Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 221 J'aime
  • 3 Commentaires

La méthode abominable pour l'avoir

Chapitre 1

oxyure

Hétéro
Cette histoire remonte à quelques années désormais et j’avoue avoir une certaine honte à me replonger dans les méandres de la malveillance dont j’ai été l’auteur, mais le prix obtenu valait toutes les malédictions. Mon périple commença par une belle journée d’automne, le soleil dans le ciel réconfortait les arbres dont les habits feuillus laissaient place à des branches nus et tristes. J’étais en master et je faisais un exposé sur un thème dont je ne me rappelle plus. Je me souviens néanmoins du bruit du projecteur vomissant mon PowerPoint infect et le regard vide de mes camarades. Leurs yeux braqués sur moi étaient l’objet de mon malheur, de ce mal qui me rongeait.Une fois fini, je voulus retourner à ma place, ce qui fut interrompu par mon professeur:
— Attends un peu Isaac, tes camarades doivent bien avoir des questions pour toi.
Je maudissais mon enseignant, qui tendait la perche à beaucoup de mes camarades. Mes collègues levèrent leur main afin de me poser des questions. Tous sauf une : Léa. Léa était un peu ma partenaire de master, nous nous étions connus en fin de licence et n’ayant pas d’amis, nous nous étions rapprochés et devenus "collègues". Nous étions toujours assis à côté, nous nous racontions nos vies et parlions des cours, mais nous n’allions pas plus loin.
C’était une relation assez spéciale, je dois l’avouer, c’était une "amie" par intérim, une fois le master obtenu, nous ne nous donnerions plus jamais de nouvelles et ne nous reverrions jamais. Nos discussions étaient extrêmement superficielles et je m’ennuyais souvent en sa compagnie. De plus, elle avait un copain, et nous n’avions jamais parlé de choses intimes. Elle semblait asexuelle et ne réagissait jamais lorsque je faisais des blagues tendancieuses à d’autres membres de ma promotion.
Pourquoi continuer de traîner avec, me demanderez-vous ? Elle me tirait vers le haut au niveau des études. Elle était si studieuse qu’elle me challengeait constamment et j’avais besoin de ça pour briller et obtenir mon diplôme. Ne fumant pas, ne buvant pas, ne faisant pas de fête et travaillant tout le temps, elle me maintenait tout le temps la tête dans les études, me permettant de donner le meilleur. Tout cela m’allait très bien, et puis un jour, j’étais debout et j’aperçus, au niveau de son décolleté, son soutien-gorge de couleur blanc immaculé.
Mon regard ne s’était attardé qu’une seconde, mais le mal avait commencé à me ronger. Je la voyais désormais différemment. Mes pensées n’avaient pas pu se freiner et j’avais essayé d’imaginer ce que ce soutien-gorge blanc avait à cacher. Dès lors, je commençai à la regarder avec des intentions moins nobles. Léa était une fille plutôt mignonne, mais pas non plus la bombe au corps parfait. Elle avait deux gros yeux bleus qui semblaient ne jamais se fermer, surmontant un nez aplati ornant de larges lèvres cachant un sourire d’ivoire. Elle portait souvent des robes serrées au niveau de ses hanches qui étaient fournies. Je pense que ce qui me plaisait, c’était son innocence, elle semblait être une ingénue qui avait réussi à survivre dans ce monde impitoyable grâce aux autres. Comme si on l’avait toujours portée pour que ses chaussures blanches restent immaculées.
Léa était très timide et ne participait jamais en cours. Cela me faisait une question de moins à traiter. Cinq collègues m’avaient posé des questions, cela faisait plus de 45 minutes que j’étais au tableau en essayant avec toute ma volonté de cacher mon terrible secret: j’avais l’anus qui me grattait affreusement. Je souriais et répondais avec le plus de sérieux, mais au fond de moi, la pire des souffrances, le cul qui démange. Cela parait anecdotique, mais ce fut un élément très important.
Après que mes camarades aient fini de me cuisiner, mon professeur voulant me poser une question, faisait en réalité un monologue interminable. Je rêvais de glisser mon doigt entre mes deux fesses et de me gratter avec les ongles. Il m’était déjà arrivé d’avoir l’anus grattant, mais depuis ces dernières semaines, cela devenait réellement une torture. Une fois le cours fini, je filai chez moi à toute allure. Tandis que je marchai, j’imaginais une façon de soulager cette démangeaison. J’imaginais plusieurs solutions, utiliser une éponge pour le côté abrasif, j’imaginais même me faire pénétrer par un pénis. Je chassai vite cette idée, je n’étais pas gay, mais l’idée que j’aurais tout fait pour assouvir ce besoin de grattage me faisait un peu peur.Arrivé chez moi, je filai sous la douche et me grattai avec une jouissance qui n’avait rien à envier à une éjaculation de fin de journée. Je sortis me sécher et reçus un message de ma sœur:
— Isaac, fais gaffe, tu es rentré ce Week-end, mais j’ai vu un médecin, j’ai des vers, il faudrait que tu en consultes un aussi, c’est trop dégueu !
Je fus sous le choc, nous avions dû manger quelque chose de pas frais chez mes parents (chez qui nous avions passé plus d’un mois). Je contactai tout de suite un professionnel de santé et le verdict: j’avais bel et bien des vers. Ces créatures aussi appelées "oxyures" pondaient des œufs et se logeaient sous les ongles, ce qui leur permettait de se déplacer. Il fallait donc bien se laver les mains, changer souvent de sous-vêtement et prendre un traitement.
J’étais satisfait de pouvoir enfin me débarrasser de tout cela. Sur le chemin du retour, je repensai au fait que la démangeaison était parfois telle que l’on aurait mis n’importe quoi dans le cul tant que cela nous soulageait. J’eus alors une idée. Une idée nauséabonde, mais que je n’arrivai pas à sortir de ma tête. Si Léa en avait, peut-être que si j’étais là au bon moment, il y aurait un coup à jouer avec elle.

