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Métro londonien et douche écossaise

Chapitre 2

Cockfosters, exploration approfondie

Gay
Après mon expérience « écossaise », je poursuis mon séjour londonien plus paisiblement, cherchant moins de sensations fortes : j’ai passé la matinée du lendemain à masser délicatement mon anus avec diverses lotions apaisantes, tant les sodomies de la veille m’avaient irrité. Une fois mon corps soulagé, je reprends mes visites de la capitale – prudemment vêtu d’un short : trop tôt pour recommencer… J’aime toujours autant me perdre un peu dans le dédale souterrain du métro, mais en dirigeant mes errances vers les lieux que je souhaite visiter. Toutefois, lorsque je prends à nouveau la Northern Line pour me rendre à Camden Market, je ne peux m’empêcher de bander au souvenir de ce que j’y ai vécu. Mon érection ne me quitte pas lorsque je déambule dans les anciennes stalles de Camden : coins et recoins semblent m’inviter à m’y enfoncer pour... me faire enfoncer, moi aussi. Je m’y octroie d’ailleurs un petit moment solitaire : dans un endroit assez isolé (on en trouve encore, même si le marché est très touristique), je prends le temps de me masturber, jusqu’à obtenir une érection conséquente. Des bruits de voix m’interrompent, m’obligeant à partir sans avoir terminé et à retourner à la guest-house avec une raideur inconfortable entre les jambes. Je finis dans ma chambre, laborieusement, éjaculant sans grand plaisir : l’excitation est passée.
 Le troisième jour, alors que j’ai entièrement récupéré (ce qui m’incite à pratiquer un petit plaisir que j’affectionne particulièrement), je passe l’après-midi dans les méandres du Natural History Museum, un lieu remarquable tant par les collections que le bâtiment lui-même. Encore rêveur à la sortie, je prends le métro à South Kensington, ligne Picadilly, et décide de reprendre mon jeu de début de séjour, mais bien plus calmement. De toute façon, cette fois j’ai un short, ce qui limite grandement les possibilités (en public, du moins). Après le plaisir intellectuel du musée, je profiterais bien de quelques caresses discrètes dans les wagons bringuebalants du métro. Métro. Il est 17h – pardon, 5 :00 PM« five-pi-ème », le début de l’heure de pointe. Du monde, mais encore suffisamment d’espace pour se déplacer dans la rame. Picadilly, direction Cockfosters, ne serait-ce que pour le nom. J’en ignore l’origine réelle, mais « cock », la bite, et « foster », favoriser, me semblent de bon augure. Que la bite me soit favorable dans ce voyage…
 Je monte au milieu de la rame. Avant même le départ, je fixe les gens autour de moi. Aucun regard n’accroche le mien. A la station suivante, je recommence dans un autre wagon, en vain. Au bout de cinq arrêts, je préfère descendre et guetter les signaux de… réponse… sur le quai. Un quart d’heure passe, et finalement… Un regard ne se détourne pas lorsque je fixe un très beau visage, en passant discrètement ma langue sur les lèvres. Et un sourire me répond. L’inconnu s’approche de moi, me touche la main et semble vouloir m’inciter à le suivre.  Non. Je veux le métro, dans le métro, dans la rame, la petite peur des caresses discrètes alors que les autres nous entourent, la nécessité de ne rien laisser transparaitre, la délicieuse frustration qui monte lentement. D’un signe de la tête, je lui indique la rame qui arrive dans un bruit tonitruant. Il hausse les épaules et se dirige vers le bout du quai. Je ne comprends pas bien pourquoi : la rame sera bondée là-bas comme ailleurs ; toutefois je le suis. Une fois que nous sommes montés, il ne perd pas de temps. Il s’arrange pour que je sois plaqué au fond du wagon, compressé par la foule (et surtout son corps), puis commence à pétrir mes fesses. J’essaie maladroitement de passer ma main derrière moi pour le toucher. Il ouvre sa braguette, m’autorisant, après une petite gymnastique des doigts impliquant un boxer à l’élastique serré, à caresser son gland. Il bande déjà ; l’humidité qui poisse ma main révèle qu’un peu de liquide pré-séminal perle déjà : je l’excite…
 Les cahots de la ligne ne me facilitent pas la tâche, d’autant que je n’ai aucune visibilité, étant face à la paroi : j’ai peur qu’un geste trop prononcé ne révèle aux autres ce que nous faisons. Alors que les stations sont ponctuées par les annonces du haut-parleur (Holborn, Russell Square, King’s Cross), les « mind the gap between the train and the platform » (« mind the cock between your ass and the fucker » serait plus approprié pour moi) et le flux de la foule (j’adore quand le nombre d’occupants me colle davantage à mon inconnu, notamment à partir de King’s Cros, station très fréquentée), il commence à s’occuper de moi. Je le sens tirer doucement l’élastique de mon bermuda et glisser sa main dans mon boxer, entre mes fesses. Son léger hoquet révèle sa