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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Mes vacances chez grand-mère

Chapitre 1

Inceste
Nous sommes maman et moi seuls dans la vie,je n’ai pas de père ou tout au moins un qui n’a pas voulu de moi lorsqu’il a sut que sa petit copine était enceinte de ses oeuvres.Maman ou plutôt Agnès a tout juste quinze ans de plus que moi elle a connu mon géniteur à 14ans,alors que lui avait 20ans selon ses dires et peut ètre plus selon certains.Donc maman et moi logeons dans un modeste appartement au centre du Mans et cela nous suffit à tous les deux.Agnès car c’est comme cela que je l’appelle est aide soignante dans une clinique et moi je suis en seconde,elle n’a jamais chercher à se marier et a toujours fait de son mieux pour m’élever.Les cours étant terminés et les vacances scolaires débutants elle me demanda si je voulais aller chez grand-mère en attendant que les siennes arrivent au mois d’Août ce à quoi je répondis par la négative ne voulant pas la laissser seule durant un mois entier.’Mais tu n’as pas à t’inquiéter mon chéri,je suis grande et peut me débrouiller seule’.’Il n’est pas question de cela,nous sommes toujours restés ensembles et se sera en Août que nous irons tous les deux’.’Bon comme tu voudras mais tu vas t’ennuyer tout le mois seul à la maison pendant la journée’’Mais nonj’ai la télé et ma console et puis je peux aussi aller voir des potes qui ne partent pas en vacances’.’Bien mon chéri’ et elle déposa un baiser sur mon front et s’en alla préparer le souper.Nous étions à table lorsque le téléphone retentit ,c’était grand-mère qui venait s’enquerir de la date de mon arrivé chez elle et maman l’informa de mon refus d’y seul aller avant elle.Après avoir racrocher Agnès me dit que grand-mère était agacée car elle comptait m’avoir près d’elle pour l’aider à quelques travaux de réfection de sa petite fermette.’Tu devrais accepter d’y aller cela lui fera plaisir et un mois et vite passé’,Bon appelle la et dit lui que je serai chez elle après demain’.Je vis le visage d’Agnès se détendre et sourire de satisfaction et elle rapella Grand-mère.Mon arrivée et mon séjour se déroulèrent calmement et grand-mère fit de son mieux pour m’ètre agréable.Les travaux en question était la remise en état de la chambre de jeune fille de maman,ce qui nous prit de bonnes semaines et que nous entrecoupions de promenade en campagne et de soins aux quatre vaches de la ferme.Aujourd’hui Samedi Agnès doit arriver par le bus de 18h.A 17h30 j’étais déjà là à l’attendre,lorsqu’elle descendit nous nous précipitames dans les bras l’un de l’autre nous cuvrant de baisers sur les joues et dans le cou comme si nous avions était séparer depuis une éternité.Et se faisant étant blottit dans ses bras je sentais la poitrine maternelle contre la mienne et de cela j’étais fier d’avoir une mère comme elle.Arrivés chez grand-mère je l’emmenai directement à sa chambre que j’occupais également depuis le début de mon séjour et grand-mère dit.’Agnès tu partageras mon lit il est bien assez grand pour nous deux ’’Mais non maman je reste avec mon bonhomme que je n’ai pas vu depuis un mois et puis tu as tes habitudes je ne veux pas te déranger’,’Bien après souper nous irons voir le père Mathieux au bout du village il a réparé le vélo de ton grand-père comme cela tu pourras te divertir et te promener avec ta mère qui prendra le mien’Au retour de chez le Mathieux comme il faisait chaud Je m’en fus prendre une douche avant d’aller saluer grand-mère et me mettre au lit.’Vas te coucher j’arrive dans un moment me dit Agnès’.J’étais au lit depuis un bon quart d’heure lorsqu’elle arriva,et se prépara sans mème allumer la lumière me croyant endormi et vint me rejoindre dans les draps en essayant de faire le moins de bruit possible.Allongée près de moi je sentis sa main carresser mon front et ma joue et je me raprochais d’elle pour la prendre dans mes bras.’Je pensai que tu dormais me dis elle ’’Non pas encore je t’attendais’et voulant l’embrasser sur la joue mes lèvres rencontrèrent les siennes’Oh pardon je ne l’ai pas fait exprès’’Ce n’est rien mon ange’ et elle me prit dans ses bras tout comme quand j’étais gamin.Agnès et moi sommes de mème grandeur nous avoisinons les 1m70,serré contre elle,je sentais ses formes contre mon corps,ses seins que j’ai toujours vu voilés mis à part étant bébé et que je tétais avaient fière allure et affichaient un bon 95B,étaient bien fermes contre ma poitrine.La chaleur de l’été et celle de nos deux corps collés l’un contre fis que je ressentis une gène au niveau de mon sexe qui se détendit et se mettre en érection contre le ventre d’Agnès.Pétrifié je n’osais bouger de peur de dévoiler mon trouble.Quelques instants s’écoulèrent et toujours ma verge tendue quand je sentis une main se saisir de ma verge et me carresser par dessus mon pyjama et se glisser dans l’ouverture de ma braguette pour me libérer et me masser doucement la colonne de chair fièrement érigée troublé je saisi la main de maman tentant de l’arretter et elle me dit.’Mon trésor laisse toi aller carresse moi ’Rejetant les draps qui nous couvrait elle se débarrassa également de sa chemise de nuit et moi de mon pyjama.Nous étions maintenant nus tous les deux.serrer l’un contre l’autre nous carressant,ses seins étaient durs comme de la pierre.’Oui mon amour tète les,suce les bouts ’Et durant ce temps elle de son côté me malaxer les bourses et me branler la tige dont le gland était à nu maintenant.Ma main descendit sur son ventre pour atteindre le pubis recouvert d’une douce toison assez bien fournie que je carressais sans appuyer elle désserra les cuisses pour me permettre d’atteindre son sexe,je constatais alors que celui ci étais une véritable fontaine tout son entrejambe était trempe de sa mouille.Elle serra ses cuisses quand elle sentit mon majeur titillait son clitoris qui lui aussi était en érection il était de la grosseur d’un petit pois que je faisais rouler sous mon doigt ce qui lui arracha un petit cri de plaisir.Sentant ma verge bien tendue elle me chevaucha et la guida dans sa fournaise en disant’ Je n’en peut plus va s ’y pistonne moi ’Et quand je fus en elle bien à fond je sentais mon gland buter contre sa matrice.’Oh mon dieu qu’elle est grosse ’dit elle en montant et descendant le long de ma verge.Au bout d’une bonne quinzaine d’aller et venue et se désarssona pour se mette sur le dos et me prendre la queue pour me branler.Ne voulant pas me satisfaire de cette façon je montais sur elle et me plaçait entre ses cuisses pour introduire mon membre dans sa fente,elle me tenait toujours la queue mais comprenant mon désir me guida en elle et je me mis à la besogner de plus en plus vite et je sentis tout le jus contenu dans mes bourses s’échapper pour la remplir en puissantes saccades.’Merci mon chéri’me dit-elle et nous nous endormimes
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