Je ne pris pas mon traitement tout de suite. Je partais en cours, ne me lavant pas les mains et essayant de toucher le plus ses affaires. Un midi, Léa était partie discuter avec le professeur. J’en profitais pour prendre sa lime à ongles et fuyais aux toilettes. Je me frottai abondement les sphincters tout en faisant attention de ne pas "tacher" sa lime, puis la replaçai dans son sac.
J’effectuai ce genre de sabotage plusieurs fois par jour tout en faisant attention de ne pas me faire attraper. Les jours et semaines passèrent, puis un jour, j’observai un détail qui me réveilla instantanément.
Léa était sur sa chaise, ses deux mains serrées sur la bordure métallique de sa chaise, en faisant des petits mouvements de hanche. Elle essayait de se gratter discrètement, mais je connaissais ce supplice. Elle était prête pour mon plan. Je devais maintenant l’amener loin de la promo.
Je lui murmurai:
— A la fin du cours, on va répéter l’exposé d’anglais ? On essaye de trouver une salle vide ?
Elle hocha de la tête, je lui souris innocemment. Si elle savait que j’étais le responsable de sa démangeaison. Il fallait désormais que je joue bien mes cartes pour arriver à profiter de la situation.
A la fin du cours, je la pressai en lui expliquant qu’elle n’avait pas le temps d’aller aux toilettes, on devait d’abord trouver une salle sinon il n’y en aurait plus de disponible et elle serait obligée de faire sa répétition d’exposé devant d’autres personnes (le cauchemar des timides). Tandis que l’on regardait des salles libres, je mordillai l’intérieur de ma joue, je stressai.
Nous trouvâmes une salle et nous y installâmes. Mon cœur battait la chamade. Léa avait mis une robe bleu marine avec des points blancs. Je m’improvisais metteur en scène pour lui faire travailler son exposé d’anglais, mais je songeai à tout sauf à l’anglais.
Je devais me lancer, je connaissais son besoin, son désir. Je m’approchais d’elle et enfonçai mon doigt vers ses fesses et grattai avec assurance le cœur battant et avec des sueurs froides. Je regardai avec attention tous ses mouvements. Elle eut un mouvement de recul, puis elle se laissa faire avec un regard satisfait, ne laissant place à aucune imagination: elle savourait.
Je continuai de gratter ses fesses à travers sa robe sous les ronronnements de ma partenaire de master. Il m’en fallait plus. Je soulevais sa robe et glissai mon doigt. Je sentis son cul sur ma paume. J’étais dans un état de confusion, j’étais si excité, stressé et affolé par la situation. J’avais l’impression d’être dans un rêve étrange. Mes doigts tombèrent sur la ficelle de son string que j’écartais pour permettre à mes ongles de gratter vigoureusement son anus.
Léa était aux anges, je bandais de la voir ainsi pousser des gémissements. Elle qui était toujours très prude. Sa tête en arrière me laissait apercevoir son décolleté qui m’excitait encore plus. La flagrance de son parfum semblait comprendre la situation et redoublait de puissance en projetant une odeur agréable malgré la situation. Mes doigts appuyaient de plus en plus fort, j’eus peur de lui faire mal, mais elle continuait à savourer.
Puis, l’un de mes doigts, mon majeur à force de persévérance commença à pénétrer son œil de bronze. Mon doigt s’enfonça de plus en plus, et je continuais à tourner afin de toujours lui offrir ce plaisir de grattage. Je savais que sans cette jouissance que je lui apportai, elle aurait mis un terme à tout ce manège et je ne voulais pas que cela arrive. Les phalanges de mon majeur s’engouffraient de plus en plus, jusqu’à être en butée.
