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Mes vieilles amies

Chapitre 2

Hétéro
Je me prénomme Hervé et je viens de fêter mes 65 ans. Dans le chapitre précédent j’avais expliqué comment ma sexualité avait été marquée par mon apprentissage avec une femme de 40 ans mon aînée et que, depuis, toute ma vie je n’avais recherché que des femmes plus âgées que moi. Bien entendu, au fur et à mesure que je vieillissais, l’écart avec mes partenaires et moi diminuait allant parfois jusqu’à s’inverser de quelques années. Toutefois, je reste persuadé que ces femmes restent des proies faciles et, comme dit le proverbe, c’est souvent dans les vieux pots que l’on fait la meilleure soupe. Cela faisait maintenant 15 jours que j’avais séduit Odette, une femme divorcée de 62 ans, le visage poupin, plutôt bien en chair, avec une poitrine opulente et des fesses rebondies. Dés que je l’avais rencontrée chez des amis communs, le courant était passé entre nous et je n’ai eu aucune difficulté à lui arracher un rendez-vous pour le lendemain.     Je l’avais invitée dans un restaurant où les tables étaient installées dans de petits box et nous assuraient ainsi un semblant d’intimité. Après l’apéritif, les entrées et le plat de résistance, agrémentés d’une conversation sans grand intérêt, je voyais Madeleine, car elle se prénommait ainsi, les joues légèrement rosies par l’apéro et le vin qui commençait à se détendre. J’en profitais pour aborder des sujets plus intimes et elle m’apprit qu’elle vivait assez mal son veuvage laissant entendre, avec tact et sans jamais vraiment le dire, qu’elle était une grande amoureuse et que les nuits lui semblaient bien longues. De la même manière je lui fis comprendre que je vivais seul depuis quelques mois et que cette solitude me pesait aussi. La voyant intéressée, j’arrivais à lui faire comprendre, avec des phrases pleines de sous-entendus, que j’étais souvent amené à me satisfaire seul.Cette confession débrida totalement la conversation. Madeleine m’avoua, les joues de plus en plus rouges et le regard brillant, qu’elle aussi pratiquait fréquemment la masturbation bien qu’elle remplaça ce mot par « caresses sur elle-même ». Je la pressais alors de questions du genre : « est-ce que cela vous satisfait pleinement ? » ou encore « A quelle fréquence ?». Madeleine fut d’abord réticente mais je lui fis comprendre que nous n’étions plus des enfants et qu’il était tout à fait normal de parler de ces choses-là et pour la mettre en confiance, je lui avouer que, pour moi, cela était une pratique quasi quotidienne et que j’y prenais un réel plaisir mais, toutefois pas aussi agréable qu’une relation charnelle avec une femme. Madeleine finit par me dire que pour elle c’était la même chose, mais que la fréquence pouvait aller d’une fois par semaine à plusieurs fois par jour, que cela dépendait des événements de la vie courante qui lui réveillaient sa libido.— Pourquoi je vous raconte tout cela, finit-elle par dire, nous nous connaissons depuis si peu de temps.— Parce que c’est un sujet que vous aviez envie d’aborder, il vous fallait juste une oreille complaisante pour vous laisser aller à ces confidences. Je suis sûr que cela vous a fait du bien de pouvoir enfin avouer à quelqu’un vos états d’âme. Et pas seulement l’âme ajoutais-je ironiquement.— Oui, vous avez raison Hervé, je peux vous appeler Hervé n’est-ce pas ? J’ai bien essayé d’aborder ces sujets avec mes amies dont la plupart vivent seules elles aussi. j’aurais bien aimé savoir comment elles vivaient leur célibat forcé, si, comme moi, elles se procuraient du plaisir par des caresses en solitaire, mais non, le plus grand silence sur ces choses-là. On croirait que la sexualité est un sujet tabou. Pourtant je pensais qu’entre femmes c’était plus facile d’en parler et il a fallu que ce soit vous, un homme, qui aborde le sujet.— C’est vrai répliquais-je que les hommes, entre eux, parlent plus facilement de sexe mais, croyez-en mon expérience, la femme cache bien son jeu et si nous pouvions lire ses pensées, elle ferait rougir un régiment de hussards.— J’espère qu’en ce moment, répliqua-t-elle avec un sourire malicieux, vous ne lisez pas dans les miennes.— Malheureusement je n’ai pas ce pouvoir, mais que pourrai-je y lire si je ne suis pas trop indiscret ?— Vous êtes bien curieux monsieur ! Mais tant pis, osons. Tandis que nous devisons sur un sujet scabreux, j’en étais à me demander si vous aviez le pantalon un peu trop serré comme moi j’ai la culotte un peu trop humide.