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La meute

Chapitre 2

Trash
JENNY.J’ai enjambé son torse pour me coucher sur son ventre, en position de grenouille, cuisses largement écartées. Puis j’ai superposé les mains pour y poser le menton, pensive. Mes yeux dans les yeux noirs de Tony ; mon Tony, je le savais du fond de mon cœur… Un garou, un grand fauve noir, autant tigre que loup, avec un tiers d’humanité. Je n’avais pas peur, j’avais reconnu ce tiers là, c’était bien Tony. J’ai souri, et la gueule du fauve s’ouvrit en réponse, dévoilant une langue rouge et épaisse qui se tendit vers moi pour passer sur mes lèvres. J’ai écarté les lèvres et sorti la langue à son contact, goûtant la salive du garou.
— J’ai averti ta tante que tu étais avec moi et qu’elle ne devait pas s’inquiéter. J’ai dû lui expliquer tout.— Tu as osé le faire… Bravo !— M’en parle pas ! Ta tante est connue comme la sorcière la plus puissante du comté. Je crois qu’elle m’aime bien. Elle a le droit de savoir que des garous sans loi rôdent, ces trois là n’étaient pas seuls. Et elle connaît notre meute depuis toujours.— Si tu sais tout de ma famille, comment ça se fait que je ne sache pas grand chose de vous ?— Ta tante t’a préservée, je pense. Elle devait attendre que tu prennes possession de tes pouvoirs, et maintenant tu pourrais en avoir besoin.— Je n’étais pas prête à me donner à quelqu’un, je t’attendais. Et puis Sam m’avait conseillé d’attendre mes dix-huit ans, je les ai eus il y a dix jours. En tous cas, tu as bien fait de la prévenir.
Pour accéder à leurs pouvoirs, les jeunes filles ayant des dons doivent avoir fait l’amour. Je devais passer par cette "épreuve" pour connaître l’étendue de mes pouvoirs de sorcière, avant d’apprendre à les maîtriser. J’étais la fille d’une sorcière respectée et puissante, morte douze ans plus tôt dans des circonstances étranges et dramatiques. Je comprenais que l’heure était arrivée d’entrer dans la vie adulte et de revendiquer mon héritage.
— Tu crois que tu pourrais te transformer en prince charmant ? Je ne crois pas pouvoir t’accueillir tel que tu es maintenant. Si ce que je sens sur mes fesses est bien ce que je pense.— Oui ; c’est bien ma verge ; je ne suis pas un démon, alors elle n’est pas dentelée et il n’y a pas d’os non plus. Mais c’est trop gros, trop long pour toi, je comprends.— Plus tard, on verra ce qu’on peut faire, je te promets ; le ventre des femmes est très élastique, et la magie pourra peut-être m’aider.— D’accord, mais avant de me transformer, je vais te faire jouir. Tu n’as pas idée de mes talents…
Il se souleva, une main sous mes fesses et l’autre dans le creux des reins. Sa tête affleurait le plafond pourtant haut, il me posa délicatement sur le lit méga king-size  ; j’ai soupiré quand il m’a surplombée de toute sa masse, mes yeux troublés se posant sur sa verge rouge sang qui sortait d’un fourreau noir, si longue et lourde que j’en fut choquée avant de me rendre compte que je me léchais les lèvres avec gourmandise. Un jour, je savais qu’elle serait en moi. Mais pas maintenant, c’était une impossibilité physique.
Je me suis soulevée pour caresser la hampe de chair ; pas de gland visible, mais une peau douce un peu grasse, sillonnée de veines sombres, et une extrémité très charnue comme une bouche avec une ouverture ronde en son centre. J’ai placé les deux mains pour pouvoir en faire le tour, en regardant le mufle de Tony, gueule ouverte, qui semblait sourire.
— Oui, bon ! Je suis vierge, moi. Je garde cette friandise pour plus tard. C’est bien trop pour une jeune fille comme moi.— Tu es bien dévergondée, justement, pour une petite vierge.— Ma tante s’est occupée de mon éducation, qu’est-ce que tu crois ! Sam est une vraie mère pour moi ; trop jeune pour être la vraie, mais jolie et intelligente ; elle m’a appris beaucoup de l’amour, je pourrais te surprendre. Allez, tu meurs d’envie de me montrer ce que tu sais faire avec ta langue, et à vrai dire je n’attends que ça...
