? Mais ne rien lui dire pourrait rajouter de l’huile sur le feu. — Qu’est-ce que j’ai fait... Marmonnai-je en montant.La porte de sa chambre est fermée, je toque. — Quoi ?— On mange. — J’ai pas faim.— Laisse moi entrer s’il te plaît. Je l’entends se lever, et se rapprocher de la porte. Elle ouvre.— Tu veux quoi ?— Je suis désolé, je sais absolument pas ce qu’il m’a pris. — C’est trop facile de dire ça.— Oui je sais bien. Je sais pas quoi te dire.— T’es amoureux ?— Non non, c’est juste que... tu m’excites quoi. Tes fesses, tes seins, je n’en peux plus, j’ai envie de toi. Je n’ai pas pu me retenir, l’honnêteté a pris le dessus. Ses yeux s’écarquillent, et elle devient toute rouge. — Non oublie je dis n’importe quoi, viens manger, pense pas ça. Je redescends, honteux de cette honnêteté mal placée. Je m’assois, et commence à manger. Elle finit par me rejoindre. Ses petits pieds si gracieux foulent le parquet froid, ses yeux si doux tombent vers le sol, ses cheveux blonds finissent par les lui cacher. Tête baissée, elle s’assoit en face de moi. On finit de manger, puis elle sort, pour se rasseoir sur ce transat. Je décide de me poser sur le canapé, et d’allumer la télé, pour faire passer le temps. Je n’ai pas la tête à autre chose.Soudain j’entends la porte coulisser, c’est Justine qui revient et qui se pose juste devant moi. Elle me regarde dans les yeux, et enlève sa culotte, me laissant voir son intimité pendant quelques secondes. Elle ne dit rien, puis se lance.— Je croyais que t’avais envie de moi.Elle défait son soutien-gorge et s’agenouille sur moi, pour m’embrasser. Je lui caresse les cheveux, et l’embrasse à mon tour. Je la décale sur le côté, enlève mon t-shirt, puis continue de l’embrasser. Elle touche mon torse avec ses mains froides, ses longs ongles qui me griffent légèrement me font frissonner. Elle carresse mon dos, puis ma nuque, elle a vraiment envie d’être pénétrée. Je me mets nu, l’exposant à mon pénis en érection. — Je... je ne l’ai jamais fait, dit-elle. J’allais dépuceler ma sœur ! Je ne savais pas si c’était correct, mais à cet instant je me fichais de la morale. — Je vais faire doucement ne t’inquiète pas. Touche si tu veux. Elle approche sa main, et commence à me caresser. Ça me fait frissonner. Elle me regarde puis commence à me branler.— T’aimes bien ? me dit-elle.— J’adore, tu t’y prends bien tu sais. Tu peux mettre ta bouche aussi si tu veux.— Tu veux que je te suce ?— Comme tu veux, mais moi je veux bien.Elle fronce les sourcils, sans doute hésitante, mais s’approche de l’engin en érection. Elle fait toucher mon pénis sur ses lèvres, puis commence à l’insérer dans sa bouche. Ma sœur me suçait, et à peine avait-elle commencé que je balançai trois ou quatre jets dans sa gorge. Elle en avala une partie qu’elle ne put éviter, et recracha le reste en toussant. — Excuse moi j’ai pas pu résister, dis-je en ricanant légèrement.Elle sourit, puis reprend mon pénis dans sa bouche. L’excitation revient immédiatement. Elle accélère, sa langue carresse le bout de ma queue. Elle ne va pas jusqu’au bout, elle suce juste mon gland, et cela me suffit amplement. Elle adore faire ça à ce que je vois.— Attend arrête. Elle arrête et retire mon pénis de sa bouche. Je ne vais pas tenir longtemps comme ça, et j’ai envie d’elle. Ça ne se reproduira peut-être jamais donc je ne veux pas louper ça. — Viens on va là-haut. Elle se lève, et marche à côté de moi. Tout en marchant, je carresse son cul, ses deux jolies fesses glissent sous mes mains, et je frotte légèrement entre les deux, d’en bas jusqu’en haut. De son côté, elle carresse mon pénis, le prend dans sa main, et effectue de léger va-et-vient. On marche en titubant, mais peu importe, on adore ça. On monte les escaliers, et arrivé devant la porte, je me place derrière elle, et fais carresser le bout de mon pénis entre ses deux fesses, en m’enfoncant légèrement, juste pour la sensation. Elle gémit, et caresse ma cuisse gauche. — Tu veux m’enculer ? Ça fait mal non ?— Non non, la prochaine fois si tu veux on fait ça. Mais là j’ai envie de le faire par devant.Elle se dirige vers mon lit, et se jette sur le dos. Elle est sans doute un peu gênée, et laisse ses deux jambes l’une contre l’autre. — Je ne peux pas passer comme ça, dis-je en souriant.Je pose mes mains sur ses genoux, et écarte ses jambes pour me frayer un chemin. Je m’agenouille sur le lit, devant ses pieds, puis avance légèrement. Je me pose sur elle, l’embrasse, et commence à la pénétrer. — Va doucement s’il te plaît.— Oui sœurette. C’est tout chaud. Elle commence à gémir, ses allètements s’accélèrent. — Voilà je suis au fond, ça va ?— Oui oui continue.Je commence à donner de légers coup de reins, tout en douceur. Elle allète de plus en plus fort, laissant filer de petits cris. — Antoine je peux pas me retenir de faire du bruit, Antoine on va m’entendre. Antoine...— Laisse toi aller ne t’inquiète pas, il n’y a personne, lui dis-je tout en continuant à la pénétrer. Je tente au maximum de la rassurer.Elle se laissait aller. Elle ne criait pas, mais faisait beaucoup de bruit en gémissant, et j’adorais ça. — Han, han, je vais... Antoine, Antoine c’est bizarre, Antoine arrête, han Antoine..Je relève légèrement ma tête et la regarde dans les yeux sans dire un mot. J’accélére le rythme, tout en continuant à la regarder.— Antoine, ANTOINE, arrête, HAN... Je sais qu’elle est sur le point de jouir, donc j’accélère encore le rythme, pilonnant au mieux son vagin inexpérimenté. Son corps se crispe tout entier, ses ongles se plantent dans mon dos, et j’éjacule dans son intimité. Quel plaisir, c’est indescriptible. Je viens de baiser Justine, et j’ai adoré ça. Je m’empresse de lui demander ce qu’elle en a pensé. — Alors ça t’a plu ?— Je sais pas trop dit-elle, encore émoussée de cette pénétration incestueuse. — Mais si, tu verras les prochaines fois tu vas adorer. — Je sais pas, tu es mon frère Antoine. — Et alors personne ne le saura ?— Oui mais c’est pas bien. — Tu n’as pas aimé ?— Je sais pas, je sais plus. J’ai envie de me reposer.Je n’insiste pas davantage. J’avais eu ce que je voulais, et j’étais heureux.— D’accord, repose toi bien, lui dis-je en lui faisait un bisou sur le front.Je sors de ma chambre, la laissant nue sur mon lit, et redescend dans le salon récupérer mes vêtements.
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