— J’ai honte Madeleine.— Honte pourquoi ?— C’est moi qui aurais dû vous poser cette question en premier.— Peut-être répondit Madeleine mais le résultat est le même, alors ?— Je vous suggère de venir le constater par vous-même. Venez donc prendre le dessert à mes côtés.    Madeleine ne se fit pas prier deux fois, en deux temps trois mouvements elle fut assise prés de moi et tandis que j’appelais le serveur, je lui pris la main de Madeleine et la posai sur ma braguette. Aussitôt ses doigts se resserrèrent autour de ma queue.— Elle est belle minauda-t-elle.    Le garçon arriva pour prendre la commande, Madeleine essaya d’enlever sa main mais je l’en empêchais et la forçais à toucher ma bite tout le temps que dura la prise de commande. Je voyais le regard du serveur qui essayait de deviner ce qui se passait sous la table surtout que Madeleine avait pris le parti de faire abstraction de la présence du serveur et activait maintenant sa main. Le garçon repartit avec la commande.— Doucement Madeleine dis-je, je ne voudrais pas conclure trop vite.    Pour toute réponse elle descendit la fermeture éclair et glissa sa main sous le slip.— Depuis le temps que j’attends ce moment, susurra-t-elle à mon oreille en reprenant sa masturbation.— Je vais te salir la main si tu continues à ce rythme répondis-je.— Laisses-toi aller, autant conclure avant que le serveur ne revienne.J’éjaculais à grands jets. Madeleine eut juste le temps de s’essuyer les doigts dans sa serviette alors que le dessert arrivait dans nos assiettes.
— J’espère que tu peux manger d’une main demanda Madeleine ?— Pourquoi demandai-je crédule ?    Pour toute réponse elle me prit une main et la posa sur sa cuisse. Ma main se faufila sous la robe et j’atteignis la culotte trempée de Madeleine sans problème car elle avait suffisamment écarté les cuisses pour me faciliter le passage. Mes doigts firent glisser la culotte sur le côté et, enfin, je pus toucher sa chatte couverte d’une épaisse toison. Constatant ma surprise de découvrir un minou aussi velu elle me murmura ;— Elle est telle que la nature me l’a offerte, ça te pose un problème ?— Pas encore répondis-je en écartant les poils à la recherche de l’entrée de sa grotte, plus tard peut-être, lors du cunnilingus.— Avec mon mari il n’y a jamais eu de problème mais si cela te rebute je suis prête à faire une coupe sévère, je ne voudrais pas rater un bon cunni.Toujours à la recherche de l’entrée de sa grotte, mes doigts remontèrent et touchèrent une excroissance que je saisis entre le pouce et l’index. Pas de doute c’est bien son clito. Mon dieu quel morceau.— Ca te plait, beaucoup de femmes se plaignent que leurs amants ont des difficultés à trouver leurs boutons, tu vois, moi je n’ai pas ce problème. Vas-y branle-le comme je t’ai branlé la queue tout à l’heure. Tu sens comme il bande.     Je me mis donc à la branler comme si je branlais ma propre bite. Avec deux doigts je fis coulisser la peau du capuchon d’avant en arrière alors qu’un troisième plongeait dans sa fente. Madeleine jouit presque aussitôt, inondant ma main. Comme le fit tout à l’heure Madeleine pour moi, j’essuyais mes doigts à l’aide de ma serviette quand le garçon revint, souriant, la braguette gonflée (je suppose qu’il avait dû nous épier de loin).— Ces monsieur dame prendront-ils un café ?— Non merci remerciai-je, l’addition s.v.p.— Et rapidement nous avons tellement à faire ajouta Madeleine en me regardant, les yeux brillants.Dans la voiture, à peine eus-je démarré, la main de Madeleine se faufila dans ma culotte.— Il faudra attendre un peu, je n’ai plus vingt ans.— Je sais mais il y a tellement d’années que je n’ai pas tenu une queue dans la main. Elle est chaude et encore toute gluante. Dis-moi, Hervé, ça te dérangerait si je me faisais une petite gâterie. Tu sais, tout à l’heure, j’ai jouis très vite et ma moule a encore faim.— C’est ta chatte et tes doigts, tu es libre d’en disposer mais ne t’épuise pas trop j’ai envie de te voir jouir sous ma langue.— Ne crains rien mon chéri, une femme récupère plus vite qu’un homme. Pendant mes séances de masturbation, dans un bon jour, il m’arrivait de me faire jouir 5 fois en suivant.Madeleine, pour plus d’aisance, ôta sa culotte et se branla d’une main, l’autre enserrant toujours ma queue, commentant ses actions, disant ce que nous ferons une fois dans notre nid d’amour et, quand ses gémissements se transformèrent en râles, que ses jambes se mirent à trembler, je sus que l’orgasme arrivait et il éclata violemment. Pendant ce temps ma bite avait repris un peu de volume.