En fait, derrière ma gouaille, j’étais terrorisée ; Sam m’avais fait partager sa couche plus d’une fois, j’étais restée vierge à défaut d’être naïve. J’avais même vu Sam faire l’amour avec son familier Félix, j’avais pu toucher la verge de celui-ci et comprendre mieux son rôle et son fonctionnement.
Je me suis laissée tomber en arrière en écartant les jambes, exposant le triangle de toison rousse qui recouvrait le mont de Vénus. J’étais soigneusement épilée, et la vulve bien lisse et douce, les lèvres intimes très pâles déjà humides s’écartant et dévoilant une délicate couleur corail. Sans tarder, Tony s’est accroupi devant moi, son mufle velu soufflant sur les douces chairs qui frissonnèrent, ses larges pattes ont écarté franchement mes cuisses ; j’ai soupiré bruyamment.
La langue rouge sortit et lapa de bas en haut toute la fente offerte, écartant les nymphes. Elle était légèrement râpeuse, comme celle des chats, chaude et mouillée ; J’ai eu du mal à retenir un cri, tout mon corps trembla, mon bassin se souleva comme la langue remontait en entraînant les lèvres intimes.
— Oh ! Tu vas me faire mourir ! Continue, je t’en supplie, c’est trop bon ! Oh, encore…
Je serrais les dents pour retenir mes râles de plaisir, alors que Tony voyait sa langue se couvrir de la liqueur capiteuse qui sourdait de mes muqueuses roses. Il en profita pour titiller l’anus et le forcer du bout effilé de sa langue, m’arrachant un petit cri de surprise. Puis il reprit le glissement profond dans la vulve offerte, pénétrant entre les petites lèvres, massant le clitoris gonflé ; je gémissais et me tordais sous la douce torture qui enflammait tout mon être. Puis Tony se releva et sa verge de garou a commencé à glisser entre les lèvres trempées, les écartant et les massant doucement, m’arrachant de nouvelles plaintes.
J’étais prête à le recevoir, mais pas sous cette forme, pas maintenant ! Il s’est transformé rapidement et j’ai retrouvé mon Tony, très sérieux cette fois ; sa verge, bien qu’imposante par sa longueur comme par son épaisseur, paraissait plus à même de me pénétrer sans me tuer. Je lui ai fait un sourire d’encouragement, j’étais impatiente d’être prise.
— Allez, fais de moi une femme, tendrement, tu en as autant envie que moi… Allez, je t’en supplie, viens…
Fascinée, je voyais Tony guider son énorme gland sorti du prépuce, rouge et brillant, entre mes lèvres trempées ; une sensation étrange quand mes chairs se sont ouvertes, une poussée, une sensation de déchirure, je me suis crispée sous la douleur avant de me relâcher. Ça y était, j’étais une femme, savourant cette sensation de plénitude, consciente que j’étais trop serrée pour l’épais membre viril qui s’enfonçait doucement en moi.
— Tu vas bien ? Je t’ai vue grimacer.— C’est bien, vas doucement, c’est tout. Continue, tu es si gros, si dur…
J’avais une impression de gêne mais en même temps mon ventre chantait, il se tendait vers Tony, s’ouvrait à lui ; il a empoigné mes seins gonflés dans ses grosses mains, les serrant l’un contre l’autre en faisant saillir les mamelons déjà congestionnés, puis il les a aspirés à tour de rôle, le regard canaille. Je me suis soulevée pour l’embrasser et nos langues se sont entremêlées, nos salives se sont mélangées. La jouissance m’a fauchée, anéantie, alors que sa verge se faisait plus lourde, tressautait en inondant ma matrice de semence.
Quand j’ai ouvert les yeux, un long moment après, j’ai vu l’aura de Tony flotter au-dessus de nous ; blanche, rouge, une sphère reliée à son corps par un ensemble de fils entrelacés ; quasiment transparente, je voyais le plafond au travers. Tony était couché sur moi, s’appuyant sur les coudes pour ne pas trop m’écraser, sa verge toujours aussi raide plongée en moi.
— Ton aura, c’est la première fois que je la vois… C’est magnifique !— Elle est comment ?
Je lui expliquai, mais au fur et à mesure, l’aura virait au rouge alors que Tony se redressait en commençant à se mouvoir dans mon vagin. J’ai relevé les cuisses, il a pris mes chevilles pour les réunir dans une seule de ses mains et les poser sur son épaule droite, dans cette position il allait plus profondément en moi, mon vagin était distendu mais accueillait toute sa puissante virilité. Il prit un rythme de plus en plus rapide, m’imposant sa longueur à chaque coup de boutoir qui secouait tout mon corps avec un bruit sec de chair contre chair.
