Mes vacances torrides Mariejacques11 Jacques, mon mari, et moi, Marie, sommes un couple uni, bientôt la trentaine. Michel et Monique sont un couple d’amis du même âge. Jacques et Michel travaillent dans la même boîte.Monique et moi sommes des amies d’enfance. Nous étions encore très jeunes lorsque nous avons ensemble perdu notre virginité. Monique avait déjà les seins très développés, les miens un peu moins. Damien avait juste quatorze ans, grand pour son âge et très beau. Nous l’avions invité chez moi pour écouter de la musique en l’absence de mes parents. Mais nous avions envie de connaître la vérité. À l’école circulait une rumeur que Damien avait un long sexe et notre plan était d’en être certain. Couchés tous les trois sur le lit, nous avons commencé à le taquiner et réussi à l’immobiliser. Monique était couchée sur la poitrine de Damien et moi j’étais à cheval sur ses cuisses. Elle a déposé ses lèvres sur celles de Damien et il n’a pas hésité à l’enlacer. Cette scène m’a excitée et je me suis positionnée sur son sexe. J’ai eu un grand frisson quand j’ai senti son sexe se durcir. Mon bassin s’est agité sur cette chose. Il a guidé ma main vers son sexe. Au travers du tissu et, pour la première fois de ma vie, j’ai touché une queue. Maladroitement j’ai dégrafé son pantalon. Sous son caleçon jaune, se dessine une longue bosse. Très excitée et curieuse de savoir ce qui était caché sous le tissu mais hésitante, j’ai attrapé la main de Monique, ai quitté les lèvres de Damien et, ensemble, nous avons découvert ce qui était le centre des rumeurs. Chacune, nous avions une main sur cette colonne de chair et son gland dépassait encore largement. La rumeur était confirmée, Damien avait bien une longue mais fine queue, elle était à peine plus grosse que mon pouce. A deux, nous avons fait quelques mouvements de va-et-vient et, bien vite, un peu de liquide blanc est sorti de sa queue. J’ai léché ma main et apprécié le goût de son sperme. Monique par contre lui léchait le gland. Je préfère ne pas écrire comment Monique et moi avons perdu notre virginité, ce n’est vraiment pas excitant. Revenons au sujet de mon histoire de vacances inoubliables. Nous avons décidé de partir, ensemble, en vacances dans une maison avec piscine en Provence. Arrivés sur place, mi-juillet, tard dans la soirée et par un temps magnifique, les lieux sont comme décrits dans l’annonce et l’on s’est installés. A l’étage, des cloisons peu épaisses séparent les deux chambres ainsi que la salle de bains. Fatigués du voyage, nous avons rapidement rejoint nos lits. Jean dort déjà bien et moi je suis pensive, couchée à ses côtés avec une pleine lune éclairant notre lit. Seul le drap couvre nos corps nus. Des grincements de lit et des gémissements attirent mon attention. Mes voisins sont en train de baiser. Les ooooh, les aaaaah, les mmmmmh m’excitent et je commence à caresser ma chatte d’une main, et de l’autre mes tétons. Je mouille fort et m’imagine que la queue de Michel laboure la chatte à Monique et pourquoi pas la mienne, cela fait partie de mon fantasme jamais avoué à mon mari. Le fantasme de Jacques est de me voir baiser avec un autre homme mais moi je préfère une aventure secrète. De la chambre d’à côté, j’entends Michel dire à Monique qu’elle doit se mettre à quatre pattes sur le bord du lit. Je m’imagine cette scène avec sa queue aller et venir dans ma chatte. Les gémissements reprennent de plus belle et l’orgasme de Monique est une succession de oui et de ah ! Mon excitation grandit et je pousse le drap jusqu’à mes pieds. J’offre ma nudité au premier témoin : la lune. Mon envie de sexe devient inexplicable. Mon mari dormant sur le dos, je regarde sa queue flasque et, après quelques bonnes caresses, je suis satisfaite des proportions que prend sa queue. Je me redresse et prend son gland en bouche.Je lèche sa queue sur toute sa longueur en déposant beaucoup de salive, Jacques adore ça. Jacques se réveille et m’attire pour que je lui donne ma chatte à lécher. Il me titille mon petit bouton d’une façon magistrale ; de sa langue il me balaye la chatte jusqu’à mon petit trou. Il n’a aucune peine à enfoncer un doigt dans ma rosette et un autre dans la chatte. Faisant entrer et sortir un doigt dans mon canal étroit et l’autre dans mon con, je ne contrôle plus mes gémissements et tant pis si je réveille toute la maison. Pendant que je gobe sa grosse queue tant bien que mal, j’aperçois une ombre à côté de la porte. D’abord un peu surprise puis ne faisant semblant de rien, je quitte la position du 69 et m’avance vers le fond du lit, jusqu’à ce que la queue de mon homme soit près de ma chatte. Jacques guide sa bite dans mon con qui est détrempé. Je reprends mes mouvements de va-et-vient et je suis maintenant sûre que l’ombre n’est autre que Michel, c’est le reflet de sa montre qui le trahit, il est en train de se masturber. J’en suis surexcitée. Je décide de changer de position, je mets mes jambes en avant et prends appui sur mes bras vers l’arrière. Dans cette position je me suis certaine qu’il est le deuxième témoin de ma nudité Pendant ce temps, Jacques malaxe et pince mes tétons devenus très sensibles. Ma position n’est pas très confortable et la grosse queue n’entre pas loin dans ma chatte mais le fait de m’exhiber de la sorte m’excite encore plus. Je ne peux voir la bite de Michel mais qu’il est en train de se masturber est perceptible. Je me replace face à Jacques, je me penche en avant afin qu’il me lèche les seins. Sentant son excitation arriver au maximum, je me redresse et me déhanche sur sa grosse queue qui me remplit totalement la chatte (elle fait 15cm de long et 15cm de circonférence) jusqu’à ce qu’il ait fini de m’inonder la chatte de son sperme. Maintenant il faut faire la douloureuse séparation de la queue et de la chatte ; d’une main, je retiens le jus qui coule de ma chatte pour ne pas en mettre partout, et je suis allée nue et dans le noir vers la salle de bains. Mais Michel n’est plus là. En me rendant vers la salle de bains, j’ai marché dans quelque chose d’humide. Cela ne pouvait être que le sperme de Michel. J’ai eu du mal à trouver le sommeil car je repensais à ce que j’avais fait. La suite torride pour plus tard.