surprise, je ne peux m’empêcher de sourire de plaisir : ah, ça, il ne s’y attendait pas, l’imperturbable Anglais… Avant de sortir du musée, m’estimant pleinement remis de mon aventure précédente, je m’étais inséré un plug de dimension… disons, honorable, pour mieux profiter d’éventuels attouchements dans le métro. C’est un petit plaisir que je m’offre parfois : sortir ainsi, pénétré, déambuler devant tous, craignant un peu que le bouchon du plug soit visible à travers le tissu du jeans ou du bermuda, prenant en même temps plaisir à cette peur. Mon inconnu ne se laisse pas désarçonner et saisit l’extrémité du plug. Il lui imprime un mouvement rotatoire qui me ravit. Ma main se crispe sur son pénis, j’accélère la masturbation. Je sens son érection durcir. J’aimerais m’enlever le plug et m’enfiler sur sa magnifique queue, dressée dans mon dos, mais le monde autour de nous m’en empêche, bien sûr… Je me contrôle de plus en plus difficilement, compliqué de ne pas haleter de plaisir. Les noms de stations s’égrènent, nous approchons du terminus. Je voudrais le faire jouir, mais il tacherait mon bermuda, je ne peux pas me le permettre. Je ralentis mes gestes sur lui, il fait de même de son côté. Cela ne me calme pas vraiment, au plaisir s’ajoute juste la frustration. Cockfosters, lieu favorable aux bites.
 Tout le monde descend. Sauf nous. Je m’apprête à me retourner, mais il me plaque contre la paroi en murmurant « We have a few minutes ! » Je comprends alors son calcul, lorsque nous étions montés : à chaque terminus, un employé nettoie la rame en partant de l’avant, ce qui lui prend un certain temps, étant donné que beaucoup de londoniens abandonnent sur les sièges les journaux gratuits disponibles dans le métro. Sans parler de déchets moins ragoûtants. Nous sommes dans le dernier wagon. Nous avons bien cinq minutes devant nous.
 Mon inconnu réagit comme si nous n’en avions qu’une. Il baisse brutalement mon bermuda et mon boxer (j’entends craquer l’élastique), arrache sans précaution le plug dans un bruit de succion et me pénètre d’un coup sec, me tirant un cri que je n’ai pas le temps d’étouffer. Je panique : n’importe qui pourrait venir, quelqu’un qui aurait oublié un objet dans le wagon, un retardataire attiré par mon cri ou intrigué par le bruit produit par sa queue dans mon cul… J’ai l’impression qu’on n’entend que ça à des centaines de mètres à la ronde, le son mouillé de son gland forçant mon anus, le bruit de succion lorsque sa queue ressort, mes halètements dans les deux cas.
 Je proteste : « Stop, please, someone could see us, please stop, not here, please ! »J’essaie d’ajouter que je veux bien ailleurs, dans un endroit discret, mais il ne m’écoute pas. Il me sodomise brutalement, rapidement, me pénétrant complètement à chaque insertion dans un puissant halètement, avant de se retirer presque entièrement pour à nouveau me bourrer violemment. Il a attrapé ma taille d’une main pour amplifier le mouvement, de l’autre il plaque mes épaules contre la paroi. Je ne peux plus bouger, impuissant je deviens un pur jouet entre ses mains et subis cette sodomie en gémissant. Je finis par saisir ma queue et me masturber, alors qu’il accélère, ce que je n’aurais pas cru possible. L’ampleur de ses gestes finit par me faire basculer, même s’il essaie toujours de me plaquer contre le wagon : nous perdons tous les deux l’équilibre. Je finis à genoux, sa queue toujours plantée en moi : il a suivi le mouvement. Il poursuit l’enculage au même rythme, me faisant tomber en avant. Allongé sur moi, il continue à forcer sauvagement mon anus. Je ne sais plus où je suis, j’oublie la peur de nous faire surprendre et gémis de plus en plus. Il me bâillonne d’une main, étouffant mes bruits de plaisir, désormais moins audibles que ceux de la pénétration. Les claquements de son ventre sur mes fesses résonnent dans le wagon. Je place une main sur mes fesses, pour mieux sentir sa bite entrer et sortir. A chaque retrait, je sens sous mes doigts l’anneau de mon anus suivre un peu sa queue visqueuse, l’englobant, comme pour la retenir en moi. A chaque pénétration, au contraire, il s’incurve, suivant le pénis à l’intérieur d’un bon centimètre. Se méprenant sur mon geste, il m’ajoute deux doigts, qu’il tire légèrement sur le côté, me dilatant douloureusement, alors qu’il m’encule toujours aussi violemment. Je gémis de plaisir et geins de douleur dans le creux de sa main. Entre deux halètements, je l’entends me parler, je devine des mots brutaux, qualifiant injurieusement ma façon de m’offrir à lui. Il faut dire que je suis dans un lieu public, allongé à même le wagon, ma queue bandée douloureusement compressée contre le métal du sol, entièrement soumis à sa bite inconnue, immobilisé par le poids de son corps et la violence de ses gestes… Une situation qui appelle nécessairement un vocabulaire sans tendresse.
