Je m’appelle Lucas, je fais 1m80 et je viens tout juste d’avoir 18 ans, ainsi que tous les avantages qui vont avec : le droit de vote, un compte bancaire, la possibilité de passer le permis de conduire et la légitimité d’aller sur des sites pornographiques (Même si entre nous il suffit juste d’appuyer sur le bouton "j’ai plus de 18 ans", mais au moins maintenant, je ne mens plus comme j’ai dû le faire un millier de fois). Eh oui, je suis un "chaud lapin", j’aime la branlette, mais je suis toujours puceau, et je n’ai jamais eu de relations d’ailleurs. L’histoire que je vais vous raconter se passe un mois après avoir obtenu ma majorité. Durant les vacances d’été, nous avons l’habitude de partir à l’étranger pendant une à deux semaines. Quand je dis "nous", je parle de mon père, ma mère, et mes deux petites sœurs qui ont trois ans de moins que moi.Cet été, on part donc en Espagne.Cette histoire est composée de deux anecdotes, la première est plutôt soft et la seconde est hard (j’en garde encore des séquelles). Première anecdote : Les deux premiers jours ne sont pas très intéressants, voire banals, par contre le troisième, on décide d’aller sur une plage au bord de l’océan Atlantique.Dès qu’on arrive, c’est vraiment blindé, c’est noir de monde. Tous les 5, dans la voiture, on se met en maillot, les vitres ne sont pas teintées. Soudain, une magnifique nana passe à un mètre de ma vitre, elle ne porte pas de soutif ce qui a l’effet de faire légèrement durcir ma queue. Je me dépêche d’enfiler mon maillot avant que mon début d’érection ne se fasse remarquer par mes sœurs qui sont à côté de moi sur la banquette arrière. Une fois tout le monde changé, on s’approche de la plage, au début on reste groupé, mais la foule nous fait nous disperser et très vite je ne vois plus aucun membre de ma famille.Il y a presque autant de gens dans l’eau que sur la plage, et je remarque plusieurs filles qui font du bronzage top less sur leurs serviettes de plage. Je ne peux pas m’empêcher de rester immobile une dizaine de secondes et j’oublie que je suis entouré d’une vingtaine de personnes. Je regarde leurs formes dignes de déesses, des seins parfaits, bien luisant au soleil, je salive, j’ai envie de les prendres à pleines mains et de sucer leurs tétons entre mes lèvres... L’eau vient me toucher le bout des orteils ce qui a pour effet de me sortir de cet état de transe. Je réalise que je ne suis pas tout seul et par la même occasion que ma bite et de nous devenue toute dure, décidément ! Je fonce dans l’eau pour cacher cette forte érection aux yeux de tous. Une fois dans l’eau la densité des gens se fait ressentir nos épaules se touchent presque et les vagues nous malmènent tous, sans que nous ayons notre mot à dire. Un vieux avec un gros bide regarde en direction de ma bite et commence à se rapprocher de moi, juste avant qu’il ne me touche l’épaule, j’esquive et j’essaie de marcher le plus vite, mais l’eau ralentit nettement ma vitesse. Heureusement, grâce à cette foule, j’arrive à semer ce vieux pervers. Je reprends un peu mes esprits et profite un peu de la fraîcheur de l’eau et du soleil qui tape légèrement sur ma nuque. Une fille se tient devant moi, face à la mer, à 1m50 environ, elle a de beaux et longs cheveux noirs bien lisses qui viennent s’arrêter au milieu de son dos. Ses cheveux cachent le dos de son soutif, mais un coup de vent me laisse le temps de voir que la ficelle est mal attachée et que le nœud est à la limite de se défaire. Mon regard continue de descendre et il s’arrête sur son cul qui lui est immergé dans l’eau.Elle doit faire un bon mètre soixante-quinze car moi aussi l’eau m’arrive juste au dessus des fesses.Son cul est bien rond et elle porte un string bikini ce qui me permet de bien mater ses fesses, je peux même presque apercevoir son trou du cul. Sa peau d’une blancheur immaculée me donne des frissons. Soudain, elle se retourne et se retrouve dos aux vagues et donc face à moi, je rougis un peu. À voir son sourire elle a l’air de bien s’amuser dans les vagues, ses lèvres sont pulpeuses et ses seins pourrait sans problème faire une branlette espagnole à n’importe quelle bite. Tout d’un coup, une vague plus forte que les autres la propulse dans ma direction, j’ai l’impression que cette scène se passe au ralenti. Son soutien-gorge se détache, tombe à la mer et elle atterrie dans mes bras, je sens ses seins chauds se frotter sur mon torse nu.Je reste sans voix, une chaleur m’envahit, mon cœur bat à toute vitesse et ses tétons durcissent au contact de ma peau. Elle rougit aussi, elle bégaye et prononce un mot espagnol que je ne comprends qu’à moitié à cause du bruit du vent, des gens et de la mer.Elle baisse la tête, je fais de même, et on aperçoit en même temps que mon gland pointe son nez hors du maillot. On rougit tous les deux de plus belle, je rapproche doucement mon visage du siens et l’embrasse avec douceur et légèreté, cela ne dure qu’une demi seconde. Mais cette fois-ci c’est elle qui repart à l’attaque, elle me baise la bouche fougueusement et avec hargne. Nos langues se mélangent et mon gland vient de coller contre son nombril.Elle plonge sa main dans mon maillot et saisit mes couilles, je commence à bouillir et j’ attrape d’une main impulsive son cul.Je la rapproche encore plus de moi afin que nos corps soient totalement liés, on s’enlace pendant 2-3 min puis elle s’écarte un peu pour mieux me branler sous l’eau. En à peine 30 secondes je jouis et ma semence disparaît petit à petit dans l’eau.J’ai à peine le temps de réaliser ce qu’il vient de se passer qu’elle est déjà partie, elle se trouve à 2/3 mètres de moi. Pile au moment où j’entame ma course pour la rattraper, j’entends une voix grave derrière moi : — LUCA !!!Je vois mon père qui fait de grands gestes avec ses bras à une dizaine de mètres de moi.Je me rapproche de lui et il m’annonce qu’on va changer de plage car il y a beaucoup trop de monde sur celle-là.Dommage me dis-je au fond de moi, c’est incroyable ce que les filles sont chaudes en Espagne. Mais je n’étais pas encore au bout de mes surprises, car dans quelques jours un événement bien plus "hard" allait se produire...
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