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Le métro trop tôt c'est pas top!

Chapitre 2

Le samedi quand c'est gris on s'ennuie

Trash
Tout ça, c’est bien gentil, mais je n’ai pas le cœur à aller dans le placard sans fenêtres qui me sert de logis. Je retourne donc au bistro de tout à l’heure.A peine entrée, le serveur se précipite.— Ben dis donc, Sylvette, tu l’as pêchée où, celle-là?— Merci pour l’avoir joué discrète ce matin.— Pas de quoi ! Raconte !L’autre serveuse, Violette, qui n’est pas de service, mais a une chambre au premier arrive. Elle devait me guetter. — Oui, raconte ! J’y vais de ma petite histoire. Ils écoutent en silence.— Tu aurais dû rester ! Tu vas faire quoi, maintenant ? Violette s’est assise en face de moi. Malgré ses 23 ans, elle a une solide expérience de la galère. Placée par ses parents à la sortie de l’école obligatoire dans un bar-restaurant des Ardennes belges comme serveuse élégante (ici on dirait montante) elle les a plaqués et a débarqué il y a deux ans, a traversé l’esplanade de la gare et depuis travaille dans ce bistrot où j’ai fait sa connaissance quand je l’ai aidée comme serveuse d’appoint le midi.On a immédiatement sympathisé et de fil en aiguille, on a échangé nos petits secrets et puis, tant qu’à faire, on s’en est inventés ensemble...
— Tu ferais quoi, toi ?— J’y retournerais et je lui ferais mes yeux de cocker.J’adore son accent de Liège alors je lui fais répéter.— Mes quoi ???— T’as très bien compris ! Allez ! Qu’as-tu à perdre ?
Nous déjeunons chez elle, on ne parle pas beaucoup. A 14h30, elle me fiche à la porte, elle bosse à 15h.
Je tourne un peu en rond dans les rues, mais il fait froid et je n’ai pas la thune, alors je prends mon courage à deux mains et me voilà devant la porte de ma tourmenteuse. Avant de sonner, j’entends qu’elle est au téléphone. Elle parle de moi !— Un peu maigrichonne, mais une sacrée délurée, je te prie de me croire ! — ...
— Sylvette, c’est tout ce que je sais... Elle lui raconte notre séance sans rien omettre !-...— On verra bien... J’aimerais bien la revoir, oui !
Je m’assieds sur une marche de l’escalier. Même le tapis est tout confort. Et puis je me lève, ravale mon orgueil et sonne.Elle est toujours en robe de chambre. Difficile à décrire toutes les expressions qui passent sur son visage. Je fais profil bas.— Re-bonjour. J’ai bien aimé votre café ce matin, alors je me suis dit, comme je passais...— Entre vite !
Elle est habituée à masquer ses émotions. — Quel caractère ! Tu vois, tu aurais dû rester ce matin...— Qu’est-ce que ça change ? Je suis là, non ?C’est plus fort que moi, elle m’énerve celle-là quand elle veut diriger.
— Entre. Installe-toi comme tu veux. J’apporte du café.Deux minutes après, elle revient toute souriante avec un plateau. Comme si nous étions deux vieilles amies, elle nous sert, me tend une tasse.— Je suis vraiment contente de te revoir.— Je sais. C’était qui au téléphone ?— ...? ... Une amie. On est très proches.— Vraiment très proches ?En insistant sur le ‘très’.Elle a une moue de bourge, bouche en cul de poule, tête de travers genre ‘ta bite a un goût...’— Tu as envie qu’on se la fasse ?Elle refait sa mimique. Impayable ! Faut que j’apprenne, j’aurai du succès !— OK, appelle-la. Dis-lui de venir. Dis pas que je suis ici.
Elle y va et cette salope trouve un prétexte pour faire venir l’autre.— Elle sera là d’ici une demi-heure.
En attendant, je vais me prendre un bain.
Elle a passé une tenue d’intérieur confortable, sweat et pantalon. Elle est démaquillée aussi, ça fait moins vieille. Elle veut s’habiller, mais je lui dis de rester telle que et de me savonner le dos.Je me prélasse encore dans les bulles quand ça sonne.— Vas-y, dis pas que je suis là ! Sinon je me barre !
Leurs salamalecs durent, comprenez, ça doit faire une heure qu’elles ne se sont pas parlé, et ceci, et cela, nani, nanana !!!Michèle joue bien le jeu. Elle a sorti le whisky, l’autre ne se fait pas prier !
Cela fait pas loin d’une demi-heure qu’elles papotent en lichant des verres. Et ça n’est pas une discussion du pensionnat des oiseaux. En plus, elles commencent à être pompettes comme elles diraient !Je l’interpelle du couloir.— Michèle ? Tu parles à qui ?Et je fais mon entrée, nue comme un ver.— OUUUUPPPPSSSS !Je fais mine de couvrir ma chatte et ma poitrine, mais j’ai des petites mains... Michèle ne se démonte pas, à l’aise comme dans une réunion Tupperware.— Christiane, je te présente Sylvette. Comme tu vois, elle est très... nature !Je m’installe à califourchon sur le rebord de son fauteuil. Christiane est une blonde, cheveux courts, plus grande que Michèle, aussi bourgeoise, en tailleur pantalon. Style Virgule de Guillemets, à la mise en plis près. Elle a un sourire crispé.Pas de faux pas, je sens qu’elle n’a pas encore décidé si elle reste ou s’en va. Je me trémousse contre Michèle en exhibant mes petits atouts naïvement. En face, je la sens fléchir. Elle est pivoine. Vu comme elle se rince l’œil, je ne la vois pas partir comme ça !