 Ce traitement l’excite visiblement encore plus que moi : il ne s’est écoulé que quelques minutes depuis qu’il a commencé à me pénétrer que je sens sa queue se contracter. Il s’enfonce entièrement en moi, je sens sa bite gonfler à la base, dilatant davantage mon anus, et une pulsation rapide la parcourir jusqu’au gland. Son foutre me remplit alors. Deuxième pulsation, nouvelle giclée chaude dans mon cul. Troisième pulsation… A son tour de me surprendre : il se retire dans un bruit mouillé et me retourne pour éjaculer sur mon ventre. Je n’ai pas encore joui. Je saisis sa queue et la frotte contre la mienne. Il continue à venir en haletant, son sperme tâchant mon bermuda et mon tee-shirt. De mes deux mains, j’enserre sa queue et la mienne, nous masturbant tous les deux, mes doigts pleins de sperme lubrifiant le mouvement et caressant nos glands. Il finit de juter  sur moi quand je commence à jouir, mon sperme se mêlant au mien. Je lâche sa queue et me concentre sur la mienne, yeux fermés. C’est alors qu’une voix furieuse retentit. Je ne comprends rien à ce qui est dit, sans doute le nettoyeur qui arrive… Mon inconnu s’arrache à mes mains, je devine qu’il relève en vitesse son pantalon et s’enfuit. Je ne peux le suivre, perdu dans mon plaisir. Je continue de jouir en gémissant, ne pouvant me retenir de m’enfoncer des doigts dans le cul. Je finis par me relâcher, prenant conscience de métal froid contre mes fesses, du liquide encore chaud s’écoulant de mon anus mais couvrant aussi mon ventre, mon pénis, une partie de mon tee-shirt et de mon bermuda, et surtout de la voix qui crie toujours mais sur le quai désormais. L’urgence de la situation m’apparaît brutalement. Je retire mes doigts, remonte en vitesse boxer et bermuda pour m’élancer hors du wagon, abandonnant le plug derrière moi. Je cours sans me retourner, devinant aux voix derrière moi que le nettoyeur a été rejoint par d’autres. Je me précipite dans le couloir le plus proche ; mon inconnu m’a attendu et me fait signe de le suivre. Nous galopons jusqu’à la sortie (j’imagine que les Anglais, pas plus que les Français malgré notre réputation, ne plaisantent pas avec ce genre de choses : je ne tenais pas à devoir m’expliquer devant un vigile du métro sur la situation).
 Nous sommes dehors et continuons à courir, jusqu’à être à plusieurs rues du métro. Je m’arrête, essoufflé et tremblant. Nous nous trouvons face à un terrain vague protégé par des palissades disjointes par endroit. J’ignore si les vigiles nous poursuivent encore, je suis en pleine panique. Je suis mon inconnu sur le terrain vague, à l’abri de tout regard. Nous avons eu chaud aux fesses (enfin moi surtout, doublement). Une fois derrière les palissades, je baisse mon short pour tenter de m’essuyer : dans ma course, le sperme avait coulé de mon anus le long de mes cuisses, achevant de souiller mes habits. Manifestement, mon inconnu interprète mon geste différemment. Il me pousse et me fait basculer, plié en deux, contre un bloc de béton à côté de nous. Je le sens écarter mes fesses. Je proteste, il me semble qu’il en a eu assez. Il me répond qu’il ne fait qu’accéder à ma première demande, à savoir nous rendre dans un endroit plus discret, et qu’il voudrait bien me baiser en prenant son temps. Je sens sa queue bandée (déjà ??) contre moi. J’essaie de me dégager mais il me bloque, ses jambes autour des miennes. D’un autre côté… j’aurais moi aussi préféré une sodomie plus longue, d’ailleurs il m’avait fallu bien du temps pour jouir, malgré sa queue épaisse et sa sauvagerie, que j’avais beaucoup appréciées.  Indécis, je tente toujours de le repousser de mes mains lorsqu’il parvient à placer sa queue entre mes fesses compressées par ses jambes. Il pousse, mon anus lubrifié de sperme l’accueille sans peine. Cette fois encore, je me laisse prendre par l’excitation de la situation, même si j’aurais préféré me reposer. Je me détends et cesse de résister. Il saisit mes hanches, mais j’initie le mouvement avant lui, me sodomisant sur sa queue en érection.  Il demeure immobile.