Je fis alors des allers-retours très mouvementés, mon petit doigt touchait de temps à autre son vagin. J’étais au bord de l’explosion. Je commençai à sentir mon bras chauffer à force de ses allers-retours. Mon corps près d’elle, j’avais envie de l’embrasser, mais cela aurait pu la sortir de cet état de transe. Mon biceps allait bientôt me lâcher, je devais faire quelque chose.
Avec ma main de libre, je desserrais mon jean et ma ceinture et baissai mon caleçon. Ma colonne de chair en pleine fusion atterrit contre sa hanche protégée par sa robe. Je levais le tissu de sa robe, me laissant apparaître pour la première fois sa belle croupe. Je pointais mon pénis vers son anus et appuyai avec vigueur.
Je songeai au fait que j’aurais dû cracher sur ma queue avant d’essayer de la sodomiser, mais maintenant, j’avais peur de revenir en arrière et qu’elle m’arrête dans cette tentative de pénétration. Mon gland contre son cul effectuait une pression constante, j’étais en train de l’enculer à sec. Soudain, elle poussa son cul avec une telle force que tout rentra d’un coup. Ma bite complètement décalottée dans son antre interdit. Elle poussa un râle de plaisir si intense que je sentis les vibrations dans ma queue.
Je fis de petits mouvements et saisis ses hanches. Sa robe avait recouvert ses fesses dont seule ma queue pouvait y découvrir le contact peau à peau. J’étais tellement excité. Léa. Mon fantasme. Ma collègue de master. Cette innocence prude. Je la pilonnai comme s’il s’agissait d’un championnat du monde. J’avais tellement attendu ça. Ma main se mit à parcourir son corps, j’attrapai l’un de ses seins et le pressai fortement. Je rapprochai ma tête de la sienne et déposai un baiser sur sa joue. Elle devait tourner sa tête pour que je puisse vraiment l’embrasser, mais elle ne le fit pas.
Soudain, je sentis son anus se serrer avec une telle force, tout mon sexe sentit cette pression comme un écrasement. Ma main sur son sein, un nouveau gémissement et sa gaine écrabouillant ma queue eut raison de moi. Je sentis le plaisir montant en moi, partant de mon anus et montant le long de ma queue, c’était si génial et incroyable, c’était magique. Je n’avais jamais eu de jouissance comme celle-là. Quand la première giclée sortit, je me retenais de faire des bruits bizarres, mais c’était tellement intense que je ne contrôlais plus mon corps, plus mon cœur, plus ma tête.
Cela était ironique, Léa m’avait tellement éloigné de la vie sociale pour les études, que je n’avais pas de copine, je ne me branlais plus autant qu’avant. C’était l’abstinence de plus d’une semaine qui jutait désormais dans ses entrailles. Je restai un peu en elle. Puis elle se retira, remit sa robe et disparut aux toilettes sans un mot.
Qu’est-ce que j’avais fait ? J’avais utilisé une méthode abominable pour arriver à sodomiser ma pote de fac. Le referais-je ? Pour sûr oui !Après avoir giclé, je repris mes esprits, et seul dans la salle, quelque chose vint titiller mon esprit. Je venais de sodomiser Léa avec sa belle robe bleue, mais je n’avais rien vu, et en particulier ses seins que j’aurais aimé dévorer. Oh mon Dieu, j’en voulais plus, il m’en fallait plus ! Je devais la voir totalement nue, tout à moi, et cette petite chatte chaude dont mon petit doigt n’avait fait qu’effleurer.
Mais avec quelle méthode ?
Diffuse en direct !
Regarder son live