— Bientôt je l’aurais dans ma bouche et après dans la chatte, dit Madeleine en passant une langue gourmande sur ses lèvres. Tu sais ce qui me ferait aussi plaisir, c’est une chose qui me faisait souvent jouir quand je m’imaginais me branlant devant un homme qui faisait la même chose.— Ma chère Madeleine, Je vois que nous avons les mêmes fantasmes, je crois que nous allons bien nous entendre.     J’avais raison car je suis toujours avec elle.Madeleine s’occupait de la gestion dans une résidence de personnes âgées et me racontait ce qu’y passait. Les pensionnaires étaient principalement des femmes et les rares hommes étaient très sollicités par elles. Elle me disait que même celles qui avaient plus de 80 ans n’avaient rien à envier aux plus « jeunes » et affichaient ouvertement leur désir de passer quelques délicieux moments avec la gente masculine. Plus d’une fois elle surprit une pensionnaire en train de faire une fellation et s’imaginait ce qui pouvait se passer derrière la porte de leur chambre. Madeleine m’avoua qu’elle s’était beaucoup branlée dans son bureau, au risque de se faire surprendre par la directrice, mais que les spectacles auxquels elle assistait parfois, la faisaient mouiller comme une folle.— Alors ma chérie, lui avais-je fait remarquer au début, quand tu rentres du boulot, excitée et que je dois illico t’honorer c’est pour éteindre un feu allumé par d’autre ?— Tu ne vas pas jouer les jaloux, tu n’aimes pas t’occuper d’un corps chaud comme une braise et puis quand tu es en érection avant même que je rentre, qui me dit que tu n’as pas pensé à une autre femme ? Mais je m’en fous car c’est dans ma chatte qu’elle trouve refuge.    C’était devenu un jeu. Nous excitions mutuellement tout en nous branlant puis, soit nous allions jusqu’au bout en nous regardant, soit nous finissions en 69.Vint le jour où une nouvelle pensionnaire semblait plus attirée par les femmes que par les hommes. Madeleine, la recevant dans son bureau, dut subir les avances de cette femme de 70 ans, encore très belle, coquette qu’elle repoussa tant bien que mal. Rentrée à la maison, elle me raconta sa mésaventure mais, par la même occasion, m’avoua avoir été troublée qu’une femme puisse la désirer. J’ai déjà eu des relations féminine me dit-elle mais c’était il y a longtemps, au temps où j’avais des désirs et pas assez de culot ou trop jeune pour les partager avec un garçon.— Donc tu te masturbais ? Vers quel âge ?— Vers 10-11 ans j’ai découvert les caresses qui font du bien mais c’est vers 14-15 ans que mes désirs s’intensifièrent mais, comme je viens de le dire, je n’avais pas le cran de sauter le pas aussi je me suis tourné vers ma meilleure copine pour lui faire part de mon problème. Elle m’avoua alors qu’elle aussi était confrontée au même problème. Tout naturellement nous avons évoqué nos masturbations et, comme il fallait s’y attendre, nous avons fini par nous masturber l’une en face de l’autre.— Et c’est depuis ce moment que tu adores que l’on te regarde te donner du plaisir.— Peut-être, sûrement mais nous avons été jusqu’à nous branler mutuellement et même à nous faire jouir avec la bouche.— Tu as aimé ?— Oui, c’est vrai ! Qui peut connaître mieux le corps d’une femme qu’une autre femme.— Tu aurais pu devenir lesbienne ?— Oui, enfin non, je ne sais pas, la vie en a décidé autrement. J’aime aussi les queues, tu le sais, mais peut-être aurais-je pu être bi. Et toi tu n’as jamais joué à touche-pipi avec tes copains.— Si bien sûr mais je n’ai jamais eu envie de devenir homo. Par contre il y a une chose qui m’est arrivé lors de mon initiation sexuel et qui m’a beaucoup plu mais que je n’ai jamais plus reproduire.— Racontes.Je lui fis le récit de mon initiation par l’amie de ma grand-mère et que cette dernière nous avait rejoint pendant que je faisais l’amour avec son amie. Outre l’inceste qui met du piment, le fait d’être au lit avec deux femmes m’avait procuré une formidable jouissance.— Je te vois venir avec tes gros sabots, si, par hasard, notre nouvelle pensionnaire voulait bien venir passer un petit moment à la maison, tu n’y verrais pas d’inconvénients.— Bien vu ma petite Madeleine mais pourquoi seulement un petit moment ?
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