 Pendant une dizaine de minutes, je bouge ainsi sous lui en levrette, variant les rythmes. Lentement, je me contracte sur sa queue lorsque je la sens coulisser hors de moi. J’anticipe son gémissement de plaisir lorsque mon anus le serre de cette façon. Plus vite, reprenant presque le rythme brutal qu’il m’avait infligé dans le wagon, je l’entends haleter bruyamment. Son corps me domine, mais je maîtrise son plaisir. Il finit par reprendre la main, en se retirant de moi. Je me retourne, surpris et frustré, la queue dressée. Il m’ôte mes habits, m’assoit sur le bloc de béton, relève mes jambes et m’enfile. Cette fois, son rythme. Je me laisse faire, jambes repliées, attrapant mes genoux pour mieux m’ouvrir à lui. Il saisit ma queue et me masturbe. Je halète à mon tour, gémis, ondule des hanches pour approfondir sa pénétration. Il accélère ses gestes, je m’agrippe à ses épaules, le suppliant de me mettre sa bite bien loin, de m’enculer à fond et me prendre entièrement.  Ma queue raidit de plus en plus dans sa main. Alors qu’il halète davantage, je perds le contrôle. Je saisis ses hanches, essaie d’accélérer son rythme, me tords dans tous les sens pour mieux le sentir en moi. Le béton griffe cruellement mes fesses sous mes mouvements, mais je ne sens plus rien, juste mon cœur qui bat un rythme infernal et m’empêche de penser, sa queue en moi, la mienne dans sa main, sa queue putain sa queue tellement raide épaisse énorme qui me dilate m’encule me bourre me transperce de plaisir alors que j’enserre sa taille de mes jambes pour le coller à moi en moi au fond en gémissant en quémandant suppliant criant jouissant. Anéanti de plaisir, je bascule en arrière, à demi allongé sur le bloc de béton, le ventre couvert par mon sperme (qui vient s’ajouter au précédent, déjà séché). Il n’a pas encore joui. Il soulève mes fesses pour, dans cette position, mieux me défoncer. Je le sens s’activer sur et dans mon corps sans réaction : amorphe, je ne bouge plus, subissant simplement la fin de la sodomie. La puissance de ses pénétrations fait balloter mes jambes, ma tête oscille d’un côté et de l’autre lorsqu’il accélère, me secouant entièrement sous ses coups de bite. Presque inconscient, je le sens à peine me brutaliser le cul.
 Il finit par éjaculer, s’affalant sur mon torse inerte et se souillant de mon sperme qui le recouvre, plantant sa queue au plus profond. Je sens vaguement les différentes giclées, sans réagir. Il essaie de reprendre son souffle et finit, après quelques minutes, par se retirer, en partie débandé. Je n’ai même plus la force de contracter mon anus pour empêcher le foutre de couler.  Devant mon absence de réaction, il finit par s’inquiéter et tapote mes joues. Je reprends pied dans le réel, me secoue et tâche de me rendre présentable pour le retour. Heureusement c’est l’été : j’ai une bouteille d’eau avec moi, elle me permet de me nettoyer un peu, même si l’odeur de sexe semble m’imprégner définitivement. Mon enculeur se nettoie lui aussi, en silence. Je me rhabille, bien obligé même si mes vêtements ne sont plus vraiment présentables. Nous quittons tous les deux le terrain vague. Il sort son téléphone, me le montre en disant « taxi ». J’acquiesce : pas question de remettre un pied dans la station de métro, où tout le monde doit avoir notre signalement. Le taxi arrive, nous montons tous les deux. Le trajet est long mais silencieux, je n’ai ni l’envie ni la force de discuter. Lorsque je descends, il me glisse un papier qu’il a griffonné au cours du trajet. Un numéro de téléphone. Je le quitte en souriant. Une fois dans ma chambre, je me jette sur le lit. Mes amis m’avaient conseillé de m’intéresser à l’underground londonien. J’approuve pleinement le conseil même si je doute qu’ils aient songé à mon mode personnel d’exploration, très physique et approfondi…
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