Je décollai très vite en tordant mes bouts de seins jusqu’à avoir mal, jouissant plusieurs fois et inondant la lourde verge qui me labourait de flots de cyprine ; Tony me retourna et me positionna en levrette, il me prit à nouveau de toute sa longueur, m’arrachant un râle de plaisir ; en même temps, il avait plongé un pouce dans mon anus, comme pour me rappeler que j’étais toute à lui, et qu’il pouvait donc disposer de mon corps par tous ses orifices. Puis il a éjaculé à nouveau, chevillé en moi, me remplissant à nouveau de sa semence. Il s’est écroulé à côté de moi, caressant mes flancs et m’embrassant dans le cou.
Je reprenais mon souffle, les yeux fermés, attentive aux lignes de force que je sentais passer à l’extérieur et même sous le studio, assez faiblement. De l’énergie que je pourrais domestiquer. Je regardais l’heure : presque 7 heures . Je n’étais pas trop pressée, d’autant que Tony continuait à me caresser et que sa verge restait toujours aussi rigide en moi. Il avait remis son pouce dans mon anus et le remuait doucement, alors j’ai commencé à onduler du bassin contre lui.
Quelques minutes après, quand il m’a sodomisée, j’ai quand même dégusté, bien qu’il m’ait préparée et lubrifiée. Mais il avait une verge tellement épaisse que j’avais bien compris que j’aurais mal, alors j’ai serré les dents, ravalé mes larmes, et me suis cambrée, bien offerte. Il était vraiment épais et malgré le lubrifiant dont il s’était généreusement couvert, Tony avait du mal à pénétrer. Quand il a été planté bien à fond, je me suis tordue pour l’embrasser, il m’a roulé un patin bien baveux tout en caressant mon ventre et mes seins. Ensuite, je lui ai chuchoté :
— Allez, vas-y, lance les chevaux, défonce-moi, je suis ta chienne ! Et n’aie pas peur, je ne suis pas en sucre.
Là, il n’a pas répondu, mais j’ai compris ma douleur ; pour une première sodomie, j’ai été servie. Il s’est mis à pilonner mes reins en sortant complètement puis en revenant de toute sa longueur, m’arrachant des larmes mais pas de cri, je refusais de me plaindre et mordais mes lèvres jusqu’au sang. Il n’empêche qu’au bout de plusieurs minutes de ce traitement vigoureux, la douleur, bien que toujours présente, était devenue supportable ; j’ai recommencé à encourager mon amant qui s’est déchaîné en prenant une cadence inhumaine. Pour la première fois, j’ai joui dans la souffrance, criant et pleurant en même temps ; Tony a éjaculé une troisième fois, et j’ai eu l’impression qu’il avait des réserves inépuisables de semence tellement il a rempli mes intestins.
Après une bonne douche, j’ai pu récupérer mes tennis, ma parka fourrée, tout le reste de mes vêtements était détruit ; Tony m’a donné un sweat-shirt qui m’a servi de robe tellement il était grand. J’ai embrassé mon amour à l’aura blanche et je suis allée rejoindre ma tante avant qu’elle parte ouvrir sa boutique de Cumberland. Il avait gelé et neigé, rouler était difficile mais Tony n’habitait pas loin de chez moi, dans le centre de Windham. J’entrai un peu après 8 heures dans notre maison, une vieille bâtisse isolée adossée à la forêt comprenant sous-sol aménagé pour les invocations privées, avec pentagramme et tout ce qu’il faut, rez-de-chaussée servant de cuisine, pièces à vivre (salon, séjour, bibliothèque), et deux étages plus petits que le rez-de-chaussée. Sam avait le premier, moi le second.
Quand je suis entrée dans le séjour, la première chose que j’ai vue, c’était Félix qui dormait, roulé en boule sur son fauteuil préféré. C’était un gros matou noir angora, il a ouvert un œil jaune et m’a saluée :
— Bonjour, Jennifer O’Gara. Tu t’es enfin décidée à te faire sauter ? Ton aura est impressionnante ce matin. Tu vas enfin pouvoir m’accueillir dans ta chatte rouquine, j’en bande déjà.— Dans tes rêves, mon gros !
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