— Christiane...— Oui...— Vous me plaisez beaucoup... et moi ? Je vous plais ?Je ne lui laisse pas le temps de répondre et change de fauteuil. Je déboutonne son chemisier, elle se laisse faire. C’est bien d’avoir du fric, c’est de la soie toute douce. Le soutien-gorge dessous coûte ce qu’une journée de travail me rapporte -quand je travaille-.
Coup de bol, la pression est entre les bonnets. Elle a de chouettes seins, de belles poires lourdes avec lesquelles je joue. Qu’est-ce que je risque ? Une gifle ?Mais non. Ca va être du velours, elle plisse les yeux sous mes caresses.
Je fais signe à Michèle de venir. Elle lui ôte ses chaussures, remonte jusqu’à ses hanches et fait glisser les fermetures sur les côtés. Je lui souffle :— Mich ! A poil !Sitôt dit, sitôt fait ! Son jogging a volé.Je caresse les joues de Christiane.— Cricri, au point où on en est, mets-toi à l’aise !Elle soulève les hanches pour permettre à Michèle de faire glisser son pantalon. Le slip vaut des pions, mais comme tue-l’amour ! A part la ceinture de chasteté, on ne fait pas pire. Vite, on retire l’horreur. Elle a encore son corsage et son soustingue.Posément, elle défait les boutons de ses manches, sort ses bras et écarte ses mains.— Voilà !
Je sers une tournée de whisky. Michèle en profite pour me caresser les fesses.Nous avalons nos verres en nous embrassant à trois.
— Va entre ses cuisses.Michèle obéit, à genoux, broute son amie, ravie. J’écarte les cuisses de la grosse cochonne et lui mets les doigts. Ma main y rentrerait, mais j’ai une autre idée.
Pendant que les deux s’expliquent, je vais dans la salle de bain prendre une brosse à cheveux.De retour, je la graisse bien en la passant sur les lèvres de Michèle et crache sur sa rondelle. Quand celle-ci s’ouvre, je la perfore avec la brosse. Surprise, elle se lève, mais Christiane n’est pas d’accord qui, les jambes sur ses épaules, lui plaque la tête sur ses bas morceaux, elle en veut encore. Curieuse de ce qui a détourné l’attention de sa brouteuse, elle me regarde. Je lui indique la brosse qui sort du fessier et ballotte au rythme du gamahuchage. Elle se marre et lève le pouce, complice.
Assise sur le fauteuil en face, je contemple le tableau. Lorsque la brosse sort trop, Michèle la rentre prestement.— Dis Cricri, elle te bouffe toujours la chatte comme ça ? — On a jamais fait dans le salon !— Y a un début à tout !Les lieux communs ne me font pas peur...Les lèvres de Michèle pendent, on dirait un dindon ! Ca me donne une idée !
Je mets un certain temps à trouver ce que je cherche, l’appartement est vaste. A mon retour, les positions n’ont pas changé. Je montre mes trouvailles à Christiane qui d’abord ouvre de grands yeux puis hoche la tête, curieuse. Je joue un peu avec la brosse, passe la main sur la fente de Michèle qui s’ouvre un max.
Mais ça n’est pas mon but. Je fesse les grosses miches, la rombière aime ça, je le vois au visage de Christiane.Et puis je lui flatte la moule, joue avec ses lèvres, les tire, les étire. Ca la fait mouiller ! Et hop ! Je lui fixe une pince à linge.Surprise, elle pousse un cri de douleur et tente de se relever, mais j’ai prévu le coup et lui appuie sur les épaules, aidée de Christiane. Je lui cajole le clito, elle se rebiffe à peine pour la lèvre d’en face. Deux autres suivront sans qu’elle ne manifeste.
Christiane secoue la main devant son visage tordu de plaisir et je lis sur ses lèvres :— C’est géniaaal !Elle a renoncé à compter le nombre de fois où elle s’est envoyée en l’air !
Mais je n’ai pas fini. Il me reste deux pinces. Je les lui montre. Elle hoche la tête avec empressement comme si on allait faire une bonne farce.Je joue avec les tétons qui pendent. Quand j’en tire un, Michèle réalise et crie :— Oh non !!!Trop tard, c’est fait ! Elle pleurniche un peu quand je mets l’autre, mais de fait, elle est totalement soumise.
Christiane se lève pour admirer et lui assène une claque qui laisse une marque rouge sur les fesses. Je suis morte de rire quand elle lui aboie :— Bouge pas !Son éducation lui interdit d’ajouter ‘salope’, mais c’est l’idée.
Elle a aussi de l’humour.— Tu sais que tu fais une superbe table basse ma chérie.D’un pied fin soigneusement manucuré, elle joue avec la brosse, les pinces, l’air gourmand et vicieux de la sale gosse qui sait qu’elle fait une grosse bêtise.Michèle se frotte sur ce pied, le mouille et fatalement, elle prend le sien, de pied !
En lui ôtant les pinces des seins, j’entends Christiane, qui s’occupe du bas, lui dire amoureusement :— Jamais tu ne m’as léchée comme ça !— Je suis morte !...
...
Epuisées et un peu beurrées, mes camarades de jeu sont allées faire une sieste. Je les entends ronfler. J’en profite pour faire le tour de la maison. L’argent ne fait pas tout, il faut du goût. Michèle ne manque d’aucuns. En revanche, les fringues, ce n’est vraiment pas ça.Elle n’a pas un seul string ! Les soutiens-gorges, c’est un peu mieux, mais elle donne dans le genre BCBG dehors et utilitaire dessous. Pourtant, c’est en majorité des marques de luxe. Une prise en main s’impose.Attends un peu. D’abord on va faire quelques emplettes et ensuite tu feras connaissance avec le grand Daniel...
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